Salut aux ukrainiens qui meurent tous les jours. Remerciez les multinationales américaines, parce que sans leur aide, les fascistes ukrainiens ne se seraient pas emparés du pouvoir.
Mes chers cinq lecteurs, je suis parti dans le midi pour aider des amis dans la restauration. Je serais donc très occupé et comme vous avez pu le constater, je ne suis déjà pas très fidèles. Espérons que j'aurais le temps de nourrir ce blog.
Et, pour commencer, dans la rubrique, "Pourquoi, ces gens-là ne sont-ils pas en prison ?"
(source : Le journal du siècle)
Pendant ce temps, notre planète, enfin sa surface continue à se porter mal.
(source : Sciences et Avenir)
Par contre, un effet collatéral de la volonté des Etats-Unis et de l'Europe d'isoler la Russie est que celle-ci se détourne de l'euro.
Si, par exemple, la Russie se détourne de l'euro en entraînant la Chine à adopter la même posture, l'euro pourrait fort bien plonger.
Ce qu'attendent d'ailleurs, les spéculateurs américains avec Soros.
Alors, est-ce que nos dirigeants européens ont vraiment réfléchi en soutenant aveuglement les States dans sa volonté de mettre à genoux Moscou.
(source : 360 newsx)
Et, concernant le gazoduc qui devait traverser la Bulgarie pour alimenter les pays européens, l'opposition des Etats-Unis vont lui faire changer de parcours.
(source :
Et, une bonne nouvelle pour les requins.
(source : le Quotidien du Peuple)
Et, en Arabie Saoudite, ils commencent à avoir peur de plus intégriste qu'eux.
(source : El Watan)
Mes chers cinq lecteurs, je suis parti dans le midi pour aider des amis dans la restauration. Je serais donc très occupé et comme vous avez pu le constater, je ne suis déjà pas très fidèles. Espérons que j'aurais le temps de nourrir ce blog.
Et, pour commencer, dans la rubrique, "Pourquoi, ces gens-là ne sont-ils pas en prison ?"
(source : Le journal du siècle)
Goldman Sachs conseille une baisse générale des salaires de 30 % en France
Pendant ce temps, notre planète, enfin sa surface continue à se porter mal.
(source : Sciences et Avenir)
Un composé chimique d'origine mystérieuse détecté dans notre atmosphère
La Nasa a détecté des concentrations anormales d'un polluant : le CCl4, interdit depuis 1987. Mais on ne sait pas d'où il vient.
Une représentation informatique d'un gigantesque trou dans la couche d'Ozone, pris en 2006. Les zones bleues et violettes représentent les zone dans lesquelles la concentration en ozone est moindre. Le jaune et le rouge indiquent des zones de plus fortes concentration en ozone. Nasa
L'Agence spatiale américaine a détecté en quantité inexpliquée dans l'atmosphère du tétrachlorure de carbone (CCl4), une substance chimique qui détruit la couche d'ozone et qui est proscrite dans le monde depuis près de 30 ans, a indiqué mercredi 20 août l'agence spatiale dans un communiqué.
Le CCl4, qui était utilisé dans les extincteurs ou par les pressings pour le nettoyage à sec, a été interdit en 1987 en même temps que les chlorofluorocarbones dans le cadre du Protocole de Montréal. Les pays membres de ce protocole n'ont annoncé aucune nouvelle émission de CCl4 entre 2007 et 2012.
Des sources d'émissions d'origine inconnue
Mais l'étude de la Nasa montre que les émissions mondiales de ce polluant sont en moyenne de 39.000 tonnes par an, soit environ 30% du volume maximum jamais enregistré avant l'entrée en vigueur du Protocole international.
"Nous ne devrions pas avoir tout ce CCl4 ", a lancé Qing Liang, un scientifique de la Nasa au Centre Goddard des vols spatiaux dans le Maryland (est) et principal auteur de cette recherche.
"Il est clair que nous sommes en présence soit de fuites industrielles non identifiées, soit d'émissions importantes de sites contaminés ou de sources inconnues de CCl4 ", a-t-il ajouté.
Leur concentration aurait du baisser de 4% par an
Les scientifiques et autorités règlementaires veulent savoir d'où vient ceCCl4 , qui comptait en 2008 pour environ 11% du chlore contribuant à la diminution de la couche d'ozone.
Depuis près de dix ans, les scientifiques s'interrogent sur les raisons pour lesquelles les niveaux observés de CCl4 dans l'atmosphère diminuent plus lentement qu'anticipé en fonction des processus naturels connu de sa destruction comme le rayonnement solaire.
