(blog à finir et à corriger)
Bon, mes chers cinq lecteurs, il semblerait que l'approche Noël affine les consciences environnementale et sociétale dans la belle province du Québec au Canada concernant le gaz de schiste.
(source : Le Devoir, libre de penser)
Et, je clame au peuple américain, "Putain, réveille-toi, tes soi-disante élites financières, industriels, militaires, en ton nom menace la paix du monde et t'asservisse. Réveille-toi, tout dépend de toi !"
(source : Lu sur Réseau International)
Un exemple d'incohérence du suivisme de l'Europe vi-à-vis des faucons du Pentagone et des fous, non pas d'Allah, mais du veau d'or pris dans sa signification, "Vous êtes tous nos esclaves de notre seule référence déifié qui se nomme, "La domination et le profit est l'expression de mon dieu", de Wall Street.
Ce qui me fait dire en tant que grand exorciste number one, "Nomme-toi devant mon peuple qu'il voit ton vrai visage et sache qui il adore !"
Bon, d'accord, mes chers lecteurs, je pars dans mystique, par contre, il est vrai que la possession de tous les médias, leur permet de cacher leur vrai visage qui autrement conduirait les peuples à la révolte et à la reprise en main de leur destin.
Car, mes chers lecteurs, ça va faire mal au "cul" des européens de dépendre de la Turquie pour leur fourniture énergétique.
(source : Reuters)
Eh, oui, mes chers lecteurs, des leaders corrompus qui vendent leur peuple aux intérêts de la finance et des multinationales américaines et européennes conduisent leur pays à la vasalisation et leur peuple à la misère.
Le peuple des Etats-Unis en ont parle pas, c'est déjà fait depuis reagan.
(source : Vineyard of the saker)
Et, dans la rubrique, "Est-ce possible ?"
(source : World Truth.tv)
Mais, arrêtons de parler d'argent et de domination du monde, les jeunes, eux, continuent à rêver d'un monde meilleur.
(source : Courant Positif)
- See more at: http://www.courantpositif.fr/les-ados-americains-financent-25-000-femmes-entrepreneurs-du-sud-grace-aux-sms/#sthash.Wmj9EsZW.dpuf
Ainsi, que cette autre initiative qui ne plairait en Floride.
(source :
- See more at: http://www.courantpositif.fr/la-bouteille-solaire-souhaite-eclairer-1-million-de-foyers-dici-2015/#sthash.IUlHYxkl.dpuf
Parce qu'en Floride, mes chers lecteurs, l'autonomie énergétique des maisons, c'est.....mort !
Tout pour le PROFIT, c'est la devise du gouverneur de Floride.
(source : Esprit Science Métaphysiques)
Et, en Ukraine, il n'y a presque pas de néo-nazi comme l'affirme le ministre des affaires étrangères français. Mais, l'intolérance y est de mise pour les opposants au gouvernement de Kiev qui s'appuie sur les.....néo-nazis.
(source : Histoireetsociété)
Bon, mes chers cinq lecteurs, il semblerait que l'approche Noël affine les consciences environnementale et sociétale dans la belle province du Québec au Canada concernant le gaz de schiste.
(source : Le Devoir, libre de penser)
Gaz de schiste: pas d’avantages pour le Québec, juge le BAPE
Malgré ce que répète le lobby du gaz de schiste, rien ne prouve que le développement de cette industrie serait avantageux pour le Québec. L’acceptabilité sociale n’est pas non plus au rendez-vous, conclut le rapport du Bureau d’audiences publiques sur l’environnement (BAPE) dans son rapport rendu public lundi matin.
« La commission a constaté qu’il n’était pas démontré que l’exploration et l’exploitation du gaz de schiste dans les basses-terres du Saint-Laurent, avec la technique de fracturation hydraulique, serait avantageuse pour le Québec en raison de l’ampleur des coûts et des externalités potentiels par rapport aux redevances qui seraient perçues par le Québec », souligne ainsi le BAPE.
L’organisme constate également que le cadre législatif actuel n’est absolument pas adapté à l’exploration et à l’exploitation des énergies fossiles. « Si l’industrie devait prendre son essor au Québec, ce ne serait pas avant qu’un encadrement législatif et réglementaire adapté, associant les instances locales et régionales, soit adopté. Son application rigoureuse et transparente devrait répondre aux nombreuses exigences que poseraient l’exploration et l’exploitation du gaz de schiste sur le territoire. »
Le BAPE estime qu’il existe des « lacunes » dans les connaissances des fractures naturelles du sous-sol, ce qui empêche de déterminer s’il serait possible que les nappes phréatiques soient contaminées par l’industrie du gaz de schiste.
Le gouvernement devrait en outre acquérir davantage d’information sur les cours d’eau des basses-terres du Saint-Laurent, qui risquent de subir des pressions importantes en cas de prélèvements d’eau par les gazières pour répondre à leurs besoins.
L’acceptabilité sociale, un prérequis
Point majeur, le BAPE souligne que l’acceptabilité sociale n’est tout simplement pas au rendez-vous. « Le rétablissement du lien de confiance entre les citoyens, l’industrie et les instances gouvernementales est un prérequis incontournable à l’acceptabilité sociale de ces activités sur le territoire », explique l’organisme.
Le ministre des Ressources naturelles et de l’Énergie, Pierre Arcand, a lui-même admis la semaine dernière que l’acceptabilité sociale n’est pas acquise au Québec pour le retour des foreuses des gazières. Au nom du regroupement Vigilance hydrocarbures, Québec solidaire a déposé en novembre, à l’Assemblée nationale, 34 000 formulaires signés par des citoyens de la vallée du Saint-Laurent qui s’opposent à la présence de l’industrie du gaz de schiste. Cela porte à 66 000 le nombre de refus formels dans le sud de la province.
Le mois dernier, le président de l’Association pétrolière et gazière du Québec, Michael Binnion, a toutefois affirmé que les Québécois pourraient se montrer plus ouverts à l’implantation de tours de forage entre Québec et Montréal. « En 2010, les gens ne comprenaient pas les problèmes énergétiques du Québec. Mais maintenant, ils comprennent qu’il y a un problème avec l’approvisionnement en pétrole et l’approvisionnement sécuritaire en gaz », a-t-il fait valoir dans le cadre de l’assemblée annuelle de l’organisation. Peut-être que les Québécois ne sont pas prêts à accepter l’exploitation du gaz de schiste, a-t-il néanmoins ajouté, mais « c’est plus près qu’en 2010 ».
Permis actifs
La plus récente version de la carte présentant les permis d’exploration détenus dans le sud du Québec montre par ailleurs que l’essentiel des permis d’exploration qui étaient en place en 2010 sont toujours actifs.
