Salut au président Obama, cerné par ses conseillers de Goldman Sachs et au président français Hollande amicalement entouré par ses conseillers de la banque Rotschild !
Eh, oui, mes chers cinq lecteurs, à part l'économie que certain font jongler, il y a les autres de l'industrie alimentaire qui vont jongler nos petits corps pour son plus grand déplaisir et pour leur très, très grand bénéfice.
Mais, n'oubliez pas, c'est de votre faute, si, ils deviennent puissants et mégalomanes.
http://www.sugarstacks.com/beverages.htm
[2] What Happens to Your Body Within an Hour of Drinking a Coke,
http://articles.mercola.com/sites/articles/archive/2008/01/19/what-happens-to-your-body-within-an-hour-of-drinking-a-coke.aspx
[3] Coca-Cola une boisson dangereuse et cancérigène,
http://www.dangersalimentaires.com/2011/04/coca-cola-une-boisson-dangereuse-et-cancerigene/
[4] Intense Sweetness Surpasses Cocaine Reward,
http://www.plosone.org/article/fetchArticle.action?articleURI=info%3Adoi%2F10.1371%2Fjournal.pone.0000698
Alors, soyez conscients qu'en bout de chaîne, vous pouvez refuser encore d'acheter leur produit. Il existe encore des alternatives qu'ils tentent de faire interdire.
N'achetez plus les vêtements chez Leclerc qui refuse de discuter avec les syndicats au Bengladesh sur la sécurité et une petite augmentation de salaire. Carrefour a accepté.
Leclerc, vous savez, la grande distribution qui vous fait payer plus cher la promotion en vous faisant croire que c'est pratiquement cadeau.
Bof !
De toute façon, des molécules addictives ont été introduites dans la recette. Certaines personnes ne boivent que cela, pas d'eau, et sont malades, si, elles n'ont pas bu leur litre.
Bof !
En attendant, vous pouvez toujours signer la pétition contre Mosanto à l'adresse suivante :
http://www.avaaz.org/fr/petition/Petition_pour_labolition_de_Monsanto/?cRLujdb
Mais, passons.
En attendant que la police vienne saisir vos plants traditionnels dans vos jardins, un conseil de jardinier.
(source : les tomates de Anne et José)
Le mot "mildiou" fait aussi peur au tomatophiles que le mot "peste" aux populations du Moyen-âge, parce qu'il suggère "hécatombe généralisée".
Mais le terme "mildiou" est souvent employé génériquement pour désigner des maladies cryptogamiques assez différentes les unes des autres, avec cependant en commun le ravage de la future récolte. Il y a donc une certaine confusion sur le sujet.
L'agent pathogène responsable du véritable "mildiou" est le microscopique "phytophtora infestans", dont les spores sont omniprésentes dans la nature mais ne se développent que lorsque des conditions conjointes précises d'humidité et de température se mettent en place, plus précisément dans un écart fatidique qui se crée entre celles du jour et de la nuit.
On considère généralement qu'on ne peut traiter le mildiou que préventivement. Et le produit utilisé traditonnellement depuis 150 ans environ est la célèbre "bouillie bordelaise", à base de sulfate de cuivre neutralisé avec de la chaux.
Sans entrer ici dans tous les détails, Anne et moi n'utilisons plus la "bouillie bordelaise" depuis bientôt deux ans. Si rien ne nous permet de mettre en doute son efficacité, nous redoutons trop ses indubitables effets secondaires (par accumulation) sur le milieu et la santé, et détestons les infâmes taches bleu turquoise qu'elle laisse sur les fruits. Nous avons donc cherché une alternative, autre que celle - plus bio - du purin d'ortie, à l'efficacité perceptible mais trop aléatoire.
Cette alternative, nous l'avons trouvée dans le bicarbonate de soude (qualité fine pour pâtisserie, disponible dans la plupart des magasins d'alimentation générale). En mélangeant 2,5 gr de bicarbonate de soude dans un litre d'eau, et en y ajoutant une cuillère à café de savon liquide biodégradable, nous obtenons une solution pulvérisable qui nous a apporté jusqu'à présent de grandes satisfactions et plus de sérénité.
