Salut aux classes moyennes en France qui peu à peu se font dépouiller par le gouvernement social démocrate de Hollande. Une consolation, le gouvernement des Etats-Unis fait la même.
Soyons conscients, mes chers cinq lecteurs de ce qui nous vient des Etats-Unis et qui par ailleurs participe à l'oppression et à l'asservissement du peuple américain sans qu'il en ait conscience du fait que les médias font comme ci, ils n'étaient pas au courant.
Soyons conscients et réveillons la conscience citoyenne pour que le citoyen américain qui en est la première victime arrive à comprendre qu'il est encore temps de reconquérir "sa" démocratie.
Qu'il se méfie de ses milliardaires, les rockefeller, les Bill Gates et tous les autres qui empoisonne leurs enfants par médoc interposé par le biais des psychiatres, qui les empoisonne eux, par le biais des médecins généralistes, qui leur fait ingurgiter des aliments OGM qui favorisatent un bouleversement du métabolisme et finit par engendre des maladies multiples.
Qu'il se méfie de leurs politiques qui gavent les banques avec l'argent de leur impôts.
Enfin bref, à vous de vous faire votre opinion.
(source : Votre Sané)
Mardi 04 Juin 2013
Le mariage Gates et Monsanto : attention, danger pour le planète
La puissante Fondation Bill et Melinda Gates, dédiée officiellement à des projets philanthropiques, vient d’acquérir 500 000 actions de la société Monsanto. Grâce à un large réseau de connivences, c’est l’ouverture de nouveaux marchés pour le géant des semences agricoles génétiquement modifiées, et des menaces sur la sécurité alimentaire balayées par le grand vent des profits et de la spéculation.
Enquête.
Créée en 1994 par le fondateur de Microsoft, la Fondation Bill et Melinda Gates gère un capital de 33,5 milliards de dollars pour financer ses projets “philanthropiques”. Un joli pactole investi à hauteur de 23 millions de dollars dans l’achat de 500 000 actions de Monsanto, comme le révélait la Fondation en août 2010. Acquisition aussitôt dénoncée par le mouvement international Via Campesina1. Gates-Monsanto, union entre deux monopoles des plus cyniques et agressifs : 90 % de la part de marché de l’informatique pour la premier, 90 % du marché mondial des semences transgéniques et la majorité des semences commerciales du monde pour le second. Négation même du fameux principe du capitalisme de “concurrence de marché”.
Désormais, la Fondation Bill et Melinda Gates utilise son influence sur les politiques mondiales de développement agricole, et incite paysans et agriculteurs à utiliser les semences et produits agrochimiques génétiquement modifiés de Monsanto.
Si doute il y avait, il n’est plus de mise. La Fondation Gates vient de jeter clairement le masque de la “philanthropie”.
Pour mieux conforter son emprise, la Fondation Gates a engagé en 2006 une collaboration avec la Fondation Rockfeller, “fondation caritative” privée dotée elle aussi d’un statut fiscal privilégié et fervent promoteur des OGM à destination des populations pauvres.
Ces deux grands humanistes se sont donc alliés pour mettre en oeuvre l’Alliance for a green revolution in Africa (Agra)2, “Alliance pour la révolution verte en Afrique”, qui est en train d’ouvrir le continent aux semences OGM et aux produits chimiques vendus par Monsanto, DuPont et Dygenta.
Selon La Via Campesina, environ 70 % des bénéficiaires de l’Agra au Kenya travailleraient directement avec Monsanto et près de 80 % des financements de Gates dans le pays seraient dédiés aux biotechnologies, terme délicat auréolé d’esprit scientifique pour signifier les OGM chahutés par de mauvais esprits. Sans état d’âme, Monsanto réserve une part importante de son budget au financement des procès motivés par la toxicité de ses produits.
Son fameux agent orange, faut-il le rappeler, utilisé durant la guerre du Vietnam par les armées US, continue aujourd’hui encore ses effets sur les populations. Et son herbicide, le Roundup, représente un véritable danger maintes fois démontré, pour les humains et les générations futures, les animaux domestiques, la faune et l’environnement.
La Coalition du Kenya pour la biodiversité commentait sans détour : “Agra est un poison pour nos systèmes de production et moyens de subsistance. Sous la bannière philanthropique du développement agricole, l’Agra finira par ronger le peu qui reste de l’agriculture durable en Afrique.”