Un total de 12 entreprises contrôlent des permis couvrant de larges pans de cette vaste région. Les principaux détenteurs sont la québécoise Junex, mais aussi les albertaines Talisman Energy et Molopo Canada. La rive sud du Saint-Laurent est ainsi largement couverte par des permis, essentiellement en Montérégie, dans le Centre-du-Québec et en Estrie. Même chose tout le long de la rive nord, entre Montréal et l’île d’Orléans. La superficie totale couverte dans les basses terres avoisine les 25 000 km2.
Mais tout le développement de cette industrie est stoppé depuis 2010, alors que le gouvernement libéral avait mandaté le BAPE pour étudier cette industrie controversée. Une évaluation environnementale stratégique (EES) menée à la suite de ce premier BAPE a souligné, dans un rapport rendu public en février, de nombreux risques environnementaux liés au gaz de schiste.
Le rapport de l’EES précise ainsi que « toute exploration et exploitation du gaz de schiste au Québec feront augmenter le bilan des gaz à effet de serre ». Cette industrie« pourrait avoir un impact important sur la qualité de l’air à l’échelle locale et à l’échelle régionale dans les sous-régions à haute densité d’implantation ».
L’EES constate aussi que les volumes d’eaux usées à traiter pourraient devenir trop importants pour les capacités de traitement actuelles. Qui plus est, les ouvrages municipaux d’assainissement des eaux « n’ont pas été conçus pour traiter les eaux de reflux ». Selon les scénarios évoqués par l’EES, entre 1000 et 9000 puits de gaz de schiste pourraient être forés sur une période de 10 à 20 ans. Cela signifie un rythme annuel de 349 à 2101 puits."
Et, je clame au peuple américain, "Putain, réveille-toi, tes soi-disante élites financières, industriels, militaires, en ton nom menace la paix du monde et t'asservisse. Réveille-toi, tout dépend de toi !"
(source : Lu sur Réseau International)
La position des États-Unis d’Amérique au Moyen-Orient
Le 27 novembre, le New York Times a titré un article « Conflicting Policies on Syria and Islamic State Erode U.S. Standing in Mideast » (Des politiques contradictoires sur la Syrie et l’État Islamique érodent la position des États-Unis au Moyen-Orient). Mais ce n’est pas nouveau. La position des États-Unis (d’Amérique) au Moyen Orient (et partout dans le monde) est en train de s’éroder depuis presque 50 ans. La réalité est beaucoup plus vaste que le conflit immédiat entre d’un coté les forces anti Assad en Syrie et leurs sympathisants, et le régime d’Obama aux États-Unis, de l’autre.
Le fait est que les États-Unis sont devenues (selon l’expression dérivée de la pratique nautique de quelque époque) un « canon libre », c’est-à-dire une puissance dont les actions sont imprévisibles, incontrôlables et dangereuses pour elle-même et pour les autres. Le résultat est que presque personne n’a confiance en eux, même si de nombreux pays groupes politiques peuvent faire appel à leur assistance de façon spécifique et à court terme.
Comment cela se fait-il qu’une puissance dont l’hégémonie fut indubitable dans le système-monde, et qui continue d’être aujourd’hui la plus forte puissance militaire, est arrivée à cet état lamentable ? Pourquoi l’invective t-on ou du moins lui reproche t–on avec sévérité, non seulement la gauche mondiale mais la droite – y compris les forces qui se situent au centre dans un monde toujours plus polarisé. La décadence des États-Unis n’obéit pas à des erreurs dans sa politique, mais est structurelle – c’est-à-dire, elle n’est pas en réalité sujette à être inversée.
Peut-être est-il utile de retracer les moments successifs de l’érosion de son pouvoir réel. Les États-Unis furent au sommet de leur pouvoir durant la période 1945-1970, quand ils ont imposé leur volonté sur la scène mondiale à raison de 95% du temps et sur 95% des sujets, ce qui constitue ma définition d’une véritable hégémonie. Cette position hégémonique fut soutenue par la collusion de l’Union Soviétique, qui maintenait un arrangement tacite avec les États-Unis sur la division de zones d’influence, où il n’existait pas de menace de confrontation militaire entre les deux pays. C’est ce qu’on a appelé la guerre froide, en insistant sur le terme « froide » et sur la possession d’armement nucléaire comme garantie « d’une destruction mutuellement assurée ».
Le but de la guerre froide n’était pas l’asservissement du supposé ennemi idéologique, mais de maintenir bride courte ses propres satellites. Cet arrangement confortable fut menacé pour la première fois par le manque de volonté des mouvements (dans ce qu’alors on nommait le « Tiers Monde »), qui n’acceptaient pas de subir les aspects négatifs de ce statu quo. Le Parti Communiste Chinois a défié la directive de Staline de parvenir à un arrangement avec le Kuomintang et au lieu de cela, a marché sur Shanghai et a proclamé la République Populaire. Le Viet Minh a défié les accords de Genève et a insisté pour marcher sur Saigon et unifier le pays sous son régime.Le Front de libération nationale algérien a défié la direction du Parti Communiste Français de donner la priorité à la lutte de classes en France et a lancé sa lutte pour l’indépendance. Et les groupes de guerilleros cubains qui ont renversé la dictature de Batista ont forcé l’Union Soviétique à les aider à se défendre contre l’invasion US, après avoir arraché l’étiquette de Parti Communiste au groupe qui avait pactisé avec Batista
L’échec US au Viêt-Nam fut le résultat de l’énorme manne du trésor US, dû à la guerre et l’opposition croissante interne à la guerre de la part des jeunes conscrits des classes moyennes et de leurs familles, qui ont légué une restriction permanente à toute action future militaire US, ce qui est devenu le « Syndrome du Viêt-Nam ».
La révolution-monde de 1968 a été une rébellion mondiale non seulement contre l’hégémonie US, mais aussi contre la collusion soviétique avec les États-Unis. C’était aussi un rejet envers les partis de la vieille gauche (les partis communistes, les social-démocrates, les mouvements de libération nationale) sur la base que, bien qu’arrivés au pouvoir, ils n’avaient pas changé le monde comme ils le promettaient et sont devenus une partie du problème et pas une partie de la solution.
Sous les présidences de Richard Nixon à Bill Clinton (Ronald Reagan compris), les États-Unis ont cherché à diminuer le rythme de leur décadence grâce à une triple politique. Ils ont invité leurs alliés les plus proches à changer leur statut de satellite pour celui d’associé, à condition de ne pas trop s’écarter des politiques US. Ils ont changé le cap de l’économie-monde, passant du développement à la demande d’une production orientée vers les exportations dans le sud global avec les directives néolibérales du Consensus de Washington. Ils ont cherché à freiner la création d’autres puissances nucléaires, au-delà des cinq membres permanents du Conseil de Sécurité, en imposant à tous les autres pays la fin des projets d’armement nucléaire, un traité qui n’a pas été signé et qui a été ignoré par Israël, l’Inde, le Pakistan et l’Afrique du Sud.