Des amis tomatophiles - et notamment le très expérimenté Michel Loutte - nous ont confirmés des résultats aussi encourageants.
En outre, après la formidable offensive de mildiou que nous avions constaté le 23 août 2007 dans nos plants de tomates, et où nous étions persuadés d'avoir tout perdu , nous avons pu observer un véritable effet curatif également. Cela nous a permis de présenter encore une bonne trentaine de variétés anciennes, avec des fruits en parfait état, à la Fête de la tomate d'Haverskerque (Nord Pas-de-Calais) qui avait lieu le 9 septembre suivant.
Cette année, expérimentalement et pour le traitement de quelques plants seulement, nous avons remplacé le savon liquide par de l'huile de neem, dans l'espoir que ce produit phytosanitaire naturel (Il nous vient du nord de l'Inde, et dégage une odeur de cire) résiste davantage au ruissellement et fixe plus longtemps le bicarbonate de soude sur le feuillage. En effet, nous cultivons nos tomates en plein air et en pleine terre, et les trop nombreuses averses de cet été rincent rapidement le produit anticryptogamique pulvérisé sur le feuillage, malgré l'adjonction du savon fixateur. Comme nous ne souhaitons pas devoir pulvériser plus d'une fois tous les 15 jours, l'huile de neem - outre ses vertus préventives et curatives propres - nous donne pleinement satisfaction en remplacement du savon liquide. Nous pensons d'ailleurs très sérieusement, après une évaluation globale que nous dresserons en fin de saison, à généraliser cette pratique l'année prochaine.
Après le 15 août, la vigilance des jardiniers du Nord de la Loire doit être décuplée en ce qui concerne le véritable mildiou, qui, si on le laisse faire, détruira sans état d'âme leurs belles tomates des variétés tardives, celles que nous sommes presque unanimes à considérer comme inégalables en goût.
Et, pour finir, cet article de Why you don't try this.
Hungary has taken a bold stand against biotech giant Monsanto and genetic modification by destroying 1000 acres of maize found to have been grown with genetically modified seeds, according to Hungary deputy state secretary of the Ministry of Rural Development Lajos Bognar.
Unlike many European Union countries, Hungary is a nation where genetically modified (GM) seeds are banned. In a similar stance against GM ingredients, Peru has also passed a 10 year ban on GM foods.
Planetsave reports:
Almost 1000 acres of maize found
to have been ground with genetically modified seeds have been destroyed
throughout Hungary, deputy state secretary of the Ministry of Rural
Development Lajos Bognar said. The GMO maize has been ploughed under,
said Lajos Bognar, but pollen has not spread from the maize, he added.
Unlike several EU members, GMO seeds are banned in Hungary. The checks will continue despite the fact that seek traders are obliged to make sure that their products are GMO free, Bognar said.
During the invesigation, controllers have found Pioneer Monsanto products among the seeds planted.
The free movement of goods within the EU means that authorities will not investigate how the seeds arrived in Hungary, but they will check where the goods can be found, Bognar said. Regional public radio reported that the two biggest international seed producing companies are affected in the matter and GMO seeds could have been sown on up to the thousands of hectares in the country. Most of the local farmers have complained since they just discovered they were using GMO seeds.
With season already under way, it is too late to sow new seeds, so this year’s harvest has been lost.
And to make things even worse for the farmers, the company that distributed the seeds in Baranya county is under liquidation. Therefore, if any compensation is paid by the international seed producers, the money will be paid primarily to that company’s creditors, rather than the farmers.
by Anthony Gucciardi, July 26, 2011
Source: Natural Society
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A demain, René.
Eh, oui, mes chers cinq lecteurs, à part l'économie que certain font jongler, il y a les autres de l'industrie alimentaire qui vont jongler nos petits corps pour son plus grand déplaisir et pour leur très, très grand bénéfice.
Mais, n'oubliez pas, c'est de votre faute, si, ils deviennent puissants et mégalomanes.
Un Coca : 60 mn de désastre dans le corps
Rédigé par Jean-Marc Dupuis le Vendredi 31 Mai 2013 | Lu 21877 fois
Soleil, chaleur, gorge sèche. Votre main se referme sur la
canette en fer-blanc, glacée, et constellée de petites gouttes d’eau.
