Ce jour, un peu fatigué, surtout, lorsque, je constate que notre gouvernement ressemble de plus en plus à la cour des miracles, grâce à la femme de notre président national.

Donc, aujourd'hui, comme un pauvre français, je me suis précipité à Paris en voiture pour aller payer mes impôts (tiers provisionnel) pour ne pas bénéficier de la rallonge de 10%. Eh, bien, mes trois chers lecteurs, j'ai tenu le pari, vu que ma boîte aux lettres est demeurée sur Paname.
Que d'émotion, que d'émotion, les 10% de rallonge n'iront pas pour magnifier l'airbus présidentielle de sarko.
Rendez-vous compte, les trois quart sont réservés à ses appartements personnels avec un lit de deux mètres de large. Combien compte-il y mettre de femmes ?
A mon avis, l'ombre de Berlusconi plane sur lui.
Potentat oriental, je le définis, potentat oriental, il est.
Mais, passons, parce que comme les fantômes ne reste que son discours, "Le travail est soumis au patronat", "Bouh !", j'ai peur.
Mais, soyons sérieux parce que même la candidate du Front National sera en positon de le battre.
Et, pour reprendre mes médisances d'hier, si, les élus de droite veulent sauver, non pas la présidence, mais, leurs sièges, ils ont intérêt à choisir le bon candidat.
Parce que, c'est, soit l'opposition qui les attend, soit, la Bérézina. A eux de choisir.
Mais, passons, ainsi, donc la peur est passé du monde arabe au monde musulman.
Bahreine se crispe avec sa minorité chiite, le Koweit offre 1 an d'alimentation pour les indigents et, je crois, 2500 dollars de prime pour les autres.
Pour une fois l'Iran ne fait pas dans la répression absurde comme avec les bassidjis. Ils sont devenus couleur muraille, on ne les voit pas. Réfléchiraient-t-ils de leur côté, malgré les privilèges acquis. Ou attendent-ils l'ordre de leur suzerain ?
Parce que même eux peuvent comprendre que les américains n'ont rien à voir avec le vent qui souffle. Ce vent qui vous libère la tête et pour lequel, vous pourriez être prêts à donner votre vie. Parce que tout simplement, il est temps.
Car, qu'est-ce qui préoccupe l'Amérique ?
Simple, pas le peuple arabe, mais, la situation d'Israël et les accords négociés qui font de l'OLP de Yasser Arafat une pépinière de traitres. Parce que leur restera-t-il à diriger, de pays, à part une suite de cités état qu'ils géreront d'une manière maffieuse. Al Zezirah a eu raison de sortir les documents sur les négociations américano-israélo-palestienne. Parce que moi, si, je suis palestiniens, une guerre de mille ans vaut mieux qu'une vie d'esclave.
Tiens, je ne sais pas pourquoi, cela me rappelle les discours de Moïse. Vous, vous souvenez, lorsqu'il a persuadé les juifs de quitter l'Egypte où me semble-t-il, ils n'étaient pas des esclaves, mais, des travailleurs libres.
Sérieux, il a dû sacrément les baratiner. Et, pour justifier le départ, les prêtres ont dû réinterprérer l'histoire. Comme dans mon pays, en Nouvelle Calédonie où je suis fondateur historique du Front de libération kanak et où j'ai disparu de l'histoire.
Eh, oui, c'est comme ça, mes trois chers lecteurs, c'est comme le musée de la France que veut créer notre président national, y disparaissent les luttes des classes.
Euh, peut-être, que moi, jeune français, il est marqué sur mon front "Pauvre Imbécile !"
Je ne sais pas, mes trois chers lecteurs, c'est une question que je me pose.
Comme, je me pose cette question, "Ce gros con de président iranien, va-t-il durer longtemps ?"
Et, si, la révolution de la rue arabe, que nous ne sommes pas capables de faire en France contre ce gouvernement voué aux riches, atteigne la Corée du nord ?
Est-ce que cela nous donnerait pas la force de tout changer en France, en Europe.
Pourquoi, non ?
Parce que, c'est l'Europe des riches et non du peuple.
Depuis, les années Reagan, ils nous roulent dans la farine. Il serait peut-être temps d'arrêter de penser que ce sont des révolutions de rues exotiques chez les autres. Nous sommes concernés, nous tous !
Et, cela sera tout pour aujourd'hui, mes trois chers lecteurs. Réfléchissez dans votre coin en sachant qu'il reste des causes qui vaillent la peine de mourir.
A bientôt.
René.