En Afrique du Sud, pour citer un exemple, le maïs génétiquement modifié a produit peu ou pas de graines en 2009, et des centaines d’agriculteurs ont été touchés, jusqu’à 80 % de leurs récoltes pour certains. Et si Monsanto a compensé les agriculteurs d’une certaine importance qui avaient acheté des produits défectueux, il n’a rien donné aux plus modestes qui avaient reçu gratuitement des sachets de mauvaises graines.
Encore un bel exemple de cynisme et de mépris pour les plus faibles. En 2008, 30 % du fonds de développement agricole de la Fondation Gates a servi à la promotion et au développement des variétés de semences OGM. Ce qui donne une idée des milliards générés et de l’intérêt des nouveaux marchés.
Sous couvert de dévouement humanitaire et grâce notamment à ses liens avec la Fondation Rockfeller, la Fondation Bill et Melinda Gates ouvre donc de nouveaux marchés à Monsanto.
Et comme ce n’était pas encore assez, la Fondation Bill et Melinda Gates s’est adjoint les ministres des Finances des USA, du Canada, d’Espagne et de Corée du Sud. Cette belle brochette a promis 880 millions de dollars pour créer un programme mondial sur l’agriculture et la sécurité alimentaire, Global agriculture and food security program.
Lequel “programme” serait géré par la Banque mondiale pour prendre en compte le problème de la faim et de la pauvreté dans le monde. Premier “cadeau” annoncé en juin 2010 : 35 millions de dollars à Haïti pour favoriser l’accès des petits paysans aux “intrants agricoles, à la technologie et aux chaînes de productions”.
Le mois précédent, Monsanto faisait part de son intention de donner 475 tonnes de semences à Haïti... distribuées par l’Usaid, Agence américaine pour le développement international qui a soutenu les pires dictatures (Haïti : le cadeau mortifère de la société Monsanto, Golias Hebdo n°136, juin 2010). Petit détail qui en dit long : l’administrateur d’USAID, Rajiv Shah, travaillait auparavant pour la Fondation Gates, avant d’être recruté par le gouvernement américain en 2009. Et si on ajoute que Rob Horsch, ancien vice-président de Monsanto pour le développement international, est actuellement directeur du programme de développement agricole de Gates, on aura une idée des liens qui relient tout ce petit monde.
Ce “cadeau” de Monsanto à Haïti ressemble à s’y méprendre à une action de marketing bien rodée soutenue au plus haut niveau. Généreuse en diable, la Fondation Bill et Melinda Gates octroie également des fonds à Feed the Future, gérée par le gouvernement étasunien, qui pourrait se résumer par la recherche de nouvelles ouvertures pour les entreprises US.
Et s’il était utile de préciser davantage, le vice-président de Monsanto, Gerald Steiner, devait affirmer que “Feed the Future était une entreprise très intéressante, qui tient compte des impératifs du marché dans lequel Monsanto et d’autres compagnies doivent opérer”.
Pour Haïti, déjà victime du séisme du 12 janvier 2010 (Haïti : les arrière-plans d’un séisme annoncé, Golias Hebdo n°122, mars 2010), du déferlement des mercenaires de la foi (Comment la scientologie prospère sur les ruines d’Haïti, Golias Hebdo n° 139, juillet 2010) et d’une épidémie de choléra, l’aide humanitaire a de curieux accents.
Les semences Monsanto ? Seule la première génération est fertile et il est impossible de réensemencer les champs à partir de ces graines. Pour continuer, reste à acheter régulièrement de nouvelles graines à Monsanto.
Déjà, la destruction programmée de l’agriculture et de l’élevage, en faveur des produits étasuniens, avait cumulé d’immenses bénéfices et favorisé la dépendance alimentaire de Haïti. Désormais, Gates, Monsanto et consorts achèvent le travail.
D’après l’Onu, 75 % de la diversité génétique des plantes du monde a disparu à mesure que les paysans abandonnaient leurs semences natives pour utiliser les variétés génétiquement modifiées. La Via Campesina, pour sa part, maintient que la meilleure façon d’assurer une alimentation saine, de revitaliser les économies rurales et de mettre en oeuvre des politiques de souveraineté alimentaire est l’utilisation des semences natives.
L’homogénéité génétique rend les paysans plus vulnérables aux changements climatiques brusques, au contraire des semences natives adaptées aux différents microclimats. Une prise de conscience s’affirme, ponctuée notamment par le documentaire sur les méfaits des produits Monsanto diffusé le 3 juin 2010 dans la salle paroissiale de l’église catholique de Hinche (Haïti), à l’inititative du Mouvement paysan Papaye.
