La mégère climatique
Nord de la France, région Picardie.
9 heures 10, 17°C, ciel couvert, soleil faiblard, pas de chemtrails, pas de vent, température fraîche nécessitant une petite laine dehors. Pour l'instant le mois de juillet est plutôt de tendance automnale.
10 heures 45, 21°C, ciel recouvert d'une brume à travers laquelle le soleil apparaît. Pas une brume nuageuses, plutôt une brume composée de traînées de chemtrails massives qui plaque comme un revêtement dans le ciel et cache le soleil. Et cela me fait penser à ce que dit la commission européenne et biden aux States lorsqu'ils affirment qu'il faille cacher le soleil pour éviter le réchauffement climatique, du coup, ll fait frais en plein été, alors je ne vous dis pas en hiver, cela va être glacial. A mon avis, ils ont commencé leur programme, programme, je le rappelle énoncé et parrainé par bill gates. Espérons que ce n'est pas du souffre comme veut le faire bill gates qu'ils balancent dans la haute atmosphère. De toute façon, ce sont des micro-particules chimiques ou minérales comme le baryum très toxiques pour le vivant. Donc, les médias des milliardaires nous chauffent sur le réchauffement pendant qu'ils ont commencé leur opération "cachons le soleil".
12 heures 45, 28°C, l'espèce de brume qui cachait le soleil et le ciel est partie, retour des bons gros nuages de mon enfance, le soleil a fait sa réapparition intermittente, dissimulé de temps en temps par un nuage épais, bien consistant. Une brise incapable de casser une pâle à une éolienne qui elle est capable de casser une patte à un canard sauvage en plein vol. En tout cas, maintenant, je sais ce que signifie "cacher le soleil" de nos abrutis de dirigeants européens.
14 heures O4, 26°C, vent suffisant pour que les éoliennes produisent de l'électricité, ciel gros nuages blancs/gris. Par contre, cela fait quelques jours qu'il n'y a pas de pluie, le sol devient sec et les feuilles de pissenlits se tordent de soif. Ah, là, tout de suite le soleil se cache. Bon, je vais aller dehors finir un autre carré de salades. A part ça, j'ai une petite biche qui passe la nuit allongée sur mes plants de patates. Elle venait avec sa mère et sa soeur ou son frère dormir à côté de la maison, sans doute, les deux ont dû être tué par des chasseurs et elle suit le chemin que sa mère l'a habitué à prendre. On se voit de temps en temps. Cela me rappelle un sanglier, un machin d'au moins 90 kilos, massif, sur lequel je suis tombé nez à nez dans ma cour. Il ne bougeait pas se contentant de me regarder. Je me suis dit qu'il était malade et j'ai continué mon activité. Pendant deux jours, on s'est regardé, lui, toujours sur ses quatre pattes ne bougeant pas d'un pouce ou à peine. Le lendemain, je l'ai trouvé mort sur un tas de foin que j'avais laissé dans un hangar. Il avait une balle qui lui avait traversé le crâne en brisant la mâchoire. J'ai ramené son corps au pied d'un chêne pour que son âme puisse regagner le paradis des sangliers où il n'y pas d'êtres humains. Chez moi, ce n'est pas mon territoire, même si j'ai un papier le prouvant, c'est également le territoire des animaux et on le partage.
19 heures 52, 24°C, ciel bleu nuageux, un chemtrails qui s'effiloche, toute petite brise, j'ai eu deux coups de chaud cet après-midi en travaillant au soleil, mais pas de quoi boire un litre d'eau.
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