dimanche 21 décembre 2014

(blog à finir et à corriger)

Bonne nouvelle pour Fukushima, mes chers cinq lecteurs, mais, j'ai pas bien compris où ils avaient stocké, le contenu qu'ils avaient estrait.

(source : Les Moutons Enragés)

Fukushima: le danger de la piscine du réacteur 4 enfin écarté…

Une petite avancée pour le réacteur n°4 qui menaçait de s’effondrer, quant aux autres, le danger est toujours présent et le problème autrement plus compliqué à résoudre..
fukushima-le-14-mars-10422148rwhei_1713Tokyo – L’un des plus gros dangers à la centrale accidentée de Fukushima est désormais écarté avec le retrait achevé du combustible nucléaire de la piscine du réacteur numéro 4, un bon point pour Tepco dont le calvaire est cependant loin d’être terminé.
C’est une avancée importante, s’est félicité samedi devant la presse le directeur de la centrale, Akira Ono, en s’empressant d’ajouter le travail de démantèlement continue, sachant l’ampleur des tâches titanesques restantes.
Il n’empêche. Le succès de cette opération importante, qui a pris plus d’un an, est une excellente nouvelle et une surprise pour beaucoup qui n’imaginaient pas possible que Tokyo Electric Power (Tepco) mène cette tâche à bien sans au moins un pépin, compte tenu de précédents peu glorieux.
Il y a eu cette fois un très gros travail de préparation, souligne anonymement un expert du secteur selon qui Tepco avait pleinement conscience de l’importance du défi et du danger.
Les dirigeants de la compagnie ont compris que la sûreté était la priorité, déclarait il y a quelques mois à l’AFP l’ex-présidente de l’autorité nucléaire britannique, l’Américaine Barbara Judge, qui conseille Tepco.
Le plan de retrait du combustible usé de la piscine du réacteur 4, la première grande étape dans le démantèlement de la centrale Fukushima Daiichi, en est le premier exemple. Il a été préparé simultanément sur le volet technique opérationnel, et sur celui de la sûreté, précisait-elle.
Quand a commencé cette extraction en novembre 2013, il y avait dans la piscine 1.533 assemblages (deux avaient auparavant été enlevés pour des tests et examens), dont 1.331 usés et 202 neufs.
Il y a quelques semaines, Tepco avait déjà déclaré que les exemplaires usés avaient été extraits, laissant alors seulement des neufs. Tous ont donc désormais été transférés en lieu plus sûr, un autre bassin de désactivation sur le site, à l’écart des réacteurs mis en péril par le tsunami du 11 mars 2011.
– les affres ne sont pas terminées –
En réalisant sans incident l’extraction de ce combustible, Tepco a levé une menace importante: si la piscine avait subi une nouvelle catastrophe (à cause d’un séisme ou d’un tsunami), de nouveaux dégagements massifs de substances radioactives auraient pu se produire à cause de la difficulté (voire l’impossibilité) de refroidir ce combustible.
Pour procéder à l’extraction, Tepco a bâti une nouvelle couverture au-dessus du réacteur numéro 4 et installé un dispositif neuf de manipulation ainsi que procédé à la récupération des détritus tombés dans le bassin.
La même opération de transfert des assemblages un à un vers un caisson immergé pouvant en contenir 22, puis vers l’autre piscine d’entreposage, a été effectuée 71 fois, sans problème notable.
Il n’est jamais arrivé auparavant que de telles tâches soient réalisées dans un environnement accidenté où les techniciens doivent oeuvrer en combinaisons de protection et porter des masques intégraux pour se protéger de la radioactivité.
Il s’agissait en outre de la plus délicate opération depuis la stabilisation du site en décembre 2011, mais c’est cependant loin d’être la dernière ou la plus risquée.
Le combustible usé qui reste encore dans les piscines des réacteurs 1 à 3 devra lui aussi être extrait, des travaux encore plus difficiles, qui ne commenceront pas avant 2015/2016 au plus tôt pour le numéro 3 et 2017/2018 pour les deux autres.
Le coeur du réacteur 4 était vide au moment de l’accident, seule sa piscine contenait du combustible, mais pour les trois autres, le bassin de chacun était rempli de plus de 500 assemblages et leur coeur a été détruit, ce qui va rendre les opérations de nettoyage autrement plus longues et complexes.
La grande inconnue est comment récupérer le combustible fondu de ces coeurs de réacteurs 1 à 3 dont nul ne sait exactement où et dans quel état il se trouve, sans compter tous les problèmes intermédiaires dont celui du traitement de l’eau contaminée stockée dans plus d’un millier de réservoirs sur le site en permanence sous la menace de nouvelle catastrophe.
Tepco estime qu’il faudra au bas-mot 40 ans pour le démantèlement.
Source Romandie.news


Et, concernant la Syrie, il serait que le Pentagone et l'Europe arrête leurs connerie !

(source : idem)

La brigade de rebelles syriens Yarmouk s’est retournée contre les USA et leurs alliés et a rejoint les rangs de l’Etat Islamique [Debkafile]

La milice de rebelles syriens les brigades Al Yarmouk Shuhada, formée et entraînée par des officiers US et des experts de la CIA en Jordanie et soutenue par l’armée israélienne a abandonnée ses sponsors et a rejoint l’Etat Islamique en Irak et en Syrie, selon les sources de Debkafile au sein de l’armée et du contre-terrorisme.
La défection soudaine de cette force anti-Assad de 2000 hommes laisse les défenses de l’armée israélienne sur le Golan ainsi que les déploiements US et jordaniens dans le nord du royaume mais également les conquêtes des rebelles pro-occidentaux dans le sud de la Syrie, en situation très précaire.
Le ralliement des bridages au camp djihadiste radical avait été négocié les deux semaines précédentes par son commandant Mousab Ali Qarfan, aussi connu sous le nom de Mousab Zaytouneh. Il était en contact direct avec le chef d’ISIS Abu Baqr Al-Baghdadi qui, selon nos sources, a récemment relocalisé son quartier général de l’Irark à al-Raqqa au nord de la Syrie.
Contrairement aux islamistes du Sinaï, Ansar Beit al Maqdis, les brigades Yarmouk n’ont pas prêtées allégeance à ISIS. Il s’agit d’une alliance opérationnelle qui constitue un grave péril pour les anciens alliés de la milice.
Pour Israël en particulier, ce nouveau développement comporte trois dangers majeurs :
1 Les brigades de Yarmouk sont positionnées tout le long de la frontière du Golan, du camp des casques bleus près du Kibbutz Ein Zivan au nord, jusqu’à la frontière israélo-jordanienne au sud. Les brigades tiennent 45 des 76 km de la frontière israélo-syrienne. Cela signifie que la majeur partie de la frontière israélienne du Golan avec la Syrie est passée sous le contrôle d’ISIS.
2 La milice contrôle des sections de la frontière entre la Syrie et la Jordanie et certains districts du sud de la Syrie près de la ville de Deraa. La connexion entre la Jordanie et le sud de la Syrie qui servait les intérêts stratégiques américains est maintenant menacé militairement par l’Etat Islamique.
3 Les troupes de l’Etat Islamique se préparent à profiter de leur nouvelle alliance stratégique en menant une offensive à travers les montagnes druzes pour rejoindre la ville de Deraa et établir une jonction de leurs forces avec celles de leur nouvel allié.
Source : Debkafile

Par contre, un effet collatéral, des bombes humaines islamistes, c'est que les désespérés de la crise et des injustices en Europe et aux Etats-Unis vont s'y mettre comme seul moyen de faire entendre leur désespoir ou leur colère.

