1. La précédente campagne de dons avait porté ses fruits et nous vous en remercions. Grâce à vous, nous avons mesuré à quel point Réseau International était apprécié. Vous avez été très nombreux à exprimer votre satisfaction de notre travail. Vos dons nous ont permis de faire de larges aménagements, notamment en supprimant les pubs invasives sur les ordinateurs de bureau et en les supprimant totalement sur les mobiles. Le travail de refonte de graphique du site est presque à son terme, mais pour pouvoir le mettre en ligne dans les meilleurs délais, c’est-à-dire dans trois à quatre semaines selon les techniciens, nous avons encore besoin de vous. Un dernier coup de pouce est encore nécessaire pour vous offrir une interface plus ergonomique sans déranger vos habitudes de navigation, et plus encore.
     
     
Il semble que la rencontre de Trump avec Poutine pourrait être plus cordiale que son sommet avec l’OTAN qui l’a précédé
Par Jason Ditz
Le sommet de l’OTAN qui se tiendra la semaine prochaine à Bruxelles sera marqué par une nouvelle vague de pressions de la part des responsables américains, sous la direction du président Trump, pour que les autres membres augmentent leurs dépenses militaires. Le président Trump  a écrit des lettres de  menaces pour les pays en question.
En résumé, les Etats-Unis ne peuvent pas être et ne seront pas  » la tirelire du monde  » pour assurer la défense de tous ces autres pays de l’OTAN qui ne dépensent pas au même niveau que les Etats-Unis.
Ces autres pays ont longtemps résisté à la demande des États-Unis de dépenser jusqu’à 2 % du PIB par an. La résistance devrait se poursuivre, certains pays ayant déjà repoussé le sommet, affirmant qu’ils dépensent déjà à des niveaux avec lesquels ils se sentent à l’aise.
Les options du président Trump sont limitées pour faire pression sur la plupart de ces pays de l’OTAN, qui n’ont pas de véritables ennemis sur leurs frontières et n’ont pas la capacité d’augmenter substantiellement leurs dépenses militaires sans casser leurs budgets.
Le Premier ministre belge Charles Michel, l’un des dirigeants qui subiront des pressions pour augmenter les dépenses, a minimisé la lettre de Trump, affirmant que c’était  » typique  » de ce qui se passe avant les sommets de l’OTAN. C’est probablement le cas, et ni la Belgique ni les autres pays ne sont susceptibles d’accepter de telles augmentations.
Source : Antiwar.com
Traduction : Avic – Réseau International

(L'Europe ne peut le faire que si, elle réduit drastiquement les budgets des aides sociales, de l'enseignement, de la santé encore plus drastiquement, comme aux States. Eh, oui, préparer la guerre contre la Russie coûte cher. note de rené)