Le blé, base traditionnelle de l’alimentation des deux tiers des habitants de la planète, n’est pas à l’abri. Des chercheurs britanniques viennent de publier cette année une ébauche de son génome, “étape pour améliorer la production de cette céréale clé de l’alimentaiton mondiale”. Les génomes du riz, du soja, du maïs avaient été séquencés, mais pas le blé qui éveille dès à présent de nouveaux appétits. Monsanto se frotte déjà les mains... L’idée était dans l’air, puisqu’en 2008, la Fondation Bill et Melinda Gatesavait attribué la somme de 26,8 millions de dollars à l’université de Cornell (état de New York) pour des recherches sur le blé et 1,6 million de dollars aux chercheurs de l’état de Washington pour développer des variétés de blé OGM résistant à la sécheresse.
La Fondation Rockfeller a investi pour sa part plus de 100 millions de dollars ces trente dernières années dans la recherche génétique. Et comme on n’est jamais assez prévoyant pour amasser encore plus, Monsanto, les fondations Gates, Rockfeller et Syngenta (multinationale basée en Suisse, spécialisée dans les OGM et les semences agroindustrielles) participent à coups de millions de dollars dans la construction d’une banque des semences, dans l’archipel norvégien de Svalbard.
Il est prévu d’y stocker jusqu’à trois millions de variétés de semences provenant du monde entier afin de “garantir la préservation de la diversité des produits agricoles pour le futur”. Ces semences sont pourtant déjà protégées, en plusieurs exemplaires, dans différentes banques de semences qui existent dans le monde. Mais en cas de catastrophe climatique, il suffira de les vendre très cher aux agriculteurs. “Nous voulons faire le bien dans le monde, mais nous voulons aussi satisfaire nos actionnaires”, déclarait dernièrement Gerard Steiner, de Monsanto. On le croit volontiers dans sa volonté de satisfaire les actionnaires. Quoi qu’il en coûte à l’équilibre de la planète et peut-être à sa survie.
Eva Lacoste
29.11.1020
1. Via Campesina : 150 organisations, 70 pays, cinq continents. Mouvement international, il représente les paysans, les travailleurs agricoles sans terre, les pêcheurs, les paysannes, les jeunes et les peuples autochtones.
2. Le conseil de l’Agra est présidé par Kofi A. Annan, ancien secrétaire général des Nations-Unies. Le président est le A. Namanga Ngongi, ancien directeur génénral adjoint du Programme mondial pour l’alimentation des Nations-Unies. L’Agra travaille notamment avec le soutien de la Fondation Rockfeller et de la Fondation Bill et Melinda Gates, du Département pour le Développement International du Royaume-Uni. Se reporter au site www. agra-alliance.org ou tout ce qui n’est pas dit explicitement sur les nouvelles voies pour améliorer les cultures africaines.
Article publié dans le numéro 160 Golias Hebdo semaine du 25 novembre au 1er décembre 2010
Le crime organisé
Le rapprochement Gates Monsanto annonce le mariage entre deux monopoles parmi les plus cyniques de la période contemporaine et démontre une fois de plus l’alliance du pouvoir et de l’argent.
Derrière l’image d’une société propre et verte décrite par la propagande publicitaire et les grands discours, un projet hégémonique qui menace la sécurité alimentaire de la planète et son équilibre écologique. Véritable machine de guerre qui dispose de nombreux moyens de pression, sait jouer de la corruption et n’hésite pas à se débarrasser de ses opposants d’une manière ou d’une autre.
Défavorisés par des échanges internationaux inéquitables, l’accaparement des terres et la production d’agrocarburants, les pays du Sud sont l’objet de nouvelles pressions qui illustrent la logique implacable des grandes multinationales.
Dévastée par un tremblement de terre, abattue par le choléra, Haïti fait l’objet d’“attentions” qui ne pourront que conforter malnutrition, maladies et violences.
Le détournement de l’aide humanitaire à des fins commerciales et la privatisation des politiques alimentaires est certainement un des plus grands scandales actuels. Au risque de nouvelles déstabilisations, sous le regard complice des grands Etats et des organismes internationaux.
Habitués à dicter leur loi aux gouvernements, Monsanto, Gates, Blackwater et alliés avancent comme un rouleau compresseur à l’assaut du monde et de ses habitants. Jusqu’à quand ?
Golias
Article publié dans le numéro 160 Golias Hebdo semaine du 25 novembre au 1er décembre 2010"
Et, cette autre réalité, mes chers cinq lecteurs, y croyez-vous ?
