Salut au peuple américain. Souviens-toi que tes gros industriels ont fait une réunion au Mexique dans les années 1950 avec un aréopage d'éminents psychiatres. Le but : Développer des techniques de manipulation de masse !
Dites-moi, mes chers cinq lecteurs, n'en ont-ils marre d'empoisonner la planète avec leur saloperie toutes ces boîtes de l'agro-alimentaire et de l'industrie chimique, sans compter l'industrie alimentaire.
Au final, c'est la nature qui perdura, sauf que nous n'en ferons peut-être plus parti ou alors dans un état proche de l'Ohio.
(source : le Monde Planèt
UNE ADAPTATION INÉLUCTABLE
Trois des cinq cas de résistance ont été recensés aux Etats-Unis, qui abritent la moitié des surfaces d'OGM produisant la protéine Bt, les deux autres en Afrique du Sud et en Inde. Un autre cas de résistance a été repéré aux Etats-Unis mais moins de 50 % des insectes du champ étaient devenus résistants.
Dans ce contexte, les scientifiques ont aussi démontré que le délai de survenue de la résistance variait de manière significative en fonction des pratiques agricoles. Dans le pire des cas, les signes de résistance sont apparus au bout de deux ou trois ans, alors que dans d'autres cas les plantes OGM étaient toujours efficaces contre les ravageurs quinze ans plus tard.
La différence vient de la pratique ou pas de "zones refuges", soit des parcelles de plants non OGM plantés à côté de champs OGM. Cette configuration réduit la probabilité que deux insectes résistants se reproduisent en transmettant chacun le gène de la protéine Bt. Pour qu'un insecte naisse résistant, il faut que ses deux parents lui transmettent le gène de la protéine. Les auteurs de l'étude estiment qu'une adaptation des ravageurs aux plants OGM Bt est inéluctable mais que les zones refuges permettent de la ralentir."
Eh, oui, mes chers lecteurs, la nature résiste, par contre en ce qui nous concerne, "ILS" réussissent à modifier notre métabolisme. Encore que nous, même atteint, nous gardons encore un peu de ce fut le libre arbitre de nos grands parents, mais, nos enfants et surtout nos petits enfants, risquent de n'être plus que des légumes intellectuels.
Et, effectivement, ils auront gagner. Mais, gagner quoi, je ne saisis pas très bien.
Bien sûr, diminuer la population mondiale en ne conservant que des spécimens juste assez demeurés pour obéir aux ordres.
Naturellement, leur descendance à eux est très largement protégé ne dégustant pas ce qu'ils nous vendent et se faisant sans doute soigner autrement.
(source : Nature to share)
Des parlementaires ont jeté jeudi 6 juin un
pavé dans la mare sur l'épineux dossier du gaz de schiste, avec un
rapport favorable à une exploration et une exploitation "maîtrisées" de
cette ressource énergétique qui divise, perspective pourtant rejetée par
le gouvernement.
"La fracturation hydraulique reste la technique la plus efficace et la
mieux maîtrisée pour extraire les hydrocarbures non conventionnels, et
(...) des solutions existent pour le faire avec un impact acceptable sur
l'environnement, à condition de respecter quelques règles", écrivent le
député PS Christian Bataille et le sénateur UMP Jean-Claude Lenoir,
co-rapporteurs de ce texte. (Sipa)
FAVORABLE. Des parlementaires ont jeté jeudi 6 mai 2013 un pavé dans la mare sur l'épineux dossier du gaz de schiste, avec un rapport favorable à une exploration et une exploitation "maîtrisées" de cette ressource énergétique qui divise, perspective pourtant rejetée par le gouvernement.
Ils avaient été chargés en début d'année d'étudier les "techniques alternatives" à la fracturation hydraulique par l'Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques (Opecst), organisme qui rassemble des élus de tous bords.
Infographie: Damien Hypolite pour Sciences et Avenir
Leur rapport d'étape avance que la fracturation hydraulique aurait déjà été utilisée en France "à au moins 45 reprises" entre les années 1980 et l'interdiction de 2011, "sans qu'aucun dommage n'ait été signalé".
