(blog à finir et à corriger)
Alors, gaz ou pas de schiste, mes chers cinq lecteurs ?
Ils doivent serrer fort les boulons les compagnies pétrolières parce que normalement les coûts sont au niveau des bénéfices artificiels de ce secteur.
Ils doivent soutenir le secteur pétrole-gaz de schiste avec les bénéfices (qui s'écroulent) grâce aux bénéfices du secteur pétrole conventionnels.
Le dommage pour eux, est qu'ils ne peuvent pas renverser le roi d'Arabie Saoudite, fidèle alllié, surtout avec l'état islamique à ses portes.
(source : 360 newsx)
Dette américaine, ça explose.
Les States pourraient la rembourser si, l'état récupérait le droit d'émission de sa propre monnaie. En utilisant la planche à billet il la rembourserait en monnaie de singe aux banques qui leur ont prêté en monnaie de singe ce qui a coulé le pays et menace tous les salaires des fonctionnaires dont l'armée.
Ce qui ne serait qu'un juste retour des choses, une dette sans valeur réelle, rembourser avec du papier sans valeur réelle.
(source : idem)
vv
Alors, gaz ou pas de schiste, mes chers cinq lecteurs ?
Ils doivent serrer fort les boulons les compagnies pétrolières parce que normalement les coûts sont au niveau des bénéfices artificiels de ce secteur.
Ils doivent soutenir le secteur pétrole-gaz de schiste avec les bénéfices (qui s'écroulent) grâce aux bénéfices du secteur pétrole conventionnels.
Le dommage pour eux, est qu'ils ne peuvent pas renverser le roi d'Arabie Saoudite, fidèle alllié, surtout avec l'état islamique à ses portes.
(source : 360 newsx)
Etats-Unis : un gaz de schiste qui fait pschitt
décembre 10th, 2014 | by Mickael - Fondateur de News360x
Aux États-Unis, l’industrie du gaz de schiste pourrait voir son optimisme rapidement douché. Selon uneétude de l’université du Texas, les réserves pourraient s’assécher bien avant que ne le prédit l’EIA.
« Pour le gaz naturel, l’EIA [service de statistiques du département américain à l’énergie] n’a aucun doute: la production continuera à augmenter sans interruption jusqu’en 2040», prévoyait en 2013 son directeur Adam Sieminski. Le virus de l’optimisme a contaminé jusqu’à Barack Obama, selon qui les Etats-Unis «disposent de réserves de gaz naturel qui peuvent durer environ 100 ans », déclarait-il en 2012 dans son discours sur l’état de l’Union.
Pas si vite, tempère le journaliste américain Mason Inman dans un article publié par Nature. Menée par une équipe de géologues, d’ingénieurs pétroliers et d’économistes de l’université du Texas à Austin, une nouvelle analyse met sérieusement en doute ces prévisions.
Défaut majeur des travaux de l’EIA, ils reposent sur une évaluation géographique très grossière, avec une évaluation des réserves par comté. Or ceux-ci, dépassant fréquemment les 1.000 km2, peuvent abriter plusieurs milliers de puits. Les chercheurs texans ont quant à eux mené un travail plus fin, avec des mailles de seulement un mile carré (environ 2,5 km2).
« La résolution est une question importante car tout bassin de gaz de schiste possède des points riches, ainsi que de larges zones moins productives. Or les compagnies ciblent d’abord ces « sweet spots », de telle manière que les futurs puits seront bien moins productifs que les actuels. Le modèle de l’EIA repose sur l’idée que les futurs puits seront au moins aussi productifs que ceux du passé dans un même comté», explique Mason Inman.
Une baisse rapide après 2020
Selon l’EIA, les quatre principaux bassins américains de gaz de schiste (Marcellus, Barnett, Fayetteville, Haynesville- devraient voir leur production augmenter jusqu’en 2020, puis connaître un plateau. Ils seraient alors relayés par d’autres bassins, ce qui expliquerait une production américaine en hausse jusqu’en 2040.