Rex 84, diminutif de Readiness Exercise 1984
est un plan du gouvernement des États-Unis pour tester leurs capacités à
détenir le grand nombre de citoyens dans l’éventualité d’une crise
sociale. C’est ni plus, ni moins, des camps d’internements, des camps de
concentrations.
Plus de 600 camps d’emprisonnement auraient été construits aux Etats-Unis par l’administration Bush, tous pleinement opérationnels et prêts à recevoir des prisonniers.
Le personnel de la direction des camps serait déjà en place, ainsi que des gardes à plein temps, bien que les camps soient tous vides… pour l’instant…Cliquez ici pour l’article sur les offres d’emplois bien particulières.
Entourés de miradors, ces camps seraient destinés à être utilisés par la FEMA (Federal Emergency Management Agency – l’agence fédérale chargée de gérer les situations d’urgence), dans le cadre d’une proclamation de la loi martiale.
Les plans "Cable spicer" et "Garden plot" seraient deux sous-programmes de "Rex 84" qui seraient déclenchés en même temps.
"Garden plot" serait un programme destiné à contrôler la population, et "Cable spicer" serait le programme pour la prise de contrôle des États et de leurs gouvernements par le gouvernement fédéral.
La FEMA serait le bras armé exécutif et dirigerait toutes les opérations sous l’autorité du président des États-Unis.
Les camps de détention seraient tous desservis par voies ferrées, aussi bien que par la route. Beaucoup disposeraient également d’un aéroport à proximité.
La majorité des camps auraient une capacité de 20.000 prisonniers. Le plus vaste de ces camps serait situé en Alaska à coté de Fairbanks.
Deux autres seraient localisés à Palmdale et à Glendale, dans le sud de la Californie.
Le 4 mai 2007, George Bush a signé une directive présidentielle sur la sécurité intérieure (directive 51), qui donne au gouvernement le pouvoir "de déclarer une situation nationale d’urgence et d’imposer la loi martial".
La pandémie de grippe et sa vaccination forcée, le chaos social, associé à l’effondrement prochain de l’économie mondial, sont-ils les événements d’urgences auxquels le gouvernement US se préparent ?
Et en France ?
Il y a une différence majeur entre les pays Européens et les USA: les Européens, eux, ne sont pas armée. Il existe en Amérique, une forte propension aux patriotismes exacerbés et un rejet trés profond de l’intrusion de l’état dans la société. Le gouvernement US se méfie des milices patriotiques extrémistes (et prêtent à tout) qui pullulent à travers son territoire.
Mater les débuts de rébellion aux Êtas-unis donnera un signal fort aux populations Européennes et renforcera le sentiment de peur, enlevant à quiconque le moindre désir de dissidence.
Quand je vois avec quel difficulté j’ai à "réveiller" les gens de mon entourage, je crois bien que les Français iront de leur plein gré et avec le sourire à l"abattoir.
Et, oui, c'est normal, non, puisque les américains se sont laissés kidnapper leur démocratie par les industriels et les financiers sans rien dire. Ils seront en servage par la force .......sans rien dire
Et, que pensez-vous mes chers lecteurs d'un individu qui se promènent avec des agents pathogène dans ses bagages ?
Alors, posez-vous la question, mes chers lecteurs, de combien ont pu le faire et combien continuent à le faire ?
(source : Sciences et Avenir)
Image d'illustration. Rex Features/REX/SIPA
Un officiel du ministère de la
santé d’Arabie Saoudite, qui portait un prélèvement clinique contenant
le coronavirus du MERS (Middle East Respiratory Syndrome), a été empêché
d’embarquer samedi dernier dans un avion au départ de l’aéroport King
Fahd de Damman, capitale de la province orientale d'ach-Charqiya, sur le
golfe Persique. Il comptait se rendre à Jeddah, la deuxième ville du
Royaume, située sur les bords de la mer Rouge.
En l'état actuel des informations en notre possession, il ne semble pas s'agir d'un acte terroriste, mais plutôt de l'inconscience de ce membre du ministère. Celui-ci n'a pas été placé en détention. Le directeur général du King Fahd International Airport in Dammam Khaled a indiqué dimanche dans un communiqué que le voyageur a été contraint d’assurer le transport de son échantillon par voie maritime et ne lui ont pas permis d’embarquer. Cet incident a retardé le départ de l’avion qui a décollé sans coronavirus à bord.
Voir voyager en cabine en étant porteur dans ses bagages d’échantillons renfermant un agent pathogène est en totale contravention avec les règles de sécurité qui président au transport réglementé de ce type de matériel biologique (International Air Transport Association, qui représente 240 compagnies aériennes, soit 84% du trafic mondial).
