(blog à finir et à corriger)
Alors, ils y vont, droit dans leur botte en étant sûr qu'ils vont gagner et qu'ils sont destinés à dominer le monde les banquiers de Wall Street ou de la FED, c'est la même.
Et, maintenant qu'il y a des tentatives de se libérer de l'emprise du roi dollars, ils sont d'autant plus pressés de neutraliser la Russie qu'elle est avec la Chine à l'origine de cette remise en question.
Rendez-vous compte, mes chers cinq lecteurs, si, le dollars n'est plus l'argent de référence, fini la planche à billet à fabriquer de la fausse monnaie. Parce que c'est cela que fabrique la FED, de la fausse monnaie sans aucune valeur réelle, mais, qui comme devise de référence permet aux banques américaines dont la Goldman Sachs et aux multinationales américaines de mettre des états à genoux, de les découper et de les revendre morceau par morceau, exactement comme une entreprise à restructurer. Tout cela, adossé à des dettes illégitimes qui n'ont aucune valeur juridique puisque fabriquer à partir de "RIEN !"
En prouvant que les institutions financières ont fabriqué de la dette à partir de rien suffit à la rendre juridiquement nulle.
Débat intéressant à venir, qu'en pensez-vous mes chers cinq lecteurs ?
En attendant, ils continuent de nous empoisonner.
(source : Wikistrike)
Et, quand l'ancien président français avoue avoir foutu la merde en Côte d'Ivoire comme il l'a fait en Lybie avec le résultat que l'on sait.
(source : idem)
Par contre, l'offensive américaines à l'encontre de la Russie est beaucoup plus construite, sanctions qui menace la parité du rouble en prévision l'effondrement économique accentué par la chute du prix du baril de pétrole avec l'isolement de la Russie au niveau mondial.
Sauf que cette offensive menace aussi l'économie des States et cela sera à celui qui s'effondrera le premier.
(source : Tribune de Genève)
Parce qu'aux Etats-Unis, la situation est à gros risque. Future explosion de la bulle gaz de schiste, recul du dollars comme monnaie de référence avec risque d'implosion du système monétaire international, dette abyssale fabriquée en partie par la FED qui vent la monnaie au gouvernement avec intérêt. Bref, dès que ça partira, cela sera incontrôlable !
(source : L'or et l'argent)
En tout cas, si, aux States la consommation stagne et même baisse, ce n'est pas le cas en Russie.
(source : Tribune de Genève)
vv
Alors, ils y vont, droit dans leur botte en étant sûr qu'ils vont gagner et qu'ils sont destinés à dominer le monde les banquiers de Wall Street ou de la FED, c'est la même.
Et, maintenant qu'il y a des tentatives de se libérer de l'emprise du roi dollars, ils sont d'autant plus pressés de neutraliser la Russie qu'elle est avec la Chine à l'origine de cette remise en question.
Rendez-vous compte, mes chers cinq lecteurs, si, le dollars n'est plus l'argent de référence, fini la planche à billet à fabriquer de la fausse monnaie. Parce que c'est cela que fabrique la FED, de la fausse monnaie sans aucune valeur réelle, mais, qui comme devise de référence permet aux banques américaines dont la Goldman Sachs et aux multinationales américaines de mettre des états à genoux, de les découper et de les revendre morceau par morceau, exactement comme une entreprise à restructurer. Tout cela, adossé à des dettes illégitimes qui n'ont aucune valeur juridique puisque fabriquer à partir de "RIEN !"
En prouvant que les institutions financières ont fabriqué de la dette à partir de rien suffit à la rendre juridiquement nulle.
Débat intéressant à venir, qu'en pensez-vous mes chers cinq lecteurs ?
En attendant, ils continuent de nous empoisonner.
(source : Wikistrike)
Plus de 97 % de la nourriture vendue en Europe contient des résidus de pesticides
Mais ces traces n’excèdent pas les valeurs limites légales, selon l’Autorité européenne de sécurité des aliments. Explications.
C’est l’éternelle question du verre à moitié vide ou à moitié plein. Certains se réjouiront qu’à quelques exceptions près, les produits agricoles vendus en Europe respectent les limites maximales de résidus (LMR) édictés par la législation européenne, selon le rapport rendu public par l’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) le 11 décembre. Les autres noteront que seulement 54 % des échantillons analysés ne contiennent absolument aucune trace de pesticides...
