(blog à finir et à corriger)
Brésil, Brésil, ton peuple se révolte contre ton football et le délire de son gouvernement tellement mêlées à la classe politique qu'elle l'a toujours composée en majorité.
Car, comme dit le proverbe populaire, "Si, tu veux protéger tes intérêts, fais-toi élire par le peuple en lui faisant croire que tu vas protéger ses intérêts".
Mais, non, je mens ce proverbe n'existe pas, il reflète une réalité depuis la cité des grecs où seuls les hommes libres accédaient à la représentation politique et ne s'occupaient nullement du sort de la classe des esclaves.
Tiens donc, mes chers cinq lecteurs, on dirait que cela remonte à loin, à la définition même de la démocratie selon les grecs.
Nom de dieu, il y a encore du boulot à faire, si, depuis, ce temps là, personne n'est arrivé à libérer les esclaves, à part à leur faire changer de statut.
En tout cas, le football, plus les jeux olympiques au Brésil, tout cela va coûter un max de fric et en rapporter un max aux promoteurs et entrepreneurs.
Ah, oui, cela me rappelle la Grèce et son organisation des jeux olympiques avec des stades et des piscines et autres infrastructures qui n'ont plus servis après les jeux.
Mais, surtout, mes chers lecteurs, après la Grèce a plongé sous les coups de butoirs de Goldman Sachs !
Le Brésil, pays émergent de poids, n'est malheureusement pas si performante. Son économie stagne malgré tout ce que l'on en dit.
Le Brésil après la Grèce ?`
Mais, mon dieu, où est Goldman Sachs ?
En tout cas, en France, une ville veut faire la même que le Brésil et la Grèce. Comme ces pays, elle est endettée, connaît un chômage très important et n'a pas de perspective de croissance.
Donc, elle va encore plus s'endetter pour construire une infrastructures sportives qui sera largement sous utilisée.
En France, on n'a pas d'idée, alors, on reproduit les conneries des autres.
(source : Reporterre)
Par contre, notre gouvernement français, nous prépare à l'arrivée de la bidoche américaine en s'arrangeant pour que nous puissions connaître l'origine de la viande que nous allons acheter.
Cela prépare en fait l'accord de libre échange américano-européen qui nous permettra de manger du bovin, de l'ovin qui n'a jamais vu un pré et grossi aux hormones de croissance et aux OGM et manger du poulet lavé à la javel.
Bonjour la qualité.
Dire que les macdonalds en France tentait de nous faire croire qu'ils travaillaient sur la qualité, ils n'auront même plus à se donner cette peine.
(source : le Parisien)
Mon Dieu, y-a-t-il un ministère de l'Ecologie en France ?
En tout cas, en Bulgarie, il y en a un puisque la ministre a signé un accord pour autoriser l'exploitation de gaz de schiste. A mon avis, ils vont commencer en zone musulmane et en zone rom, histoire de les faire "chier !"
Mais, je vous rassure mes chers lecteurs, tout va bien dans le meilleur des mondes. C'est ce que doivent se dire les habitants de Civeaux, toujours en France qui vivent avec une centrale nucléaire au pas de leur porte.
(source : FR3 Poitou Charente)
Brésil, Brésil, ton peuple se révolte contre ton football et le délire de son gouvernement tellement mêlées à la classe politique qu'elle l'a toujours composée en majorité.
Car, comme dit le proverbe populaire, "Si, tu veux protéger tes intérêts, fais-toi élire par le peuple en lui faisant croire que tu vas protéger ses intérêts".
Mais, non, je mens ce proverbe n'existe pas, il reflète une réalité depuis la cité des grecs où seuls les hommes libres accédaient à la représentation politique et ne s'occupaient nullement du sort de la classe des esclaves.
Tiens donc, mes chers cinq lecteurs, on dirait que cela remonte à loin, à la définition même de la démocratie selon les grecs.
Nom de dieu, il y a encore du boulot à faire, si, depuis, ce temps là, personne n'est arrivé à libérer les esclaves, à part à leur faire changer de statut.
En tout cas, le football, plus les jeux olympiques au Brésil, tout cela va coûter un max de fric et en rapporter un max aux promoteurs et entrepreneurs.
Ah, oui, cela me rappelle la Grèce et son organisation des jeux olympiques avec des stades et des piscines et autres infrastructures qui n'ont plus servis après les jeux.
Mais, surtout, mes chers lecteurs, après la Grèce a plongé sous les coups de butoirs de Goldman Sachs !