Marc Gozlan, Sciences et Avenir, 4/06/13
Et, sur ce, je vous quitte.
A bientôt.
René.
Soyons conscients, mes chers cinq lecteurs de ce qui nous vient des Etats-Unis et qui par ailleurs participe à l'oppression et à l'asservissement du peuple américain sans qu'il en ait conscience du fait que les médias font comme ci, ils n'étaient pas au courant.
Soyons conscients et réveillons la conscience citoyenne pour que le citoyen américain qui en est la première victime arrive à comprendre qu'il est encore temps de reconquérir "sa" démocratie.
Qu'il se méfie de ses milliardaires, les rockefeller, les Bill Gates et tous les autres qui empoisonne leurs enfants par médoc interposé par le biais des psychiatres, qui les empoisonne eux, par le biais des médecins généralistes, qui leur fait ingurgiter des aliments OGM qui favorisatent un bouleversement du métabolisme et finit par engendre des maladies multiples.
Qu'il se méfie de leurs politiques qui gavent les banques avec l'argent de leur impôts.
Enfin bref, à vous de vous faire votre opinion.
(source : Votre Sané)
L’actualité de la médecine officielle et médecine naturelle depuis 1962
Le mariage Gates et Monsanto : attention, danger pour le planète
La puissante Fondation Bill et Melinda Gates, dédiée officiellement à des projets philanthropiques, vient d’acquérir 500 000 actions de la société Monsanto. Grâce à un large réseau de connivences, c’est l’ouverture de nouveaux marchés pour le géant des semences agricoles génétiquement modifiées, et des menaces sur la sécurité alimentaire balayées par le grand vent des profits et de la spéculation.
Enquête.
Créée en 1994 par le fondateur de Microsoft, la Fondation Bill et Melinda Gates gère un capital de 33,5 milliards de dollars pour financer ses projets “philanthropiques”. Un joli pactole investi à hauteur de 23 millions de dollars dans l’achat de 500 000 actions de Monsanto, comme le révélait la Fondation en août 2010. Acquisition aussitôt dénoncée par le mouvement international Via Campesina1. Gates-Monsanto, union entre deux monopoles des plus cyniques et agressifs : 90 % de la part de marché de l’informatique pour la premier, 90 % du marché mondial des semences transgéniques et la majorité des semences commerciales du monde pour le second. Négation même du fameux principe du capitalisme de “concurrence de marché”.
Désormais, la Fondation Bill et Melinda Gates utilise son influence sur les politiques mondiales de développement agricole, et incite paysans et agriculteurs à utiliser les semences et produits agrochimiques génétiquement modifiés de Monsanto.
Si doute il y avait, il n’est plus de mise. La Fondation Gates vient de jeter clairement le masque de la “philanthropie”.
Pour mieux conforter son emprise, la Fondation Gates a engagé en 2006 une collaboration avec la Fondation Rockfeller, “fondation caritative” privée dotée elle aussi d’un statut fiscal privilégié et fervent promoteur des OGM à destination des populations pauvres.
Ces deux grands humanistes se sont donc alliés pour mettre en oeuvre l’Alliance for a green revolution in Africa (Agra)2, “Alliance pour la révolution verte en Afrique”, qui est en train d’ouvrir le continent aux semences OGM et aux produits chimiques vendus par Monsanto, DuPont et Dygenta.
Selon La Via Campesina, environ 70 % des bénéficiaires de l’Agra au Kenya travailleraient directement avec Monsanto et près de 80 % des financements de Gates dans le pays seraient dédiés aux biotechnologies, terme délicat auréolé d’esprit scientifique pour signifier les OGM chahutés par de mauvais esprits. Sans état d’âme, Monsanto réserve une part importante de son budget au financement des procès motivés par la toxicité de ses produits.
Son fameux agent orange, faut-il le rappeler, utilisé durant la guerre du Vietnam par les armées US, continue aujourd’hui encore ses effets sur les populations. Et son herbicide, le Roundup, représente un véritable danger maintes fois démontré, pour les humains et les générations futures, les animaux domestiques, la faune et l’environnement.
La Coalition du Kenya pour la biodiversité commentait sans détour : “Agra est un poison pour nos systèmes de production et moyens de subsistance. Sous la bannière philanthropique du développement agricole, l’Agra finira par ronger le peu qui reste de l’agriculture durable en Afrique.”