78.390 échantillons passés au crible
Au total, les services des 28 Etats membres ainsi que la Norvège et l’Islande, ont passé au crible 78.390 échantillons de plus de 750 produits alimentaires où ont été traqués les molécules de près de 800 pesticides. Les dépassements de LMR les plus importants ont été constatés dans des brocolis, des choux fleurs, des raisins de table, des poivrons et des aubergines. En revanche, les petits pois écossés, l’huile d’olive, le blé et les bananes ont présenté les plus faibles taux de présence. Rien n’a été détecté dans le jus d’orange, le beurre et les œufs. En France, c’est la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes qui fournit les données à l’EFSA. Ses résultats sont proches de ceux constatés dans le reste de l’Europe.
LIMITES MAXIMALES. Les LMR constituent une tolérance pour l’agriculture, les seuils définis par les toxicologues étant en principe bien en dessous des doses létales d’une molécule constatées chez les souris. Ainsi, l’EFSA assure avoir évalué si l’exposition aux résidus de pesticides perdurant dans la nourriture pouvait faire courir un risque sanitaire aux consommateurs. Et l’autorité a conclu qu’il était "improbable" que ces traces dans les aliments aient un effet à long terme sur la santé des consommateurs.
L’analyse des mécanismes d’action confirme que les risques sanitaires liés à l’exposition à ces molécules de pesticides doivent être reconsidérés avec attention"
Ces affirmations sont de plus en plus mises en doute. La revue médicale Prescrire de décembre revient ainsi sur l'expertise collective de l’Inserm de 2013 sur les connaissances actuelles en matière d’exposition aux pesticides. Ce rapport présente comme "présomption forte" les liens entre les expositions maternelles pendant la grossesse dans des cadres professionnels, mais aussi au domicile et un risque accru de leucémie. Même niveau de présomption pour une exposition des enfants in utero reliée à la survenue de tumeurs cérébrales et de malformations congénitales. Le rapport montre que des substances actives autorisées en France et en Europe devraient être surveillées car pouvant potentiellement provoquer des affections graves. "L’analyse des mécanismes d’action confirme que les risques sanitaires liés à l’exposition à ces molécules de pesticides doivent être reconsidérés avec attention", soulignent les auteurs du rapport.
Le rapport cite ainsi un insecticide organophosphoré, le chlorpyrifos, des fongicides de la famille des dithiocarbamates, et un herbicide bien connu, le glyphosate (vendu sous le nom de Round-up) suspecté de provoquer des lymphomes non hodgikiniens. Quant aux substances dangereuses interdites en France depuis la fin des années 70, comme les organochlorés, elles persistent dans l’environnement. Depuis leur interdiction, l’exposition des populations à ces polluants organiques persistants se fait principalement par l’ingestion d’aliments et de boissons."
(source : idem)
Les aveux de Sarkozy : « On a sorti Gbagbo, on a installé Ouattara »
« Il y a eu une improvisation sur le Mali et la Centrafrique. Je ne dis pas qu’il ne fallait pas intervenir, mais je n’ai toujours pas compris ce qu’on allait y faire. Le Mali, c’est du désert, des montagnes et des grottes. Quand je vois le soin que j’ai mis à intervenir en Côte d’Ivoire… On a sorti Laurent Gbagbo, on a installé Alassane Ouattara, sans aucune polémique, sans rien». Nicolas Sarkozy a fait cet aveu de taille lors des nombreux rendez-vous secrets qu’il a eus pendant sa retraite politique de deux ans et demi avec Nathalie Schuck et Frédéric Gerschel pour chroniquer le quinquennat de François Hollande. Des confidences que les deux journalistes français ont consignées dans un livre paru, en novembre 2014, aux éditions Flammarion, sous le titre : « Ça reste entre nous, hein ? Deux ans de confidences de Nicolas Sarkozy ». Et qui dévoile, selon l’éditeur, «un Sarkozy brut de décoffrage, sans le filtre de la communication que les Français détectent et abhorrent».