La position des parlementaires est en opposition frontale avec celle de la ministre de l'Écologie Delphine Batho, opposée à toute exploitation de cette forme d'énergie fossile. Lors d'un débat radio-télévisé mercredi avec la dirigeante patronale Laurence Parisot, qui a dit voir dans le gaz de schiste une possibilité pour "relancer l'économie" française, Mme Batho avait réaffirmé que son exploitation comme aux États-Unis "n'est ni possible ni souhaitable" en France, et prôné à la place des investissements massifs "dans les économies d'énergies et les énergies renouvelables".
Tout en réaffirmant l'interdiction de la fracturation hydraulique, le président de la République François Hollande avait quant à lui dit fin 2012 qu'il "prendr(ait) ses responsabilités" si une nouvelle technique respectueuse de l'environnement apparaissait, suscitant des inquiétudes chez les écologistes.
"IRRESPONSABLE". "Il est absolument irresponsable, de la part des décideurs parlementaires de notre pays d'envisager de poursuivre dans la voie de ce qui a déjà démontré ses failles dans les pays qui ont expérimenté la fracturation", a dénoncé quant à elle Elisabelle Bourgue, présidente de l'association No Fracking France, évoquant une situation similaire à "celle qui a précédé le scandale de l'amiante".
"Combien de contaminations, de pollutions, de malades et de morts devront être recensés pour que les décisions soient prises en faveur de l'intérêt général, de la santé des populations, des animaux et de la préservation de la ressource en eau et de l'environnement", s'est-elle insurgée.
Olivier Lascar avec AFP, Sciences et Avenir, 6/06/13
À LIRE AUSSI. 6 termes essentiels à connaître sur le gaz de s
Et, oui, mes chers lecteurs, la stratégie d'encerclement par l'Europe se fera avec l'accord des députés socialistes et de ce gouvernement. Tout cela pour que cela finisse par une phrase, "C'est l'Europe, nous n'y pouvons rien !"
Sauf que je me demande ce qu'il peut ce Hollande ?
Rien ! voilà ce qu'il peut, tout simplement parce qu'il ne le veut pas et "que laisser les français se faire enculer" par les banques, les multinationales pharmaceutiques, alimentaires, chimiques, énergétiques, cela lui va très bien. Comme ça, il a l'impression que la croissance va revenir et qu'en plus, il compte bien nous le faire croire.
Bon, mais, passons et pour une fois, je vais finir par une rumeur malveillante. Je dis bien rumeur parce que je n'ai pas retrouvé l'article ou le papier à l'origine de cette rumeur.
Donc, il paraîtrait que les éleveurs bretons mélange des hormones au lait bio pour le discréditer.
Ah, là, là, vous vous rendez compte de la méchanceté des gens, mettre sur le dos de nos honnêtes éleveurs industriels de si sales intentions !
Et, cela tout pour aujourd'hui.
Naturellement, je m'excuse auprès des éleveurs bretons, mais, je voulais qu'ils soient au courant pour mieux se défendre contre les malveillants.
A bientôt.
René.
Dites-moi, mes chers cinq lecteurs, n'en ont-ils marre d'empoisonner la planète avec leur saloperie toutes ces boîtes de l'agro-alimentaire et de l'industrie chimique, sans compter l'industrie alimentaire.
Au final, c'est la nature qui perdura, sauf que nous n'en ferons peut-être plus parti ou alors dans un état proche de l'Ohio.
(source : le Monde Planèt
La résistance des insectes ravageurs s'accroît face aux plantes OGM
Il existe de plus en plus de cas d'insectes résistant à la protéine Bt de plantes génétiquement modifiées pour être protégées contre leurs attaques, affirme une étude publiée lundi 10 juin dans Nature Biotechnology. Les auteurs de ces travaux ont passé en revue 77 études conduites dans huit pays et cinq continents à partir de données issues de champs abritant des OGM, principalement du maïs et du coton.