En Afrique du Sud, pour citer un exemple, le maïs génétiquement modifié a produit peu ou pas de graines en 2009, et des centaines d’agriculteurs ont été touchés, jusqu’à 80 % de leurs récoltes pour certains. Et si Monsanto a compensé les agriculteurs d’une certaine importance qui avaient acheté des produits défectueux, il n’a rien donné aux plus modestes qui avaient reçu gratuitement des sachets de mauvaises graines.
Encore un bel exemple de cynisme et de mépris pour les plus faibles. En 2008, 30 % du fonds de développement agricole de la Fondation Gates a servi à la promotion et au développement des variétés de semences OGM. Ce qui donne une idée des milliards générés et de l’intérêt des nouveaux marchés.
Sous couvert de dévouement humanitaire et grâce notamment à ses liens avec la Fondation Rockfeller, la Fondation Bill et Melinda Gates ouvre donc de nouveaux marchés à Monsanto.
Et comme ce n’était pas encore assez, la Fondation Bill et Melinda Gates s’est adjoint les ministres des Finances des USA, du Canada, d’Espagne et de Corée du Sud. Cette belle brochette a promis 880 millions de dollars pour créer un programme mondial sur l’agriculture et la sécurité alimentaire, Global agriculture and food security program.
Lequel “programme” serait géré par la Banque mondiale pour prendre en compte le problème de la faim et de la pauvreté dans le monde. Premier “cadeau” annoncé en juin 2010 : 35 millions de dollars à Haïti pour favoriser l’accès des petits paysans aux “intrants agricoles, à la technologie et aux chaînes de productions”.
Le mois précédent, Monsanto faisait part de son intention de donner 475 tonnes de semences à Haïti... distribuées par l’Usaid, Agence américaine pour le développement international qui a soutenu les pires dictatures (Haïti : le cadeau mortifère de la société Monsanto, Golias Hebdo n°136, juin 2010). Petit détail qui en dit long : l’administrateur d’USAID, Rajiv Shah, travaillait auparavant pour la Fondation Gates, avant d’être recruté par le gouvernement américain en 2009. Et si on ajoute que Rob Horsch, ancien vice-président de Monsanto pour le développement international, est actuellement directeur du programme de développement agricole de Gates, on aura une idée des liens qui relient tout ce petit monde.
Ce “cadeau” de Monsanto à Haïti ressemble à s’y méprendre à une action de marketing bien rodée soutenue au plus haut niveau. Généreuse en diable, la Fondation Bill et Melinda Gates octroie également des fonds à Feed the Future, gérée par le gouvernement étasunien, qui pourrait se résumer par la recherche de nouvelles ouvertures pour les entreprises US.
Et s’il était utile de préciser davantage, le vice-président de Monsanto, Gerald Steiner, devait affirmer que “Feed the Future était une entreprise très intéressante, qui tient compte des impératifs du marché dans lequel Monsanto et d’autres compagnies doivent opérer”.
Pour Haïti, déjà victime du séisme du 12 janvier 2010 (Haïti : les arrière-plans d’un séisme annoncé, Golias Hebdo n°122, mars 2010), du déferlement des mercenaires de la foi (Comment la scientologie prospère sur les ruines d’Haïti, Golias Hebdo n° 139, juillet 2010) et d’une épidémie de choléra, l’aide humanitaire a de curieux accents.
Les semences Monsanto ? Seule la première génération est fertile et il est impossible de réensemencer les champs à partir de ces graines. Pour continuer, reste à acheter régulièrement de nouvelles graines à Monsanto.
Déjà, la destruction programmée de l’agriculture et de l’élevage, en faveur des produits étasuniens, avait cumulé d’immenses bénéfices et favorisé la dépendance alimentaire de Haïti. Désormais, Gates, Monsanto et consorts achèvent le travail.
D’après l’Onu, 75 % de la diversité génétique des plantes du monde a disparu à mesure que les paysans abandonnaient leurs semences natives pour utiliser les variétés génétiquement modifiées. La Via Campesina, pour sa part, maintient que la meilleure façon d’assurer une alimentation saine, de revitaliser les économies rurales et de mettre en oeuvre des politiques de souveraineté alimentaire est l’utilisation des semences natives.
L’homogénéité génétique rend les paysans plus vulnérables aux changements climatiques brusques, au contraire des semences natives adaptées aux différents microclimats. Une prise de conscience s’affirme, ponctuée notamment par le documentaire sur les méfaits des produits Monsanto diffusé le 3 juin 2010 dans la salle paroissiale de l’église catholique de Hinche (Haïti), à l’inititative du Mouvement paysan Papaye.
