(blog à finir et à corriger)
Eh, oui, mes chers cinq lecteurs, l'Ukraine est devenu le Far West de l'occident, on y change même le plomb en or.
(source : Express.be)
Eh, oui, mes chers cinq lecteurs, l'Ukraine est devenu le Far West de l'occident, on y change même le plomb en or.
(source : Express.be)
La banque centrale ukrainienne a acheté 11 kg de plomb pour ... 300 000 euros
En Ukraine, des escrocs sont parvenus à vendre des lingots de plomb à l'agence d'Odessa de la banque centrale, en les présentant comme des lingots d’or, selon la police locale. La banque centrale ukrainienne a payé près de 300 000 euros pour ces lingots qui avaient été teintés à la peinture dorée, croyant acquérir près de 11 kgs d'or, alors que ces barrn’ont aucune valeur.
«Une enquête criminelle a été ouverte et nous sommes en train de mener des investigations pour identifier toutes les personnes impliquées dans ce délit », a déclaré un porte-parole de la police ukrainienne. Le ministère de l'Intérieur d'Odessa État a confirmé l’information.
Une enquête préliminaire semble indiquer que le gang à l'origine de cette escroquerie aurait infiltré la banque en y envoyant l’un de ses membres afin qu'il falsifie les documents nécessaires pour régulariser l'achat des faux lingots d'or. De même, elle aurait révélé que les employés de la banque ne faisaient pas l’objet de vérifications systématiques lors de leurs allées et venues au sein de la banque nationale ukrainienne.
Depuis la découverte de cette tromperie, la banque centrale n’achète plus d’or directement. « Nous ne pouvons pas être sûrs de l'authenticité des stocks », a expliqué Aleksandr Pisaruk, vice président de la Banque nationale ukrainienne.
En outre, l'employé de banque impliqué dans ce vol aurait fui vers la Crimée, la péninsule ukrainienne qui est passée sous contrôle russe. L’enquête correspondante n’a débuté qu’au 18 décembre dernier, alors que les faits allégués ont eu lieu entre août et octobre.
En novembre, on avait appris que la banque centrale ukrainienne avait perdu 12,6 milliards de dollars de réserves d'or, et que son stock ne se montait plus qu’à 120 millions de dollars. Cependant, beaucoup d’incertitudes demeurent et aucune source indépendante ne peut confirmer cette perte potentielle. Cependant, la banque centrale a indiqué que ses réserves d’or et de devises étrangères détenues à l’étranger se montaient à 9,97 milliards de dollars à la fin du mois de novembre."
Pauvre ukrainien, votre révolution, Place Maîdan, vous l'avez eu dans le "cul" depuis le début. On vous a laissé parloter devant les caméras et derrière, on vous a baisé profond. Dites merci à vos oligarques, à Soros, à mosanto avec ses mercenaires black water qui ont aidé à vous tirer dans le tas, à Exxon, à USaid et à la grande Amérique, CIA et les services de l'armée américaine.
Mais, passons et revenons-en à la France où la transparence publique nous amène tout droit à un contrôle orwellien.
(source : Economie matin.fr)
Mais, passons et revenons-en à la France où la transparence publique nous amène tout droit à un contrôle orwellien.
(source : Economie matin.fr)
Exclusif : le montant de vos impôts en accès libre sur Internet pour vos concurrents, adversaires politiques et tous les escrocs #BESTOF
Crédit Photo :
L'information révélée par Toutsurlesimpots.com, qui a soigneusement consulté le Journal Officiel du 8 octobre dernier, fait l'effet d'une bombe. Désormais, un organisme versant des prestations sociales comme la CAF, mais aussi une banque ou même... un bailleur peut accèder à votre avis d'imposition le plus simplement du monde sur Internet. Comment ? En consultant le fichier du SVAIR, le "service de vérification de l'impôt sur le revenu".
Ce service est destiné à lutter contre la fraude aux documents et déjà accessible sur le site desImpots.gouv.fr, mais suscite la polémique. En effet, pour consulter le fichier du SVAIR, il suffit de connaître le numéro fiscal et l'avis de référence de l'impôt, deux informations qui figurent sur la première page... de votre avis d'imposition. L'idée, bien entendu, est de permettre à tout ceux qui demandent déjà ces documents (souvent, une photocopie avec l'original à côté) pour étudier des droits, monter un dossier de crédit, louer un logement, de vérifier que ceux-ci n'ont pas été falsifiés.
L'avis d'imposition en accès libre
Mais le problème soulevé d'ailleurs par CNIL (Commission Nationale Informatique et Libertés), dans un avis du 12 septembre dernier paru au Journal Officiel plus d'un mois après, le 15 octobre, c'est que l'accès de ces données sur Internet n'est pas assez sécurisé. La rédaction d'Economie Matin a procédé au test auprès de deux "Centres des Finances Publiques". Prétendant n'avoir pas reçu "notre" avis d'imposition, nous avons pu obtenir par téléphone le numéro d'identifiant fiscal et le numéro de l'avis en déclinant simplement "notre" identité (en l'occurence, celle de deux collaborateurs d'EconomieMatin.fr). Ce qui veut dire que toute personne mal intentionnée (voisin, adversaire politique, escroc) peut désormais facilement connaître le montant déclaré et les impôts de tout un chacun !
La CNIL s'en étonne sobrement dans son avis "Il s'ensuit que toute personne disposant de ces deux numéros pourra accéder directement à SVAIR" écrit-elle. Rentrant dans le détail technique du service, la CNIL pointe du doigt plus précisément le danger : " les données de connexion font l'objet d'une journalisation se traduisant par la conservation pour chaque connexion des dates, heures et, a priori, de l'adresse IP, la requête effectuée (c'est-à-dire la commande informatique lancée depuis un formulaire vers le serveur quand un usager a fini de remplir le formulaire et clique sur « envoyer » par exemple), le système d'exploitation et le navigateur. Ces données ne permettent donc pas de connaître directement l'auteur des requêtes.
La connexion se fait soit à partir du site www.impots.gouv.fr, soit à partir du site collectivites-locales.gouv.fr, mais,aucune identification n'étant exigée de la part des organismes, toute personne disposant des deux identifiants requis peut effectuer cette consultation."
La connexion se fait soit à partir du site www.impots.gouv.fr, soit à partir du site collectivites-locales.gouv.fr, mais,aucune identification n'étant exigée de la part des organismes, toute personne disposant des deux identifiants requis peut effectuer cette consultation."
Sécurité des données personnelles : La CNIL tire le signal d'alarme
La CNIL s'émeut en plus du fait que le ministère de l'Economie et des Finances n'a pas attendu l'avis de la CNIL pour mettre en ligne le service, "contrevenant ainsi aux dispositions susvisées de la loi n° 78-17 du 6 janvier 1978". Autrement dit, le service devait d'abord être agréé par la CNIL, autorité administrative indépendante, avant de démarrer...
L'histoire ne dit pas si la CNIL saisira la Justice ou pourquoi pas le défenseur des droits, Dominique Baudis, mais en attendant elle insiste sur le fait que "ce type de traitement engendre nécessairement des risques pour la vie privée des contribuables, d'autant plus que l'identification des personnes ayant recours à SVAIR n'est pas assurée"
La CNIL propose que tout ceux qui consultent le service de vérification des avis d'impôt sur le revenu "s'identifient au préalable ou se connectent par l'intermédiaire de leur espace en ligne, ce qui donnerait un sens à la conservation des données de connexion".
Et, pendant ce temps, au Brésil s'annonce la fin de la forêt amazonienne.
(source : Wikistrike)
Brésil: "La tronçonneuse d'or", reine de la déforestation, nommée ministre de l'agriculture
Dilma Rousseff a choisi Katia Abreu, grande propriétaire en Amazonie, pour diriger l'Agriculture au grand dam des écologistes et de Sans Terre.