Les efforts US ont été en partie un succès. Ils ont freiné le rythme de leur décadence, mais ne l’ont pas inversé. Quand à la fin des années 80, l’Union Soviétique a commencé à s’effondrer, les États-Unis, de fait, se sont inquiétés. Il ne s’agissait pas de gagner la guerre froide, mais de la poursuivre indéfiniment. La conséquence la plus immédiate du collapse de l’Union Soviétique fut l’invasion du Koweït par l’Irak de Saddam Hussein. L’Union Soviétique n’était déjà plus là pour restreindre l’Irak, dans l’intérêt des arrangements entre les États-Unis et l’URSS.
Et bien que les États-Unis aient gagné la guerre du Golfe, ils ont montré une faiblesse ultérieure dans le fait de ne pas avoir pu financer leur propre rôle, mais ont été dépendant, à 90% , de quatre pays : Le Koweït, l’Arabie Saoudite, l’Allemagne et le Japon. La décision du président George H. le W. Bush de ne pas marcher sur Bagdad, mais de se contenter de la restauration de la souveraineté koweïtie, a été sans doute sage, mais le fait que Saddam Hussein se maintienne au pouvoir, a été vu, par plusieurs, comme une humiliation pour les États-Unis d’Amérique.
Le point d’inflexion suivant fut l’arrivée au pouvoir de George W. Bush avec la bande d’interventionnistes néoconservateurs qui l’entouraient. Ce groupe s’est formé suite à l’attaque d’al Qaeda le 11 septembre pour justifier l’invasion de l’Irak en 2003, afin de renverser Saddam Hussein. Les interventionnistes ont vu cela comme une manière de restaurer l’hégémonie US en perte de vitesse dans le système-monde. Mais le coup de feu est parti par la culasse sous deux formes. Pour la première fois, les États-Unis ont perdu un vote au Conseil de Sécurité des Nations Unies et la résistance irakienne à la présence US fut beaucoup plus ample et persistante que cela avait été prévu. En somme, l’invasion a transformé la décadence lente en chute précipitée, ce qui nous amène jusqu’aux efforts du régime d’Obama pour lutter avec cette décadence.
La raison pour laquelle ni le président Obama, ni aucun autre futur président ne seront capables de l’inverser est que les États-Unis ont été obstinés en n’acceptant pas la nouvelle réalité, ni en s’adaptant à elle. Les États-Unis continuent de batailler pour restaurer leur rôle hégémonique. Continuer avec ce travail impossible les pousse à entreprendre les dites « politiques contradictoires » au Moyen-Orient et dans d’autres parties du monde. Comme le canon libre, ils ont bougé constamment d’une position à une autre dans leur tentative de stabiliser le bateau du monde géopolitique. L’opinion publique US se déchire entre la gloire d’être le « leader » et le coût d’essayer de l’être. L’opinion publique tangue constamment.
Aussi d’autres pays et mouvements contemplent ce spectacle, ils ne font pas confiance aux politiques des États-Unis et poursuivent chacun leurs propres priorités. Le problème pour le monde est que les canons libres provoquent la destruction, pour les coupables et pour le reste du monde. Et cela accroit le rôle que joue la peur dans les actions ailleurs, ce qui augmente les dangers pour la survie du monde.
Immanuel Wellerstein para « Fernand Braudel Center » de la Binghamton University
Original : « U.S. Standing in the Middle East ». Commentary No. 390, Dec. 1, 2014
Commentary No. 390. USA, Dec. 1, 2014
Traduit de l’Espagnol pour El Correo de : Estelle et Carlos Debiasi
* Immanuel Wallerstein est un sociologue US. Il travailla en outre comme directeur du centre Fernand Braudel pour l’Étude de l’Économie, des Systèmes historiques et des Civilisations.
Ce qui me fait dire en tant que grand exorciste number one, "Nomme-toi devant mon peuple qu'il voit ton vrai visage et sache qui il adore !"
Bon, d'accord, mes chers lecteurs, je pars dans mystique, par contre, il est vrai que la possession de tous les médias, leur permet de cacher leur vrai visage qui autrement conduirait les peuples à la révolte et à la reprise en main de leur destin.
Car, mes chers lecteurs, ça va faire mal au "cul" des européens de dépendre de la Turquie pour leur fourniture énergétique.
(source : Reuters)
Merkel exhorte la Bulgarie à chercher de nouveaux pourparlers avec Poutine sur South Stream
BERLIN
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(Reuters) - La chancelière allemande Angela Merkel sauvegardés Bulgarie lundi dans sa tentative de chercher de nouvelles négociations avec la Russie sur le gazoduc South Stream après Moscou mis en veilleuse le projet ce mois-ci en faveur d'un lien alternatif via la Turquie.
L'UE, en désaccord avec Moscou sur la crise en Ukraine et désireux de réduire sa dépendance énergétique envers la Russie, avait soulevé des objections à l'oléoduc $ 40000000000 South Stream, qui était de courir sous la mer Noire et entrer dans l'UE via la Bulgarie.
Les critiques du plan ont dit qu'ils croyaient qu'elle violait le droit communautaire, mais certains Etats membres de l'UE ont vu le pipeline, qui contourner l'Ukraine, comme le meilleur moyen de sécuriser leurs propres approvisionnements en gaz et des intérêts économiques et espèrent encore il peut être relancé.
"Nous devons examiner toutes les questions juridiques entourant le projet South Stream, puis les utiliser pour faire avancer les discussions avec la Russie", a déclaré Mme Merkel après des entretiens avec le Premier ministre bulgare Boïko Borissov à Berlin.
De nombreux contrats ont déjà été accepté et il est important pour les deux parties de rester des partenaires fiables, at-elle ajouté.
Borisov a déclaré après avoir rencontré Merkel il était convaincu que les problèmes pourraient être résolus et il espérait recevoir des éclaircissements de Bruxelles sur ses points de vue sur le pipeline.
"Nous pensons que les partenaires russes et bulgares doivent continuer sur une base légale, sinon nous serions violer le contrat, qui a été signé avec la Bulgarie plutôt qu'avec l'UE en tant que partenaire en 2006," at-il dit.
Le président russe Vladimir Poutine a surpris l'Europe avec son annonce lors d'une visite en Turquie le 1er décembre que Moscou a été mise au rebut des South Stream, citant les objections de l'UE que la raison.
Poutine a accusé l'UE de refuser la Bulgarie, fortement dépendante du gaz russe, ses droits souverains et a déclaré que le blocage du projet "est contre les intérêts économiques de l'Europe et est à l'origine des dommages".
D'autres pays qui avaient tout à gagner de South Stream, dont la Serbie et la Hongrie, veulent aussi sauver le projet.
Poutine a déclaré la Russie pourrait plutôt construire un hub gazier à la frontière entre la Turquie et la Grèce pour pomper du gaz à l'Europe du Sud.
Le projet South Stream a été conçu pour fournir 63 milliards de mètres cubes de gaz par an vers l'Europe.
La décision de mettre à l'écart Poutine South Stream et de membre de la Cour non-UE-Turquie vient après les pays occidentaux giflé des sanctions économiques contre la Russie sur ses actions en Ukraine.
La Russie fournit encore environ 30 pour cent des besoins en gaz de l'UE, la moitié de ce via le territoire ukrainien.
(Reportage par Andreas Rinke, écrit par Alexandra Hudson, édité par Gareth Jones )
Eh, oui, mes chers lecteurs, des leaders corrompus qui vendent leur peuple aux intérêts de la finance et des multinationales américaines et européennes conduisent leur pays à la vasalisation et leur peuple à la misère.
Le peuple des Etats-Unis en ont parle pas, c'est déjà fait depuis reagan.
(source : Vineyard of the saker)
LA RUINE DU MEXIQUE PAR LE TRAITÉ NORD-AMÉRICAIN PRÉFIGURE LES EFFETS DU FUTUR TRAITÉ TRANSATLANTIQUE
Selon les affirmations de ses élites, relayant celles des États-Unis, le Mexique devrait jouir des bienfaits de l’Accord de libre-échange nord-américain (Nafta ou Alena) [1], qu’il a signé il y a 20 ans avec les États-Unis et le Canada. Mais la réalité, c’est que le Mexique est devenu un État failli, dont les autres pays d’Amérique centrale et d’Amérique du sud fuient l’exemple. Les administrations centrales et locales sont inefficaces et souvent corrompues, les inégalités ont explosé et les gangs omniprésents font près de 2 000 victimes chaque mois [2]. Au point que la population mexicaine cherche depuis longtemps à émigrer, principalement vers les États-Unis, rencontrant la mort à la frontière, dans le désert, sous les coups de la garde nationale américaine et des narco-trafiquants mexicains et américains bien établis aux États-Unis même [3]. Mais le gouvernement mexicain essaie de maintenir le cap, soumis en permanence aux pressions de Washington.
A l’occasion de ce vingtième anniversaire du Nafta, des bilans peuvent être tirés. Loin d’évoluer vers la prospérité, la société mexicaine compte encore 45 % de pauvres, soit 53 millions de personnes [4]. En une vingtaine d’années, le pourcentage de pauvres a baissé de 2 %. Ce n’est pas le signe d’une amélioration foudroyante du niveau de vie de la population, comme le laissent entendre les protagonistes du traité, pour en vanter les bienfaits.
Le mic mac de l’import-export avec les États-Unis…
Un deuxième argument en faveur du Nafta est l’explosion des exportations mexicaines, qui ont doublé, alors que celles du Canada et des États-Unis n’ont augmenté que de 30 % durant cette même période. Le traité aurait donc été beaucoup plus favorable au Mexique qu’à ses deux partenaires. Mais, comme l’explique un article publié par Marianne hier 15 décembre [5], de telles statistiques doivent être examinées en détail. Elles montrent bien leur caractère trompeur.
En effet, en 2013, les trois-quarts du volume des exportations mexicaines sont composés de biens eux-mêmes importés précédemment par le Mexique, notamment des États-Unis ! C’est que le Mexique héberge sur son territoire un nombre important de sociétés de commerce nord-américaines, qui y bénéficient, grâce aux détaxations et déréglementations autorisées par le Nafta, de facilités leur permettant de réexporter vers les États-Unis, et plus largement vers le monde, une grande partie de leurs produits importés au Mexique. La valeur ajoutée par l’économie mexicaine, c’est-à-dire par le travail des citoyens mexicains, est infime. En effet, il ne s’agit pas d’un pays en développement qui installerait sur son territoire des usines de fabrication filiales de maisons-mères, lesquelles font appel à un fort emploi local.
… et l’effet Wallmart
L’article de Marianne évoqué ci-dessus parle de l’effet Walmart. Walwart est une chaine américaine tentaculaire de distribution, installée au Mexique dès 1991. Sa prospérité doit beaucoup au Nafta et au libre-échange, le Mexique l’ayant rapidement exemptée de taxes à l’importation. Walmart a par ailleurs largement utilisé la corruption pour s’implanter dans tous les lieux urbains et touristiques jusque là interdits au commerce. Ses produits, tous généralement importés des États-Unis, sont vendus sur le marché mexicain à des prix légèrement inférieurs à ceux vendus aux États-Unis, mais le modeste gain de pouvoir d’achat en résultant pour les consommateurs du pays est compensé par le fait que la plupart de ces produits, échappant au minimum de réglementation imposée aux États-Unis pour la protection des consommateurs, encouragent l’obésité, l’alcoolisme et l’empoisonnement par les composés chimiques.
Le Nafta concoure à appauvrir le peuple mexicain…
Le Nafta bénéficie aux grands groupes américano-mexicains. Et il accélère le mécanisme d’expropriation des cultivateurs pauvres, la sur-exploitation des ressources naturelles et plus généralement l’exploitation capitaliste des travailleurs et des petits artisans.
L’agriculture traditionnelle, considérée (y compris à travers les westerns hollywoodiens) comme faisant partie de la civilisation mexicaine, est désormais anéantie sans ménagement. Il en est de même des petits commerces. Certes, les intérêts financiers mexicains installés à Wall Street en tirent des bénéfices croissants, mais ils utilisent ces bénéfices pour spéculer sur les marchés financiers au lieu d’investir au Mexique même pour développer la production locale.
… qui cherchent à émigrer aux États-Unis
Il ne reste plus aux victimes de cette américanisation forcée qu’à tenter de s’expatrier illégalement aux États-Unis. Au cours de ce processus, ils tombent aux mains, comme rappelé ici en introduction, des réseaux de narco-traficants et de prostitution. Certains parlent même de trafics d’organes. Aux États-Unis, sur onze millions de clandestins présents sur le territoire américain, six millions seraient mexicains. Au Mexique même, l’on compterait désormais 90 000 victimes des gangs, sans mentionner 300 000 disparus, que l’on ne retrouvera jamais. A ce nombre viennent de s’ajouter les 43 étudiants d’Iguala, venus sous le feu de l’actualité ces derniers jours [6]. Sans être prophète de mauvais augure, on peut penser qu’eux-aussi ne seront jamais retrouvés.
Le Canada tire aussi les marrons du Nafta
Dans cette lutte entre le pot de fer et le pot de terre n’oublions pas les grands intérêts canadiens, originaires de ce pays si propre et si honnête [7]. Ils viennent s’ajouter à leurs homologues nord-américains pour pressurer la population et l’économie mexicaine.
Le futur Tafta européen, réplique à grande échelle du Tafta
Le traité Nafta, dont les mérites avaient été annoncés à grand bruit dès son origine, en 1994, et qui ont été vantés depuis lors à répétition, devrait servir de modèle aux accords équivalents que Washington voudrait imposer aux États européens, sous le nom de Partenariat transatlantique de commerce et d’investissement (également connu sous le nom de Traité de libre-échange transatlantique Tafta), comme aux États du Pacifique sous le nom de Partenariat transpacifique (TPA).