Le blé, base traditionnelle de l’alimentation des deux tiers des habitants de la planète, n’est pas à l’abri. Des chercheurs britanniques viennent de publier cette année une ébauche de son génome, “étape pour améliorer la production de cette céréale clé de l’alimentaiton mondiale”. Les génomes du riz, du soja, du maïs avaient été séquencés, mais pas le blé qui éveille dès à présent de nouveaux appétits. Monsanto se frotte déjà les mains... L’idée était dans l’air, puisqu’en 2008, la Fondation Bill et Melinda Gatesavait attribué la somme de 26,8 millions de dollars à l’université de Cornell (état de New York) pour des recherches sur le blé et 1,6 million de dollars aux chercheurs de l’état de Washington pour développer des variétés de blé OGM résistant à la sécheresse.
La Fondation Rockfeller a investi pour sa part plus de 100 millions de dollars ces trente dernières années dans la recherche génétique. Et comme on n’est jamais assez prévoyant pour amasser encore plus, Monsanto, les fondations Gates, Rockfeller et Syngenta (multinationale basée en Suisse, spécialisée dans les OGM et les semences agroindustrielles) participent à coups de millions de dollars dans la construction d’une banque des semences, dans l’archipel norvégien de Svalbard.
Il est prévu d’y stocker jusqu’à trois millions de variétés de semences provenant du monde entier afin de “garantir la préservation de la diversité des produits agricoles pour le futur”. Ces semences sont pourtant déjà protégées, en plusieurs exemplaires, dans différentes banques de semences qui existent dans le monde. Mais en cas de catastrophe climatique, il suffira de les vendre très cher aux agriculteurs. “Nous voulons faire le bien dans le monde, mais nous voulons aussi satisfaire nos actionnaires”, déclarait dernièrement Gerard Steiner, de Monsanto. On le croit volontiers dans sa volonté de satisfaire les actionnaires. Quoi qu’il en coûte à l’équilibre de la planète et peut-être à sa survie.
Eva Lacoste
29.11.1020
1. Via Campesina : 150 organisations, 70 pays, cinq continents. Mouvement international, il représente les paysans, les travailleurs agricoles sans terre, les pêcheurs, les paysannes, les jeunes et les peuples autochtones.
2. Le conseil de l’Agra est présidé par Kofi A. Annan, ancien secrétaire général des Nations-Unies. Le président est le A. Namanga Ngongi, ancien directeur génénral adjoint du Programme mondial pour l’alimentation des Nations-Unies. L’Agra travaille notamment avec le soutien de la Fondation Rockfeller et de la Fondation Bill et Melinda Gates, du Département pour le Développement International du Royaume-Uni. Se reporter au site www. agra-alliance.org ou tout ce qui n’est pas dit explicitement sur les nouvelles voies pour améliorer les cultures africaines.
Article publié dans le numéro 160 Golias Hebdo semaine du 25 novembre au 1er décembre 2010
Le crime organisé
Le rapprochement Gates Monsanto annonce le mariage entre deux monopoles parmi les plus cyniques de la période contemporaine et démontre une fois de plus l’alliance du pouvoir et de l’argent.
Derrière l’image d’une société propre et verte décrite par la propagande publicitaire et les grands discours, un projet hégémonique qui menace la sécurité alimentaire de la planète et son équilibre écologique. Véritable machine de guerre qui dispose de nombreux moyens de pression, sait jouer de la corruption et n’hésite pas à se débarrasser de ses opposants d’une manière ou d’une autre.
Défavorisés par des échanges internationaux inéquitables, l’accaparement des terres et la production d’agrocarburants, les pays du Sud sont l’objet de nouvelles pressions qui illustrent la logique implacable des grandes multinationales.
Dévastée par un tremblement de terre, abattue par le choléra, Haïti fait l’objet d’“attentions” qui ne pourront que conforter malnutrition, maladies et violences.
Le détournement de l’aide humanitaire à des fins commerciales et la privatisation des politiques alimentaires est certainement un des plus grands scandales actuels. Au risque de nouvelles déstabilisations, sous le regard complice des grands Etats et des organismes internationaux.
Habitués à dicter leur loi aux gouvernements, Monsanto, Gates, Blackwater et alliés avancent comme un rouleau compresseur à l’assaut du monde et de ses habitants. Jusqu’à quand ?
Golias
Article publié dans le numéro 160 Golias Hebdo semaine du 25 novembre au 1er décembre 2010"
Et, cette autre réalité, mes chers cinq lecteurs, y croyez-vous ?