Des plantes sont génétiquement modifiées pour développer une protéine bactérienne (bacillus thuringiensis, Bt) qui est toxique pour les ravageurs. Sur les treize types de ravageurs étudiés, cinq espèces étaient devenues résistantes en 2011, contre une seule en 2005. Le ravageur est considéré comme résistant lorsque plus de 50 % des insectes d'un champ ont développé cette résistance. Sur les cinq insectes résistants, trois s'attaquent aux champs de coton et deux aux cultures de maïs.UNE ADAPTATION INÉLUCTABLE
Trois des cinq cas de résistance ont été recensés aux Etats-Unis, qui abritent la moitié des surfaces d'OGM produisant la protéine Bt, les deux autres en Afrique du Sud et en Inde. Un autre cas de résistance a été repéré aux Etats-Unis mais moins de 50 % des insectes du champ étaient devenus résistants.
Dans ce contexte, les scientifiques ont aussi démontré que le délai de survenue de la résistance variait de manière significative en fonction des pratiques agricoles. Dans le pire des cas, les signes de résistance sont apparus au bout de deux ou trois ans, alors que dans d'autres cas les plantes OGM étaient toujours efficaces contre les ravageurs quinze ans plus tard.
La différence vient de la pratique ou pas de "zones refuges", soit des parcelles de plants non OGM plantés à côté de champs OGM. Cette configuration réduit la probabilité que deux insectes résistants se reproduisent en transmettant chacun le gène de la protéine Bt. Pour qu'un insecte naisse résistant, il faut que ses deux parents lui transmettent le gène de la protéine. Les auteurs de l'étude estiment qu'une adaptation des ravageurs aux plants OGM Bt est inéluctable mais que les zones refuges permettent de la ralentir."
Eh, oui, mes chers lecteurs, la nature résiste, par contre en ce qui nous concerne, "ILS" réussissent à modifier notre métabolisme. Encore que nous, même atteint, nous gardons encore un peu de ce fut le libre arbitre de nos grands parents, mais, nos enfants et surtout nos petits enfants, risquent de n'être plus que des légumes intellectuels.
Et, effectivement, ils auront gagner. Mais, gagner quoi, je ne saisis pas très bien.
Bien sûr, diminuer la population mondiale en ne conservant que des spécimens juste assez demeurés pour obéir aux ordres.
Naturellement, leur descendance à eux est très largement protégé ne dégustant pas ce qu'ils nous vendent et se faisant sans doute soigner autrement.
(source : Nature to share)
Le mouvement « Russie sans OGM » gagne du terrain dans le pays.
Les organisateurs ont lancé une pétition pour tenter de rendre la Russie une zone exempte d’OGM.
« Les gens doivent pouvoir choisir quels produits acheter. Nous croyons que la présence d’OGM doit être indiquée sur les emballages », estime la directrice de l’Association nationale russe de sécurité génétique (OAGB), Elena Charoïkina.
« Notre action a réuni près de 50 personnes, les autorités moscovites n’ayant autorisé qu’une manifestation, et non pas une marche que nous avions initialement envisagée. Toutefois, plusieurs millions de personnes dans plus de 400 villes de 58 pays sont descendus ce jour-là dans les rues ».
En ce qui concerne la pétition, les écologistes espèrent recueillir un million de signatures avant de soumettre le document au président russe Vladimir Poutine pour lui demander de laisser les OGM en dehors du pays et de garder l’étiquetage obligatoire des produits « inhabituels ».
« Nous voulons juste être prudents. Par exemple, les expérimentations sur des hamsters sont assez alarmantes. Les animaux nourris aux OGM ont cessé de se reproduire à la deuxième génération. Bien évidemment, les conséquences néfastes ne peuvent pas s’appliquer nécessairement toutes sur l’homme, mais il faut quand même se pencher sur les résultats », explique Mme Charoïkina.
Actuellement, plus de 150 territoires du monde, dont la Bulgarie, la Serbie et la Suisse, sont exempts d’OGM. Mme Charoïkina se dit persuadée que les autorités russes seront obligées de prendre en considération l’avis d’un million de citoyens.
Le problème principal est quand même que les écologistes ne peuvent pas confirmer clairement les dangers des OGM : pour l’instant, ils ne peuvent évoquer que l’incertitude et l’éventualité. Toutes les expérimentations mises en place jusqu’à présent ont été menées sur des rats, des souris et des hamsters.