Or pour les chercheurs texans, la production des 4 bassins va certes augmenter jusqu’en 2020, mais rapidement décroître après cela, en raison de l’épuisement des points les plus intéressants. Une fois sortie de leur parenthèse Shale Boom, « les États-Unis vont connaître un réveil difficile », estime Tad Patzek, qui dirige le département du pétrole et d’ingénierie des géosystèmes à l’université du Texas.
Les prix du gaz repartiront rapidement à la hausse, avec le risque que le pays se retrouve avec plus de véhicules et d’usines fonctionnant au gaz qu’il ne peut en alimenter. Ce qui, à terme, pourrait avoir des effets déplorables sur l’économie américaine.
Avant même d’avoir connu leur Shale Boom, d’autres pays commencent à douter de leurs chances. Mi-novembre, le conseil des académies des sciences européennes (EASAC) mettait en doute le potentiel du Vieux continent en la matière. Et plusieurs pays pourtant bien dotés, dont la Chine, le Mexique et l’Afrique du Sud, pourraient avoir bien du mal à l’extraire, faute de ressources suffisantes en eau.
Source : Journal de l’environnement
Dette américaine, ça explose.
Les States pourraient la rembourser si, l'état récupérait le droit d'émission de sa propre monnaie. En utilisant la planche à billet il la rembourserait en monnaie de singe aux banques qui leur ont prêté en monnaie de singe ce qui a coulé le pays et menace tous les salaires des fonctionnaires dont l'armée.
Ce qui ne serait qu'un juste retour des choses, une dette sans valeur réelle, rembourser avec du papier sans valeur réelle.
(source : idem)
La dette du gouvernement américain dépasse les 18 000 milliards de dollars
décembre 12th, 2014 | by Mickael - Fondateur de News360x
Depuis le 9 décembre, les dettes publiques du gouvernement américain ont franchi la barre des 18 000 milliards de dollars. Depuis le début de l’année fiscale en cours, le 1er octobre 2014, elles ont augmenté chaque jour en moyenne de 2,08 milliards de dollars.
Ainsi, chaque foyer américain détient une dette publique de 124 275 $. À fin 2008, on n’en était encore qu’à 81 984 $, soit une augmentation de 50 % en quelques années. Cela sans compter les dettes privées, comme par exemple les crédits hypothécaires, les crédits automobiles, les prêts étudiants, les encours cartes de crédit, etc. Les négociations autour du nouveau plafond légal de la dette commenceront en mars 2015.
Comme le montre le graphique ci-dessus, une étroite corrélation a existé jusqu’au début de 2013 entre le prix de l’or (ligne jaune), la dette publique des États-Unis (ligne rouge) et le plafond de la dette statutaire (ligne noire). La corrélation s’explique par le manque de confiance des acteurs du marché quant à la stabilité du système financier lorsque les dettes publiques sont en hausse.
Mi-2013, cette méfiance s’était dissipée avec l’espoir que la crise financière allait être surmontée. La politique de taux d’intérêt zéro et les QE avaient, alors, aveuglé les acteurs du marché qui se sont mis à croire en la toute-puissance des banques centrales. On voit maintenant que « toujours plus d’argent » n’est en aucun cas un remède efficace sans réformes budgétaires et sociales et que la méfiance d’antan était tout à fait justifiée. Pas seulement dans la zone euro, mais également aux États-Unis où le surendettement est pire encore.
En cette fin d’année 2014, il est clair que la crise du surendettement aux États-Unis est loin d’être surmontée. Une dette publique qui atteindra 22 000 milliards de dollars d’ici fin 2015 et qui montera jusqu’à 30 000 milliards jusqu’en 2020 devrait faire renaître la méfiance vis-à-vis de la stabilité du système financier et, par conséquent, pousser vers le haut le prix des métaux précieux. La ZIRP ne peut pas être éternelle. Il n’est pas difficile de calculer la date à laquelle le budget des États-Unis va être alourdi par 1 000 milliards de dollars d’intérêts à payer chaque année.
Conclusion
Même si la FED ne fera débuter sa lente et prudente normalisation des taux qu’à la mi-2015, les obligations à moyen et long terme n’auront pratiquement plus de potentiel. Le problème du surendettement ne disparaîtra pas tout seul, comme par enchantement !
Source : La Chronique Agora
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