(source : 7sur7)

Tentative d'attentat à la voiture piégée à Madrid


Par: rédaction
19/12/14 - 09h39  Source: Belga
© epa.
ESPAGNE Un chef d'entreprise désespéré a été arrêté vendredi matin à Madrid après avoir foncé dans le siège du Parti populaire au pouvoir en Espagne à bord de une voiture chargée de deux bombonnes de gaz qui n'ont pas explosé, a annoncé la police.
© afp.
© reuters.
© reuters.
"A 7h00, un homme a écrasé sa voiture contre la façade du siège du Parti populaire à Madrid, rue Genova. Il y avait à bord deux bonbonnes de butane et un engin explosif" qui n'ont pas explosé, a déclaré à l'AFP une porte-parole de la police de Madrid. "Personne n'a été blessé", a-t-elle ajouté. "L'homme était un chef d'entreprise qui avait tout perdu", a-t-elle précisé.

"On peut écarter l'attentat islamiste qui au départ nous avait inquiété", a affirmé le nouveau porte-parole du PP au Congrès des députés Rafael Hernando.

Toutefois, "il est alarmant que quelqu'un puisse attaquer une formation politique comme la mienne ou toute autre", a-t-il ajouté. Le gouvernement de Mariano Rajoy "travaille pour essayer de changer les choses qui ont provoqué la crise et qui ont ruiné de nombreuses personnes", a-t-il ajouté.

Un large périmètre autour du siège du parti a été bouclé par la police dans le centre de la capitale, accroissant les bouchons à l'heure de pointe, ont constaté des journalistes de l'AFP. Une ligne de métro a été interrompue et plusieurs stations ont été fermées."

Ainsi qu'aux Etats-Unis !

(source : Euronews)

Deux policiers assassinés à New York


21/12 05:13 CET

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""la non-violence est la seule façon de lutter pour la justice, Pasteur Al Sharpton, figure des droits civiques""
Les deux hommes ont été attaqués par un homme noir qui les a abattus alors qu’ils se trouvaient dans leur voiture de patrouille à Brooklyn. Leurs collègues, traumatisés leur ont rendu un ultime hommage. La police de New York n’avait pas été endeuillée depuis trois ans.
Leur attaquant a été pris en chasse alors qu’il s’enfuyait à pied, il a mis fin à ses jours sur un quai de métro à proximité.
Le tueur, identifié comme Ismaaiyl Brinsley, avait 28 ans et s‘était vanté sur les médias sociaux de vouloir tuer des policiers, mais sans lien terroriste apparent selon la police new-yorkaise. Brinsley était venu de Baltimore, à 300 km au sud de New York où il avait un peu plus tôt tiré sur sa petite amie la blessant grièvement.
Le maire démocrate de New York Bill de Blasio, dont les relations sont difficiles avec sa police, a lui aussi dénoncé hier soir un “assassinat ressemblant à une exécution et il a appelé la population de New York à faire corps avec sa police”.
Ce drame intervient sur fond de tensions raciales ravivées après l’affaire Eric Garner. Un père de famille noir décédé lors d’une interpellation musclée à Staten Island, un des arrondissements de New York en juillet dernier.
Figure des droits civiques, le pasteur Al Sharpton, s’est dit indigné “dénonçant toute association entre la mort des policiers et l’affaire Garner tout en appelant de nouveau à la non-violence comme la seule façon de lutter pour la justice”.
Le président Barack Obama qui vient de partir en vacances à Hawaï a été informé de la situation selon la Maison Blanche.


Et, oui, mes chers lecteur, si, le simple citoyen s'y met, cela va être la grande java. Parce qu'aucun homme politique, aucun banquier, aucun journaliste ne pourra se protéger et tout ce qui semblera pourri pour le citoyen sera une cible potentielle.
Ils répriment les manifestation, s'arrangent pour neutraliser les oppasitions, maintenant, ils risquent d'avoir n'importe qui passible de passer à l'acte. Et, arrêter, ceux qui offre leur vie pour réussir leur acte, à mon avis, c'est difficile à arréter, surtout aux States où tout le monde possède des armes.



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