Bien que les résultats alarmants obtenus ne puissent être appliqués sur l’homme dans leur ensemble, ils provoquent cependant une angoisse profonde. Toutefois, comme l’a affirmé le chef du Conseil public auprès du ministère russe de l’Agriculture et président de la compagnie d’État « Rousskie fermy » (Fermes russes), Andreï Danilenko, le consommateur russe est mal renseigné, croit tout ce qu’on lui dit et il reste assez imprudent dans le choix de ses aliments.
Section spéciale : OMC
Les citoyens russes prennent en compte la date de péremption plutôt que le contenu. Par exemple, la Moscovite Elena est persuadée que si un produit est présent dans un magasin, il a déjà passé tous les tests nécessaires et peut être acheté. Evgueni et Olga, autres habitants de la capitale, disent pour leur part qu’ils examinent attentivement les étiquettes et sont inquiétés par la présence d’OGM.
« Un produit peut contenir n’importe quoi! Il est particulièrement difficile de trouver du vrai lait, voilà, par exemple, pourquoi certaines marques de lait peuvent être conservées durant huit mois ? », dit Olga. « Je choisis soigneusement ce que j’achète ».
Evgueni, lui aussi, hésite d’acheter des produits contenant des OGM, mais prête plutôt l’attention sur la date de péremption.
Le célèbre écrivain russe Léonid Kaganov dit pour sa part qu’il voudrait bien manger des produits « de nouvelle génération », car, principalement ils se transforment complètement en éléments nutritifs dans l’estomac. Pour le corps, manger une orange portant un gène transféré du saumon ou une orange avec du saumon - ça revient au même.
M.Danilenko estime que les gens ont peur des produits contenant des OGM car il n’existe à présent aucune preuve concluante quant à leur innocuité, ni à leur nocivité. Le génie génétique donne des résultats qui n’auraient jamais pu être obtenus par la sélection artificielle.
« Les entrepreneurs utilisent des OGM car c’est très profitable. Les plantes génétiquement modifiées sont plus résistantes aux insectes et donnent des rendements plus élevés dans le mêmes conditions », dit l’expert. « Les cultures OGM sont utilisées aux États-Unis, en Amérique latine et en Ukraine. Et je suis sûr qu’il existe une contrebande de semences OGM en Russie ».
D’après M.Danilenko, personne ne pourra interdire aux entrepreneurs russes de cultiver des plantes de nouvelle génération après la levée de l’embargo sur les OGM. L’expert estime cependant que la Russie peut, grâce à ses vastes territoires, produire tous les aliments nécessaires sans utiliser les OGM : « Nous possédons plus de 20% des terres arables du monde et le problème de manque de territoire n’existe pas chez nous ».
Un fermier bio à l’assaut des gros propriétaires
Toutefois, pour le faire, il faut renforcer le développement de la sélection artificielle dans le pays, car la majorité des semences utilisées en Russie sont actuellement importées.
« Avec le développement de la sélection artificielle, il est nécessaire de mettre en place un système de surveillance de la présence des OGM dans les produits. Il existe aujourd’hui des moyens efficaces pour le faire », dit M.Danilenko. « Nous pouvons nous permettre de produire des aliments exempts d'OGM ».
Quant aux scientifiques, ils ne voient aucun mal dans les OGM. Le chef du centre de nanobiotechnologies de l’Université nationale agraire de Russie, Valery Glazko se dit persuadé que les nouvelles plantes permettront finalement de mettre fin à la famine et d’obtenir une nouvelle génération de personnes plus intelligentes.
« Si une femme enceinte a un régime alimentaire non-approprié qui provoque une diminution de l’hémoglobine, son enfant n’aura pas la capacité de prendre des décisions. Les capacités d’adaptation seront là, mais son cerveau ne se développera pas », dit le biologiste. « Les OGM pourront donc nous sauver ».
Bien que l’organisme humain comporte d’ores et déjà des erreurs dans le code génétique, elles ne nous empêchent pas de vivre. A titre d’exemple, le virus de l’herpès est intégré dans l’ADN et représente effectivement une modification génétique. « La famine est aussi dangereuse que le terrorisme.
Nous sommes devant le choix : cannibalisme ou OGM », estime le scientifique."
A part cela, je me pose une question, c'est l'aviation américaine qui est mise en cause dans les épandages aérien de produits toxiques (chemtrails), c'est l'aviation américaine qui est souvent mise en cause dans le déroulement des attentas qui ont conduit à l'effondrement des twins towers, en autre, un certain 11 septembre.
Qu'est-ce que cela veut dire ?
Rien, c'est tout, je me pose juste une question.
Bon, vous me direz que je peux constater depuis que les industries gazières et pétrolières commencent à sortir la grosse artillerie et qu'elles développent une stratégie pour aussi passer par l'Europe pour obliger la France à laisser l'extraction par fracturation se faire au cas où elle ait énoncé un refus sous la pression populaire. Surtout en ces périodes électorales qui s'annoncent.
(source : Sciences et Avenir)
Les organisateurs ont lancé une pétition pour tenter de rendre la Russie une zone exempte d’OGM.
« Les gens doivent pouvoir choisir quels produits acheter. Nous croyons que la présence d’OGM doit être indiquée sur les emballages », estime la directrice de l’Association nationale russe de sécurité génétique (OAGB), Elena Charoïkina.
« Notre action a réuni près de 50 personnes, les autorités moscovites n’ayant autorisé qu’une manifestation, et non pas une marche que nous avions initialement envisagée. Toutefois, plusieurs millions de personnes dans plus de 400 villes de 58 pays sont descendus ce jour-là dans les rues ».
En ce qui concerne la pétition, les écologistes espèrent recueillir un million de signatures avant de soumettre le document au président russe Vladimir Poutine pour lui demander de laisser les OGM en dehors du pays et de garder l’étiquetage obligatoire des produits « inhabituels ».
« Nous voulons juste être prudents. Par exemple, les expérimentations sur des hamsters sont assez alarmantes. Les animaux nourris aux OGM ont cessé de se reproduire à la deuxième génération. Bien évidemment, les conséquences néfastes ne peuvent pas s’appliquer nécessairement toutes sur l’homme, mais il faut quand même se pencher sur les résultats », explique Mme Charoïkina.
Actuellement, plus de 150 territoires du monde, dont la Bulgarie, la Serbie et la Suisse, sont exempts d’OGM. Mme Charoïkina se dit persuadée que les autorités russes seront obligées de prendre en considération l’avis d’un million de citoyens.
Le problème principal est quand même que les écologistes ne peuvent pas confirmer clairement les dangers des OGM : pour l’instant, ils ne peuvent évoquer que l’incertitude et l’éventualité. Toutes les expérimentations mises en place jusqu’à présent ont été menées sur des rats, des souris et des hamsters.
Bien que les résultats alarmants obtenus ne puissent être appliqués sur l’homme dans leur ensemble, ils provoquent cependant une angoisse profonde. Toutefois, comme l’a affirmé le chef du Conseil public auprès du ministère russe de l’Agriculture et président de la compagnie d’État « Rousskie fermy » (Fermes russes), Andreï Danilenko, le consommateur russe est mal renseigné, croit tout ce qu’on lui dit et il reste assez imprudent dans le choix de ses aliments.
Section spéciale : OMC
Les citoyens russes prennent en compte la date de péremption plutôt que le contenu. Par exemple, la Moscovite Elena est persuadée que si un produit est présent dans un magasin, il a déjà passé tous les tests nécessaires et peut être acheté. Evgueni et Olga, autres habitants de la capitale, disent pour leur part qu’ils examinent attentivement les étiquettes et sont inquiétés par la présence d’OGM.
« Un produit peut contenir n’importe quoi! Il est particulièrement difficile de trouver du vrai lait, voilà, par exemple, pourquoi certaines marques de lait peuvent être conservées durant huit mois ? », dit Olga. « Je choisis soigneusement ce que j’achète ».
Evgueni, lui aussi, hésite d’acheter des produits contenant des OGM, mais prête plutôt l’attention sur la date de péremption.
Le célèbre écrivain russe Léonid Kaganov dit pour sa part qu’il voudrait bien manger des produits « de nouvelle génération », car, principalement ils se transforment complètement en éléments nutritifs dans l’estomac. Pour le corps, manger une orange portant un gène transféré du saumon ou une orange avec du saumon - ça revient au même.
M.Danilenko estime que les gens ont peur des produits contenant des OGM car il n’existe à présent aucune preuve concluante quant à leur innocuité, ni à leur nocivité. Le génie génétique donne des résultats qui n’auraient jamais pu être obtenus par la sélection artificielle.
« Les entrepreneurs utilisent des OGM car c’est très profitable. Les plantes génétiquement modifiées sont plus résistantes aux insectes et donnent des rendements plus élevés dans le mêmes conditions », dit l’expert. « Les cultures OGM sont utilisées aux États-Unis, en Amérique latine et en Ukraine. Et je suis sûr qu’il existe une contrebande de semences OGM en Russie ».
D’après M.Danilenko, personne ne pourra interdire aux entrepreneurs russes de cultiver des plantes de nouvelle génération après la levée de l’embargo sur les OGM. L’expert estime cependant que la Russie peut, grâce à ses vastes territoires, produire tous les aliments nécessaires sans utiliser les OGM : « Nous possédons plus de 20% des terres arables du monde et le problème de manque de territoire n’existe pas chez nous ».
Un fermier bio à l’assaut des gros propriétaires
Toutefois, pour le faire, il faut renforcer le développement de la sélection artificielle dans le pays, car la majorité des semences utilisées en Russie sont actuellement importées.
« Avec le développement de la sélection artificielle, il est nécessaire de mettre en place un système de surveillance de la présence des OGM dans les produits. Il existe aujourd’hui des moyens efficaces pour le faire », dit M.Danilenko. « Nous pouvons nous permettre de produire des aliments exempts d'OGM ».
Quant aux scientifiques, ils ne voient aucun mal dans les OGM. Le chef du centre de nanobiotechnologies de l’Université nationale agraire de Russie, Valery Glazko se dit persuadé que les nouvelles plantes permettront finalement de mettre fin à la famine et d’obtenir une nouvelle génération de personnes plus intelligentes.
« Si une femme enceinte a un régime alimentaire non-approprié qui provoque une diminution de l’hémoglobine, son enfant n’aura pas la capacité de prendre des décisions. Les capacités d’adaptation seront là, mais son cerveau ne se développera pas », dit le biologiste. « Les OGM pourront donc nous sauver ».
Bien que l’organisme humain comporte d’ores et déjà des erreurs dans le code génétique, elles ne nous empêchent pas de vivre. A titre d’exemple, le virus de l’herpès est intégré dans l’ADN et représente effectivement une modification génétique. « La famine est aussi dangereuse que le terrorisme.
Nous sommes devant le choix : cannibalisme ou OGM », estime le scientifique."
A part cela, je me pose une question, c'est l'aviation américaine qui est mise en cause dans les épandages aérien de produits toxiques (chemtrails), c'est l'aviation américaine qui est souvent mise en cause dans le déroulement des attentas qui ont conduit à l'effondrement des twins towers, en autre, un certain 11 septembre.
Qu'est-ce que cela veut dire ?
Rien, c'est tout, je me pose juste une question.
Bon, vous me direz que je peux constater depuis que les industries gazières et pétrolières commencent à sortir la grosse artillerie et qu'elles développent une stratégie pour aussi passer par l'Europe pour obliger la France à laisser l'extraction par fracturation se faire au cas où elle ait énoncé un refus sous la pression populaire. Surtout en ces périodes électorales qui s'annoncent.
(source : Sciences et Avenir)
Gaz de schiste: des parlementaires lui disent "oui"
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Selon les premières conclusions du rapport dirigé par Christian Bataille (PS) et Jean-Claude Lenoir (UMP), la fracturation hydraulique reste "la technique la plus efficace et la mieux maîtrisée pour extraire les hydrocarbures non conventionnels". Avec notre infographie.
FAVORABLE. Des parlementaires ont jeté jeudi 6 mai 2013 un pavé dans la mare sur l'épineux dossier du gaz de schiste, avec un rapport favorable à une exploration et une exploitation "maîtrisées" de cette ressource énergétique qui divise, perspective pourtant rejetée par le gouvernement.
La fracturation hydraulique déjà utilisée en France "à au moins 45 reprises" et "sans aucun dommage"
"La fracturation hydraulique reste la technique la plus efficace et la mieux maîtrisée pour extraire les hydrocarbures non conventionnels et (...) des solutions existent pour le faire avec un impact acceptable sur l'environnement, à condition de respecter quelques règles", écrivent le député PS Christian Bataille et le sénateur UMP Jean-Claude Lenoir, co-rapporteurs de ce texte.Ils avaient été chargés en début d'année d'étudier les "techniques alternatives" à la fracturation hydraulique par l'Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques (Opecst), organisme qui rassemble des élus de tous bords.
Infographie: Damien Hypolite pour Sciences et Avenir
Leur rapport d'étape avance que la fracturation hydraulique aurait déjà été utilisée en France "à au moins 45 reprises" entre les années 1980 et l'interdiction de 2011, "sans qu'aucun dommage n'ait été signalé".
La position des parlementaires est en opposition frontale avec celle de la ministre de l'Écologie Delphine Batho, opposée à toute exploitation de cette forme d'énergie fossile. Lors d'un débat radio-télévisé mercredi avec la dirigeante patronale Laurence Parisot, qui a dit voir dans le gaz de schiste une possibilité pour "relancer l'économie" française, Mme Batho avait réaffirmé que son exploitation comme aux États-Unis "n'est ni possible ni souhaitable" en France, et prôné à la place des investissements massifs "dans les économies d'énergies et les énergies renouvelables".
Tout en réaffirmant l'interdiction de la fracturation hydraulique, le président de la République François Hollande avait quant à lui dit fin 2012 qu'il "prendr(ait) ses responsabilités" si une nouvelle technique respectueuse de l'environnement apparaissait, suscitant des inquiétudes chez les écologistes.
Le rapport déclenche un tir nourri de critiques
Des collectifs régionaux d'ONG ont d'ores et déjà dénoncé une approche "qui vise à réduire le débat public à la dimension strictement technique" des hydrocarbures non conventionnels, alors que "leur exploitation accélère dramatiquement le réchauffement climatique"."IRRESPONSABLE". "Il est absolument irresponsable, de la part des décideurs parlementaires de notre pays d'envisager de poursuivre dans la voie de ce qui a déjà démontré ses failles dans les pays qui ont expérimenté la fracturation", a dénoncé quant à elle Elisabelle Bourgue, présidente de l'association No Fracking France, évoquant une situation similaire à "celle qui a précédé le scandale de l'amiante".
"Combien de contaminations, de pollutions, de malades et de morts devront être recensés pour que les décisions soient prises en faveur de l'intérêt général, de la santé des populations, des animaux et de la préservation de la ressource en eau et de l'environnement", s'est-elle insurgée.
Olivier Lascar avec AFP, Sciences et Avenir, 6/06/13
À LIRE AUSSI. 6 termes essentiels à connaître sur le gaz de s
Et, oui, mes chers lecteurs, la stratégie d'encerclement par l'Europe se fera avec l'accord des députés socialistes et de ce gouvernement. Tout cela pour que cela finisse par une phrase, "C'est l'Europe, nous n'y pouvons rien !"
Sauf que je me demande ce qu'il peut ce Hollande ?
Rien ! voilà ce qu'il peut, tout simplement parce qu'il ne le veut pas et "que laisser les français se faire enculer" par les banques, les multinationales pharmaceutiques, alimentaires, chimiques, énergétiques, cela lui va très bien. Comme ça, il a l'impression que la croissance va revenir et qu'en plus, il compte bien nous le faire croire.
Bon, mais, passons et pour une fois, je vais finir par une rumeur malveillante. Je dis bien rumeur parce que je n'ai pas retrouvé l'article ou le papier à l'origine de cette rumeur.
Donc, il paraîtrait que les éleveurs bretons mélange des hormones au lait bio pour le discréditer.
Ah, là, là, vous vous rendez compte de la méchanceté des gens, mettre sur le dos de nos honnêtes éleveurs industriels de si sales intentions !
Et, cela tout pour aujourd'hui.
Naturellement, je m'excuse auprès des éleveurs bretons, mais, je voulais qu'ils soient au courant pour mieux se défendre contre les malveillants.
A bientôt.
René.
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