Vous faites pivoter l’anneau du couvercle…« Pshhht ! », c’est le
soulagement.Le liquide pétillant s’écoule à flots dans votre gorge. Le
gaz carbonique vous monte au nez,vous fait pleurer, mais c’est si bon !
Et pourtant…
Une dizaine de minutes plus tard...
Une dizaine de minutes plus tard...
La canette vide, vous avez avalé l’équivalent de 7 morceaux de sucre ! [1]
En principe, vous devriez vomir d’écœurement [2] Mais l‘acide
phosphorique contenu dans la boisson gazeuse masque le sucre par un goût
acidulé, donnant ainsi l’illusion de désaltérer. [3]
Après une vingtaine de minutes
Votre taux de sucre sanguin augmente brutalement, mettant une
première fois votre organisme à l’épreuve. Votre pancréas s’emballe,
sécrète de l’insuline en masse. Celle-ci est malgré tout vitale, elle
seule peut permettre de transformer l’énorme surplus de sucre que vous
avez dans le sang en graisse, ce que votre corps est mieux capable de
supporter. En effet, il peut stocker la graisse, certes, sous forme de
bourrelets disgracieux, mais provisoirement inoffensifs, tandis que le
glucose est pour lui un poison mortel lorsqu’il est en haute dose dans
le sang. Seul le foie est capable de stocker le glucose mais sa capacité
est très limitée.
Après une quarantaine de minutes
La grande quantité de caféine présente dans le Coca est
entièrement absorbée par votre corps. Elle dilate vos pupilles et fait
monter votre pression sanguine. Au même moment, les stocks de sucre dans
votre foie saturent, ce qui provoque le rejet du sucre dans votre sang.
Après trois quarts d’heure
Votre corps se met à produire plus de dopamine. Il s’agit
d’une hormone qui stimule le « centre du plaisir » dans le cerveau.
Notez que la même réaction se produirait si vous preniez de l’héroïne.
Et ce n’est pas le seul point commun entre le sucre et les drogues. Le sucre peut également provoquer une dépendance. A tel point qu’une étude a démontré que le sucre était plus addictif que la cocaïne. [4] Ce n’est donc pas un hasard si « l’accro » qui s’apprête à boire son Coca est aussi fébrile qu’un narcomane en manque.
Et ce n’est pas le seul point commun entre le sucre et les drogues. Le sucre peut également provoquer une dépendance. A tel point qu’une étude a démontré que le sucre était plus addictif que la cocaïne. [4] Ce n’est donc pas un hasard si « l’accro » qui s’apprête à boire son Coca est aussi fébrile qu’un narcomane en manque.
Après 1 heure
Vous entrez en chute de sucre (hypoglycémie), et votre niveau d’énergie, aussi bien physique que mental, s’effondre.
Pour éviter cette cascade de catastrophes, la seule véritable solution est de boire de l’eau.
Pour éviter cette cascade de catastrophes, la seule véritable solution est de boire de l’eau.
« Je ne suis pas une plante verte ! »
Il est difficile de se remettre à boire de l’eau quand on s’est
habitué pendant des années à des boissons sucrées ou du moins composées
(café, thé, vin, bière…).
On croit ne plus pouvoir se contenter du goût fade de l’eau. "Je ne suis pas une plante verte". "L’eau, c’est pour les bains de pied!", s’amuse-t-on à dire à table en empoignant la bouteille de vin rouge." En réalité, le mal est souvent plus profond qu’une affaire de goût. Les personnes qui rechignent à boire de l’eau sont souvent des personnes qui n’ont pas vraiment soif. Et si elles n’ont pas soif, c’est parce que, généralement, elles manquent d’exercice physique.
Lorsque vous avez bien transpiré, au travail ou au sport, boire plusieurs verres d’eau n’est pas seulement une nécessité – c’est un suprême plaisir.
On croit ne plus pouvoir se contenter du goût fade de l’eau. "Je ne suis pas une plante verte". "L’eau, c’est pour les bains de pied!", s’amuse-t-on à dire à table en empoignant la bouteille de vin rouge." En réalité, le mal est souvent plus profond qu’une affaire de goût. Les personnes qui rechignent à boire de l’eau sont souvent des personnes qui n’ont pas vraiment soif. Et si elles n’ont pas soif, c’est parce que, généralement, elles manquent d’exercice physique.