Le Brésil, pays émergent de poids, n'est malheureusement pas si performante. Son économie stagne malgré tout ce que l'on en dit.
Le Brésil après la Grèce ?`
Mais, mon dieu, où est Goldman Sachs ?
En tout cas, en France, une ville veut faire la même que le Brésil et la Grèce. Comme ces pays, elle est endettée, connaît un chômage très important et n'a pas de perspective de croissance.
Donc, elle va encore plus s'endetter pour construire une infrastructures sportives qui sera largement sous utilisée.
En France, on n'a pas d'idée, alors, on reproduit les conneries des autres.
(source : Reporterre)
A Dunkerque, un Grand Projet Inutile de salle de sport. Signé Vinci
Guillaume Jacquemart (Arena, Non Merci)
vendredi 28 juin 2013
L’esprit de la ZAD s’empare de la Communauté Urbaine de Dunkerque (CUD). Pas pour un projet d’aéroport, non, mais pour un projet de salle de sport Arena [1] de 10.000 places. L’urgence, nous disent nos élus communautaires, est d’offrir rapidement aux deux clubs de basketball et de handball de la ville un« équipement unique, multifonctionnel et adapté […] qui doit permettre aux clubs de franchir une nouvelle étape vers le très haut niveau en se dotant de la première salle de type NBA de France ». Par ailleurs, l’enceinte sera modulaire et permettra d’accueillir des concerts et d’autres spectacles en indoor.
La salle sera construite par Vinci Construction avec l’aide de ses différentes filiales (Sogea Caroni, Dumez EPS, etc) qui a signé un contrat en partenariat public privé (PPP) avec la CUD, d’une durée de 27 ans et qui devrait coûter plus de 260 millions d’euros (prix qui inclut la conception, le financement, la construction, l’exploitation et la maintenance de l’ouvrage).
On ne peut pas vraiment dire que nos élus aient été inspirés sur le coup, tout d’abord en choisissant Vinci (accusé de corruption en Russie, ou encore de ne pas respecter le droit du travail) et ensuite, en privilégiant le PPP, contrat risqué pour les finances publiques et largement critiqué en France (Notre-Dames des Landes, Hôpital Sud Francilien) comme de l’autre-côté de la Manche (le gouvernement britannique freine désormais ce type d’initiative).
Pour que la pilule passe, les acteurs du projet font appel à l’idéologie de la communion sportive, au symbole de la « fête du sport » ou encore à l’image du territoire, qui grâce à cette salle deviendra encore plus attractif.
Mais la pilule reste coincée au fond de la gorge. Le divertissement à tout prix ne fait plus diversion. Le projet Arena a été dessiné par une oligarchie locale qui privilégie grandiose et panache, et oublie l’intérêt et les difficultés de la population locale.
L’urgence en temps de crise, ce n’est pas le sport pour un territoire dévasté par le chômage (12,6% sur l’ensemble de la CUD, 25 % dans certaines villes comme Grande-Synthe) et défiguré par l’industrie sidérurgique et les 14 sites Seveso classé seuil haut.
Il est inutile de nous bercer d’illusions en nous faisant croire qu’avec la zone commerciale qui sera afférente à l’Arena, ce seront plus de 1000 emplois qui seront créés. Ne le seront-ils pas au détriment des commerces du centre-ville de Dunkerque déjà durement affaiblis par la crise ?
A l’heure où l’enquête publique sur la salle Arena a lieu (du 17 juin au 17 juillet) nous nous efforçons en tant qu’ association d’œuvrer pour plus de démocratie et de transparence. Nous travaillons pour informer les citoyens du dunkerquois sur les vraies répercussions de ce projet, et pour proposer des alternatives concrètes qui permettraient à notre territoire d’être vraiment attractif sur le plan social et de l’emploi (transport public gratuit, rénovation thermique des bâtiments, etc).
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Note
[1] Face au prétendu retard de la France en équipements sportifs, une commission « Grand Salle Arena » (Ministère des Sports) a préconisé la construction de sept grandes salles (une de 20.000 places, une de 15.000 et cinq de 10.000 places) avec la création d’un label « Arena » ouvrant les droits à un soutien financier de l’État.
Cette commission comporte 26 membres et a demandé la collaboration d’une trentaine de personnes essentiellement des responsables sportifs, mais aussi quatre élus locaux dont Michel Delebarre, président de la Communauté Urbaine de Dunkerque.
