UE toxique: La commission européenne a mis la France en demeure de vendre ces barrages hydro-électriques
Et si ces messieurs de la commission européenne voulaient bien aller se faire mettre un peu? Ils oublieraient la France durant quelques minutes! Car suivant cette même commission, la France est en tort, elle tarde à privatiser ses barrages hydro-électriques car bien entendu, au nom de la libre-concurrence sur le marché, il faut tout vendre, tout ce qui est public doit finir un jour où l’autre par être privatisé afin que des entreprises privées et de nombreux actionnaires puissent se faire un maximum d’argent sur le dos des français. De plus, sachant que nos politiciens sont peu enclin au patriotisme et qu’ils acceptent de vendre à tout va même si cela rapporte un maximum, comme ils l’ont fait pour les autoroutes par exemple, nul doute que là aussi, les barrages vont être cédés…
La Commission européenne somme Paris de libéraliser les concessions hydroélectriques. En 2010, François Fillon, alors premier ministre, s’était engagé à le faire. Mais depuis, le dossier est resté bloqué, au grand dam des énergéticiens européens.Il y a tout juste cinq ans, en 2010, en contrepartie du maintien des tarifs réglementés de l’électricité pour les particuliers, François Fillon, alors premier ministre, s’engageait auprès de Bruxelles à ouvrir à la concurrence un certain nombre de concessions hydroélectriques – opérées pour l’essentiel par EDF. Depuis, rien n’a été fait et Bruxelles, excédé, a fini par taper du poing sur la table. Selon nos informations, le gouvernement français vient de recevoir une mise en demeure lui enjoignant à accélérer dans ce dossier. Paris dispose désormais de deux mois pour apporter une réponse, qu’il s’agisse de contester cette procédure ou d’apporter des éléments tangibles permettant de trouver une issue.Certes la loi de transition énergétique votée avant l’été évoque la privatisation des barrages tandis que Ségolène Royal, la ministre de l’Énergie, s’est déjà prononcée en faveur d’un système de sociétés d’économie mixte pour exploiter les concessions concernées mais au regard de Bruxelles, «le texte aussi bien que les intentions restent beaucoup trop flous, souligne un bon connaisseur du dossier. Au cours des semaines qui viennent, les discussions s’annoncent extrêmement serrées.» Selon une source proche du dossier, la Commission européenne serait même encline à demander à EDF de ne pas se porter candidat dans le cadre des appels d’offres qui seraient lancés.Source et suite sur Le Figaro
Ce nouveau coup dur pour la France et ses industries, on le doit à l’accord TISA qui est aussi discret que le TAFTA, cet accord imposant la « libéralisation » aux pays signataires, c’est à dire l’ouverture des marchés en privatisant TOUT ce qui est public, cela implique au final que même les prisons (en cours), les administrations, les écoles, la justice, les aéroports, et bien plus. C’est le TISA dans toute sa splendeur qui a été renforcé grâce à Manuel Valls et son 49.3 en imposant la loi Macron dont personne ne voulait!
Marre de voir ce pays vendu par petits bouts pour au final finir comme la Grèce, et tout cela pour le profit de quelques uns seulement…
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