jeudi 2 septembre 2021

 note sur l'urgence "à sauver"

L'urgence climatique, l'urgence sanitaire, l'urgence de la lutte contre la pollution, l'urgence de la lutte contre le production de plastique, l'urgence à lutter contre le lobbyisme, l'urgence à........ne pas regarder sous les jupes de filles, bref, il y a urgence à prendre son temps.

Je vous explique donc à quoi se résume une politique d'urgence, "vous n'avez pas le droit de faire ci, vos n'avez pas le droit de faire ça" au nom de la préservation de l'humanité.

On n'en est plus à l'épanouissement de l'être, de l'homme (société de consommation), nous faisons face à une priorité supérieure, la préservation de l'humanité devant laquelle la nôtre, individuelle, doit s'effacer.

Mais si moi, au nom de cette urgence supérieure, je doive renoncer à ma liberté par l'interdit de faire ci, l'interdit de faire ça, jusqu'à en être surveiller dans mes toilettes, qu'en est-il de nos gouvernements, des multinationales, de la finance ?

Nos gouvernements font de grandes déclaration, les multinationales investissent les Ong qui nous dictent les bons comportements à adopter et la finance continue à contrôler les deux entités sans état d'âme.

Bref, les seuls qui sommes sommer de répondre à cette injonction de sauver l'humanité, c'est nous !

Euh, mes frères et mes soeurs, ne trouvez-vous pas qu'il y ait un bug dans cette histoire.

Si il y a vraiment urgence, il me semble que nous devons tous être impliqués, non, ce n'est pas logique ?

Qu'un seul partenaire, en l'occurrence, le maillon le plus faible, doive s'impliquer, cela n'a pas de signification à moins que d'urgence, il n'y ait pas.

A moins que l'objectif de toutes ces urgences soit différent que celui exprimé. D'où ma question, "Et si l'urgence ne servait qu'à nous persuader de leur (gouvernements/multinationales.finance) livret librement nos libertés ?

rené

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