"Existe-t-il un mécanisme de perte de CCl4 que nous ne comprenons pas ou y aurait-il des sources d'émission non signalées ou non identifiées", s'est interrogé Qing Liang.
Sans aucune émission de CCl4 signalée entre 2007 et 2012, les concentrations atmosphériques de cet agent chimique auraient dû diminuer de un à 4% par an, ont relevé les scientifiques, soulignant que des observations depuis le sol montrent une diminution de seulement 1% chaque année."
Si, par exemple, la Russie se détourne de l'euro en entraînant la Chine à adopter la même posture, l'euro pourrait fort bien plonger.
Ce qu'attendent d'ailleurs, les spéculateurs américains avec Soros.
Alors, est-ce que nos dirigeants européens ont vraiment réfléchi en soutenant aveuglement les States dans sa volonté de mettre à genoux Moscou.
(source : 360 newsx)
La Russie cherche sa sécurité dans l’or, loin du dollar et de l’euro
août 21st, 2014 | by Mickael - Fondateur de News360x
La Russie est en train de prendre des mesures pour veiller à se protéger de futures sanctions économiques en dollars ou en euros. Moscou dispose de la 5ème plus grande réserve de change au monde et des 6èmes plus grandes réserves d’or. Au total, ses actifs s’élèvent à plus de 1,5 billions de dollars.
Tandis que l’Occident continue de juger et de punir la Russie par des sanctions économiques, la réponse de la Banque centrale de Russie a été de se diversifier de l’euro et du dollar – pour acheter plus d’or.
La situation géopolitique en Ukraine se détériorant, la Russie se mobilise pour se protéger contre les risques de change liés à l’euro et au dollar.
Dans la première moitié de l’année 2014, la Banque centrale de Russie a réduit ses réserves de devises étrangères de 2,5 pour cent.
« En raison de la détérioration de la situation géopolitique, la Banque centrale a redistribué activement ses réserves de change, en remplaçant les bons du Trésor états-uniens par de l’or, » a déclaré l’économiste en chef de la banque Alfa, Natalya Orlova, à Kommersant.
Au lieu d’acheter des euros et des dollars, la Banque centrale de Russie s’intéresse au yuan chinois et au yen japonais.
Stimuler les swaps de devises et les paiements bilatéraux avec la Chine et d’autres partenaires commerciaux stratégique continuera de contourner le dollar états-unien. La semaine dernière, des banques centrales de la Chine et de la Russie ont convenu d’augmenter les swaps de devises (un swap de devises est un échange de capital entre deux sociétés ou entre deux pays dans deux devises différentes, ndt).
Détenir plus de ces monnaies est une étape logique pour la Russie, qui a de gros volumes commerciaux avec la Chine et le Japon. En 2013, le chiffre d’affaires du commerce avec la Chine a été de près de 90 milliards de dollars et de plus de 33 milliards de dollars avec le Japon.
La Russie a augmenté rapidement son stock d’or et à la fin de Juillet, le volume total valait plus de 45 milliards de dollars.
Selon Iaroslav Lissovolik, économiste en chef de la Deutsche Bank à Moscou, c’est le meilleur moyen pour la Russie de fournir la stabilité de ses réserves de change.
« Le fait que la Russie a intensifié son processus de diversification est lié au fait qu’une proportion relativement élevée de ses réserves étaient libellées en dollars et en euros, tandis que la part de l’or était faible« , a déclaré Lissovolik à Kommersant.
Dans la dernière décennie, la Russie est devenue le plus gros acheteur d’or au monde, en ajoutant plus de 600 tonnes à ses réserves.
D’autres pays augmentent activement leur stock d’or. Au cours des six derniers mois, la Banque centrale du Kazakhstan a augmenté son investissement en or passant de 12 tonnes à 155,8 tonnes.
Inversement, les pays développés comme les États-Unis, l’Allemagne, l’Italie, la France et l’Espagne ont diminué leurs réserves d’or. L’Allemagne a vendu 2,9 tonnes de réserves d’or de la Bundesbank mais reste néanmoins le deuxième plus gros détenteur d’or au monde, après les Etats-Unis.
Source : RT
Traduit par SLT
Et, concernant le gazoduc qui devait traverser la Bulgarie pour alimenter les pays européens, l'opposition des Etats-Unis vont lui faire changer de parcours.
(source :
Le gazoduc pourrait contourner la Bulgarie, la Serbie, la Hongrie et la Slovénie. Le gaz transiterait alors par la Turquie et la Grèce avant d'arriver en Italie et en Autriche, selon la presse russe.
Gazprom a un plan B si la Bulgarie continue de s'opposer à la construction du gazoduc South Stream, a indiqué le journal économique russe Vzgliad le 18 août.
Le gouvernement intérimaire à Sofia, entré en fonction le 6 août, a gelé la construction de South Stream à la demande de Bruxelles. Si la Bulgarie ne renégocie pas l'accord bilatéral avec la Moscou, en porte à faux avec la législation européenne, la Commission menace d'imposer des sanctions financières.
Selon l'article du Vzgliad, le président russe, Vladimir Poutine, avait déjà évoqué un autre tracé pour South Stream lors d'une réunion avec des chefs de médias internationaux, le 24 mai.
Le ministre turc de l'Énergie, Taner Yıldız, a déclaré qu'Ankara serait disposée à autoriser le transit de South Stream par la Turquie au lieu de la Bulgarie, comme prévu au départ.
Selon certaines sources russes, Moscou ne privilégie pas le tracé par la Turquie, car il est plus long et il ne permettrait pas d'approvisionner la Serbie et la Hongrie.
« De bons partenaires »
La Turquie est considérée comme un « bon partenaire » de la Russie. De son côté, le président turc, Recep Tayyip Erdoğan, est décrit pour sa part comme un « pragmatique cynique » qui souhaite se venger vis-à-vis des États-Unis, car ils auraient tenté à deux reprises de l'évincer. En Grèce, l'agitation sociale est de plus en plus prégnante. « Si on laisse la Grèce sans argent, sans agriculture [en raison de l’embargo russe] et sans gaz, cela déclenchera des troubles sociaux en masse », selon le Vzgliad.
La Bulgarie, la Hongrie, la Roumanie et la Serbie sont les plus grandes victimes du plan B. Si le système bulgare de transmission de gaz ukrainien est « bloqué de manière permanente », la Russie ne sera pas en mesure de fournir ces pays.
La Russie préférerait éviter ce plan B, mais, si la Commission européenne ne relâche pas la pression sur la Bulgarie, ce scénario semble viable, selon le journal russe.
« Nous sommes vraiment ravis que la Russie ait un plan de rechange qui fonctionne afin d'approvisionner l'Europe centrale et méridionale », conclut l'auteur de l'article.
Un concurrent direct au gazoduc TANAP ?
Si Gazprom opte pour le tracé par la Turquie et la Grèce, le gazoduc serait en grande partie similaire au projet TANAP-TAP. Ce dernier a pour objectif de livrer du gaz naturel azéri vers l'Italie en passant aussi par les mêmes pays.
Ce gazoduc transanatolien s'étendra sur environ 870 kilomètres et traversera la Grèce et l'Albanie pour aboutir en Italie après un passage en mer. Le consortium Shah Deniz, dirigé par BP (Royaume-Uni), Statoil (Norvège), SOCAR (Azerbaïdjan) devrait construire ce gazoduc.
Les préparations vont bon train et sa construction devrait débuter en 2016, malgré l'opposition de riverains et d'ONG qui dénoncent la faible logique environnementale d'un tel projet."
Et, une bonne nouvelle pour les requins.
(source : le Quotidien du Peuple)
Le commerce des ailerons de requin n'a plus la cote
( Source: le Quotidien du Peuple en ligne )
22.08.2014 14h11
Le marché de Guangzhou était autrefois un endroit de choix pour trouver des ailerons de requin, un des plats les plus chers en Chine. Mais aujourd’hui, ce lieu est désert, en raison de l’interdiction de ce mets sur les tables officielles de banquet et d’une grande campagne menée dans le pays.
Un marchand du centre Shanhaicheng déjeune tranquillement dans un bureau, en compagnie de quatre collègues inquiets quant aux perspectives, entourés de nombreux ailerons invendus pour une valeur de milliers de dollars.
Non loin de là, une femme s’amuse avec son téléphone portable, on peut apercevoir des sacs en plastique de nageoires jaunes séchées intactes sur les étagères derrière elle.
Dehors, les rues animées et étroites de la capitale de la province du Guangdong sont bondées.
«Je ne mange pas d'aileron de requins», a affirmé un jeune commerçant de 23 ans surnommé Ling, assis entre une pile d'étoiles de mer séchées et un assortiment de champignons. «C'est sale, c'est cruel et très cher».
Pouvant coûter jusqu'à 1 600 yuans (260 dollars) par bol, la soupe d'ailerons a longtemps été parmi les plats les plus prisés du pays, réputé autant pour ses qualités médicinales supposées que pour ses associations avec la richesse et la puissance.
Le vent a brusquement tourné pour le commerce des ailerons de requins
L’appétit de nombreux convives semblent avoir été gâché par les autorités interdisant ce plat des banquets officiels et par une campagne nationale anti-aileron de requin soutenue notamment par l'ancienne star du basket Yao Ming.
La Chine est l'un des plus grands consommateurs d’aileron de requin, selon le groupe WildAid.
En 2012, le gouvernement central avait annoncé une interdiction de servir des aileron de requin, la soupe de nid d'oiseau et d'autres produits d'animaux sauvages lors de réceptions officielles, expliquant que cela créerait un précédent lui permettant de protéger les espèces en voie de disparition.
WildAid mène actuellement une grande action soutenu pas plusieurs célébrités, ciblant les consommateurs avec ce slogan: "Quand l'achat s'arrête, le meurtre aussi."
La demande aurait depuis chuté de façon spectaculaire, avec le plus grand impact ressenti à Guangzhou, capitale de l’industrie des ailerons de requin.
Une étude de l’ONG publié ce mois-ci montre que les ventes ont considérablement baissé dans la ville, les tarifs se sont effondrés en moyenne de 57% et les prix de gros de 47%.
Un kilo d’aileron de requin, qui valait plus de 2800 yuans, vaut actuellement moins de 1200 yuans, au bazar de Yidelu à Guangzhou, spécialiste des fruits de mer séchés, selon les médias locaux.
À Hong Kong, un important point de transit pour le commerce, les volumes d'import-export ont également subitement plongé."
(source : El Watan)
L’Etat islamique aux portes de l’Arabie Saoudite
le 22.08.14 | 10h00 7 réactions
Une capture d’image extraite d’une vidéo de propagande...
L’Arabie Saoudite a déployé 30 000 soldats sur 800 km de frontière avec l’Irak. Quelques jours après, le ministre de la Garde nationale relayait l’appel du roi Abdallah. «Certains groupes suspects sont actifs à l’étranger et tentent de perturber la sécurité, de semer la sédition et d’agresser culturellement les jeunes Saoudiens», a estimé Mitab Ben Abdallah Ben Abdelaziz.
Mardi, le grand mufti de l’Arabie Saoudite, Abdelaziz Ben Abdallah Ben Mohammed Al Sheikh, s’est exprimé sur l’organisation terroriste Daesh en particulier et de toute forme d’organisation similaire en général. Considérant que ce n’est qu’une extension des «khaouaridj qui ont fait couler le sang des musulmans», appelant le royaume à «l’union», et de «ne pas s’ouvrir à l’importation de ce genre de système».
Le mufti saoudien a rappelé les valeurs musulmanes qui sont totalement détruites, selon lui, à travers ces organisations terroristes, qui justifient leur présence au nom d’un djihad infondé, mais affirme que le vrai djihad serait de combattre ce genre de groupes. L’Arabie Saoudite nous a habitués à des prêches bien plus incendiaires, encourageant d’habitude plus l’adhésion au combat en Syrie et en Irak au nom de la guerre sainte.
Dislocation
Le changement de direction de l’avancée de Daesh vers le Sud peut s’expliquer par les revers subis en 2013 en Syrie, explique Richard Labévière, journaliste, expert de la région. La question qui se pose est : «Pourquoi des pays comme l’Arabie Saoudite en auraient-ils peur ?» «Quelqu’un comme Al Baghdadi, qui ne veut plus instaurer un Etat islamique dans une région précise mais veut instituer le califat sur l’ensemble de la Péninsule arabe, effraie beaucoup l’Arabie Saoudite», explique Richard Labévière qui ajoute : «Il y a aussi un processus de succession au trône très lent en Arabie Saoudite que l’EI peut très bien utiliser comme argument pour lui faciliter l’intrusion.»
L’Arabie Saoudite, affirme l’ancien rédacteur en chef de RFI, «souffre d’une incohérence totale dans sa politique. Elle finance le djihad mais désire que ses fractions djihadistes restent loin de ses frontières, sans réellement s’attarder sur le possible détournement de ces organisations par des puissances encore plus généreuses».
Mais une invasion du royaume wahhabite ne peut se faire aussi «facilement» qu’en Irak. Car, en comparaison avec l’Irak, «l’Arabie Saoudite jouit d’une stabilité économique et une relative unité ethnique, et détient cette force médiatique qui a fait avant la propagande de Daesh en Irak et en Syrie, ce qui amoindrira tout d’un coup la force d’évolution du califat, sans oublier Washington qui veille derrière à ses intérêts pétroliers», explique Labévière. Daesh arrive sur les limbes de la guerre en Irak, et s’est endurci en pleine guerre syrienne.
Cette fraction, selon beaucoup d’analystes, créée et manipulée par plusieurs pays, aurait pour but de nourrir leurs intérêts. Si l’Arabie se fait évincer de ce groupe, une éventuelle dislocation du royaume est possible, pour laisser place à la propagation du califat ; d’ailleurs, toute la région est menacée vu que même les Emirats arabes unis, dans un effet boomerang, ont promulgué une loi antiterroriste extrêmement sévère.
Tarik Larbi
Bon, à part cela et pour finir, Obama me fait mourir de rire en parlant du nouveau califat du levant en Irak et Syrie et Liban (pour l'instant).
Les services américains ont crée un monstre qui, comme d'habitude, leur échappe et se révèle être un fou sanguinaire.
Alors, ils envisagent d'intervenir en Syrie contre l'EI.
En Irak, ils s'entendent avec les iraniens pour leur laisser de l'espace pour intervenir contre le califat et maintenant, ils vont devenir les alliés objectifs de Assad, le tyran.
C'est à n'y plus rien comprendre.
(source : le Monde
Bien le bonjour chez vous.
René.
Les services américains ont crée un monstre qui, comme d'habitude, leur échappe et se révèle être un fou sanguinaire.
Alors, ils envisagent d'intervenir en Syrie contre l'EI.
En Irak, ils s'entendent avec les iraniens pour leur laisser de l'espace pour intervenir contre le califat et maintenant, ils vont devenir les alliés objectifs de Assad, le tyran.
C'est à n'y plus rien comprendre.
(source : le Monde
Les Etats-Unis envisagent « d'agir » contre l'Etat islamique en Syrie en cas de menace
Le Monde.fr avec AFP | • Mis à jour le
En cas de menace contre l'Amérique, les Etats-Unis sont prêts. Le Wall Street Journal indique samedi 23 août que la Maison Blanche étudie sérieusement le lancement de frappes militaires contre les djihadistes de l'Etat islamistes (EI) enSyrie, en sus des frappes déjà initiées contre ses positions en Irak.
Mettant en garde contre les dangers de l'EI, le Pentagone considère que des opérations en Syrie pourraient être nécessaires, après que les frappes aériennes des dernières semaines ont freiné la progression du groupe militant sunnite en Irak et alors que l'Occident est sous le choc de l'exécution sommaire du journaliste américain James Foley.
UNE « SÉRIE D'OPTIONS »
Vendredi, la Maison Blanche avait également déclaré que des frappes pourraient être nécessaires face à un groupe alliant « idéologie et sophistication militaire » et étant « incroyablement bien financé ». Cité par le quotidien, le conseiller adjoint à la sécurité nationale du président américain, Ben Rhodes, a prévenu :
« Si nous voyons une menace pour les Etats-Unis provenant de n'importe où, nous sommes prêts à prendre des mesures.Nous l'avons répété plusieurs fois : si vous vous en prenez à des Américains, nous irons vous chercher où que voussoyez, et c'est ce qui va guider notre planification dans les jours à venir. »
Des frappes en Syrie, où les djihadistes sont formés et sont les plus forts, modifieraient l'approche prudente adoptée par l'administration Obama dans le conflit syrien, et le président américain envisagerait – parmi une « série d'options »– de demander l'autorisation du Congrès pour les initier. Ce mandat du Congrès pourrait s'appuyer sur ceux délivrés en 2001 contre Al-Qaida et en 2002 contre l'Irak, qui avait permis l'usage « illimité » de la force à leur encontre, confie un responsable américain au Washington Post.
PRÊTS « ENTRE UNE HEURE À UNE SEMAINE »
Selon lui, la préparation de frappes contre des « objectifs très importants », comme des personnalités du mouvement, pourrait prendre entre « une heure à une semaine ». « Concernant des camps d'entraînement, nous pourrions le fairetrès bientôt », a-t-il précisé.
Lire (édition abonnés) : Barack Obama en quête de stratégie face à la menace djihadiste
Après avoir instauré un califat fin juin, l'Etat islamique a depuis ajouté une bande dans le nord de l'Irak au territoire qu'il détenait dans l'est de la Syrie. Face à cette avancée, le président Barack Obama avait lancé une campagne de raids aériens pour aider les forces kurdes et irakiennes à combattre les djihadistes dans le nord du pays.
Le bilan de la guerre civile en Syrie, qui fait rage depuis plus de trois ans, a doublé en un an pour dépasser le seuil de 191 000 morts, selon l'ONU."
Bien le bonjour chez vous.
René.