Les vérités d’un aveu
Nicolas Sarkozy avoue avoir installé Alassane Ouattara en renversant le président Laurent Gbagbo, déclaré élu à l’issue de l’élection présidentielle de novembre 2010, et investi comme tel par le Conseil constitutionnel, l’unique juge des élections en Côte d’Ivoire. Gbagbo a été «sorti» pour qu’Alassane Ouattara soit «installé» comme l’affirme Nicolas Sarkozy, à la page 39 du livre.
La première vérité, c’est qu’il s’agit d’un aveu pur et simple de coup d’Etat. La deuxième vérité dévoilée par cet aveu, c’est que Sarkozy reconnaît l’implication de la France dans le drame ivoirien qui a coûté la vie à des milliers d’enfants, de femmes et d’hommes. La troisième vérité, c’est la raison économique qui a motivé, comme l’indique Nicolas Sarkozy, la barbarie de l’armée française en Côte d’Ivoire. Notre pays étant pour la France, une vache à lait. Dès lors, toutes ses ressources naturelles énormes doivent être contrôlées par la France.
Toutes ces vérités contredisent clairement ce que Nicolas Sarkozy avait toujours brandi comme argument au début de son offensive contre le président Gbagbo dans une affaire de contentieux électoral. A savoir que c’était pour « le respect du choix des Ivoiriens exprimé dans les urnes».
Le choix des Ivoiriens n’était pas Ouattara. Gbagbo qui en était sûr avait demandé le recomptage des voix sous la supervision de la communauté internationale pour voir où se trouvait la vérité. Mais cette démarche démocratique et pacifique avait été catégoriquement récusée par Sarkozy qui a usé de la violence militaire pour installer son poulain, Alassane Ouattara, à la tête de la Côte d’Ivoire.
Robert Krassault ciurbaine@yahoo.fr
Sauf que cette offensive menace aussi l'économie des States et cela sera à celui qui s'effondrera le premier.
(source : Tribune de Genève)
RUSSIE
Nouvel effondrement historique du rouble
Mis à jour le 15.12.2014 6 Commentaires
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La chute vertigineuse du rouble, à l'origine d'une flambée des prix, a tourné au krach historique lundi 15 décembre, braquant les projecteurs sur le Kremlin à trois jours d'une intervention très attendue de Vladimir Poutine.
Avec un plongeon de 9,5%, le rouble a connu l'une de ses pires journées depuis la période qui a suivi le placement de la Russie en défaut de paiement en 1998.
«Un test considérable pour le gouvernement»
«Le rouble échappe à tout contrôle», a résumé Chris Weafer, économiste du cabinet Macro Advisory. «Il est en chute libre, pour un seul motif : la peur. (...) Les règles normales de l'économie ne s'appliquent pas et c'est ce qui rend la situation si dangereuse», a-t-il ajouté, interrogé par l'AFP.
«C'est un test considérable pour le gouvernement, ils n'ont pas d'autre choix que de trouver un moyen de mettre fin à cette chute et à restaurer la confiance», a-t-il averti.
La nouvelle chute de la monnaie russe, affaiblie par les sanctions occidentales liées à la crise ukrainienne et la chute des cours du pétrole, signifie qu'elle a perdu depuis le début de l'année 42% de sa valeur face à l'euro et 49% face au dollar. La hausse des prix qui en résulte devrait atteindre 11,5% en un an, selon la banque centrale.
Interventions quotidiennes
Franchissant de nouveaux seuils historiques les uns après les autres, l'euro a grimpé à 78,87 roubles, contre seulement 72,28 roubles la veille, et le dollar à 64,34 roubles contre 58,18 roubles. Dans la foulée, l'indice RTS de la Bourse de Moscou a plongé de 10%.
La banque centrale est pourtant intervenue quasi quotidiennement depuis le début du mois pour soutenir le rouble, dépensant au total 5,9 milliards de dollars, sans succès.
Sa nouvelle politique introduite le mois dernier - intervenir par surprise lorsque la stabilité financière est menacée - était censée punir les spéculateurs en les prenant de court et limiter les sommes dépensées alors que les réserves de changes du pays ont été dilapidées sans résultat depuis un an.
Pression sur Poutine
La Banque de Russie a aussi augmenté son taux directeur à 10,5% jeudi, près du double de son niveau du début de l'année (5,5%) pour juguler le mouvement, au risque d'affecter une économie déjà au bord de la récession avec des crédits plus coûteux.
Lundi, elle a elle-même dressé un tableau cauchemardesque de l'année à venir pour la Russie, avertissant que le produit intérieur brut du pays pourrait chuter de 4,5% à 4,8% si les prix du pétrole se maintenaient autour de 60 dollars le baril, leur niveau actuel.
La pression se renforce donc sur Vladimir Poutine qui donne jeudi sa grande conférence de presse annuelle. Le président russe bénéficie d'une popularité record depuis l'annexion de la Crimée, mais la population se montre de plus en plus pessimiste quant à l'évolution de son niveau de vie."
Parce qu'aux Etats-Unis, la situation est à gros risque. Future explosion de la bulle gaz de schiste, recul du dollars comme monnaie de référence avec risque d'implosion du système monétaire international, dette abyssale fabriquée en partie par la FED qui vent la monnaie au gouvernement avec intérêt. Bref, dès que ça partira, cela sera incontrôlable !
(source : L'or et l'argent)
La vraie dette nationale des Etats-Unis s’élève à plus de 222 mille milliards de dollars …
Il a été déclaré officiellement que la dette nationale des Etats-Unis s’élevait à 17 mille milliards de dollars. Cependant,Lawrence Kotlikoff, professeur d’Economie de l’Université de Boston, déclarait lors d’une entrevue concédée à Russia Today, que la dette était plus proche des 222 mille milliards de dollars.
Il existerait d’énormes dettes et obligations qui n’auraient pas été comptabilisées, ne faisant pas partie officiellement de la dette gouvernementale comme cela est le cas pour le paiement des futures retraites. Il s’agit là d’un sujet important puisque 78 millions des baby-boomers seront bientôt à la retraite et devront percevoir leurs pensions du gouvernement américain. Ceci représente des paiements annuels de quelques 3 mille milliards de dollars. Tant le Congrès que les présidents tout au long de leurs mandats se sont uniquement focalisés sur la dette officielle et n’ont rien publié au sujet de ces ‘factures’.
La véritable dette s’élève à 222 mille milliards de dollars si nous intégrons tous les plans de financement prévus aux programmes du gouvernement fédéral comme la Sécurité Sociale, la couverture médicale … 222 mille milliards de dollars soit le triple du PIB mondial. Ceci signifie que le déficit budgétaire est dix fois plus élevé que le chiffre initialement publié.
Il est certain que le gouvenement américain n’honorera pas toutes ses obligations, c’est une certitude mathématique et économique.
Source : Oroyfinanzas.
Il existerait d’énormes dettes et obligations qui n’auraient pas été comptabilisées, ne faisant pas partie officiellement de la dette gouvernementale comme cela est le cas pour le paiement des futures retraites. Il s’agit là d’un sujet important puisque 78 millions des baby-boomers seront bientôt à la retraite et devront percevoir leurs pensions du gouvernement américain. Ceci représente des paiements annuels de quelques 3 mille milliards de dollars. Tant le Congrès que les présidents tout au long de leurs mandats se sont uniquement focalisés sur la dette officielle et n’ont rien publié au sujet de ces ‘factures’.
La véritable dette s’élève à 222 mille milliards de dollars si nous intégrons tous les plans de financement prévus aux programmes du gouvernement fédéral comme la Sécurité Sociale, la couverture médicale … 222 mille milliards de dollars soit le triple du PIB mondial. Ceci signifie que le déficit budgétaire est dix fois plus élevé que le chiffre initialement publié.
Il est certain que le gouvenement américain n’honorera pas toutes ses obligations, c’est une certitude mathématique et économique.
Source : Oroyfinanzas.
En tout cas, si, aux States la consommation stagne et même baisse, ce n'est pas le cas en Russie.
(source : Tribune de Genève)
POUVOIR D'ACHAT
La chute du rouble pousse les Russes à consommer
Mis à jour le 12.12.2014 3 Commentaires
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A priori la chute de la monnaie, qui a perdu depuis le début de l'année un tiers de sa valeur face à l'euro sur fond de crise ukrainienne et de chute des cours du pétrole, plombe le pouvoir d'achat des ménages, avec une inflation attendue à 10% d'ici à la fin de l'année.
