(Que l'agriculture chimique continue d'empoisonner joyeusement. note de rené)
Le groupe Danone se prépare-t-il à la fin de la fertilité des terres ?
Les réflexions du patron de Danone doivent faire débat.
Il y a d’abord cette idée, que la viande c’est mauvais pour la santé ce qui est une ânerie, car la viande c’est indispensable à une bonne santé et nous en avons besoin.
A l’époque féodale les « saigneurs » tuaient sans hésiter les braconniers, nous sommes en train d’y revenir, et la réalité c’est que l’on explique aux gueux, que pour eux la viande ce sera terminé, mais pas pour les riches…
Ensuite, réduire la place de la vraie viande, est évidemment un moyen de rendre la viande d’usine que l’on est désormais capable de produire sans vache attractive.
Il y a d’abord cette idée, que la viande c’est mauvais pour la santé ce qui est une ânerie, car la viande c’est indispensable à une bonne santé et nous en avons besoin.
A l’époque féodale les « saigneurs » tuaient sans hésiter les braconniers, nous sommes en train d’y revenir, et la réalité c’est que l’on explique aux gueux, que pour eux la viande ce sera terminé, mais pas pour les riches…
Ensuite, réduire la place de la vraie viande, est évidemment un moyen de rendre la viande d’usine que l’on est désormais capable de produire sans vache attractive.
Danone et les autres, pour le bien de la planète n’est-ce pas, finiront par nous fabriquer de la viande en éprouvette en cultivant des « cellules » de viande… Bref, charmant. Surtout la marge qu’ils se feront, car tout est question de « pognon », l’environnement et la santé n’étant qu’un prétexte.
Plus grave en revanche, car le patron de Danone, « déplore qu’il y ait des chances que déjà dans une seule génération la terre ne soit plus fertile et nous ne puissions plus en user ». Et oui, à force de pourrir nos terres par des intrants et à force de cultures intensives nous avons brûlé nos terres. Rien ne dit que nous n’approchions pas d’une période de baisse importante et généralisée des rendements agricoles.
Dès lors, les prix s’envoleront avant… que la famine mondiale n’éclate.
Nous découvrirons alors que les faux billets ne se mangent pas.
Charles SANNAT
Plus grave en revanche, car le patron de Danone, « déplore qu’il y ait des chances que déjà dans une seule génération la terre ne soit plus fertile et nous ne puissions plus en user ». Et oui, à force de pourrir nos terres par des intrants et à force de cultures intensives nous avons brûlé nos terres. Rien ne dit que nous n’approchions pas d’une période de baisse importante et généralisée des rendements agricoles.
Dès lors, les prix s’envoleront avant… que la famine mondiale n’éclate.
Nous découvrirons alors que les faux billets ne se mangent pas.
Charles SANNAT
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