(blog à finir)
Mais, que passe-t-il donc en France ?
Notre président national se déclare dans son dernier discours parmi tant d'autres du côté des peuples arabes, prêt à les aider de multiples manières, alors, qu'en France, il est du côté des riches.
Il se déclare prêt pour l'enseignement, la formation et des plus douloureuses et j'en passe, alors qu'ici, en France, l'état s'en désengage privilégiant ainsi l'enseignement et les formations privées.
Qu'est-ce que cela veut dire, qu'il va faire chez les autres ce qu'il ne fait surtout pas chez lui ?
Maintenant, il veut forcer les gens à être soigné sous contrainte. Bon, je veux bien qu'il y aît des fous qui traînent dans les rues. Mais, les fous traînent dans les rues parce que les centres psychiatrique ont fermé leurs portes. Et, la contrainte, c'est ce qui se pratiquait en Union Soviétique. De toute façon, il y a des lois, il faudrait peut-être les appliquer avant d'en pondre d'autres.
Mais, passons, des lois, des lois et encore des lois, finalement, c'est tout ce qu'il sait faire pour nous faire croire qu'il fait quelque chose.
Pauvre France, va, tu tombes bien bas.
(source : NouvelObs.com)
"Psychiatrie: 10.000 signatures contre un projet de loi "sécuritaire"
Le projet de loi, adopté à la demande de Nicolas Sarkozy, prévoit ainsi la possibilité de soigner des patients sous contrainte, même quand ils ne sont pas hospitalisés.
Une pétition contre un projet de loi qualifié de "sécuritaire" sur les soins psychiatriques a recueilli en quelques jours près de 10.000 signatures, indique lundi le quotidien Libération. (c) Afp
Une pétition contre un projet de loi qualifié de "sécuritaire" sur les soins psychiatriques a recueilli en quelques jours près de 10.000 signatures, indique lundi 28 février le quotidien Libération.
Soins sous contrainte
Le projet de loi, adopté à la demande de Nicolas Sarkozy après le meurtre d'un étudiant à Grenoble par un malade mental en fuite, en 2008, prévoit ainsi la possibilité de soigner des patients sous contrainte, même quand ils ne sont pas hospitalisés. L'hospitalisation d'office est également remplacée par les "soins sans le consentement sur décision du représentant d'Etat".
Décidément, notre président ne sait plus quoi faire pour redevenir populaire. Pas de chance pour lui, personne ne le croit.
Et, la suppression de l'impôt sur les grandes fortunes achèvera de le couler. Parce qu'il sera clair pour tout le monde, malgré la propagande mise autour de sa suppression, qu'en France, seuls les riches ne participent pas à l'effort de redressement national.
Alors, qu'en Chine, au contraire, le gouvernement impose une telle participation à ceux qui en ont les moyens en reprenant impôts et taxations diverses en pratique dans les payx capitalistes.
(source : le Quotidien du Peuple)
"Les effets de la taxe foncière de Shanghai s'annoncent difficiles à évaluer
Le volume des transactions sur le marché de l'immobilier de Shanghai a baissé de 40% dès le premier jour de l'introduction de la taxe foncière locale, et le volume des transactions a encore chuté lors du week-end, d'après des chiffres du Centre de l'Immobilier de Shanghai.
C'est un total de 571 appartements d'habitation neufs, pour une surface de 59 388 mètres carrés, qui ont été vendus vendredi, le premier jour de l'entrée en vigueur de la nouvelle taxe, soit nettement moins que les 933 unités vendues la veille, pour 98 682 mètres carrés de surface, d'après le site internet du Centre.dans le même temps, 420 unités de propriétés commerciales ont fait l'objet de transactions vendredi, ou encore une surface globale de 42 300 mètres carrés. Les deux chiffres ont baissé de 25% par rapport au jour précédent."
Sauf que, sauf que, le gouvernement chinois annonce que cette mesure est faite pour contrôler la bulle spéculative immobilière qui prenait forme.
Comme quoi, les vieilles recettes du capitalisme ont encore du bon.
Aujourd'hui, je ne finirais pas, j'ai été boire un verre avec un pote et je suis un peu à l'ouest.
A bientôt.
René.
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