Cela prépare en fait l'accord de libre échange américano-européen qui nous permettra de manger du bovin, de l'ovin qui n'a jamais vu un pré et grossi aux hormones de croissance et aux OGM et manger du poulet lavé à la javel.
Bonjour la qualité.
Dire que les macdonalds en France tentait de nous faire croire qu'ils travaillaient sur la qualité, ils n'auront même plus à se donner cette peine.
(source : le Parisien)
Consommation : les députés renoncent à l'étiquetage sur l'origine des viandes
Publié le 27.06.2013, 08h03 | Mise à jour : 08h30
L'Assemblée nationale a renoncé à imposer l'étiquetage de l'origine nationale des viandes, acceptant, après un long débat dans la nuit de mercredi à jeudi, d'attendre de voir si la Commission européenne allait rapidement formuler des propositions sur ce sujet.
Lors d'une discussion sur laquelle planait à la fois le scandale de la viande de cheval congelée et la colère des éleveurs, des députés UMP, PS et Front de gauche avaient déposé plusieurs amendements sur ce sujet au projet de loi sur la consommation, actuellement en première lecture à l'Assemblée.
Ces amendement rendaient obligatoire l'origine nationale de la viande, qu'elle soit consommée fraîche ou dans le cadre de produits alimentaires transformés.
Benoît Hamon veut attendre les propositions de l'Europe
Le ministre délégué à la consommation, Benoît Hamon, tout en approuvant sur le fond ces dispositions, s'y est opposé en arguant qu'elles devaient obligatoirement être décidées au niveau européen. «La France est en pointe sur ce dossier, et a décroché des soutiens auprès de plusieurs pays, malgré la position frileuse de la présidence irlandaise de l'UE et de la Commission européenne. Si le signal qui est donné est de voter une disposition contraire aux textes européens, cela mettra le gouvernement français en difficulté» dans les négociations avec ses partenaires, a-t-il plaidé.
Le ministre, soutenu par le président de la commission des affaires économiques de l'Assemblée, le socialiste François Brottes, a proposé de se rendre à Bruxelles avec une délégation de députés de tous les groupes pour plaider cette cause. Un rapport d'étape doit être rendu en juillet sur le sujet par la Commission européenne. Si celle-ci ne s'en saisit pas pour faire des propositions, «je ne m'opposerai pas alors à ce que la représentation nationale en prenne acte», a-t-il dit.
Le député socialiste Germinal Peiro a accepté de retirer son amendement, prévenant que «si rien n'avait changé lors de la seconde lecture», il le représenterait et ne le retirerait pas. Mais ses collègues des autres groupes, de l'UMP au Front de gauche, en passant par l'UDI et les écologistes, n'ont pas été convaincus. Le communiste André Chassaigne a difficilement contenu sa colère: « Ne pas gêner le ministre, attendre la 2ème lecture... ce sont des jeux parlementaires ».
Lors d'une discussion sur laquelle planait à la fois le scandale de la viande de cheval congelée et la colère des éleveurs, des députés UMP, PS et Front de gauche avaient déposé plusieurs amendements sur ce sujet au projet de loi sur la consommation, actuellement en première lecture à l'Assemblée.
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Benoît Hamon veut attendre les propositions de l'Europe
Le ministre délégué à la consommation, Benoît Hamon, tout en approuvant sur le fond ces dispositions, s'y est opposé en arguant qu'elles devaient obligatoirement être décidées au niveau européen. «La France est en pointe sur ce dossier, et a décroché des soutiens auprès de plusieurs pays, malgré la position frileuse de la présidence irlandaise de l'UE et de la Commission européenne. Si le signal qui est donné est de voter une disposition contraire aux textes européens, cela mettra le gouvernement français en difficulté» dans les négociations avec ses partenaires, a-t-il plaidé.
Le ministre, soutenu par le président de la commission des affaires économiques de l'Assemblée, le socialiste François Brottes, a proposé de se rendre à Bruxelles avec une délégation de députés de tous les groupes pour plaider cette cause. Un rapport d'étape doit être rendu en juillet sur le sujet par la Commission européenne. Si celle-ci ne s'en saisit pas pour faire des propositions, «je ne m'opposerai pas alors à ce que la représentation nationale en prenne acte», a-t-il dit.
