samedi 19 février 2011

"Dieu est grand, mais la forêt est encore plus grande." Proverbe Brésilien. Ce qui me fait monter cette réflexion, "Oui, mais, plus pour très longtemps !"

Salut à tous ceux qui ont su détourner facebook pour faire la révolution. Une leçon que devrait retenir, en France, le NPA de Besancent qui reste toujours accrocher à de vieux schémas.

Tiens donc, la plus grande inondation du siècle n'en serait responsable que des 3/4 d'une et l'humain du reste.
Ce qui signifierait que les responsables du barrage n'auraient considéré que leur intérêt, sans tenir compte de celui de la population. Qu'ils auraient par défaut mis en danger la vie des gens, 22 morts, en l'occurence.
Il y a longtemps que je dis, que l'industrialisation à outrance, non seulement, détruit la planète, détourne les mécanismes démocratiques en leur faveur,s'approprie des ressources des états et en plus tuent la vie.
L'épyphénomène du barrage démontre que ces sociétés n'en ont rien à foutre de la vie des gens.
De même, pour les sociétés d'exploitation du pétrole fossile, du pétrole bitumineux et du gaz ou pétrole schisteux. Pourtant, du pétrole fossile, il en reste. Pourtant, du gaz conventiel, il y en a à foison.
Alors, pourquoi, le prix à la pompe augmente à tel point que je ne pourrais bientôt utiliser ma voiture que pour aller au travail.
Alors, pourquoi, la facture de gaz augmente à ce point.
La spéculation ?
Que nenni, mes trois chers lecteurs, il s'agit simplement d'entente entre les principaux groupes du secteur pour faire payer au consommateur la différence de coût.
Car, il n'y a aucune raison économiquement valable à l'exploitation des énergies non conventionnelles. A part, comme, je le dis, une entente des grands groupes d'exploitation qui peuvent même intervenir sur le marché boursier pour faire monter les cours.
A mon avis, ils le font pour justifier les augmentations à la pompe et les factures aux consommateurs de gaz.
Ceux qui sont victimes, c'est nous et notre environnement !
Et, pour les combattre, nous, consommateurs, nous devrions nous allier avec les producteurs d'énergies fossiles. Même, si, une telle alliance peut paraîte bizarre, nous avons des intérêts en commun.
Et, surtout, combattre cette arnaque qui consiste à reporter sur la facture aux consommateurs les investissements des grands groupes industriels. Déja que l'état nous roule en copiant sur eux. Il faudra bien que cela s'arrête un jour.

(source : Les Nouvelles Calédoniennes)

"Tirs de barrage sur Wivenhoe
Pacifique- Australie. Mer 16 Fév 2011

Depuis plusieurs jours, une question taraude les habitants du Queensland. De Brisbane à Toowoomba, en passant par la vallée martyre de Lockyer, la même interrogation surgit : et si les inondations avaient été évitables ?

La polémique enfle aussi vite que les flots qui ont tout emporté sur leur passage le 10 janvier dernier et le doute s’insinue à mesure que filtrent les informations sur la gestion du barrage de Wivenhoe au plus fort de la crise. Beaucoup d’experts indépendants sont de plus en plus convaincus que le mur d’eau de 20 mètres qui a nettoyé les vallées, pour causer en quelques heures la mort de 22 personnes, « n’est pas seulement dû aux pluies diluviennes, mais bien aux 200 milliards de litres d’eau relâchés en urgence par le barrage les jours précédant la catastrophe », avance Michael O’Brien, ingénieur hydrologue à Brisbane.
Résidents. Construit au lendemain des inondations record de 1974, pour justement éviter un nouveau désastre, le barrage de Wivenhoe « n’a visiblement pas rempli sa fonction », constate l’éleveur Russel Bernitt, dont la propriété est installée au bord des 7 000 kilomètres carrés du lac artificiel qui approvisionne en eau Brisbane et sa région. La faute à l’opérateur du barrage, la SEQ Water, dont les dirigeants ont semble-t-il refusé d’écouter les avertissements des résidents, pourtant alarmés par la montée des eaux. « Ils n’étaient pas intéressés par ce que nous pouvions dire, puisque cela n’était pas dans leur manuel », s’agace encore Russel Bernitt."

Voilà, cela sera tout pour aujourd'hui, je ne finis pas ma réflexion parce qu'il y a trop de pannes d'électricité dans cette maison.
A bientôt.
René.

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