USA: Les camps "Rex 84", un mauvais scénario pour les Américains?
Publié: 24 août 2009 dans Grippe A, Nouvel ordre mondialPlus de 600 camps d’emprisonnement auraient été construits aux Etats-Unis par l’administration Bush, tous pleinement opérationnels et prêts à recevoir des prisonniers.
Le personnel de la direction des camps serait déjà en place, ainsi que des gardes à plein temps, bien que les camps soient tous vides… pour l’instant…Cliquez ici pour l’article sur les offres d’emplois bien particulières.
Entourés de miradors, ces camps seraient destinés à être utilisés par la FEMA (Federal Emergency Management Agency – l’agence fédérale chargée de gérer les situations d’urgence), dans le cadre d’une proclamation de la loi martiale.
Les plans "Cable spicer" et "Garden plot" seraient deux sous-programmes de "Rex 84" qui seraient déclenchés en même temps.
"Garden plot" serait un programme destiné à contrôler la population, et "Cable spicer" serait le programme pour la prise de contrôle des États et de leurs gouvernements par le gouvernement fédéral.
La FEMA serait le bras armé exécutif et dirigerait toutes les opérations sous l’autorité du président des États-Unis.
Les camps de détention seraient tous desservis par voies ferrées, aussi bien que par la route. Beaucoup disposeraient également d’un aéroport à proximité.
La majorité des camps auraient une capacité de 20.000 prisonniers. Le plus vaste de ces camps serait situé en Alaska à coté de Fairbanks.
Deux autres seraient localisés à Palmdale et à Glendale, dans le sud de la Californie.
Le 4 mai 2007, George Bush a signé une directive présidentielle sur la sécurité intérieure (directive 51), qui donne au gouvernement le pouvoir "de déclarer une situation nationale d’urgence et d’imposer la loi martial".
La pandémie de grippe et sa vaccination forcée, le chaos social, associé à l’effondrement prochain de l’économie mondial, sont-ils les événements d’urgences auxquels le gouvernement US se préparent ?
Et en France ?
Il y a une différence majeur entre les pays Européens et les USA: les Européens, eux, ne sont pas armée. Il existe en Amérique, une forte propension aux patriotismes exacerbés et un rejet trés profond de l’intrusion de l’état dans la société. Le gouvernement US se méfie des milices patriotiques extrémistes (et prêtent à tout) qui pullulent à travers son territoire.
Mater les débuts de rébellion aux Êtas-unis donnera un signal fort aux populations Européennes et renforcera le sentiment de peur, enlevant à quiconque le moindre désir de dissidence.
Quand je vois avec quel difficulté j’ai à "réveiller" les gens de mon entourage, je crois bien que les Français iront de leur plein gré et avec le sourire à l"abattoir.
Et, oui, c'est normal, non, puisque les américains se sont laissés kidnapper leur démocratie par les industriels et les financiers sans rien dire. Ils seront en servage par la force .......sans rien dire
Et, que pensez-vous mes chers lecteurs d'un individu qui se promènent avec des agents pathogène dans ses bagages ?
Alors, posez-vous la question, mes chers lecteurs, de combien ont pu le faire et combien continuent à le faire ?
(source : Sciences et Avenir)
Arabie Saoudite : une fiole de coronavirus interceptée à l'aéroport
-
Un officiel du ministère de la santé d’Arabie Saoudite, qui portait une fiole du nouveau coronavirus, a été empêché d’embarquer samedi dernier dans un avion au départ de l’aéroport King Fahd de Damman.
Mots-clés : aéroport, Arabie Saoudite, Coronavirus, nCoV, Dammam Khaled, fiole
En l'état actuel des informations en notre possession, il ne semble pas s'agir d'un acte terroriste, mais plutôt de l'inconscience de ce membre du ministère. Celui-ci n'a pas été placé en détention. Le directeur général du King Fahd International Airport in Dammam Khaled a indiqué dimanche dans un communiqué que le voyageur a été contraint d’assurer le transport de son échantillon par voie maritime et ne lui ont pas permis d’embarquer. Cet incident a retardé le départ de l’avion qui a décollé sans coronavirus à bord.
Voir voyager en cabine en étant porteur dans ses bagages d’échantillons renfermant un agent pathogène est en totale contravention avec les règles de sécurité qui président au transport réglementé de ce type de matériel biologique (International Air Transport Association, qui représente 240 compagnies aériennes, soit 84% du trafic mondial).
Marc Gozlan, Sciences et Avenir, 4/06/13
Et, sur ce, je vous quitte.
A bientôt.
René.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire