(blog à finir et à corriger)
Bon, parfois, le gouvernement américain me fait mourir de rire lorsqu'il défend ses multinationales alors qu'en réalité se sont ces multinationales et la finance qui dirige le gouvernement américain. Ces multinationales visent le maximum de profits, désormais, souvent contre l'intérêt du citoyen américain. De fait, Obama, n'est qu'une marionnette que ces gens-là actionnent sous couvert de discours pour défendre l'intérêt des américains, de la liberté, entendez "mondialisation ou gouvernement mondial à leur solde" (discours de bush junior) ou même de la "démocratie" qu'ils ont enterré avec la complicité des différents présidents depuis Nixon.
De toute façon, les présidents américains qui se sont opposés à la finance ont été assassinés à travers l'histoire des Etats-Unis.
Mais, passons, "RIONS !"
(source : Actu Environnement)
Le malathion est un insecticide et un neurotoxique. Un composé dit « organophosphoré » dont l'utilisation est interdite en Europe depuis 2007 et en France depuis 2008. Pourtant, par le biais d'une dérogation, la préfecture et le conseil général (chargé des opérations de démoustication) ont reçu le 5 août l'autorisation d'en faire usage dans le département. Ce, pendant une durée de 180 jours, dans le but de lutter contre la propagation du virus du chikungunya, qui a touché 1528 personnes en Guyane selon l'Agence régionale de Santé.
Une décision devenue effective depuis la parution hier au Journal officiel de l'arrêté signé par le ministère de l'Écologie, du Développement durable et de l'Énergie ainsi que celui des Affaires sociales et de la Santé. Pour justifier de cette dérogation (inscrite à l'article 55, paragraphe 1 du règlement de l'Union européenne), sollicitée par le préfet depuis le 21 février, il est fait état de la résistance des moustiques au produit actuellement utilisé en Guyane, la deltaméthrine. Une décision approuvée par l'Agence nationale de sécurité sanitaire et de l'alimentation ainsi que par le Haut conseil de la santé publique. Un consensus des plus surprenants, compte tenu de la haute toxicité du malathion.
« ÇA TUE TOUT! »
Une dérogation a également été accordée pour Tahiti et la Nouvelle-Calédonie. À Nouméa, l'usage du malathion suscite de nombreuses réactions d'hostilité au sein de la population.
Et, un conseil pour la santé :
(source : Améliore ta santé)
vvvvv
Bon, parfois, le gouvernement américain me fait mourir de rire lorsqu'il défend ses multinationales alors qu'en réalité se sont ces multinationales et la finance qui dirige le gouvernement américain. Ces multinationales visent le maximum de profits, désormais, souvent contre l'intérêt du citoyen américain. De fait, Obama, n'est qu'une marionnette que ces gens-là actionnent sous couvert de discours pour défendre l'intérêt des américains, de la liberté, entendez "mondialisation ou gouvernement mondial à leur solde" (discours de bush junior) ou même de la "démocratie" qu'ils ont enterré avec la complicité des différents présidents depuis Nixon.
De toute façon, les présidents américains qui se sont opposés à la finance ont été assassinés à travers l'histoire des Etats-Unis.
Mais, passons, "RIONS !"
(source : Actu Environnement)
Terres rares : les restrictions imposées par la Chine sont contraires aux règles de l'OMC
Saisie en 2012 par les Etats-Unis, l'Union européenne et le Japon, l'Organisation mondiale du commerce confirme que les mesures prises par la Chine pour limiter les exportations de terres rares ne sont pas conformes aux règles du libre-échange.
L'organe d'appel de l'Organisation mondiale du commerce (OMC), saisi par la Chine, a confirmé le 7 août les conclusions présentées par le groupe spécial en mars 2014 : les restrictions à l'exportation imposées par la Chine sur certaines terres rares, le tungstène et le molybdène, sont contraires aux règles de l'OMC.
Selon lui, les droits d'exportation et les contingents fixés par la Chine ne sont justifiés ni au regard de la protection de l'environnement, ni par l'application d'une politique de conservation, puisque la Chine ne s'applique pas elle-même ces limitations. "Un membre de l'OMC peut décider du niveau ou du rythme d'utilisation de ses ressources, mais une fois que les matières premières sont extraites, elles sont soumises aux règles commerciales de l'OMC", explique la Commission européenne. Pour rappel, la Chine représente 90% de la production mondiale de terres rares.
