samedi 22 janvier 2011

"L'huile du fouet est le meilleur remède contre les crampes de la paresse." Proverbe Anglais. Sauf que le fouet de la rigueur ne soigne pas la misère.

Salut aux Tunisiens, méfiez-vous, les islamistes vont se mettre en embuscade. L'occasion est trop belle et risque de ne pas se représenter avant longtemps. Attention à la confiscation de la révolution par ceux que l'on n'attend pas.

Hier, avant que l'électricité soit coupée, je parlais d'un auteur français céline dont certains en France veulent célébrer l'oeuvre littéraire. Un parfait antisémite, salaud, pourri, un mec à qui il aurait fallu couper les deux bras, les deux jambes, en faire un homme tronc et le laisser méditer dans sa chaise roulante, sur la condition humaine.
Ainsi que du fondamentalisme juif en Israël, largement comparable à l'islamisme, qui transforme peu à peu ce pays en une république de l'intolérance et de l'intolérable. Les chrétiens, comme les musulmans ne trouvent pas grâce à leurs yeux.
Et, pourquoi, mes chers trois lecteurs, je parle des religieux juifs après avoir parlé de céline. Tout simplement, parce que c'est le même combat, la parole de la haine et de l'exclusion allant jusqu'à l'extermination de l'autre. Eh, oui, mes chers trois lecteurs parce qu'en Israël, il y a pas mal de rabins qui prônent publiquement l'extermination des arabes palestiniens et l'avénement du grand Israël. Sont-ils condamnés par la justice israélienne ?
Que nenni, mon capitaine, ils sont libres de diffuser leur haine et leur proposition d'une solution finale.
Alors, où sont passés les démocrates et les laïcs en Israël ?
Pour le moment, c'est silence radio ou ils sont inaudibles.
Mais, passons.
Ah, oui, je glissais aussi un mot sur le Medef, le syndicat patronal français qui voudrait relancer la croissance en augmentant l'impôt indirecte, la TVA et la CSG (contribution sociale généralisée) donc faire payer le travail et peser encore sur les salaires. Une manière de les baisser et de diminuer encore plus le pouvoir d'achat.
Donc, le patronat pour se financer va gratter encore plus dans nos portes monnaies.
Bien entendu, il ne lui est pas venu à l'idée de gratter sur son capital pour s'auto-financer.
Hein, taxer le capital, c'est une idée baroque pour ne pas dire "Tabou".
Ah, oui, c'est vrai, en France, les riches veulent devenir plus riches !
Ah, oui, c'est vrai, en France, les banques continuent à pratiquer des taux usuraires et à inventer des pénalités illégales pour dépouiller les comptes courants.
Ce qui signifie tout simplement qu'elles volent leurs clients.
Tout ça avec l'aval du gouvernement sarko.
Alors, qu'en Chine, le gouvernement va maintenir la croissance par la consommation intérieure, comme l'a fait le Japon après avoir restructurer son appareil industriel après la guerre par l'exportation à tout va.
En France, on fait le contraire, le Medef veut croire que la consommation intérieure, c'est pipo. Sans doute, qu'elle va tomber du ciel.
En attendant, Michèle Alliot Marie, notre trop fameuse ministre des Affaires Etrangères, après avoir proposé trop tard à Ben Ali le savoir faire français concernant la répression est en Egypte puis se rendra en Jordanie pour le vendre.
Car, pour le moment, leurs dirigeants sont toujours en place. Et, au moins, avec la Tunisie, elle aura appris quelque chose, précéder l'évènement et non pas l'inventer, comme, elle l'a fait à Tarnac avec les soi-disant terroristes perdus dans le trou du cul du monde de la campagne française.
C'est bien pour ça, qu'elle se précipite visiter les régimes arabes dont les peuples n'en peuvent plus.
Bien, au moins, elle est réactive. Mais, qu'elle n'oublie pas d'aller en Syrie, en Algérie, au Vénézuela et autres régimes corrompus et autoritaires.

(source : RFI)

"FRANCE / EGYPTE - Article publié le : vendredi 21 janvier 2011
Dans un contexte très sensible, l'Egypte et la Jordanie accueillent Michèle Alliot-Marie
Michèle Alliot-Marie a quitté Gaza pour se rendre en Egypte, le 21 janvier 2011.

La ministre française des Affaires étrangères Michèle Alliot-Marie est arrivée ce vendredi après-midi 21 janvier au Caire. Elle s'entretiendra demain samedi avec le président égyptien Hosni Moubarak ainsi que son homologue, Ahmed Aboul Gheit. Elle poursuivra ensuite cette tournée proche-orientale en Jordanie, un autre pays, touché par la crise et inquiet face à un éventuel effet contagion de la révolution tunisienne."

Ouh, là, là, attention égyptiens et jordaniens, le savoir faire français arrive !
En attendant, en Côte d'Ivoire, Laurent Gbagbo ferait bien de contrôler sa femme qui ressemble de plus en plus à celle du président rwandais qui appelait au génocide à la radio des milles collines. Les escadrons de la mort qui circulent à Abidjan ne lui font pas une bonne pub. Il devrait lever le pieds et éviter les bavures.
Il est en risque de se faire déborder par sa femme et ses sbires et ne plus rien contrôler. Et, de toute façon, les gens qui le soutiennent, le soutiennent lui, pas elle.
Elle, elle est dangereuse !
Mais, passons et cela sera tout pour aujourd'hui.
A demain.
René.

PS : J'ai rajouté des recettes sur le blog "Recettes de ma grand-mère. Je continuerais demain.

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