Après avoir choisi un ministre de l'Économie "orthodoxe" et, à ce titre, très apprécié des marchés, la présidente de gauche Dilma Rousseff, réélue de justesse en octobre, a récidivé : elle a nommé mardi soir à l'Agriculture, Katia Abreu, une représentante du puissant secteur agroalimentaire, au grand dam des écologistes et des Sans Terre. En 2010, Katia Abreu avait remporté le titre ironique de "Tronçonneuse d'or" décerné par Greenpeace et les paysans sans-terre. Les indigènes l'ont baptisée "reine de la déforestation" en Amazonie. Ils l'accusent de privilégier l'expansion de l'agrobusiness au détriment de l'agriculture familiale et de l'environnement.
Katia Abreu, 52 ans, est une grande propriétaire terrienne de l'État amazonien du Tocantins. Sénatrice depuis 2006, elle appartient au parti centriste PMDB, de la coalition gouvernementale, mais a commencé dans la politique à droite. Elle devient la première femme à prendre la tête du ministère de l'Agriculture au Brésil, pour le second mandat de Mme Rousseff qui commence le 1er janvier.
Soutenue par les grands producteurs agricoles, elle a été critiquée par ses sympathisants pour faire partie d'un gouvernement du Parti des travailleurs (PT, gauche, au pouvoir depuis douze ans) qu'elle critiquait vertement. Mais elle s'attire aussi les foudres des mouvements de Sans Terre qui réclament une réforme agraire et voient dans sa nomination une "trahison" de la part de la présidente Rousseff. Ils ont déjà promis une résistance féroce à sa gestion.
La candidate de l'agrobusiness
Le caractère volontaire de Mme Abreu lui a valu la comparaison avec Margaret Thatcher, l'ancienne Premier ministre britannique surnommée la "dame de fer". Elle justifie son soutien au gouvernement de Mme Rousseff en assurant qu'"elle n'accepte ni les exigences de la droite ni celles de la gauche". "Je suis libre et je vis dans une démocratie", a-t-elle posté sur son compte Twitter.
Présidente de la Confédération nationale de l'agriculture (CNA) - poste qu'elle abandonne pour devenir ministre -, elle défend bec et ongles l'agrobusiness qui représente 23,3 % du PIB du Brésil, 7e économie mondiale. Elle rejette l'expropriation de terres non productives à des fins de réforme agraire et soutient les cultures transgéniques. Elle veut que le Brésil détrône les États-Unis comme premier producteur mondial d'aliments. "Nous figurons parmi les dix principales économies de la planète et cela exige, entre autres, des investissements en infrastructures. Nous devons dépasser les vieux modèles qui alimentent l'action prédatrice de groupes idéologiques de gauche et de droite", déclarait-elle récemment à la CNA.
Pour les Indiens qui réclament la délimitation de leurs terres, sa nomination va "à l'encontre des revendications des mouvements sociaux brésiliens". Car Katia Abreu a d'ores et déjà prévenu que si le taux moyen de création de réserves indiennes se maintient, en 2031 il n'y aura plus de surface pour la production agricole.
La présidence en ligne de mire
Mme Abreu a commencé sa trajectoire de leader agricole à la mort de son mari dans un accident d'avion. Elle avait 25 ans et était enceinte de son troisième enfant. Elle a dû prendre les rênes de son énorme propriété terrienne. "Au début, je ne distinguais pas une vache d'un taureau", a-t-elle confié à l'hebdomadaire conservateur Veja. Mais elle ne cache pas ses ambitions : "Disputer la présidence n'est pas un plan, c'est un fait. (...) C'est mon destin", a-t-elle assuré dans un entretien au journal The Guardian, cette année.
"Abreu représente l'importance de l'agrobusiness pour relancer l'économie en berne. Rousseff sera plus pragmatique pour son second gouvernement et renforcera sa relation avec le secteur. Le défi sera de gérer les répercussions négatives de sa nomination avec le PT", explique à l'AFP Rafael Cortes, analyste politique du consultant Tendencias.
