(Tant que le peuple américain ne comprend pas que la FED, société privée, est l'organisme principal de leur oppression, rien ne changera. note de rené)
La dette américaine a autant augmenté au cours des 5 dernières années que pendant les 221 années précédentes
La dernière crise financière a débuté en septembre 2019, lorsque le système bancaire américain a été soumis à de fortes pressions et que la Fed a injecté d’importantes liquidités dans un système au bord de la faillite. Depuis lors, la dette totale des États-Unis a augmenté de 21 000 milliards $.
Il a fallu 221 ans aux États-Unis pour passer d’une dette nulle en 1776 à 21 000 milliards $ en 1997 alors qu’au cours des quatre dernières années, la dette a augmenté de 21 000 milliards $.
Certains diront que ce n’est pas le même argent qu’il y a 200 ans.
Non, bien sûr. Car chaque gouvernement détruit la valeur de sa monnaie en créant des montants illimités à partir de rien, au détriment des épargnants et des retraités.
Le graphique ci-dessous illustre l’explosion de la dette au cours de ma vie professionnelle. Elle est passée de 1 500 milliards $ en 1969 à 95 000 milliards $ aujourd’hui, soit une incroyable multiplication par 63.Pour se faire élire, les dirigeants doivent promettre monts et merveilles. Une fois au pouvoir, ils se rendent compte qu’il n’y a aucune chance de maintenir la prospérité sans acheter des votes par le biais de déficits chroniques et de l’impression de monnaie. C’est pourquoi, depuis 1930, il n’y a eu qu’une poignée d’années au cours desquelles la dette fédérale américaine n’a pas augmenté.
Mais la dette totale des États-Unis, qui s’élève à 95 000 milliards $, ne représente qu’une partie du passif total. À cela il faut ajouter les passifs non capitalisés de la sécurité sociale et de Medicare, qui s’élèvent à 150 000 milliards $. Il y a ensuite les produits dérivés bruts au sein du système bancaire et du système bancaire parallèle, qui représentent probablement 2 à 2,5 quadrillions $. Il s’agit d’une forme de crédit qui peut facilement exploser en cas de défaillance des contreparties.
Source: or.fr
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