Lorsque vous avez bien transpiré, au travail ou au sport, boire plusieurs verres d’eau n’est pas seulement une nécessité – c’est un suprême plaisir.
Pourquoi arrêter le Coca
Réfléchissez-y. Après l’effort, vous pouvez aussi avoir envie de
boire un Coca-Cola ou une bière bien fraîche, mais vous vous rendrez
compte que cela ne vous procure pas un plaisir aussi intense que l’eau.
L’eau est le plaisir suprême quand on a vraiment soif, de même que,
lorsqu’on a faim, lors d’une grande promenade en montagne par exemple,
il n’y a rien de tel qu’un saucisson, qu’on ne touchera plus une fois
rentré à la maison et repris le rythme habituel.
Mais il n’y a pas que le plaisir. Boire de l’eau réduira votre consommation de toutes les substances néfastes qu’on trouve dans les sodas, à commencer par :
- l’acide phosphorique, qui interfère avec le métabolisme du calcium, et cause de l’ostéoporose ainsi qu’un ramollissement des dents et des os ;
Il n’y a aucune bonne raison de faire boire des sodas à vos enfants, sauf si vous voulez :
Augmenter leur risque de diabète ; augmenter leur risque de cancer ; leur créer une dépendance au sucre. ">Alors voilà une bonne source d’économies en ces temps difficiles : ne plus laisser aucune boisson sucrée franchir le seuil de votre maison.
Et réapprendre à boire de l’eau : commencez votre journée par boire un grand verre d’eau, avant même le petit-déjeuner. Vous ferez un merveilleux cadeau à vos reins, eux qui travaillent si dur à nettoyer votre sang toute la journée. Ils seront plus sains, plus propres, et vous vous sentirez en meilleure forme.
Source de l'article : http://www.santenatureinnovation.com/quelles-solutions/nutrition/ce-qui-arrive-dans-votre-corps-30-mn-apres-avoir-bu-un-coca/
Mais il n’y a pas que le plaisir. Boire de l’eau réduira votre consommation de toutes les substances néfastes qu’on trouve dans les sodas, à commencer par :
- l’acide phosphorique, qui interfère avec le métabolisme du calcium, et cause de l’ostéoporose ainsi qu’un ramollissement des dents et des os ;
- le sucre, facteur de diabète, maladies cardiovasculaires, inflammation chronique, arthrose, cancer ;
- l’aspartame : il y a plus de 92 effets secondaires liés à la consommation d’aspartame, dont les tumeurs cérébrales,
- l’épilepsie, la fragilité émotionnelle, le diabète ;
- l’épilepsie, la fragilité émotionnelle, le diabète ;
- la caféine, qui provoque tremblement, insomnie, maux de crâne, hypertension, déminéralisation et perte de vitamines.
Sans compter que l’acidité du Coca-Cola est désastreuse pour les dents.
Avez-vous déjà remarqué comme vos dents sont râpeuses après avoir bu du Coca-Cola ?
Plus acide que le jus de citron, il peut-être utilisé pour décaper les
pièces en métal (faites l’expérience de laisser une pièce sale de 50
centimes pendant une demi-heure dans un verre de Coca). L’émail de vos
dents devient poreux, jaunâtre, grisâtre lorsque vous buvez souvent du
Coca-Cola et c’en est la conséquence. Inutile enfin, de parler des
effets sur l’obésité : surtout chez les enfants, la consommation de
sodas augmente le risque de 60 %. Sans compter que l’acidité du Coca-Cola est désastreuse pour les dents.
Il n’y a aucune bonne raison de faire boire des sodas à vos enfants, sauf si vous voulez :
Augmenter leur risque de diabète ; augmenter leur risque de cancer ; leur créer une dépendance au sucre. ">Alors voilà une bonne source d’économies en ces temps difficiles : ne plus laisser aucune boisson sucrée franchir le seuil de votre maison.
Et réapprendre à boire de l’eau : commencez votre journée par boire un grand verre d’eau, avant même le petit-déjeuner. Vous ferez un merveilleux cadeau à vos reins, eux qui travaillent si dur à nettoyer votre sang toute la journée. Ils seront plus sains, plus propres, et vous vous sentirez en meilleure forme.
Source de l'article : http://www.santenatureinnovation.com/quelles-solutions/nutrition/ce-qui-arrive-dans-votre-corps-30-mn-apres-avoir-bu-un-coca/
Autres détails :
100 ml de coca normal = 42 kcal
100 ml de coca normal = 42 kcal
100 ml de jus d'orange = 42 kcal
100 ml de coca normal = 10,6 g de glucides
100 ml de coca normal = 10,6 g de glucides
100 ml de jus d'orange = 10 g de glucides
100 ml de coca normal = 0 g de protéines
100 ml de coca normal = 0 g de protéines
100 ml de jus d'orange = 0 g de protéines
100 ml de coca normal = 0 g de lipides
100 ml de coca normal = 0 g de lipides
La preuve ici pour le Coca
Sources :
[1] Sugar Stacks beverages, http://www.sugarstacks.com/beverages.htm
[2] What Happens to Your Body Within an Hour of Drinking a Coke,
http://articles.mercola.com/sites/articles/archive/2008/01/19/what-happens-to-your-body-within-an-hour-of-drinking-a-coke.aspx
[3] Coca-Cola une boisson dangereuse et cancérigène,
http://www.dangersalimentaires.com/2011/04/coca-cola-une-boisson-dangereuse-et-cancerigene/
[4] Intense Sweetness Surpasses Cocaine Reward,
http://www.plosone.org/article/fetchArticle.action?articleURI=info%3Adoi%2F10.1371%2Fjournal.pone.0000698
Alors, soyez conscients qu'en bout de chaîne, vous pouvez refuser encore d'acheter leur produit. Il existe encore des alternatives qu'ils tentent de faire interdire.
N'achetez plus les vêtements chez Leclerc qui refuse de discuter avec les syndicats au Bengladesh sur la sécurité et une petite augmentation de salaire. Carrefour a accepté.
Leclerc, vous savez, la grande distribution qui vous fait payer plus cher la promotion en vous faisant croire que c'est pratiquement cadeau.
Bof !
De toute façon, des molécules addictives ont été introduites dans la recette. Certaines personnes ne boivent que cela, pas d'eau, et sont malades, si, elles n'ont pas bu leur litre.
Bof !
En attendant, vous pouvez toujours signer la pétition contre Mosanto à l'adresse suivante :
http://www.avaaz.org/fr/petition/Petition_pour_labolition_de_Monsanto/?cRLujdb
Mais, passons.
En attendant que la police vienne saisir vos plants traditionnels dans vos jardins, un conseil de jardinier.
(source : les tomates de Anne et José)
19/08/2008
Le MILDIOU des tomates : comment éviter ce fléau ?
Le cauchemar du jardinier de tomates : le mildiou
(Document INRA)
Le MILDIOU des tomates : comment éviter ce fléau ?
Le mot "mildiou" fait aussi peur au tomatophiles que le mot "peste" aux populations du Moyen-âge, parce qu'il suggère "hécatombe généralisée".
Mais le terme "mildiou" est souvent employé génériquement pour désigner des maladies cryptogamiques assez différentes les unes des autres, avec cependant en commun le ravage de la future récolte. Il y a donc une certaine confusion sur le sujet.
L'agent pathogène responsable du véritable "mildiou" est le microscopique "phytophtora infestans", dont les spores sont omniprésentes dans la nature mais ne se développent que lorsque des conditions conjointes précises d'humidité et de température se mettent en place, plus précisément dans un écart fatidique qui se crée entre celles du jour et de la nuit.
On considère généralement qu'on ne peut traiter le mildiou que préventivement. Et le produit utilisé traditonnellement depuis 150 ans environ est la célèbre "bouillie bordelaise", à base de sulfate de cuivre neutralisé avec de la chaux.
Sans entrer ici dans tous les détails, Anne et moi n'utilisons plus la "bouillie bordelaise" depuis bientôt deux ans. Si rien ne nous permet de mettre en doute son efficacité, nous redoutons trop ses indubitables effets secondaires (par accumulation) sur le milieu et la santé, et détestons les infâmes taches bleu turquoise qu'elle laisse sur les fruits. Nous avons donc cherché une alternative, autre que celle - plus bio - du purin d'ortie, à l'efficacité perceptible mais trop aléatoire.
Cette alternative, nous l'avons trouvée dans le bicarbonate de soude (qualité fine pour pâtisserie, disponible dans la plupart des magasins d'alimentation générale). En mélangeant 2,5 gr de bicarbonate de soude dans un litre d'eau, et en y ajoutant une cuillère à café de savon liquide biodégradable, nous obtenons une solution pulvérisable qui nous a apporté jusqu'à présent de grandes satisfactions et plus de sérénité.
Des amis tomatophiles - et notamment le très expérimenté Michel Loutte - nous ont confirmés des résultats aussi encourageants.
En outre, après la formidable offensive de mildiou que nous avions constaté le 23 août 2007 dans nos plants de tomates, et où nous étions persuadés d'avoir tout perdu , nous avons pu observer un véritable effet curatif également. Cela nous a permis de présenter encore une bonne trentaine de variétés anciennes, avec des fruits en parfait état, à la Fête de la tomate d'Haverskerque (Nord Pas-de-Calais) qui avait lieu le 9 septembre suivant.
Cette année, expérimentalement et pour le traitement de quelques plants seulement, nous avons remplacé le savon liquide par de l'huile de neem, dans l'espoir que ce produit phytosanitaire naturel (Il nous vient du nord de l'Inde, et dégage une odeur de cire) résiste davantage au ruissellement et fixe plus longtemps le bicarbonate de soude sur le feuillage. En effet, nous cultivons nos tomates en plein air et en pleine terre, et les trop nombreuses averses de cet été rincent rapidement le produit anticryptogamique pulvérisé sur le feuillage, malgré l'adjonction du savon fixateur. Comme nous ne souhaitons pas devoir pulvériser plus d'une fois tous les 15 jours, l'huile de neem - outre ses vertus préventives et curatives propres - nous donne pleinement satisfaction en remplacement du savon liquide. Nous pensons d'ailleurs très sérieusement, après une évaluation globale que nous dresserons en fin de saison, à généraliser cette pratique l'année prochaine.
Après le 15 août, la vigilance des jardiniers du Nord de la Loire doit être décuplée en ce qui concerne le véritable mildiou, qui, si on le laisse faire, détruira sans état d'âme leurs belles tomates des variétés tardives, celles que nous sommes presque unanimes à considérer comme inégalables en goût.
Bien tomatophilement et très cordialement dévoué,
José
Et, pour finir, cet article de Why you don't try this.
Hungary Destroys All Monsanto GMO Corn Fields
Hungary has taken a bold stand against biotech giant Monsanto and genetic modification by destroying 1000 acres of maize found to have been grown with genetically modified seeds, according to Hungary deputy state secretary of the Ministry of Rural Development Lajos Bognar.
Unlike many European Union countries, Hungary is a nation where genetically modified (GM) seeds are banned. In a similar stance against GM ingredients, Peru has also passed a 10 year ban on GM foods.
Unlike several EU members, GMO seeds are banned in Hungary. The checks will continue despite the fact that seek traders are obliged to make sure that their products are GMO free, Bognar said.
During the invesigation, controllers have found Pioneer Monsanto products among the seeds planted.
The free movement of goods within the EU means that authorities will not investigate how the seeds arrived in Hungary, but they will check where the goods can be found, Bognar said. Regional public radio reported that the two biggest international seed producing companies are affected in the matter and GMO seeds could have been sown on up to the thousands of hectares in the country. Most of the local farmers have complained since they just discovered they were using GMO seeds.
With season already under way, it is too late to sow new seeds, so this year’s harvest has been lost.
And to make things even worse for the farmers, the company that distributed the seeds in Baranya county is under liquidation. Therefore, if any compensation is paid by the international seed producers, the money will be paid primarily to that company’s creditors, rather than the farmers.
by Anthony Gucciardi, July 26, 2011
Source: Natural Society
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A demain, René.
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