En tant que ministre, Mme Abreu devra affronter ses vieux adversaires. "Elle représente le Latifundium (grand propriétaire terrien, NDLR) arriéré qui a la terre comme instrument de pouvoir et de spéculation immobilière, sans aucune préoccupation avec l'environnement", déplore Igor Santos, un dirigeant du Mouvement des travailleurs ruraux sans terre (MST). Selon l'Institut national de statistiques, 43 % des terres agricoles du pays appartiennent à 1 % des propriétaires."
En attendant en France, le gouvernement se montre tel qu'il est réellement, au service des plus nantis.
(source : idem)
(source : idem)
Discrètement, la France supprime la taxe à 75% sur les revenus supérieurs à 1 million d'euros à la fin décembre
En France, la taxation de 75% que le président François Hollande a imposée en 2012 sur les hauts revenus prendra fin comme prévu à la fin de ce mois. La taxe, qui s’appliquait sur les revenus supérieurs à un million d’euros, n’avait été programmée que pour une durée de deux ans, et en octobre dernier, le Premier ministre Manuel Vals, alors en visite en Grande-Bretagne, avait confirmé qu’elle serait supprimée.
Hollande avait évoqué la mise en place d’une « contribution exceptionnelle de solidarité » lors de sa campagne pour la présidence, ce qui avait contribué à son élection. Mais dès l’annonce de sa création, la taxe s’était révélée être une épine dans le pied du chef de l’Etat français.
Beaucoup ont redouté un exode des entreprises, des sportifs et des artistes, et Emmanuel Macron, l’actuel ministre des Finances, qui n’était alors que conseiller à la présidence, avait averti qu’elle ferait de la France une sorte de « Cuba sans le soleil ».
Finalement, l’émigration de masse des super-riches ne s’est pas produite, mais la taxe a été décriée de toutes parts, alors que les recettes qu’elle a apportées ont finalement été très modestes. Selon le ministère des Finances, elle n’aurait rapporté que 260 millions d’euros au cours de la première année, et seulement 160 millions d’euros cette année, des chiffres en ligne avec les prévisions, mais bien trop faibles pour réellement contribuer à la réduction du déficit du pays qui atteignait 84,7 milliards d’euros à la fin du mois d’octobre.
« La réforme a clairement abîmé la réputation de la France et sa compétitivité», explique Jorg Stegemann, directeur de Kennedy Executive, un consultant en ressources humaines basé en France et en Allemagne. Il explique qu’il est devenu plus difficile d’attirer des cadres de stature internationale pour venir travailler en France.
Selon Jean-Philippe Delsol, un avocat fiscaliste auteur de « Pourquoi je vais quitter la France », quelques uns de ses clients ont émigré à l’étranger, notamment au Luxembourg et au Royaume-Uni. Mais dans la plupart des cas, ils ont négocié avec leur employeur pour différer pendant 2 ans le versement de salaires et de primes qui auraient pu faire atteindre le seuil fatidique à leur rémunération.
Il affirme que la taxe a eu un effet dissuasif sur les investissements en France, et qu’elle a renforcé la défiance dans le système fiscal français. « Les gens ont perdu confiance. C'est n'est pas quelque chose qu'on peut regagner du jour au lendemain», dit-il. "
Il serait temps, mes chers lecteurs, que les mouvements et partis dits de gauche arrête de parler de rassembler la gauche pour battre la droite en se mettant à la remorque du parti "socialiste" contre promesses de postes.
Les socialistes sont finis, ils sont dans la poubelle de l'histoire.
Chercher à faire alliance avec eux, c'est se précipiter avec eux dans la poubelle. D'ailleurs, j'espère que les communistes font faire cette erreur, vu qu'ils veulent garder ou obtenir de nouveaux postes et qu'ils vont enfin disparaître.
Non, pas que ce soit anti-communiste, mais, je suis, contre ces apparatchiks nauséabonds.
Mais, passons.
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