Le député socialiste Germinal Peiro a accepté de retirer son amendement, prévenant que «si rien n'avait changé lors de la seconde lecture», il le représenterait et ne le retirerait pas. Mais ses collègues des autres groupes, de l'UMP au Front de gauche, en passant par l'UDI et les écologistes, n'ont pas été convaincus. Le communiste André Chassaigne a difficilement contenu sa colère: « Ne pas gêner le ministre, attendre la 2ème lecture... ce sont des jeux parlementaires ».
LeParisien.fr
Mon Dieu, y-a-t-il un ministère de l'Ecologie en France ?
En tout cas, en Bulgarie, il y en a un puisque la ministre a signé un accord pour autoriser l'exploitation de gaz de schiste. A mon avis, ils vont commencer en zone musulmane et en zone rom, histoire de les faire "chier !"
Mais, je vous rassure mes chers lecteurs, tout va bien dans le meilleur des mondes. C'est ce que doivent se dire les habitants de Civeaux, toujours en France qui vivent avec une centrale nucléaire au pas de leur porte.
(source : FR3 Poitou Charente)
Douze employés de la centrale nucléaire de Civaux évacués
Le personnel qui travaillait à la remise en route du réacteur n°1 a dû être évacué à la suite d'un "rayonnement transitoire".
© Maxppp
Le service de presse de la préfecture de la Vienne a confirmé l'évacuation du personnel de la centrale de Civaux qui travaillait à la remise en route du réacteur n°1, soit une douzaine de personnes. L'évacuation a eu lieu ce jeudi après-midi aux alentours de 15h. Le réacteur était en phase de maintenance avant sa remise en route lorsqu'on a constaté une source de rayonnement radioactif.
Plusieurs ouvriers ont donc été touchés par une dose de radioactivité pendant "un laps de temps très bref" selon les responsables de la centrale. L'origine de ce rejet radioactif n'a pas encore été identifié et il n'y a pas de radioactivité anormale détectée sur le reste du site.
A Civaux, Emmanuel Pedronneau, responsable du service de communication de la centrale, indique que chaque employé travaillant dans les zones potentiellement dangereuses est équipé d'un dosimètre électronique qui enregistre le niveau de rayonnement. L'un de ces hommes a donc remarqué un dépassement significatif de la dose de radiation habituelle.
Pour autant les ouvriers sont équipés d'un deuxième détecteur passif, une sorte de film qui doit être développé comme une pellicule de photographie et qui dévoile tous les montants de radioactivité subis par celui qui le porte.
"Ces films sont en phase de développement", indique Emmanuel Pedronneau, "et tant que nous n'aurons pas la confirmation des premiers résultats enregistrés par les dosimètres électroniques, nous avons un doute sur la réalité d'un rejet radioactif".
L'Agence de Sûreté Nucléaire surveille de près l'évolution de la situation. Elle avait récemment épinglé dans un rapport la centrale de Civaux pour son manque de rigueur."
Plusieurs ouvriers ont donc été touchés par une dose de radioactivité pendant "un laps de temps très bref" selon les responsables de la centrale. L'origine de ce rejet radioactif n'a pas encore été identifié et il n'y a pas de radioactivité anormale détectée sur le reste du site.
Comment la radioactivité a-t-elle été détectée ?
A Civaux, Emmanuel Pedronneau, responsable du service de communication de la centrale, indique que chaque employé travaillant dans les zones potentiellement dangereuses est équipé d'un dosimètre électronique qui enregistre le niveau de rayonnement. L'un de ces hommes a donc remarqué un dépassement significatif de la dose de radiation habituelle.Pour autant les ouvriers sont équipés d'un deuxième détecteur passif, une sorte de film qui doit être développé comme une pellicule de photographie et qui dévoile tous les montants de radioactivité subis par celui qui le porte.
"Ces films sont en phase de développement", indique Emmanuel Pedronneau, "et tant que nous n'aurons pas la confirmation des premiers résultats enregistrés par les dosimètres électroniques, nous avons un doute sur la réalité d'un rejet radioactif".
L'Agence de Sûreté Nucléaire surveille de près l'évolution de la situation. Elle avait récemment épinglé dans un rapport la centrale de Civaux pour son manque de rigueur."
J'espère que vous remarquez mes chers lecteurs que le clocher de l'église est pratiquement à la cheminée de la centrale. Moi, à leur place, j'aurais plutôt la trouille, vu les dangers sanitaires prouvés d'une cohabitation avec une centrale nucléaire. Encore plus avec des puits d'extraction de gaz de schiste que va nous imposer bientôt le président français.
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