300 millions € /an pour les hôpitaux, versus 3 Milliards € la Iere année d’obligation du Gardasil Incroyable mais vrai (France)
Comme l’a prédit Dalbergue[1] : « le Gardasil sera le plus gros scandale sanitaire de tous les temps »
Pour sauver notre système de santé à bout de souffle, nos hôpitaux misérables, les Ehpad qui maltraitent nos aînés, tenter de repeupler de médecins nos Provinces devenues des déserts médicaux, la ministre promet généreusement trois cents millions par an en primes diverses et refuse d’arrêter les suppressions de lits, de revaloriser les salaires ou d’embaucher du personnel médical et paramédical supplémentaire, faute de financement « possible ». Des miettes, que des miettes assorties de mépris, réaction unanime à l’annonce de ce pseudo-sauvetage de notre Titanic en perdition[2].
Pourtant l’argent magique existerait bien ! Question de priorité, les citoyens ou les labos
Ainsi 16 députés[3] [4] en 2018 puis 2019 ont déposé un projet de loi d’obligation vaccinale pour le Gardasil, vaccin anti papillomavirus humain (HPV) qui coûterait, rien qu’en coût des vaccins, 1,9 milliard pendant les deux premières années, puis 180 millions d’euros annuels en vaccination de routine[5] [6]. Ont-ils fait le calcul de leur proposition ?
Le gouvernement parait ainsi se préoccuper davantage de la santé financière des laboratoires pourtant loin d’être malades[7], que de celui de la population ou des personnels médicaux et paramédicaux à bout de souffle[8]. Cela vous ne parait pas crédible, première réaction logique à ces chiffres ! Voici le calcul détaillé ci-dessous. A noter que ce chiffre monstrueux avait déjà été publié par les quinze en droit de réponse à l’appel des cinquante sociétés savantes pour une obligation filles et garçons de mars 2019, (cf. référence 4). Curieusement cette somme fabuleuse n’avait pas attiré l’attention des syndicats médicaux, des journalistes ou même des citoyens. Soumission, quand tu nous tiens.
Démonstration. Si ce projet d’obligation du Gardasil, récurrent et cher à la ministre se réalisait, son coût pour l’assurance-maladie serait effectivement énorme !
Notre calcul repose sur les recommandations de l’appel des 50 [9] qui représente la doxa officielle. Le prix du vaccin Gardasil prescrit en France n’est pas sujet à discussion en 2019 : le Gardasil 9 est à 113 euros la dose soit 339 euros pour trois doses destinées aux adolescents de plus de 14 ans, et 226 euros pour deux doses destinées aux plus jeunes. [10]
De même, tout le monde s’accorde sur le prix moyen de la vaccination en incluant les consultations nécessaires à sa réalisation : prix global unitaire (coût du vaccin plus de la consultation) de la vaccination à deux doses (valable pour les plus jeunes) : 324 euros. Trois doses sont prévues lors des vaccinations de rattrapage pour les adolescents : le coût unitaire d’une vaccination passe alors à 486 euros.
Il y a en France depuis dix ans environ 800 000 naissances annuelles. Une classe d’âge qui arrivera à l’âge de la vaccination représente donc 800000 enfants à vacciner.
Tous les pays qui ont mis en place des programmes de vaccination ont vacciné à la fois une à deux classes d’âge et une vaccination dite de rattrapage destinée aux plus âgées (jusqu’à 18 ans en Grande Bretagne, Suède et Norvège et jusqu’à 26 ans en Australie). En France, les avocats de l’obligation vaccinale Gardasil désirent suivre le même schéma en imposant la vaccination en France pour les jeunes filles de 11 à 14 ans (rattrapages jusqu’à 19 ans révolus et pour les garçons (par équité !).
Autrement dit, la première année d’obligation vaccinale, ils désirent imposer la vaccination à 9 classes d’âge avec des vaccinations à 2 doses pour 4 classes d’âge (les 11,12,13 et 14 ans) et à 3 doses pour 5 classes d’âge (les 15,16,17, 18, et 19 ans).
Un tel schéma nécessite pour la première année un peu plus de 18,4 millions de doses de vaccin pour un seul coût[Dg1] des vaccins d’environ de 2,080 milliards d’euros.
Le coût total des vaccinations (consultations comprises) la première année d’obligation s’élèverait à 1,036 milliard € pour les enfants à 2 doses et 1,944 milliard € pour les vaccinations de rattrapage chez les adolescents, soit trois milliards € au total.
Pour un faux problème de santé publique, nos dirigeants trompent les citoyens et même les médecins, à force de propagande mensongère ! Un vaccin inutile, voire dangereux.
En France le cancer du col de l’utérus entre dans la définition des maladies rares
Depuis la pratique du dépistage par frottis cytologique simple (sans recherche de virus), le cancer invasif du col de l’utérus est devenu une maladie rare en France. Sa mortalité annuelle a été divisé par cinq grâce au dépistage par frottis passant de 5000 à environ 1000 ; il n’est responsable que 1% des cancers féminins et 0,6 % de la mortalité par cancer. Dans notre pays, son incidence (nombre annuel de nouveaux cas pour 100000 femmes) est passée au-dessous du seuil des 6/100000, en faisant une maladie rare d’après les critères de l’OMS.
La politique décide des objectifs prioritaires de santé sans rapport avec la réalité du terrain : Hollande « soigne le cancer du col » dans son renouvellement du plan cancer en 2014
Sous l’influence des lobbys, le président Hollande a déclaré « objectif prioritaire de santé publique » cette vaccination, complétant ainsi la liste de corruption financière des médecins par l’intermédiaire de la « Rémunération sur Objectifs de Santé Publique (ROSP). En effet depuis la ROSP, les médecins qui remplissent les objectifs décrétés prioritaires par le gouvernement, peuvent recevoir de l’Etat une prime allant jusqu’à 10000 € chaque année[11]. Cette corruption financière est contraire au serment d’Hippocrate qui spécifie : « jamais je n’aliénerais l’indépendance de mes décisions. ». Elle montre également que l’intérêt de la vaccination Gardasil est très incertain, car, si ce n’était pas le cas, il n’y aurait aucun besoin d’acheter la complicité des médecins pour la promouvoir (idem pour les dépistages).
Une disproportion totale entre le but affiché et les moyens nécessaires
En France, la mortalité par cancer du col est faible : 1,8/100000. De plus, sur les 1000 femmes qui en meurent chaque année, environ 750 n’ont pas fait de dépistage selon les recommandations en vigueur. Reste 250 femmes à potentiellement sauver.
Dans les conditions idéales d’efficacité supposée du vaccin (100% d’efficacité, durable à vie, absence d’autres souches virales qui remplaceraient les souches éliminées, absence d’autres origines au cancer du col, la vaccination devrait être imposée à 400 000 femmes pour tenter d’en sauver éventuellement 250 dans 20 à 30 ans, période durant laquelle le dépistage et les traitements curatifs auront fait des progrès, réduisant encore le minuscule espoir de bénéfice. Quelle disproportion entre un but infinitésimal et les moyens colossaux mobilisés !
Nos dirigeants sont prêts à dépenser une fortune pour une vaccination de fait expérimentale, aux résultats cancérologiques inquiétants et aux effets secondaires non négligeables.
La vaccination anti HPV n’a jamais démontré qu’elle pouvait diminuer le risque de cancer
L’autorisation de mise sur le marché du Gardasil a été obtenue il y a 13 ans (2006) en utilisant des critères substitutifs allégés[12], sans démontrer le moindre effet préventif sur le cancer invasif, pourtant son indication officielle. Cette vaccination anti HPV, dont on ne connait pas avec certitude le résultat sur la maladie cible, constitue de ce fait un traitement expérimental pouvant exposer à des résultats inattendus chez les populations qui y sont soumises.
Infection n’est pas cancer[13]
La vaccination anti HPV est efficace seulement sur quelques infections, verrues génitales et anomalies cytologiques bénignes. Les conséquences à long terme de son utilisation sont ignorées : la durée de la protection vaccinale n’est pas connue au-delà de 10 ans, alors qu’il faudrait théoriquement entre 20 et 30 ans pour qu’elle ait une chance d’être efficace contre le cancer, en fonction de l’histoire naturelle du cancer du col de l’utérus et les hypothèses des vaccinalistes.
Environ 30 % des cancers du col sont associés à des souches d’HPV autres que ceux du vaccin et l’émergence de ces souches virales sont favorisées par la disparition des souches visées par le vaccin qui crée une niche écologique. Ainsi que le rappelle la notice du Gardasil et la Haute Autorité de Santé, le dépistage des lésions précancéreuses et cancéreuses du col utérin par frottis cervico-vaginaux reste donc nécessaire chez toutes les femmes vaccinées. La foi en l’efficacité anticancer du vaccin, conséquence de publicités trompeuses réitérées, risque pourtant d’inciter les femmes vaccinées à moins suivre les recommandations de dépistage, et donc de favoriser une augmentation de l’incidence et de la mortalité de ces cancers comme cela a été observé en Australie.[14]
AUCUNE RAISON D’IMPOSER L’OBLIGATION D’UN VACCIN DANGEREUX
POUR UN CANCER RARE
ET DONT LE RESULTAT EST PARADOXAL ET INATTENDU SUR LES POPULATIONS LARGEMENT VACCINEES
Les effets secondaires délétères de ce vaccin ont été largement démontrés par de nombreuses publications françaises et étrangères. Citons l’étude de l’AIMSIB[15] fort logiquement dénommée : « pour ne pas dire qu’on ne savait pas ». Les nombreux procès déjà en cours témoignent des drames engendrés par une vaccination trop rapidement imposée aux familles, sans libre consentement éclairé (pourtant légal) du bénéfice-risque et pression forte des institutions via les médecins ou infirmières scolaires, eux-mêmes manipulés par la pensée unique délivrée sur les ondes, la hiérarchie et/ou la sécurité sociale.[16] Le rapport de l’agence du médicament signale tout de même des accidents neurologiques et auto-immuns malgré la volonté ouverte de la ministre de nier tout accident possible des vaccins.
Le cas de Marie-Océane en France est emblématique en raison du drame vécu par cette jeune fille et de son courage ainsi que celui de sa famille pour faire connaître son vécu et le danger camouflé du Gardasil.[17] De nombreux articles sont consacrés aux effets graves du Gardasil [18]. Aux USA environ 50% des indemnisations pour accident vaccinal le sont pour les vaccins anti HPV. Notons qu’en France le fait de rendre obligatoire le vaccin décharge le laboratoire (ici Sanofi) de toute responsabilité pénale et c’est la solidarité nationale (nos impôts) qui réglera les notes, comme c’est le cas par exemple pour la Dépakine actuellement, autre scandale sanitaire.
AUCUNE JUSTIFICATION ACTUELLE POUR LE BUT AFFICHE : DIMINUER LE TAUX DE CANCER DU COL CHEZ LES POPULATIONS VACCINEES.
Malheureusement l’effet paradoxal découvert devrait imposer un moratoire et des études sérieuses et indépendantes pour comprendre. Nous avons consacré de nombreuses tribunes à ce sujet détaillant les résultats par pays en particulier et un livre [19]. Rappelons ici les principaux résultats de ces études.
L’EXAMEN DES REGISTRES DES CANCERS MONTRE QUE LA VACCINATION ANTI HPV EST SUIVIE D’UNE AUGMENTATION DU RISQUE DE CANCER.[20]
Les registres nationaux des cancers, qui prennent en compte l’ensemble de la population, constituent à ce jour l’outil le plus pertinent pour évaluer une politique nationale préventive anticancer.
En Norvège[21], l’incidence des cancers du col de l’utérus chez les filles âgées de 20-24 ans en 2016 (vaccinées à plus de 80%) a augmenté considérablement : entre 2011 et 2015 l’incidence[22] [23] de ce groupe d’âge a été multipliée par 3, passant de 0.84 en 2011 à 2.46 en 2015[24] ! La recherche de la date de changement de tendance évolutive d’incidence permet de dater celle-ci à 2011, soit deux ans après la campagne de vaccination scolaire.
CETTE AUGMENTATION DU TAUX DE CANCER INVASIF EST TRIPLEMENT PARADOXALE :
effet inverse de celui attendu
apparition chez des sujets jeunes habituellement épargnés
dans un délai très rapide contrairement à l’histoire naturelle de ce cancer qui mettait plusieurs décennies à apparaitre.
En Suède [25], dans le même groupe d’âge vacciné à plus de 80%, l’incidence a baissé jusqu’en 2008 (date de mise sur le marché du vaccin) pour augmenter ensuite et se stabiliser au double de la valeur initiale (1.49 pour 100 000 en 2007 contre 3.73 en 2015).
Lorsqu’on compare les évolutions des groupes cibles des vaccinations entre les 3 grands pays scandinaves, on est frappé par la différence des évolutions entre la Suède et la Norvège dont la couverture vaccinale anti HPV dépasse les 80% dans les classes d’âge visées et le Danemark où, depuis la médiatisation des accidents du Gardasil la couverture vaccinale est tombée 10%.
En 2006-2008, avant l’impact du vaccin, la Suède avait une incidence de cancer du col invasif de 1.49 pour 100000, précédait la Norvège (3,28), et le Danemark (3,97) ; en 2014-2016 le Danemark est passé premier du groupe (3,06), devant la Suède (3,73), et la Norvège (4,60). En bref, les cancers du col invasifs augmentent dans les populations vaccinées largement et diminuent au Danemark qui a stoppé la vaccination
En Grande Bretagne[26], d’après Cancer Research UK on observe aussi une augmentation d’incidence des cancers invasifs dans le groupe d’âge le plus vacciné (20-24 ans), 3 ans après le début de la campagne scolaire de vaccination : de 2,7 en 2011 à 4,1 en 2015. Cette augmentation d’incidence des cancers invasifs s’accompagne d’ailleurs d’une augmentation des cancers in situ[27] découverts par le dépistage. L’incidence des cancers in situ, qui baissait continuellement depuis les années 2000 a réaugmenté de 10% après la vaccination, de 81 en 2007 à 89 en 2015. Cette campagne ne s’est pas accompagnée de baisse du dépistage par frottis dans ce pays, ni de modification des pratiques sexuelles.
En Australie[28] où les vaccinations de rattrapage de 2007 ont été pratiquées jusqu’à 26 ans, les groupes analysables les plus vaccinés sont ceux des femmes de 20-24, 25-29 et 30-34 ans en 2014 (derniers chiffres par classes d’âge publiés en octobre 2019). Dans ces trois groupes l’incidence a augmenté de 30% à 100% (différence statistiquement significative p<0 30-34="" ans="" les="" p="" pour="">0>
Cette augmentation du risque de cancer invasif s’accompagne, d’après le rapport 2019 sur dépistage en Australie, d’une augmentation significative des anomalies cytologiques CN3 chez les australiennes de plus de 25 ans, dont les 25-35 ans ont pourtant été largement vaccinées en rattrapage.
La comparaison des évolutions des incidences standardisées monde de cancer invasif du col de l’utérus sur les populations globales de l’ère du Gardasil permet d’évaluer l’intérêt de la vaccination sur le cancer.
Tous les pays qui vaccinent largement ont vu l’incidence du cancer invasif du col augmenter depuis la vaccination : + 15% en Norvège (8.96 en 2007 vs 10.33 en 2016), + 45% en Suède (de 7.29 en 2007 à 10.6 en 2016), + 3% en Grande Bretagne (de 9.1 en 2007 à 9.4 en 2017) et en Australie (de 6.9 en 2007 à 7,2 en 2019) alors qu’en France l’incidence a continué à baisser, comme au Danemark ( -10% de 9.92 en 2007 à 8.89 en 2016) peu vacciné depuis la médiatisation des accidents neurologiques des vaccins dans ce pays.
Un vaccin au prix exorbitant, la vraie raison de l’obligation ?
Le prix de cette vaccination[29] dix fois plus chère que les autres et dont l’obligation assurerait un gain de deux milliards aux laboratoires dès la première année sème le doute sur le caractère « philanthropique » de la démarche gouvernementale. A chacun d’y réfléchir.
[3] Le 27 juin 2018 Les députés suivant ont déposé la proposition de loi N° 1118 visant à rendre obligatoire la vaccination anti HPV : Laure de LA RAUDIÈRE, Agnès FIRMIN LE BODO, Pierre MOREL-À-L’HUISSIER, Vincent LEDOUX, Antoine HERTH, Charles de COURSON, Christophe NAEGELEN, Meyer HABIB. Rappelez-vous-en lorsqu’ils se représenteront aux élections !
[4] Le 2 juillet 2019 les députés suivants ont déposé la proposition de loi N° 2093 visant à rendre obligatoire la vaccination anti HPV : Pierre MOREL-À-L’HUISSIER, Guy BRICOUT, Paul CHRISTOPHE, Nicole
SANQUER, Antoine HERTH, Francis VERCAMER, Rappelez-vous-en lorsqu’ils se représenteront aux élections !
[5] LES 15. Droit de réponse à l’appel des 50.
[6] In https://drive.google.com/file/d/1GTjDxKHt7o—bSjWvB71bjrn_xzzrKJq/view note f- Les signataires de l’« appel des 50 » évoquent des économies de 500 millions d’euros qui demeurent
purement hypothétiques. En revanche le coût d’une vaccination offerte gratuitement par l’Etat est bien
réel. Au prix actuel du Gardasil 9® hors taxes, soit 113 euros la dose il en coûterait pour vacciner 100%
des garçons et des filles à partir de 11 ans avec un rattrapage jusqu’à 19 ans, deux doses jusqu’à 14 ans
et trois doses à partir de 15 ans selon les recommandations 1,9 milliards pendant les deux premières
années puis 180 millions d’euros annuels en vaccination de routine. Une bonne opération pour Merck,
dont les recettes des ventes mondiales pour le Gardasil® en 2018 dépassent 3 milliards d’euros en
augmentation de 37% par rapport à 2017, mais beaucoup moins bonne pour les finances publiques et
la collectivité. Avril 2019.
Notons l’absence de réaction ne serait-ce que financière à cette gabegie envisagée. Pourquoi une telle soumission ?
[7] La moyenne des bénéfices net des grands laboratoires atteint 20% de leurs chiffres d’affaire, bénéfice reversé aux actionnaires pour plus de 95% alors que le ratio moyen bénéfice net/chiffre d’affaire tourne entre 5 et 10% pour les autres activités légales.
[8] Les médecins sont actuellement avec les agriculteurs et les policiers les professionnels qui se suicident le plus
[10] Deux doses chez les plus jeunes censés ne pas avoir eu de relations sexuelles. Trois doses pour les plus âgés, espérant que la troisième dose compenserait la faible efficacité prouvée chez les sujets ayant eu des relations, ce qui évidemment n’a jamais été prouvé.
[11] https://www.fredericbizard.com/sante-le-mirage-du-paiement-a-la-performance/ Y entrent entre autres le nombre de vaccinations réalisées, mais aussi le dépistage du cancer du sein etc. Tous objectifs décidés d’en haut et non par les médecins de terrain.
[12] Au lieu d’attendre plusieurs décennies pour voir si les taux de cancer diminuent chez les populations vaccinées, les essais ont étudié les résultats sur la diminution des infections à papillomavirus (HPV) dont on sait pourtant qu’elles sont silencieuses et guérissent spontanément dans la grande majorité des cas
[15] https://aimsib.org/2019/04/13/gardasil-9-pour-ne-pas-dire-quon-ne-savait-pas/ leur résumé : « On passe en revue la partie « tolérance » du dossier américain du Gardasil 9. On y découvre des décès inexpliqués, ainsi que des risques significatifs de thyroïdites, sclérose en plaque et diabète de type 1 identifiés dès les essais cliniques et intégrés dans la revue du plan de pharmacovigilance. On met en lumière toutes les manœuvres mises en place par les investigateurs et superviseurs pour fermer les yeux sur la toxicité du produit, même quand l’un d’eux impute des cas de POTS(*) et d’hypersomnie ». POTS = Postural Orthostatic Tachycardia Syndrom ou Syndrome de Tachycardie Orthostatique Postural.
[16] Voir le rapport de l’agence du médicament https://ansm.sante.fr › version › file › RapportvaccinGardasil_version-finale 22 nov. 2011 - Le vaccin HPV tétravalent Gardasil® est commercialisé en France depuis ... Effets indésirables : 1672 cas d'effets indésirables ont été notifiés, ...
[19] Hystérie vaccinale cancer et Gardasil, un paradoxe N et G Delépine Editions Fauves 2018
[21] docteur.nicoledelepine.fr/evolution-de-lincidence-du-cancer-du-col-de-luterus-en-norvege-depuis-la-vaccination-le-programme-de-vaccination-des-filles-a-commence-durant-lannee-scolaire-2009-2010-chi/
[22] Incidence : nouveau nombre de cas annuels pour 100000 femmes
[23] Incidence lissée sur trois ans, c’est-à-dire la moyenne des incidences observées sur trois ans qui constitue le témoin le plus représentatif d’une évolution et qui constitue
[24] Chiffre qui est la moyenne de 2014-2015-2016
[25] docteur.nicoledelepine.fr/evolution-du-risque-de-cancer-du-col-de-luterus-en-suede-depuis-la-vaccination-par-gardasil/
[26] docteur.nicoledelepine.fr/evolution-du-risque-de-cancer-invasif-du-col-de-luterus-en-grande-bretagne-depuis-la-vaccination-par-gardasil/
[27] On entend par cancer in situ une tumeur réellement cancéreuse mais qui n’a pas franchi la barrière de la muqueuse ; ce cancer met quelques années (3 à 5 en cas d’évolution sans traitement) avant de devenir invasif ce qui permet de le dépister et de le traiter avant qu’il ne devienne dangereux. Si le vaccin anti HPV était capable de prévenir les cancers invasifs il devrait auparavant prévenir les cancers in situ alors que les rapports officiels montrent que c’est le contraire qui se produit.
[28] docteur.nicoledelepine.fr/evolution-du-risque-de-cancer-du-col-de-luterus-en-australie-depuis-la-vaccination-par-gardasil-de-2007-a-2014/
[29] Du Gardasil 9 hors taxes, soit 113 euros la dose soit 339 euros la vaccination complète
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire