salut à Rockfeller, ce grand américain, qui planifie une réduction de la population mondiale.......lui et d'autres d'ailleurs, suivez mon regard, Bill Gates.
Et, lorsqu'il n'y aura plus d'abeilles, des brigades de pollinisateurs parcoureront la planète pour sauver les plantes commercialisables.
(source : Nature to Share)
Et, lorsqu'il n'y aura plus d'abeilles, des brigades de pollinisateurs parcoureront la planète pour sauver les plantes commercialisables.
(source : Nature to Share)
Il
y a quelques jours, un apiculteur d’Hensies a perdu ses 35 ruches suite
aux pulvérisations d’un fermier. Cela représente la mort d’environ 1
million 750.000 abeilles et plus de 10.000 euros de perte.
Alors qu’il est chez lui, Monsieur W. voit un fermier pulvériser son champ. Ce jour-là, le vent souffle très fort et le produit se répand à travers toutes les ruches situées en bordure du champ. Quand le travail du fermier est terminé, l’apiculteur ne peut que constater la mort de toutes ses abeilles.
« À peine 30 minutes après la pulvérisation, ses 35 ruches étaient mortes. Il ne préfère pas témoigner pour ne pas trop faire parler de lui mais c’est vraiment dur à vivre pour un apiculteur. Il vient perdre 50.000 abeilles par ruche. C’est très décourageant de se relancer après ça », explique Pharaïlde Michel, responsable de la Melliflor à Erquennes. Cette perte suscite bien sûr l’indignation de tous les apiculteurs de la région.
En plus, le coût des ruches est inabordable pour les nouveaux ou ceux qui doivent recommencer. « On n’est pas encore sûrs du montant que vient de perdre M. W. mais on peut estimer ça à plus de 10.000 euros. Pour se relancer, il faut racheter une colonie. Les prix peuvent aller jusqu’à 250 euros et, même à ce montant, on n’en trouve plus. Heureusement pour lui, il a pu voir le responsable de la pulvérisation et agir vite », ajoute la dame.
Quand un apiculteur peut prouver que ses abeilles sont mortes suite à une mauvaise utilisation de produits, il peut demander aux assurances de rembourser le dommage qu’il a subi.
Ce 4 juin, un rendez-vous « Midis Santé » est organisé au domaine provincial du Bois d’Havré de 12h à 14h. Un spécialiste abordera les causes de l’effondrement des colonies d’abeilles et les moyens d’y remédier."
Heureusement, mes chers cinq lecteurs, que nos gouvernants nous disent que c'est scandaleux.
Ils disent, mais, c'est tout ou alors, ils font semblant de nous faire croire qu'ils sont à fond les manettes pour y remédier.
Même pas, ils sont capables d'interdire les OGM.
Même pas, ils sont capables d'obliger le secteur bancaire spéculatif de celui de gestion des comptes.
Même pas, ils sont capables de récupérer le "battre la monnaie" dont ils ont fait cadeau aux banques privées;
Même pas, ils sont capables d'emprunter à la Banque Centrale.
Seule, la conscience citoyenne peut faire reculer "les salauds".
(source : Idem)
Et, dans d'autres pays, comme le Vénézuela l'opposition aux OGM et aux méthodes mafieuses de Mosanto pour imposer ce type de culture, se radicalise.
(source :
Et; pour finir, un article un peu long sur l'origine de la dette.
(source : ALAIN BENAJAM, Réseau Voltaire France)
Bien le bonjour chez vous.
René.
Alors qu’il est chez lui, Monsieur W. voit un fermier pulvériser son champ. Ce jour-là, le vent souffle très fort et le produit se répand à travers toutes les ruches situées en bordure du champ. Quand le travail du fermier est terminé, l’apiculteur ne peut que constater la mort de toutes ses abeilles.
« À peine 30 minutes après la pulvérisation, ses 35 ruches étaient mortes. Il ne préfère pas témoigner pour ne pas trop faire parler de lui mais c’est vraiment dur à vivre pour un apiculteur. Il vient perdre 50.000 abeilles par ruche. C’est très décourageant de se relancer après ça », explique Pharaïlde Michel, responsable de la Melliflor à Erquennes. Cette perte suscite bien sûr l’indignation de tous les apiculteurs de la région.
En plus, le coût des ruches est inabordable pour les nouveaux ou ceux qui doivent recommencer. « On n’est pas encore sûrs du montant que vient de perdre M. W. mais on peut estimer ça à plus de 10.000 euros. Pour se relancer, il faut racheter une colonie. Les prix peuvent aller jusqu’à 250 euros et, même à ce montant, on n’en trouve plus. Heureusement pour lui, il a pu voir le responsable de la pulvérisation et agir vite », ajoute la dame.
Quand un apiculteur peut prouver que ses abeilles sont mortes suite à une mauvaise utilisation de produits, il peut demander aux assurances de rembourser le dommage qu’il a subi.
Ce 4 juin, un rendez-vous « Midis Santé » est organisé au domaine provincial du Bois d’Havré de 12h à 14h. Un spécialiste abordera les causes de l’effondrement des colonies d’abeilles et les moyens d’y remédier."
Heureusement, mes chers cinq lecteurs, que nos gouvernants nous disent que c'est scandaleux.
Ils disent, mais, c'est tout ou alors, ils font semblant de nous faire croire qu'ils sont à fond les manettes pour y remédier.
Même pas, ils sont capables d'interdire les OGM.
Même pas, ils sont capables d'obliger le secteur bancaire spéculatif de celui de gestion des comptes.
Même pas, ils sont capables de récupérer le "battre la monnaie" dont ils ont fait cadeau aux banques privées;
Même pas, ils sont capables d'emprunter à la Banque Centrale.
Seule, la conscience citoyenne peut faire reculer "les salauds".
(source : Idem)
Le
geant americain de l'agrochimie, Monsanto, s'abstient de faire
approuver de nouvelles graines genetiquement modifiees en Europe, où il
vend deja un OGM de maïs, en raison de l'opposition de nombreux pays, a
explique vendredi a l'AFP un porte-parole du groupe.
"Nous expliquons depuis plusieurs annees en Europe que nous n'y vendrons que des semences biotechnologiques beneficiant du soutien des agriculteurs, d'un soutien politique large et d'un système de régulation fonctionnant bien", a souligné Brandon Mitchener, porte-parole de Monsanto Europe.
"Ces conditions s'appliquent à quelques pays seulement en Europe aujourd'hui, principalement l'Espagne et le Portugal", a-t-il ajouté.
Monsanto vend dans ces deux pays son maïs OGM MON 810 résistant aux insectes lépidoptères, notamment la pyrale du maïs, principal ravageur de cette céréale.
Le porte-parole a souligné que le groupe de Saint Louis (Missouri, centre des Etats-Unis) vendait aussi cette semence, seule semence OGM qu'il commercialise sur le continent, à "un agriculteur en Roumanie" et quelques autres en République Tchèque et en Slovaquie.
Il a rappelé que Monsanto avait "cessé de vendre le MON 810 en France en 2008 et en Allemagne en 2009 à la suite d'interdictions pour motifs politiques".
L'Union européenne a décidé en début d'année de geler le processus d'autorisation de mise en culture des OGM sur son territoire, afin de relancer la recherche d'une solution négociée avec les Etats membres, profondément divisés sur la question.
La polémique sur les OGM a été relancée cette semaine par la découverte de blé génétiquement modifié dans un champ de l'Oregon (ouest des Etats-Unis). Ce blé a été développé il y a plus de dix ans par Monsanto mais n'a jamais été autorisé ni commercialisé, et les autorités enquêtent pour savoir comment il s'est retrouvé dans ce champ.
En Europe, "nous allons peut-être continuer à vendre de très petites quantités d'OGM aux fermiers qui le demandent, mais nous ne faisons plus de commercialisation active dans la plupart des pays" du continent, a ajouté le porte-parole.
Selon M. Mitchener, Monsanto "continue à croire aux OGM" et cette décision n'est pas forcément "éternelle", mais le groupe a pris "une décision stratégique en 2011 en étudiant le contexte d'activité" dans les différents pays européens.
"En raison de certaines décisions politiques, certains pays ont décidé qu'ils ne voulaient pas que des OGM, de quelque sorte qu'ils soient, soient cultivés dans leur pays. Nous ne sommes pas d'accord avec les fondements scientifiques de leur décision mais nous la respectons", a poursuivi M. Mitchener.
En revanche, Monsanto continue à demander des autorisations pour que ses produits OGM cultivés hors de l'UE puissent y être importés, notamment "du maïs, du coton, de l'huile de colza, de la betterave à sucre", a énuméré M. Mitchener.
Ces produits sont utilisés dans l'alimentation humaine ou animale, ou dans le cas du coton dans le textile.
Par ailleurs, Monsanto commercialise dans toute l'Europe et ailleurs dans le monde des graines non OGM de fruits et légumes.
"Nous avons estimé" en 2011 "que nous avions un bon contexte (en Europe) pour la commercialisation de semences conventionnelles", a noté le porte-parole du groupe.
L'opposition aux OGM reste forte en Europe et dans d'autres parties du monde comme en témoignent les rassemblements organisées samedi dans plusieurs grandes villes d'Europe, d'Asie et d'Amérique pour protester contre Monsanto et plus généralement contre les OGM, pesticides et autres produits chimiques. A Paris, un "sit-in" a rassemblé plusieurs centaines de personnes notamment."
"Nous expliquons depuis plusieurs annees en Europe que nous n'y vendrons que des semences biotechnologiques beneficiant du soutien des agriculteurs, d'un soutien politique large et d'un système de régulation fonctionnant bien", a souligné Brandon Mitchener, porte-parole de Monsanto Europe.
"Ces conditions s'appliquent à quelques pays seulement en Europe aujourd'hui, principalement l'Espagne et le Portugal", a-t-il ajouté.
Monsanto vend dans ces deux pays son maïs OGM MON 810 résistant aux insectes lépidoptères, notamment la pyrale du maïs, principal ravageur de cette céréale.
Le porte-parole a souligné que le groupe de Saint Louis (Missouri, centre des Etats-Unis) vendait aussi cette semence, seule semence OGM qu'il commercialise sur le continent, à "un agriculteur en Roumanie" et quelques autres en République Tchèque et en Slovaquie.
Il a rappelé que Monsanto avait "cessé de vendre le MON 810 en France en 2008 et en Allemagne en 2009 à la suite d'interdictions pour motifs politiques".
L'Union européenne a décidé en début d'année de geler le processus d'autorisation de mise en culture des OGM sur son territoire, afin de relancer la recherche d'une solution négociée avec les Etats membres, profondément divisés sur la question.
La polémique sur les OGM a été relancée cette semaine par la découverte de blé génétiquement modifié dans un champ de l'Oregon (ouest des Etats-Unis). Ce blé a été développé il y a plus de dix ans par Monsanto mais n'a jamais été autorisé ni commercialisé, et les autorités enquêtent pour savoir comment il s'est retrouvé dans ce champ.
En Europe, "nous allons peut-être continuer à vendre de très petites quantités d'OGM aux fermiers qui le demandent, mais nous ne faisons plus de commercialisation active dans la plupart des pays" du continent, a ajouté le porte-parole.
Selon M. Mitchener, Monsanto "continue à croire aux OGM" et cette décision n'est pas forcément "éternelle", mais le groupe a pris "une décision stratégique en 2011 en étudiant le contexte d'activité" dans les différents pays européens.
"En raison de certaines décisions politiques, certains pays ont décidé qu'ils ne voulaient pas que des OGM, de quelque sorte qu'ils soient, soient cultivés dans leur pays. Nous ne sommes pas d'accord avec les fondements scientifiques de leur décision mais nous la respectons", a poursuivi M. Mitchener.
En revanche, Monsanto continue à demander des autorisations pour que ses produits OGM cultivés hors de l'UE puissent y être importés, notamment "du maïs, du coton, de l'huile de colza, de la betterave à sucre", a énuméré M. Mitchener.
Ces produits sont utilisés dans l'alimentation humaine ou animale, ou dans le cas du coton dans le textile.
Par ailleurs, Monsanto commercialise dans toute l'Europe et ailleurs dans le monde des graines non OGM de fruits et légumes.
"Nous avons estimé" en 2011 "que nous avions un bon contexte (en Europe) pour la commercialisation de semences conventionnelles", a noté le porte-parole du groupe.
L'opposition aux OGM reste forte en Europe et dans d'autres parties du monde comme en témoignent les rassemblements organisées samedi dans plusieurs grandes villes d'Europe, d'Asie et d'Amérique pour protester contre Monsanto et plus généralement contre les OGM, pesticides et autres produits chimiques. A Paris, un "sit-in" a rassemblé plusieurs centaines de personnes notamment."
Et, dans d'autres pays, comme le Vénézuela l'opposition aux OGM et aux méthodes mafieuses de Mosanto pour imposer ce type de culture, se radicalise.
(source :
Venezuela Goes For Law Against Transgenic Seeds |
Et; pour finir, un article un peu long sur l'origine de la dette.
(source : ALAIN BENAJAM, Réseau Voltaire France)
Mardi 22 mai 2012
L'arnaque de la dette et l'escroquerie politicienne.
La
«crise» grecque rapportée par les médias a levé une partie du voile qui
recouvre le système financier soigneusement caché aux yeux
des peuples.
Cette
crise qui affecte tous les pays soumis à l'imperium étasunien, c'est à
dire les pays de l'OCDE, a pour effet de conduire ces
peuples soumis à l'appauvrissement et à une immense pression pour
que leur soient soustraits des avantages sociaux acquis de longues
luttes.
Il est donc légitime de se poser des questions sur la réalité de cette crise et des mécanismes qui
l'induisent.
Tout
le monde a entendu parlé des agences de notation telle Standard &
Poor qui attribuent des notes aux pays empruntant des
capitaux sur les marchés financiers. Les peuples ont découvert un
peu effarés l'importance de ces emprunts sur des marchés privés et le
caractère des notes attribuées à tel ou tel pays. Ces notes
allant de AA+ à BB- attribuées par ces fameuses agences doivent
évaluer la capacité de remboursement des emprunts.
Ces
agences de notations semblent toutes puissantes sur les nations car au
vu de ces notes les intérêts des emprunts seront plus ou
moins lourds et donc l'appauvrissement des peuples qui empruntent
plus ou moins importants. On ne sait comment procèdent ces agences et
qui leur a conféré une telle puissance.
La
découverte du système d’endettement des nations et des «crises» induites
par des difficultés de remboursement de certains pays,
nous incite à nous intéresser à des mécanismes financiers
particulièrement opaques et pour cause. La découverte du fonctionnement
du système révèle une immense
arnaque.
Le fait que les politiciens de toutes obédiences de droite comme de gauche couvrent cette arnaque et en défendent les rouages
est particulièrement grave et pose question sur leur dépendance.
(L'UPR de Asselineau avec S&P de
Cheminade mis à part)
L'imposition
du Dollar, de l'Euro, de Union Européenne et de la dette obligatoire
forme un système qui permet à la fois aux USA de
conserver une valeur à leur monnaie et d'alimenter leur industrie
d'armement mais aussi permet à une oligarchie très limitée en nombre de
s'enrichir d'une manière considérable.
Démontage d'une arnaque
1- Imposition du dollar seule monnaie indexée sur l'or.
Le
système commence par l'imposition du dollar USD, monnaie des USA, comme
monnaie devant être obligatoirement utilisée dans le
commerce international et notamment dans les opérations de
spéculation sur les commodités (matières premières, engrais et produits
alimentaires en vrac).
Cette
imposition est issue des accords de Bretton Woods du 22 juillet 1944 par
lesquels les 44 nations alliées des USA, c'est à dire
soumises, acceptaient que l'étalon or, qui jusqu'alors indexait les
monnaies de chacune soit supprimé. Un étalon dollar indexé sur les seuls
stocks d'or des USA devait remplacer l'étalon or par
nation.
Ce
faisant, afin de limiter les opérations de change dans le commerce
international et de faciliter la visibilité des cours, l'usage
du seul dollar fut imposé dans ces transactions puisque cette
monnaie était devenue la seule référence sur l'or.
2- Le dollar n'est plus indexé sur quoi que ce soit.
En
1971 sous l'administration Nixon, cette référence à l'or du dollar fut
supprimée. La seule valeur de la monnaie était conférée par
les marchés financiers, la loi de l'offre et de la demande fixant la
valeur de change de la monnaie. Monnaie obligatoire dans les
transactions donc perpétuellement recherchée et acquise, cette
valeur était mécaniquement et obligatoirement soutenue,
effectivement le référencement sur l'or n'avait plus d'objet.
3 - Personne ne peut plus connaître la quantité de dollars en circulation.
Le 23 mars 2006, l'indice M3 qui mesure la quantité de dollars imprimés n'est plus publié. A ce moment seule la planche à billet
produit des richesses, plus besoins ni d'or ni de référence quelconque. En fait cet indice n'avait plus aucun intérêt économique car le dollar imprimé était déjà marginal, la création de
monnaie par les banques étant maintenant devenu artificielle par le prêt.
4 - La création monétaire par le prêt .
Seuls
les prêts créent maintenant de la monnaie plus besoin d'imprimer quoi
que ce soit de vrai ou de faux, de faux vrai ou de vrai
faux. Le prêt est un jeu d'écriture électronique de banque à banque
les capitaux sont complètement virtualisés.
L'importance est d'avoir des gens qui empruntent de l'argent en produisant des intérêts, seuls ces intérêts payés
régulièrement issus d'une activité économique sont créateurs de richesses réelles le prêt en lui même n'étant que du vent.
5- Pour les USA, contrôler toutes les transactions et les banques.
La « Society for Worldwide Interbank Financial Telecommunication»
ou SWIFT fut créé en 1973 et fut
opérationnelle en 1977. Cette société interbancaire possède son
siège à La Hulpe en Belgique elle est sous contrôle étroit étasunien,
elle est chargée des transferts de fonds virtuels par
électronique de banque à banque. Toutes les transactions bancaires
passent par elle. Ces transactions se font par codes normalisés (méta
langage) pouvant être compris automatiquement, chaque code
(MT) possédant un verbiage précis. Toutes les transactions sont
ainsi connues et la corruption des politiciens contrôlée et
instrumentée. Ces transactions peuvent être éventuellement stoppées
pour les insoumis sur la seule demande des services US. La totalité des opérations commerciales se faisant en dollars
et en conséquence les opérations spéculatives sur les
commodités, la réserve fédérale US, organisme de contrôle du dollar,
a donc, par ce système, la haute main sur l'économie mondiale et sur la
totalité des banques.
Aucune banque au monde ne peut fonctionner sans l'accord et le contrôle US.
Exemple de code MT parmi les plus utilisés:
MT 103 transfert immédiat,
MT 103/23 transfert conditionnel
MT 760 lettre de crédit, prêts, garanties bancaires.
MT 799 contrats, preuves de produits, preuves de fonds.
6- Des complices à la tête des états
On comprend maintenant que pour faire fonctionner le système financier US il faut des complices à la tête des états qui
puissent organiser les emprunts sur les marchés financiers. En France, cela devint possible grâce à un décret de 1973 signé par Georges Pompidou président de la république, ex fondé de
pouvoir de la banque Rotschild et Valérie Giscard d’Estaing son ministre des finances.
Depuis,
l'endettement de la France et l'importance des intérêts payés à la
finance anglo-saxonne ne cesse de croître. Il était devenu
de la plus haute importance pour les USA d'avoir la maîtrise des
politiciens des zones soumises à ce traitement de choc afin que soit
pérennisé l'emprunt.
Qu'il y ai refus d'emprunter et de rembourser et le système s'écroule.
7- Sortir les monnaies européennes des pouvoirs régaliens des états et du contrôle des peuples
L'Europe
occidentale, était après les USA, la seconde zone économique du monde
donc une des plus solvable. Il y était donc important
d'endetter cette zone économique à haut niveau de manière à produire
d'importants flux d'intérêts. La création de l'Euro et sa privatisation
de fait permit de placer le contrôle de cette monnaie
par les USA et son système bancaire. L'UE est là pour remplacer les
pouvoirs nationaux et faciliter ainsi toutes décisions en faveur du
système bancaire étasunien.
8- Titrisation des dettes et leur transformation en capitaux disponibles à la spéculation.
La titrisation de dettes appelées en français «obligation» est une opération bancaire classique et ancienne. Celui qui achète
une obligation, achète une part de dette et possède l'espoir d'être remboursé, il peut faire un placement intéressant selon le taux d'intérêt de ce prêt.
Aujourd'hui
la banque étasunienne, puisque par le dollar et le SWIFT cet état s'est
approprié tout le système bancaire mondial, a
remplacé ce terme vieillot d'obligation par « debt bond» et divisé
ces «dept bonds» en différents produits financiers spécialisés: (MTN,
SBLC, BG, etc.).
Ces «debt bonds » peuvent maintenant être escomptés par les banques. (c'est à dire fournir des capitaux
disponibles)
La
«dept bond» possédée par un particulier peut être «logée» dans une
banque qui l'accepte et qui la garde en garantie, la banque
peut en retour assurer une ligne de crédit à son possesseur initial,
c'est l'escompte.
De cette dette, la banque crée un montant de capitaux immédiatement disponible pour toutes transactions. On observe donc que
plus il y a de dettes plus il y a de capitaux disponibles pour la spéculation à la hausse.
On
comprend bien que plus un produit est cher plus les bénéfices de revente
seront importants. Le mécanisme de la spéculation à la
hausse consiste a augmenter fortement la demande par rapport à
l'offre, il faut donc disposer de capitaux importants. Il s'agit
également dans le même temps de retenir la vente.
Acheteurs et vendeurs sont souvent les mêmes, les commodités sont transformées en titres de propriétés électroniques, ainsi une
cargaison de pétrole de 2 millions de barils peut être achetée et revendue des dizaines de fois entre son chargement et son
déchargement. Le pétrolier peut aussi attendre en haute mer avant son déchargement que la hausse attendue advienne.
Un
très grand nombre de transactions se font ainsi en «spot» (en haute mer)
ou il s'agit d'avoir à sa disposition des quantités de
capitaux disponibles importants.
Toutes
ses opérations se passent en salle de marché, la propriété des
«allocations» passant de mains en mains à la vitesse
électronique elle est affichée sur les «boards» (écrans) des
opérateurs. Ces salles de marché sont appelées «platforms» et l'accès
aux plus performantes des USA ou de Londres n'est réservé qu'à
une élite triée sur le volet, possédant des «merchant account» très
importants de plusieurs centaines de millions de dollars .
Le rapport moyens des «plateforms» réelles ( il y a beaucoup d'escroqueries) est de 2% par
jour.
Les «merchant account» des « platforms » sont au nom de «trustees» qui sont des coalitions «d'investisseur» anonymes, il
est impossible d'en connaître les noms.
L'effet direct de ce système est que : plus il y a de dettes plus il y a de capitaux et plus il y a hausse des matières
premières et du pétrole et plus vous payez!
Capitaux disponibles, bulle financière et prix du pétrole
Afflux de capitaux disponibles du à une accélération de l'endettement.
La courbe de l'endettement de l'Allemagne similaire à celle de la France.
_____________________________________________________________________________________________
Remarque: Ce
que l'on appelle bulle financière est l'exès de capitaux provenant
d'escomptes de
dettes non solvables ou peu solvables. L'éclatement de la bulle
financière survient quand il est devenu certain que les capitaux
escomptés sur des dettes "pourries" qui ne seront jamais
remboursées, à ce moment les lignes de crédits accordées par les
banques sont retirées.
Il y a moins de capitaux disponibles pour la spéculation à la hause, c'est ce qui est arrivé fin
2008.
______________________________________________________________________________________________
8- L'Euro avatar du dollars et sa béquille.
L'euro est une machine à faire du dollar, à soutenir sa valeur et donc celle de la production du complexe militaro-industriel
étasunien.
Comment?
La grosse majorité des dettes solvables viennent de pays de la zone Euro et donc la majorité des « debt bonds » est
libellée en Euro.
Mais,
pour être utilisable en « platform » sur un « merchant account » il faut
du dollar puisque c'est la monnaie
obligatoire. Les euros escomptés par les banques doivent être
échangés contre des dollars et ce perpétuellement, on voit que sur le
marché des devises le dollar est toujours demandé et donc sa
valeur forcément toujours soutenue.
De cette façon la dette des pays de la zone Euro permet l'existence même du dollar qui sans cela aurait disparu depuis
longtemps.
Vous travaillez pour que les USA puisse fabriquer et vendre de très grosses quantités d'armement, armement qui va servir à
maintenir le pouvoir mondial des USA et imposer le système Euro / Dollars par la force.
On voit que ce système d'arnaque qui permet de prélever le fruit du travail des européens et des japonais au profit de la banque
anglo-saxonne et des USA ne pourrait fonctionner longtemps si les peuples en avaient conscience.
Les politiciens de droite comme de gauche
avec les médias
qui vantent l'UE et l'Euro sont là pour «enfumer» les peuples et leur
faire accepter
cette monstruosité. On peut à juste titre se demander pourquoi font
ils cela contre leurs peuples alors qu'il ne faut pas très longtemps à
chacun pour s'apercevoir de l'étendue de
l'escroquerie.
J'ai expliqué dans des articles précédents comment avec deux blocs politiques droite / gauche artificiellement opposés mais en accord sur la conservation du système on en arrive de fait au parti
unique et à la confiscation de la démocratie.
Quel est le mécanisme de subordination des médias et des politiciens à l'intérêt des USA ? Il serait temps de pouvoir répondre à
cette question mais il paraît évident que c'est d'abord l'argent qui fonctionne.
Ce
système en produit énormément et peut largement saupoudrer politiciens
et médias. Les sommes pouvant aller vers un président de la
république française se comptent en plusieurs centaines de million
d'Euros, ce sont également des actions de « trustees » performants des
allocations de pétrole, des parts dans des
compagnies minières, des titres au porteur etc.. Les preuves
de corruption ne sont détenues QUE par les USA qui peuvent ainsi faire
chanter tous politiciens et l'obliger à agir dans
l'intérêt du système.
Qu'un
politicien n'obéisse plus ou que l'on veuille s'en débarrasser au profit
d'un autre plus docile et c'est un scandale de
corruption ou de mœurs qui est mis sur la place publique et une
presse aux ordres bien financée comme Le Monde, Libération ou Médiapart
en France se charge des "divulgations". On vire Dominique
de Villepin chiraquien avec une affaire Cleastream au profit d'un
Sarkozy, puis on vire Sarkozy avec une affaire de financement de sa
campagne par la Libye, on vire aussi un DSK qui voulait que le monde se passe du dollar, les politiciens
corrompus valsent et se remplacent mais le système perdure. Aux USA on vire maintenant les généraux non obéissants.
Vous
payez toujours et ce jusqu'à épuisement de la ressource après, cela
s'écroulera mais les hommes du système n'ont qu'une seule
devise: "après nous le déluge!".
La Grèce... le Portugal... l'Espagne.... l'Irlande.... la France.... jusqu'à l'Allemagne et puis plus
rien !
Une autre remarque
importante: la structure du capitalisme a changé depuis Marx. On
n'accumule plus de capitaux dans les pays de la zone sous domination
anglo-saxonne avec la valeur ajoutée de marchandises, mais en exploitant des nations colonisées par le système de la dette. Il s'agit maintenant pour les nations soumises de se libérer telle est la première tâche à accomplir pour les peuples.
La question nationale est devenue prioritaire, et la gauche morale le principal obstacle politique à cette
libération.
Bien le bonjour chez vous.
René.
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