Les rapports de l'organe d'appel devraient être adoptés sous trente jours par l'organe de règlement des différends de l'OMC. Ensuite, "la Chine devra se conformer à la décision immédiatement ou dans le délai raisonnable qu'elle peut solliciter pour la mise en œuvre".
Des délocalisations pour bénéficier des prix bas du marché chinois
"C'est un signal fort, qui montre que des restrictions des exportations ne peuvent pas être utilisées pour protéger ou favoriser une industrie nationale au détriment de ses concurrents étrangers. Je compte maintenant sur la Chine pour aligner rapidement son régime d'exportation sur les règles internationales, comme elle l'a fait pour d'autres matières premières en vertu d'une décision précédente de l'OMC", a déclaré le commissaire européen au Commerce, Karel De Gucht.
L'Union européenne, les Etats-Unis et le Japon sont à l'origine, en 2012, de la procédure devant l'OMC. Les restrictions chinoises "désavantagent nettement les industries étrangères en gonflant artificiellement les prix à l'exportation de la Chine et en faisant monter les prix mondiaux", rappelle la Commission européenne. Parallèlement, "ces restrictions abaissent aussi de manière artificielle les prix des matières premières sur le marché chinois en augmentant l'offre au niveau national. L'industrie chinoise bénéficie donc d'un avantage concurrentiel, poussant les producteurs étrangers à transférer leurs activités et technologies en Chine".
La Commission rappelle que les terres rares représentent plus de 50% du coût des composants d'une éolienne et de 50 à 60% pour un affichage à cristaux liquides.
Les terres rares concernées par cette procédure sont utilisées dans de nombreux domaines. Ainsi, le tungstène, produit à 90% par la Chine, est utilisé dans l'électronique, l'éclairage, l'industrie automobile et aérospatiale, les technologies médicales... Le molybdène est notamment utilisé pour la fabrication des filaments des ampoules et dans l'industrie sidérurgique. La Chine extrait 36% du molybdène produit dans le monde.
Selon lui, les droits d'exportation et les contingents fixés par la Chine ne sont justifiés ni au regard de la protection de l'environnement, ni par l'application d'une politique de conservation, puisque la Chine ne s'applique pas elle-même ces limitations. "Un membre de l'OMC peut décider du niveau ou du rythme d'utilisation de ses ressources, mais une fois que les matières premières sont extraites, elles sont soumises aux règles commerciales de l'OMC", explique la Commission européenne. Pour rappel, la Chine représente 90% de la production mondiale de terres rares.
Les rapports de l'organe d'appel devraient être adoptés sous trente jours par l'organe de règlement des différends de l'OMC. Ensuite, "la Chine devra se conformer à la décision immédiatement ou dans le délai raisonnable qu'elle peut solliciter pour la mise en œuvre".
Des délocalisations pour bénéficier des prix bas du marché chinois
"C'est un signal fort, qui montre que des restrictions des exportations ne peuvent pas être utilisées pour protéger ou favoriser une industrie nationale au détriment de ses concurrents étrangers. Je compte maintenant sur la Chine pour aligner rapidement son régime d'exportation sur les règles internationales, comme elle l'a fait pour d'autres matières premières en vertu d'une décision précédente de l'OMC", a déclaré le commissaire européen au Commerce, Karel De Gucht.
L'Union européenne, les Etats-Unis et le Japon sont à l'origine, en 2012, de la procédure devant l'OMC. Les restrictions chinoises "désavantagent nettement les industries étrangères en gonflant artificiellement les prix à l'exportation de la Chine et en faisant monter les prix mondiaux", rappelle la Commission européenne. Parallèlement, "ces restrictions abaissent aussi de manière artificielle les prix des matières premières sur le marché chinois en augmentant l'offre au niveau national. L'industrie chinoise bénéficie donc d'un avantage concurrentiel, poussant les producteurs étrangers à transférer leurs activités et technologies en Chine".
La Commission rappelle que les terres rares représentent plus de 50% du coût des composants d'une éolienne et de 50 à 60% pour un affichage à cristaux liquides.
Les terres rares concernées par cette procédure sont utilisées dans de nombreux domaines. Ainsi, le tungstène, produit à 90% par la Chine, est utilisé dans l'électronique, l'éclairage, l'industrie automobile et aérospatiale, les technologies médicales... Le molybdène est notamment utilisé pour la fabrication des filaments des ampoules et dans l'industrie sidérurgique. La Chine extrait 36% du molybdène produit dans le monde.
Sophie Fabrégat
Et, de la même journaliste, sur le même site, dans la rubrique, "Sur le front des ogm", les experts de l'Europe restent collés comme des sanguses aux intérêts des multinationales.
Et, de la même journaliste, sur le même site, dans la rubrique, "Sur le front des ogm", les experts de l'Europe restent collés comme des sanguses aux intérêts des multinationales.
MON 810 : l'Efsa rejette une nouvelle fois le moratoire français
Une nouvelle fois, l'Autorité européenne de sécurité des aliments rejette la clause de sauvegarde française sur le maïs GM, prise au regard de risques environnementaux. Mais d'ici peu, les Etats pourront s'appuyer sur d'autres motifs.
"Sur la base de la documentation présentée par la France, il n'y a aucune preuve scientifique spécifique, en termes de risque pour la santé humaine et animale ou pour l'environnement, qui appuierait l'adoption d'une mesure d'urgence sur la culture du maïs MON 810 en vertu de l'article 34 du règlement (CE) 1829/2003" : Sans surprise, l'Autorité européenne de sécurité des aliments (Efsa) estime, dans un avis publié le 1er août, que la clause de sauvegarde, prise par la France en mars dernier à l'encontre du maïs MON810, n'est pas justifiée. C'est la troisième fois depuis 2008 que l'Efsa, saisie par la Commission européenne, rejette les arguments scientifiques avancés par la France pour mettre en place un moratoire sur le MON810.
"Les publications scientifiques citées dans la documentation fournie par la France ne présentent pas d'intérêt pour le maïs MON 810, et les arguments avancés par la France ne révèlent pas de nouvelle information susceptible d'invalider les conclusions de l'évaluation des risques et les recommandations de gestion des risques faites par l'Efsa", estime l'autorité.
Pour justifier la mise en place de cette clause de sauvegarde, le gouvernement français avait avancé "un risque de dommage grave et irréversible pour l'environnement". La France s'est appuyée notamment sur deux avis de l'Efsa, publiés en 2011 et 2012, qui mettaient en avant le développement de résistances chez les insectes ravageurs et la mortalité de populations de papillons sensibles. Pour juguler ces risques, l'Efsa préconisait toutefois la mise en place de mesures de gestion et un renforcement de la surveillance.
La saison des semis est passée
Parallèlement à la procédure d'information de la Commission européenne, le gouvernement a publié, mi-mars au Journal officiel, un arrêté visant à empêcher la commercialisation, l'utilisation et la culture des 232 variétés de semences du maïs MON 810 actuellement inscrites au catalogue commun des variétés des espèces agricoles. L'objectif étant d'empêcher en urgence les semis, qui ont lieu entre mars et juin.
Saisi en référé par l'Association générale des producteurs de maïs (AGPM) et deux exploitants agricoles, la SARL Le Trouilh et l'EARL de Candelon, le Conseil d'Etat a refusé, en mai, de suspendre cet arrêté, estimant que le texte ne portait pas une atteinte grave et immédiate à la situation économique des requérants et de la filière. Le Conseil d'Etat doit désormais se prononcer selon la procédure de droit commun. A deux reprises, il a annulé les arrêtés français instituant des clauses de sauvegarde.
Mais fort de cette décision, le gouvernement a ordonné la destruction de plusieurs hectares de MON810 en Haute-Garonne, dans le Tarn-et-Garonne et le Gers, semés par plusieurs exploitants, dont les deux requérants devant le Conseil d'Etat.
Vers une révision de la réglementation européenne
Désormais, ces scénarios à rebondissements ne devraient plus avoir lieu. En juin dernier, le Conseil européen est parvenu à un accord très attendu : la révision de la directive 2001/18/CE qui doit donner aux Etats membres la possibilité de restreindre ou d'interdire sur leur territoire la culture d'OGM pour des motifs environnementaux, mais aussi socio-économiques, éthiques...
Concrètement, l'Union européenne conservera les compétences pour tout ce qui relève de l'évaluation et de l'autorisation des OGM. En revanche, un Etat membre pourra, en passant par l'intermédiaire de la Commission européenne, demander à l'entreprise d'exclure tout ou partie de son territoire de sa demande d'autorisation de culture. Fin juillet, le Conseil a entériné cet accord. Il devrait être examiné par le Parlement européen à l'automne.
"Les publications scientifiques citées dans la documentation fournie par la France ne présentent pas d'intérêt pour le maïs MON 810, et les arguments avancés par la France ne révèlent pas de nouvelle information susceptible d'invalider les conclusions de l'évaluation des risques et les recommandations de gestion des risques faites par l'Efsa", estime l'autorité.
Pour justifier la mise en place de cette clause de sauvegarde, le gouvernement français avait avancé "un risque de dommage grave et irréversible pour l'environnement". La France s'est appuyée notamment sur deux avis de l'Efsa, publiés en 2011 et 2012, qui mettaient en avant le développement de résistances chez les insectes ravageurs et la mortalité de populations de papillons sensibles. Pour juguler ces risques, l'Efsa préconisait toutefois la mise en place de mesures de gestion et un renforcement de la surveillance.
La saison des semis est passée
Parallèlement à la procédure d'information de la Commission européenne, le gouvernement a publié, mi-mars au Journal officiel, un arrêté visant à empêcher la commercialisation, l'utilisation et la culture des 232 variétés de semences du maïs MON 810 actuellement inscrites au catalogue commun des variétés des espèces agricoles. L'objectif étant d'empêcher en urgence les semis, qui ont lieu entre mars et juin.
Saisi en référé par l'Association générale des producteurs de maïs (AGPM) et deux exploitants agricoles, la SARL Le Trouilh et l'EARL de Candelon, le Conseil d'Etat a refusé, en mai, de suspendre cet arrêté, estimant que le texte ne portait pas une atteinte grave et immédiate à la situation économique des requérants et de la filière. Le Conseil d'Etat doit désormais se prononcer selon la procédure de droit commun. A deux reprises, il a annulé les arrêtés français instituant des clauses de sauvegarde.
Mais fort de cette décision, le gouvernement a ordonné la destruction de plusieurs hectares de MON810 en Haute-Garonne, dans le Tarn-et-Garonne et le Gers, semés par plusieurs exploitants, dont les deux requérants devant le Conseil d'Etat.
Vers une révision de la réglementation européenne
Désormais, ces scénarios à rebondissements ne devraient plus avoir lieu. En juin dernier, le Conseil européen est parvenu à un accord très attendu : la révision de la directive 2001/18/CE qui doit donner aux Etats membres la possibilité de restreindre ou d'interdire sur leur territoire la culture d'OGM pour des motifs environnementaux, mais aussi socio-économiques, éthiques...
Concrètement, l'Union européenne conservera les compétences pour tout ce qui relève de l'évaluation et de l'autorisation des OGM. En revanche, un Etat membre pourra, en passant par l'intermédiaire de la Commission européenne, demander à l'entreprise d'exclure tout ou partie de son territoire de sa demande d'autorisation de culture. Fin juillet, le Conseil a entériné cet accord. Il devrait être examiné par le Parlement européen à l'automne.
Avis aux accros à la plus célèbre pâte à tartiner : il est encore temps de vous ruer au supermarché pour faire des stocks ! En raison de conditions météorologiques désastreuses, la Turquie, premier producteur de noisettes – 70 % des récoltes mondiales – est touchée par une importante pénurie, rapporte Le Parisien, reprenant une information diffusée par plusieurs médias anglo-saxons.
Le prix des noisettes ayant déjà augmenté de plus de 60 % cette année, celui du Nutella, mais aussi du Kinder ou des Ferrero Rocher risque, par ricochet, d'en pâtir. Le cours de la tonne de noisettes a littéralement explosé, passant de 6 500 dollars en février à 10 500 dollars aujourd'hui, note le Guardian.
La faute à une météo qui n'en finit pas de désespérer les producteurs : en mars, des épisodes de gel et de grêle dans le nord de la Turquie, près de la mer Noire – là où sont cultivées les noisettes –, ont frappé plus des deux tiers des fleurs de noisetier. Conséquence : seules 540 000 tonnes du petit fruit à coque devraient être vendues cette année, contre 800 000 tonnes en temps normal, soit un déficit de 260 000 tonnes.
Un pot de Nutella contenant une cinquantaine de noisettes, la compagnie Ferrero achète, à elle seule, un quart des noisettes produites dans le monde pour confectionner ses célèbres sucreries, selon l'Agence italienne pour le commerce. Si les Français – premiers consommateurs de Nutella, selon le site Ferrero – sont d'ores et déjà inquiets, le groupe, lui, n'a pas encore fait de commentaires.
Triste sort pour une douceur créée au lendemain de la seconde guerre mondiale – elle s'appelait alors "Supercrema" en italien – et qui devait sa recette à base de noisettes justement à une autre pénurie, celle des fèves de cacao, alors rares et chères, rappelle Le Parisien.
Ah, les malheureux, les pauvres gamins obèses qui vont être obligés de maigrir et peut-être mieux apprécier la vie. Mais, passons, parce que le gouvernement français qui tente de nous faire croire avec sa nouvelle ministre de l'écologie qu'il a une oreille pour les écologistes et les simples citoyens qui en ont marre qu'on leur bousille leur environnement prouve dans ses actes qu'il nous ment.......comme d'habitude.
(source : idem)
Une dérogation a été donnée à la Guyane pour faire usage du malathion, un insecticide hautement toxique interdit en Europe depuis 2007, afin de lutter contre le chikungunya. Problème : le degré de nuisance du produit, qualifié de « mortel » par des scientifiques.
Le malathion est un insecticide et un neurotoxique. Un composé dit « organophosphoré » dont l'utilisation est interdite en Europe depuis 2007 et en France depuis 2008. Pourtant, par le biais d'une dérogation, la préfecture et le conseil général (chargé des opérations de démoustication) ont reçu le 5 août l'autorisation d'en faire usage dans le département. Ce, pendant une durée de 180 jours, dans le but de lutter contre la propagation du virus du chikungunya, qui a touché 1528 personnes en Guyane selon l'Agence régionale de Santé.
LES AUTORITÉS APPROUVENT
Une décision devenue effective depuis la parution hier au Journal officiel de l'arrêté signé par le ministère de l'Écologie, du Développement durable et de l'Énergie ainsi que celui des Affaires sociales et de la Santé. Pour justifier de cette dérogation (inscrite à l'article 55, paragraphe 1 du règlement de l'Union européenne), sollicitée par le préfet depuis le 21 février, il est fait état de la résistance des moustiques au produit actuellement utilisé en Guyane, la deltaméthrine. Une décision approuvée par l'Agence nationale de sécurité sanitaire et de l'alimentation ainsi que par le Haut conseil de la santé publique. Un consensus des plus surprenants, compte tenu de la haute toxicité du malathion.
« ÇA TUE TOUT! »
Christophe Duplais, chimiste du Centre national de la recherche scientifique, s'insurge contre cette mesure. « Il s'agit d'une molécule qui va se dégrader en quelque chose d'encore plus nuisible, affirme-t-il. Ça tue tout. » De fait, le malathion pulvérisé se décompose en une autre substance nommée le malaoxon et considérée comme étant 60 fois plus nuisible.
« Le problème est que les pulvérisations se font depuis la route, sur 5 à 10 mètres, poursuit le scientifique. Plus loin, on ne trouve que des traces du produit. Elles ne suffisent pas à tuer le moustique mais constituent des doses homéopathiques qui favorisent la résistance. Par ailleurs, pulvériser, ça veut dire que le produit va dans les jardins, les fruits, les légumes. » De plus, le malathion s'attaque aussi aux insectes dits « utiles » , comme les abeilles. Sur les zones aquatiques, il s'avère nocif pour les populations d'amphibiens.
« Des gens prennent des décisions et choisissent d'utiliser un produit mortel et toxique sans consulter ni les scientifiques ni la population, peste Christophe Duplais. Quel niveau de risque doit-on atteindre pour se protéger contre le chik ? »
Une dérogation a également été accordée pour Tahiti et la Nouvelle-Calédonie. À Nouméa, l'usage du malathion suscite de nombreuses réactions d'hostilité au sein de la population.
Et, oui, tout cela ressemble de plus en plus, de la part de nos élus à du "grand n'importe quoi". Pourtant, ils tentent encore et encore de nous faire croire qu'ils sont capables de diriger le pays, alors qu'aucun d'eux ne parlent avec sincérité. Tous à faire des alliances pour conserver leur pouvoir qu'ils utilisent sciemment et souvent ayant été corrompus contre notre intérêt. Regardons simplement la manière dont ils nous font croire qu'ils nous protègent des dérives criminelles des banquiers tout en les protégeant dans la réalité. Les lois ou règlementations contre les dérives des banques qu'ils nous surinent à longueur de temps n'ont aucun impact parce qu'ils se sont arrangés pour les voter comme cela. Reprenons l'exemple de la Russie. Depuis que l'URSS a disparu, la Russie est l'allié naturelle de l'Europe. N'a-t-elle pas assez donné de preuve de sa sincérité en redonnant la liberté à tous ces états d'Europe de l'est et d'Asie, non ? Cela aurait pu se passer d'une manière sanglante, genre massacre de fin d'Empire, cela n'a pas été. Ce sont les Obama qui parle d'impérialisme russe, il ferait bien de regarder le leur qui a laissé, aussi, une trace dans l'histoire du monde et qui continue d'ailleurs. Alors, au lieu de traiter les russes, faisant comme le général Degaulle, parlons d'une Europe de l'Atlantique à l'Oural. Et, arrêtons des sanctions qui punirons les citoyens européens, mais, certainement pas les citoyens américains.
(source : Ria novosti)
Grèce: les fermiers distribuent leurs fruits gratuitement
Dossier: Riposte russe aux sanctions de l’Occident
12:17 22/08/2014
MOSCOU, 22 août - RIA Novosti
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Multimédia
Les dizaines de tonnes de fruits grecs frappés par l'embargo russe sont distribués gratuitement dans les rues, écrit vendredi le quotidien Rossiïskaïa gazeta.
Les premiers bénéficiaires des pêches et des nectarines gratuites sont les organisations caritatives qui travaillent avec des personnes démunies.
Comme l'a déclaré le ministère grec de l'Agriculture, les fruits invendus suite aux contre-mesures de rétorsion adoptées par la Russie face à l'UE seront également donnés aux individus touchant de bas revenus.
Les fermiers ont déjà approuvé toute action leur permettant de se débarrasser des excédents de marchandise et d'éviter que continue la chute des prix. Ils ont également proposé de distribuer des pêches et des nectarines dans les écoles. De plus, il est prévu d'utiliser une partie des 55 000 tonnes de fruits en souffrance dans les entrepôts à travers la Grèce pour fabriquer du jus.
Toutefois, il n'est question pour l'instant que des marchandises qui prévues à l'exportation. Après l'interdiction d'importer en Russie des produits agricoles de l'UE, plus de 3 000 camions de fruits ont dû revenir en Grèce. On ignore ce qu'on fera avec les pêches non cueillies et les récoltes à venir de kiwis: après tout, il n'y a pas de marché d'écoulement alternatif en Europe pour une telle quantité de fruits.
Au final, victimes de la politique de sanctions de Bruxelles contre Moscou, les fermiers grecs ont déclaré avoir l'intention d'obtenir une indemnisation intégrale des pertes subies. Selon les seules estimations préliminaires, la Grèce a déjà perdu jusqu'à 180 millions de dollars et il n'est pas encore possible de calculer les pertes à long terme. Selon le député grec Gavriil Avramidis, l'indemnisation des pertes par l'UE ne pourrait pas sauver, de toute façon, les agriculteurs grecs. "La décision annoncée par Bruxelles d'allouer 125 millions d'euros à titre de compensation pour tous les producteurs agricoles européens est insuffisante. Les seuls producteurs de pêches en Grèce auront besoin d'une aide financière de 40 millions d'euros. Compte tenu de la perte éventuelle à long terme du marché russe, les indemnisations ne seront d'aucune aide", a expliqué le député.
Selon l'agence Bloomberg, la sortie définitive de la Grèce de sa plus longue récession économique, prévue pour fin 2014, est remise en question à cause de la "guerre de sanctions" entre la Russie et l'Union européenne. D'après l'agence, la Russie est le plus grand partenaire commercial de la Grèce, et les échanges bilatéraux avaient atteint l'an dernier 9,3 milliards d'euros.
Les analystes de la banque néerlandaise ING ont calculé que les mesures de rétorsion adoptées par la Russie contre les agriculteurs européens coûteraient aux fournisseurs européens 6,3 milliards d'euros et entraîneraient 130 000 chômeurs supplémentaires. Les plus grandes pertes financières – 1,3 milliard d'euros – seront subies par l'Allemagne. La Pologne perdra 23 000 emplois. La Lituanie connaîtra une baisse de 0,4% de son PIB, 0,35% pour l'Estonie et 0,2% pour la Lettonie."
Et, un conseil pour la santé :
(source : Améliore ta santé)
Des fruits excellents pour combattre la gastrite
La gastrite peut avoir différentes origines mais un mode de vie inadéquat en est cependant la cause la plus habituelle. Si certains symptômes se présentent comme des vomissements, des douleurs lombaires, des gonflements abdominaux ou une fatigue chronique, allez consulter un médecin pour qu’il vous prescrive des médicaments et bien entendu, pour qu’il vous fasse aussi quelques recommandations.
Aujourd’hui, nous voulons vous recommander quelques fruits qui peuvent vous faire beaucoup de bien et vous éviter d’avoir ces douloureux maux d’estomac ; tous ces fruits contiennent une quantité remarquable de nutriments et de fibres.
1. La poire
Grâce à sa richesse en vitamines B1, B2 et B3, en vitamines A et C et en fibres, la poire fait partie des fruits les plus recommandables pour combattre les problèmes de gastrite puisqu’elle se charge de réguler le système nerveux et le système digestif.
2. La papaye
C’est l’un des fruits les plus intéressants pour son contenu envitamines B1, B2, A et C, et pour sa richesse en minéraux comme lemagnésium, le fer, le souffre et le potassium. C’est également l’un des fruits qui facilitent le plus la digestion et de surcroît, elle est salutaire pour la peau, les cheveux et les os et favorise le bon fonctionnement du système immunitaire.
Vous pouvez couper une tranche de papaye en morceaux et la passer quelques minutes au mixeur avec un pot de yaourt écrémé ; buvez-en un verre après le petit-déjeuner, le déjeuner et le dîner, c’est un délice !
3. La banane
C’est l’un des fruits le plus riches en fibres, mais pauvre en graisses et en protéines. Elle donne de l’énergie et elle facilite la digestion tout en ayant un léger effet laxatif ;de plus, grâce au zinc qu’elle contient, elle sert à fortifier lescheveux et à éviter leur chute.
Si vous souffrez de gastrite, essayez de consommer les bananes lorsqu’elles sont mûres, car elles peuvent porter préjudice à votre estomac si vous les consommez trop vertes.
4. La noix de coco
Elle contient de grandes quantités de magnésium, de phosphore, de calcium et de potassium, et des nutriments tels que des fibres qui améliorent le transit intestinal et ainsi, à l’instar de la banane, elle agit comme un laxatif doux et sert à dépurer l’organisme.
Si vous avez souvent l’estomac lourd, nous vous recommandons de boire chaque jour un verre d’eau de coco.
5. La pêche
Ce fruit exquis et sucré a beaucoup de propriétés avantageuses pour la santé ; elle est diurétique et laxative, elle contient également des vitmaines A, C et E qui permettent de prévenir des maladies comme alzheimer, la cataracte et le cancer.
Elle est riche en minéraux tels que le potassium, le phosphore et le magnésium qui favorisent le bon fonctionnement du système immunologique. La pêche étant facile à digérer, elle stimule le foie lors du processus digestif.
Si vous souhaitez préparer une boisson qui soulage la gastrite, en voici la recette. Au travail !
Ingrédients
- 2 cuillerées de feuilles de pêche
- 1 tasse d’eau bouillante
- Touillez les feuilles pendant quelques minutes dans l’eau bouillante, laissez refroidir et buvez-en une tasse deux ou trois fois par jour.
6. La pomme
Grâce à la pectine qu’elle contient, la pomme, au contact de l’eau, forme dans notre intestin un gel protecteur. Si vous souffrez non pas de constipation mais de diarrhée (car les deux possibilités existent lorsque l’on souffre de gastrite), ce fruit a pour fonction d’absorber les liquides et de permettre aux selles de se durcir.
Comme vous pouvez le constater, ces fruits peuvent être très bienfaisants et utiles pour combattre les troubles occasionnés par la gastrite. Il est recommandable de ne pas se limiter à manger une seule pomme par jour, aussi vous pouvez varier les préparations pour en consommer davantage, et découvrir des recettes qui vous incitent à manger une plus grande quantité de fruits et ainsi améliorer votre qualité de vie.
Et vous, quels fruits consommez-vous habituellement ?
vvvvv
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