Mais c'est à une ruée parfois spectaculaire vers les centres commerciaux que l'on assiste actuellement. Dernier exemple en date, les magasins Ikea se sont retrouvés ces derniers jours débordés par l'afflux de clientèle dans ses centres commerciaux, avec des files d'attente atteignant plusieurs heures.
A l'origine de cette vague, la chaîne suédoise, dont le chiffre d'affaires en Russie dépasse largement le milliard d'euros, a prévenu début décembre d'une prochaine hausse des prix, conséquence de la dégringolade de la monnaie nationale qui a perdu le tiers de sa valeur face à l'euro depuis le début de l'année sur fond de crise ukrainienne et de baisse des cours du pétrole.
Apple a augmenté les prix de 20%
Après avoir assuré à ses clients inquiets que les étiquettes resteraient conformes au catalogue publié cet été, l'enseigne a expliqué que son activité «ne pouvait pas ne pas dépendre de facteurs extérieurs».
Apple n'a de son côté pas prévenu quand il a augmenté du jour au lendemain fin novembre de plus de 20% en moyenne les prix de ses iPhone, iPad ou MacBook. Certains inconditionnels de la marque californienne s'étaient déjà empressés d'acheter ses produits, devenus soudainement moins chers qu'en Europe.
Les Russes sont en effet rompus aux mécanismes de taux de changes et d'inflation, ayant déjà traversé plusieurs lourdes crises monétaires depuis 25 ans et parfois vu leurs économies partir en fumée.
«Sur ce plan, la Russie se distingue des pays développés, où quand une crise commence les gens se mettent à économiser», observe l'économiste Igor Nikolaïev.
«Chez nous, cela s'accompagne d'une forte dépréciation de la monnaie et les gens se mettent à dépenser plus, ce qui atténue la situation pendant quelque temps», ajoute cet expert, responsable de l'analyse au sein du consultant FBK.
Economies placées dans l'électronique
Un tel comportement est «rationnel: tout le monde comprend très bien que les prix vont changer», juge-t-il.
La chaîne d'électroménagers et électroniques MVideo, confirme avoir enregistré un pic de fréquentation début décembre, en partie parce que les achats pour les fêtes commencent de plus en plus tôt en Russie, mais aussi en raison de la chute du rouble.
«Les acheteurs tentent de profiter de la valeur de leurs économies en roubles et de les placer en électronique», explique Anton Panteleev, porte-parole du distributeur.
Résultat: des téléphones aux télévisions en passant par les machines à laver, les soldes organisés par la chaîne, comme d'autres, fin novembre pour suivre le «Black Friday» américain a été marqué par une forte hausse des ventes, dans un contexte de consommation en berne à cause de la crise actuelle.
Embellie pour le marché automobile
«Les gens se sont empressés d'acheter des produits coûteux comme des télévisions, des tablettes, des ordinateurs portables pour sauver leurs roubles qui perdent radicalement de leur valeur», confirme Maria Vakatova, de la société de conseil Watcom, qui suit la fréquentation des commerces.
Le journal populaire Argumenty i Fakty, à l'image de nombreux médias, conseillait récemment à ses lecteurs d'acheter avant la fin de l'année électronique, automobile, vêtements, produits importés et donc directement touchés, mais aussi des denrées alimentaires non périssables, dont les prix risquent d'augmenter pour les fêtes.
Le marché automobile a également connu une embellie, les ventes des principales marques étrangères vendues en Russie bondissant en novembre. La fédération professionnelle AEB, qui compile les chiffres du marché automobile, a évoqué une demande «extraordinaire» de la part des particuliers.
Pour l'économiste Igor Nikolaïev, ce pic de consommation «va durer encore un mois ou deux, tant qu'il reste des roubles prêts à être dépensés». «Mais ensuite, le plus difficile commence», prévient-il.
Le gouvernement russe prévoit une récession en 2015, comme la Banque mondiale qui a estimé cette semaine que la consommation des ménages devrait diminuer l'an prochain pour la première fois depuis 2009."
vv
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