Les groupes de pression qui militent, au sein de la Commission européenne comme dans les gouvernements nationaux, en vue d’une approbation rapide du Tafta, ne peuvent évidemment ignorer ce côté peu reluisant du Nafta. Mais ils espèrent en tirer des avantages analogues.
Au moment où l’Europe s’engage, bien lentement d’ailleurs, dans des procédures d’harmonisation fiscale afin d’essayer d’éviter les abus de ce qui a été nommé le Luxleaks, c’est-à-dire l’attribution aux multinationales américaines d’une exemption d’impôts quasi-totale, dès lors qu’elles installent des filiales au Luxembourg, nous pouvons nous préparer, dans le cadre du Tafta, à la reconduction de cette impunité scandaleuse, mais cette fois à l’échelle de l’Atlantique nord tout entier. S’y ajoutera, dans le cadre du pivot organisé par Obama en direction de l’Asie Pacifique, un élargissement de l’espace ouvert européen vers une partie de l’Asie et du Pacifique.
Jean-Paul Baquiast
Notes
[1] L’Accord de libre-échange nord-américain (ALÉNA, en anglais, North American Free Trade Agreement,NAFTA, en espagnol Tratado de Libre Comercio de América del Norte, TLCAN) est un traité, entré en vigueur le 1er janvier 1994, qui crée une zone de libre-échange entre les États-Unis, le Canada et le Mexique. (Wikipédia, français)
[2] Mexique : une faillite planifiée de l’État et 1 700 homicides par mois (vineyardsaker.fr, français, 26-10-2014)
[3] La chute du Mur de Berlin et la multiplication des murs occidentaux (vineyardsaker.fr, français, 28-11-2014)
[4] La pauvreté au Mexique (coneval.gob.mx, espagnol)
[5] Avec le NAFTA, le Mexique devait connaître la prospérité… (marianne.net, français, 15-12-2014)
[6] Mexique: l’ombre de l’armée sur Ayotzinapa (tlaxcala-int.org, français, 14-12-2014)
[7] Affaire de Margerie, accident ou attentat ?, parties 1, 2 et 3 (vineyardsaker, français, 20-11-2014 & 01-12-2014)
(source : World Truth.tv)
MAISON
«Donnez-moi le contrôle sur une monnaie de nations, et je me soucie pas de qui fait ses lois" - MA Baron Rothschild
ROTHSCHILD banques publiques:
Afghanistan: la Banque de l'Afghanistan
l'Albanie: la Banque d'Albanie
Algérie: Banque d'Algérie
Argentine: la Banque centrale d'Argentine
Arménie: la Banque centrale d'Arménie
Aruba: Banque centrale d'Aruba
Australie: Reserve Bank of Australia
Autriche: Banque nationale d'Autriche
Azerbaïdjan: Banque centrale de la République d'Azerbaïdjan
Bahamas: Banque centrale des Bahamas
Bahreïn: Banque centrale de Bahreïn
Bangladesh: la Banque du Bangladesh
Barbade: Banque centrale de la Barbade
Bélarus: la Banque Nationale de la République du Bélarus
Belgique: Banque Nationale de Belgique
Belize: Banque centrale du Belize
Bénin : Banque centrale des Etats d'Afrique de l'Ouest (BCEAO)
Bermudes: Bermuda Monetary Authority
Bhoutan: Autorité monétaire royale du Bhoutan
Bolivie: Banque centrale de Bolivie
Bosnie: Banque centrale de Bosnie-Herzégovine
Botswana: Banque du Botswana
Brésil: la Banque centrale du Brésil
Bulgarie: bulgare Banque Nationale
Burkina Faso: Banque centrale des Etats d'Afrique de l'Ouest (BCEAO)
Burundi: Banque de la République du Burundi
Cambodge: Banque Nationale du Cambodge
Entré Roon: Banque des Etats de l'Afrique centrale
Canada: La Banque du Canada - Banque du Canada *****
Îles Caïmans: Autorité monétaire des îles Caïmans
République centrafricaine: la Banque de l'Afrique centrale Unis
Tchad: la Banque de l'Afrique centrale Unis
Chili: Banque centrale du Chili
Afghanistan: la Banque de l'Afghanistan
l'Albanie: la Banque d'Albanie
Algérie: Banque d'Algérie
Argentine: la Banque centrale d'Argentine
Arménie: la Banque centrale d'Arménie
Aruba: Banque centrale d'Aruba
Australie: Reserve Bank of Australia
Autriche: Banque nationale d'Autriche
Azerbaïdjan: Banque centrale de la République d'Azerbaïdjan
Bahamas: Banque centrale des Bahamas
Bahreïn: Banque centrale de Bahreïn
Bangladesh: la Banque du Bangladesh
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Bélarus: la Banque Nationale de la République du Bélarus
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Bhoutan: Autorité monétaire royale du Bhoutan
Bolivie: Banque centrale de Bolivie
Bosnie: Banque centrale de Bosnie-Herzégovine
Botswana: Banque du Botswana
Brésil: la Banque centrale du Brésil
Bulgarie: bulgare Banque Nationale
Burkina Faso: Banque centrale des Etats d'Afrique de l'Ouest (BCEAO)
Burundi: Banque de la République du Burundi
Cambodge: Banque Nationale du Cambodge
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Canada: La Banque du Canada - Banque du Canada *****
Îles Caïmans: Autorité monétaire des îles Caïmans
République centrafricaine: la Banque de l'Afrique centrale Unis
Tchad: la Banque de l'Afrique centrale Unis
Chili: Banque centrale du Chili
La Banque populaire de Chine: Chine
Colombie: Banque de la République
des Comores: Banque centrale des Comores
Congo: la Banque de l'Afrique centrale Unis
Costa Rica: Banque centrale du Costa Rica
Côte d'Ivoire: Banque centrale des Etats d'Afrique de l'Ouest (BCEAO)
Croatie: Banque nationale de Croatie
Cuba: Banque centrale de Cuba
Chypre: Banque centrale de Chypre
République tchèque: Banque nationale tchèque
Danemark: Banque nationale du Danemark
République dominicaine: Banque centrale de la République dominicaine
zone des Caraïbes orientales: des Caraïbes orientales Banque centrale
Equateur: Banque centrale de l'Equateur
Egypte: Banque centrale d'Egypte * *********
El Salvador: Banque centrale de réserve d'El Salvador
Guinée équatoriale: la Banque de l'Afrique centrale Unis
Estonie: Banque d'Estonie
Ethiopie: Banque nationale d'Éthiopie
Union européenne: la Banque centrale européenne
des Comores: Banque centrale des Comores
Congo: la Banque de l'Afrique centrale Unis
Costa Rica: Banque centrale du Costa Rica
Côte d'Ivoire: Banque centrale des Etats d'Afrique de l'Ouest (BCEAO)
Croatie: Banque nationale de Croatie
Cuba: Banque centrale de Cuba
Chypre: Banque centrale de Chypre
République tchèque: Banque nationale tchèque
Danemark: Banque nationale du Danemark
République dominicaine: Banque centrale de la République dominicaine
zone des Caraïbes orientales: des Caraïbes orientales Banque centrale
Equateur: Banque centrale de l'Equateur
Egypte: Banque centrale d'Egypte * *********
El Salvador: Banque centrale de réserve d'El Salvador
Guinée équatoriale: la Banque de l'Afrique centrale Unis
Estonie: Banque d'Estonie
Ethiopie: Banque nationale d'Éthiopie
Union européenne: la Banque centrale européenne
Fidji: Banque de réserve des Fidji
Finlande: Banque de Finlande
France: Banque de France
Gabon: Banque des Etats de l'Afrique centrale
de la Gambie: Banque centrale de la Gambie
Géorgie: Banque nationale de Géorgie
Allemagne: Deutsche Bundesbank
Ghana: la Banque du Ghana
Grèce: la Banque de Grèce
Guatemala: Banque du Guatemala
Finlande: Banque de Finlande
France: Banque de France
Gabon: Banque des Etats de l'Afrique centrale
de la Gambie: Banque centrale de la Gambie
Géorgie: Banque nationale de Géorgie
Allemagne: Deutsche Bundesbank
Ghana: la Banque du Ghana
Grèce: la Banque de Grèce
Guatemala: Banque du Guatemala
Guinée Bissau: Banque centrale des Etats d'Afrique de l'Ouest (BCEAO)
Guyana: Banque du Guyana
Haïti: la Banque centrale d'Haïti *****
Honduras: la Banque centrale du Honduras
Hong Kong: Autorité monétaire de Hong Kong
Hongrie: Magyar Nemzeti Bank
Islande: la banque centrale de l'Islande
Inde: Reserve Bank of India
Indonésie: la Banque d'Indonésie
Iran: La Banque centrale de la République islamique d'Iran
Guyana: Banque du Guyana
Haïti: la Banque centrale d'Haïti *****
Honduras: la Banque centrale du Honduras
Hong Kong: Autorité monétaire de Hong Kong
Hongrie: Magyar Nemzeti Bank
Islande: la banque centrale de l'Islande
Inde: Reserve Bank of India
Indonésie: la Banque d'Indonésie
Iran: La Banque centrale de la République islamique d'Iran
Irak: Banque centrale d'Iraq
Irlande: la Banque centrale et la Financial Services Authority de l'Irlande
Israël: Banque d'Israël
Italie: Banque d'Italie
Jamaïque: Banque de Jamaïque
Japon: Banque du Japon
Jordanie: Banque centrale de Jordanie
Kazakhstan: Banque nationale du Kazakhstan
Kenya: la Banque centrale du Kenya
Corée: Banque de Corée
Koweït: Banque centrale du Koweït
Kirghizistan: Banque nationale de la République kirghize
Lettonie: Banque de Lettonie
Liban: Banque centrale du Liban
Lesotho: Banque centrale du Lesotho
Israël: Banque d'Israël
Italie: Banque d'Italie
Jamaïque: Banque de Jamaïque
Japon: Banque du Japon
Jordanie: Banque centrale de Jordanie
Kazakhstan: Banque nationale du Kazakhstan
Kenya: la Banque centrale du Kenya
Corée: Banque de Corée
Koweït: Banque centrale du Koweït
Kirghizistan: Banque nationale de la République kirghize
Lettonie: Banque de Lettonie
Liban: Banque centrale du Liban
Lesotho: Banque centrale du Lesotho
Libye: la Banque centrale de Libye
Uruguay: Banque centrale de l'Uruguay
Lituanie: Banque de Lituanie
Luxembourg: Banque centrale du Luxembourg
Macao: Autorité monétaire de Macao
Macédoine: Banque Nationale de la République de Macédoine
Madagascar: Banque Centrale de Madagascar
Malawi: Banque de réserve du Malawi
Malaisie: Banque centrale de Malaisie
Mali: Banque centrale des États d'Afrique (BCEAO) West
Malte: Banque centrale de Malte
Ile Maurice: Banque de Maurice
Mexique: Banque du Mexique
Moldavie: Banque nationale de Moldavie
Mongolie: Banque de Mongolie
Monténégro: Banque centrale du Monténégro
Maroc: la Banque du Maroc
Mozambique : Banque du Mozambique
Namibie: Banque de Namibie
Népal: Banque centrale du Népal
Pays-Bas: Pays-Bas Banque
Antilles néerlandaises: la Banque des Antilles néerlandaises
Nouvelle-Zélande: Banque de réserve de Nouvelle-Zélande
Nicaragua: Banque centrale du Nicaragua
Niger: Banque centrale des Etats d'Afrique de l'Ouest ( BCEAO)
Nigeria: la Banque centrale du Nigeria
Norvège: Banque centrale de Norvège
Oman: Banque centrale d'Oman
Pakistan: la Banque d'État du Pakistan
Papouasie-Nouvelle-Guinée: la Banque de la Papouasie-Nouvelle-Guinée
Paraguay: Banque centrale du Paraguay
Pérou: Banque centrale de réserve du Pérou
Philip Pines : Bangko Sentral ng Pilipinas
Pologne: Banque nationale de Pologne
Portugal: Banque du Portugal
Qatar: Banque centrale du Qatar
Roumanie: Banque nationale de Roumanie
la Russie: la Banque centrale de Russie
Lituanie: Banque de Lituanie
Luxembourg: Banque centrale du Luxembourg
Macao: Autorité monétaire de Macao
Macédoine: Banque Nationale de la République de Macédoine
Madagascar: Banque Centrale de Madagascar
Malawi: Banque de réserve du Malawi
Malaisie: Banque centrale de Malaisie
Mali: Banque centrale des États d'Afrique (BCEAO) West
Malte: Banque centrale de Malte
Ile Maurice: Banque de Maurice
Mexique: Banque du Mexique
Moldavie: Banque nationale de Moldavie
Mongolie: Banque de Mongolie
Monténégro: Banque centrale du Monténégro
Maroc: la Banque du Maroc
Mozambique : Banque du Mozambique
Namibie: Banque de Namibie
Népal: Banque centrale du Népal
Pays-Bas: Pays-Bas Banque
Antilles néerlandaises: la Banque des Antilles néerlandaises
Nouvelle-Zélande: Banque de réserve de Nouvelle-Zélande
Nicaragua: Banque centrale du Nicaragua
Niger: Banque centrale des Etats d'Afrique de l'Ouest ( BCEAO)
Nigeria: la Banque centrale du Nigeria
Norvège: Banque centrale de Norvège
Oman: Banque centrale d'Oman
Pakistan: la Banque d'État du Pakistan
Papouasie-Nouvelle-Guinée: la Banque de la Papouasie-Nouvelle-Guinée
Paraguay: Banque centrale du Paraguay
Pérou: Banque centrale de réserve du Pérou
Philip Pines : Bangko Sentral ng Pilipinas
Pologne: Banque nationale de Pologne
Portugal: Banque du Portugal
Qatar: Banque centrale du Qatar
Roumanie: Banque nationale de Roumanie
la Russie: la Banque centrale de Russie
Rwanda: la Banque Nationale du Rwanda
Saint-Marin: Banque centrale de la République de Saint-Marin
Samoa: Banque centrale de Samoa
Arabie Saoudite: Agence monétaire saoudienne
Saint-Marin: Banque centrale de la République de Saint-Marin
Samoa: Banque centrale de Samoa
Arabie Saoudite: Agence monétaire saoudienne
Sénégal: Banque centrale des États d'Afrique (BCEAO) West
Serbie: Banque nationale de Serbie
Seychelles: Banque Centrale des Seychelles
Sierra Leone: Banque de Sierra Leone
Singapour: Autorité monétaire de Singapour
Slovaquie: Banque nationale de Slovaquie
Slovénie: Banque de Slovénie
Iles Salomon: Banque centrale des Îles Salomon,
Afrique du Sud: South African Reserve Bank
Espagne: Banque d'Espagne
Sri Lanka: Banque centrale du Sri Lanka
Soudan: Banque du Soudan
Surinam: Banque centrale du Suriname
Swaziland: La Banque centrale du Swaziland
Suède: Sveriges Riksbank
Suisse: Swiss Banque Nationale
Serbie: Banque nationale de Serbie
Seychelles: Banque Centrale des Seychelles
Sierra Leone: Banque de Sierra Leone
Singapour: Autorité monétaire de Singapour
Slovaquie: Banque nationale de Slovaquie
Slovénie: Banque de Slovénie
Iles Salomon: Banque centrale des Îles Salomon,
Afrique du Sud: South African Reserve Bank
Espagne: Banque d'Espagne
Sri Lanka: Banque centrale du Sri Lanka
Soudan: Banque du Soudan
Surinam: Banque centrale du Suriname
Swaziland: La Banque centrale du Swaziland
Suède: Sveriges Riksbank
Suisse: Swiss Banque Nationale
Tadjikistan: Banque nationale du Tadjikistan
Tanzanie: Banque de Tanzanie
Thaïlande: Banque de Thaïlande
Togo: la Banque Centrale des Etats de Afrique de l'Ouest (BCEAO)
Tonga: Banque nationale de réserve des Tonga
Trinité-et-Tobago: Banque centrale de Trinité-et-Tobago
Tunisie: Banque Centrale de Tunisie
Turquie: Banque Centrale de la République de Turquie
Tanzanie: Banque de Tanzanie
Thaïlande: Banque de Thaïlande
Togo: la Banque Centrale des Etats de Afrique de l'Ouest (BCEAO)
Tonga: Banque nationale de réserve des Tonga
Trinité-et-Tobago: Banque centrale de Trinité-et-Tobago
Tunisie: Banque Centrale de Tunisie
Turquie: Banque Centrale de la République de Turquie
Ouganda: Banque de l'Ouganda
Ukraine: Banque nationale d'Ukraine
Émirats arabes unis: Banque centrale des Emirats Arabes Unis
Ukraine: Banque nationale d'Ukraine
Émirats arabes unis: Banque centrale des Emirats Arabes Unis
Royaume-Uni: Banque d'Angleterre
États-Unis: la Réserve fédérale, Banque fédérale de réserve de New York
Vanuatu: Reserve Bank de Vanuatu
Venezuela: Banque centrale du Venezuela
Venezuela: Banque centrale du Venezuela
Vietnam: La Banque d'État du Vietnam
Yémen: Banque centrale du Yémen
Zambie: Banque de Zambie
Zimbabwe: Reserve Bank of Zimbabwe
banques détenues ou contrôlées par le Rothschild
Banque des règlements internationaux (BRI): Le contrôle Rothschild Et comment dicter
Yémen: Banque centrale du Yémen
Zambie: Banque de Zambie
Zimbabwe: Reserve Bank of Zimbabwe
banques détenues ou contrôlées par le Rothschild
Banque des règlements internationaux (BRI): Le contrôle Rothschild Et comment dicter
Mais, arrêtons de parler d'argent et de domination du monde, les jeunes, eux, continuent à rêver d'un monde meilleur.
(source : Courant Positif)
Les ados américains financent 25.000 femmes entrepreneurs du Sud grâce aux sms
Lancée cet été aux Etats-Unis, la campagne 25000 Women vise à financer les projets d’entreprise de milliers de femmes des pays en développement tout en sensibilisant les adolescents américains aux conditions de travail des femmes du Sud. En partageant des messages de sensibilisation par sms à leurs amis, les ados allouent une bourse de 25 dollars à l’entrepreneuse de leur choix. Plus de 600.000 dollars pourront être distribués d’ici la mi-septembre.
Modèle simple et gratuit
Battsetseg vit en Mongolie, Michelle aux Philippines et Shahida au Pakistan. Leur point commun ? Elles sont toutes trois entrepreneuses. Et chacune a besoin d’un coup de pouce financier pour développer son activité. A première vue, rien ne les relie à un collégien new-yorkais fan de baseball ou à une ado de Chicago passionnée de littérature.
Pourtant, la campagne 25000 Women lancée cet été aux Etats-Unis entend bien rapprocher les jeunes américains des entrepreneuses des pays en développement. L’idée est de proposer aux ados de financer les projets de ces femmes grâce aux sms.
Le modèle est simple et gratuit. En déposant le numéro de téléphone d’amis sur la plateforme Dosomething.org à l’origine de la campagne, les jeunes internautes se voient attribuer une bourse de 25 dollars fournie par l’ONG de microfinance Kiva, partenaire de 25000 Women. Suite à quoi, ils vont allouer la somme à l’entrepreneuse de leur choix sur le site de Kiva.
Sensibilisation par et pour les ados
Outre le financement d’entreprises au Sud, l’objectif de la campagne est aussi de sensibiliser les adolescents aux conditions de travail des femmes dans le monde. « Les femmes assurent les deux tiers du temps travaillé autour du globe, elles produisent la moitié de la nourriture de la planète mais ne gagnent que 10% du revenu mondial. Elles constituent la moitié de la population mais représentent 70% des pauvres » indique Dosomething.org sur son site.
Pour sensibiliser, la plateforme envoie quelques sms sous forme de quizz ludique aux adolescents dont les numéros ont été partagés. A la réception d’un texto, les jeunes sont invités à répondre aux questions posées. En fonction de leur réponse, Dosomething.org leur renvoie une information sur l’accès à l’eau au Keyna par exemple. Cet échange interactif leur permet ainsi d’en savoir plus sur les réalités de travail des femmes du Sud.
Loin des traditionnels et parfois contestés modes de financement de l’aide au développement, ce système présente un double avantage. D’abord celui de financer gratuitement et directement des projets concrets, locaux et utiles pour des entrepreneuses et leur communauté, sans passer par un mille-feuille institutionnel. Ensuite, celui de sensibiliser les jeunes à large échelle dans un langage qui leur parle. Et surtout de leur permettre d’être eux-mêmes acteurs de sensibilisation.
Nicolas Blain
Ainsi, que cette autre initiative qui ne plairait en Floride.
(source :
La bouteille solaire souhaite éclairer 1 million de foyers d’ici 2015
La bouteille solaire, c’est d’abord une idée lumineuse qui profite aux habitants des bidonvilles du monde entier. La recette tient en trois ingrédients : une bouteille en plastique transparent, de l’eau et un peu de javel. Une fois remplie de cette simple mixture, la bouteille est fixée à travers le toit de tôle des habitats de fortune via un trou percé pour l’occasion. La lumière du soleil se réfracte alors à l’intérieur de la pièce. L’intensité lumineuse produite équivaut à une celle d’une ampoule de 50 watts.
Economique et écologique
Si le procédé ne fonctionne naturellement qu’en journée, il représente tout de même une précieuse source de lumière. Economique et écologique de surcroît. Chaque bouteille solaire permet d’économiser 17 kg de CO2 par an. Deux atouts qui expliquent le succès du concept. A la faveur de la campagne A Liter of Light soutenue par la My Shelter Foundation, Alfredo Moser, père de la bouteille solaire, espère que sa création éclairera 1 million de foyers défavorisés d’ici 2015.
A ce jour, la bouteille solaire éclaire déjà des dizaines de milliers d’habitations à travers le monde. Des Philippines où la campagne a été lancée en 2011, l’invention a depuis essaimé. Notamment en Inde, en Indonésie et en Suisse également.
Nicolas Blain
Parce qu'en Floride, mes chers lecteurs, l'autonomie énergétique des maisons, c'est.....mort !
Tout pour le PROFIT, c'est la devise du gouverneur de Floride.
(source : Esprit Science Métaphysiques)
La Floride rend la vie hors réseau illégale : toutes les maisons doivent être raccordées au réseau électrique et à l’eau
Robin Speronis vit hors réseau en Floride, complètement indépendante de l’eau de la ville et du réseau électrique. Il y a quelques semaines, les fédéraux l’ont exclue de sa maison hors filière illégale. Les fédéraux ont cité The International Property Maintenance Code, qui exige que les maisons soient raccordées à un réseau électrique et à une source d’eau courante.
Robin Speronis pendant l’ interview.
Cela revient à dire que notre dépendance aux sociétés n’est même pas un choix. Le choix de vivre sans la plupart des services publics se poursuit pour Robin, cette femme auto-suffisante a vécu pendant plus d’un an et demi en utilisant l’énergie solaire, un poêle au propane de camping, et de l’eau de pluie.
Finalement, elle a été déclarée non coupable de ne pas avoir d’égout ou de système électrique, mais coupable de ne pas être raccordée à un approvisionnement en eau qui a été approuvé.
Speronis est toujours harcelée par la municipalité de Cape Coral pour ne pas être raccordée à l’eau de la ville, ni aux eaux usées.
Est-ce vraiment illégal de vivre hors réseau ?
En grande partie oui. Vivre hors du réseau signifie ne pas se raccorder aux entreprises ou aux services publics municipaux. Si une municipalité déclare qu’il est illégal de se déconnecter de tout service, cela rend donc la vie hors réseau illégale en grande partie.
« Cela signifie vivre de façon autonome, vivre indépendamment des sociétés de services publics. Vous fournir votre propre énergie. Cela ne signifie pas vivre à l’age de pierre, il ne s’agit pas des techniques de brousse. Il s’agit de générer votre propre énergie, votre propre eau, et de traiter vos propres déchets. C’est aussi être plus autonome et moins dépendant du système. Il faudrait peut-être se rendre compte que le système ne nous protège plus vraiment et que nous devrions prendre soin de nous. » George Noory
Explorer notre potentiel au-delà du réseau
Notre potentiel en tant que race humaine est tout à fait extraordinaire, nous ne nous en rendons pas compte. Lorsqu’on parle de mode de vie durable il ne s’agit pas d’adopter un certain style de vie. Nous pouvons encore avoir tout le confort moderne, la décoration … Nous avons simplement besoin de revoir notre logement différemment.
Un problème potentiel avec la vie hors réseau, est que les sociétés vont perdre leur capacité à contrôler les autres avec leur service. C’est ce genre d’accord politique et corporatif qui cause des problèmes aux gens comme Speronis.
«Une des plus tristes leçons de l’histoire est la suivante: Si nous avons été dupes pendant assez longtemps, nous avons tendance à rejeter toute la preuve de l’embobinement. Nous ne sommes plus intéressés à découvrir la vérité. L’arnaque nous a capturés. Il est tout simplement trop douloureux de reconnaître – même pour nous – que nous avons été si crédules. Une fois que vous donnez le pouvoir à un charlatan sur vous, vous ne pouvez quasiment jamais le récupérer. »- Carl Sagan
S’éloigner de la dépendance
La race humaine n’a pas besoin de dépendre de ces sociétés pour les besoins de base de la façon dont nous en dépendons maintenant. Pendant que nous continuons à nourrir cette dépendance, la planète continue à souffrir. Pour allez de l’avant, nous devons commencer à nous entraider, et à réaliser à quel point nous sommes capables de créer quelque chose que nous pouvons tenir entre nos mains et le faire de façon durable. Nous ne pouvons pas attendre que ces sociétés trouvent des solutions car elles le feront certainement à but lucratif.
Une autre affaire similaire
Plus tôt cette année, l’État du Texas a amené plusieurs équipes d’intervention dans une communauté durable et a menacé de la fermer. Tous les membres ont été initialement menottés avec des armes pointées sur eux. Elle s’appelait « La Communauté du Jardin d’Eden », et était totalement autonome. Vous pouvez en lire plus à ce sujet ici.
Sources:
Auteur : Arjun Walia
Traductrice : Claire C.
J’ai rejoint http://www.espritsciencemetaphysiques.com/ en 2014. Plus le temps passe et plus ce qui se passe sur notre planète m’interpelle, j’ai donc voulu apporter ma contribution pour essayer de faire changer les choses. Depuis que je travaille pour Esprit Science Métaphysiques , j’ai eu de grands changements dans ma vie et j’espère pouvoir faire évoluer la conscience des autres.
Et, vive l'énergie durable !Et, en Ukraine, il n'y a presque pas de néo-nazi comme l'affirme le ministre des affaires étrangères français. Mais, l'intolérance y est de mise pour les opposants au gouvernement de Kiev qui s'appuie sur les.....néo-nazis.
(source : Histoireetsociété)
Des Néo-nazis attaquent le quartier général du parti communiste à Kiev
14DÉC
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