Salut aux abeilles, aux papillons qui disparaissent de nos villes et nos campagnes !
Attention Tunisie !
Le départ de Ben Ali, considéré comme la victoire du peuple ne doit pas dissimuler le fait que "sa fuite" est aussi faite pour protéger le parti unique au pouvoir.
Qu'elle est là pour détourner le peuple de se focaliser sur l'un en se focalisant sur l'autre.
Dire comme certain éditorialiste français qu'en définitive, ce n'était qu'une baudruche qui s'est dégonflé, est allé un peu vite en besogne.
Le système s'est auto-protégé en sacrifiant une branche morte. C'est tout !
Ce qui signifie que la dictature de Ben Ali était en fait la dictature du système, qu'il n'en était qu'une exurgence.
Donc, pour le moment la victoire du peuple tunisien n'est qu'une victoire qui pourrait se révéler être à la Pyrhus, le parti unique restant au pouvoir.
Et, en attendant, on arrête pas le progrès.
(source : Sciences et avenir)
"Un poulet modifié pour résister à la grippe
Des Britanniques ont créé un poulet génétiquement modifié pour ne pas propager le virus H5N1.
Un poulet génétiquement modifié pour lutter conte la réplication du virus H5N1. (Norrie Russel-Roslin Institute)
Les poulets créés par les biologistes de de l'Université de Cambridge ne sont pas destinés à la consommation humaine, il s’agissait de prouver la possibilité de lutter contre la propagation des virus au sein des élevages par le biais d’animaux transgéniques.
Parmi ces virus, le H5N1 encore appelé virus de la grippe aviaire, constitue une menace majeure pour les élevages de volaille. Sans compter sa dangerosité pour l’Homme puisque le H5N1 est régulièrement responsables d’infections humaines notamment en Asie du Sud-Est. Ce virus se transmet d’un oiseau à un autre par contact direct (par exemple lorsque les couples d’oiseaux régurgitent leur nourriture pour l’échanger) ou indirect (eau contaminée par des excréments).
Les chercheurs ont mis en place un nouveau gène qui fabrique une petite molécule «leurre» qui se lie à la polymérase du virus H5N1 hautement pathogène. La machinerie de réplication du virus est poussée à reconnaître la molécule leurre au lieu du génome viral, ce qui interfère avec le cycle de réplication du virus. Bien que tous les poulets transgéniques aient finalement succombé au virus, celui-ci n'a pas pu contaminer les autres animaux sains restés à leur contact."
Décidément, les scientifiques ne savent plus où donner de la tête. Des poulets transgéniques qui ne transmettent pas de maladies, mais, qui néanmoins en meurent, y'a pas à dire, c'est une avancée pour l'humanité. Et, des poulets qui ne les transmettent pas et qui n'en meurent pas, oui, non, peut-être !
Pendant, ce temps, la République Indienne réfléchit à son choix de culture intensive avec apport massif d'engrais.
La révolution verte I, II qui a surtout permis à Mosanto et autres multinationales de l'agro-alimentaire de s'implanter en Inde et dans d'autres pays a été quand même prônée par la FAO, l''Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture. En fait, dans les bagages des nouvelles politiques agricoles prônées ont débarqué les monstres de l'agro-alimentaire qui ont remplacé les usuriers traditionnels indien afin de mieux mettre sous dépendance les agriculteurs indiens.
Etait-ce un hasard ?
Résultats des centaines de milliers d'agriculteurs ruinés à travers le pays !
Mais, naturellement, en France, cela ne se passe pas comme ça. Les terres ne sont pas chimiquement mortes par abus d'épandages d'engrais chimiques. Non, cela n'est pas vrai !
Les nappes phréatiques ne sont pas empoisonnées. Non, cela n'est pas vrai !
Les abeilles, papillons et autres bêtes à bon dieu, ne sont pas en voie de disparition. Non, cela n'est pas vrai !
Les pesticides et autres pesticides sur les produits alimentaires que nous ingurgitons n'accentuent pas les cancers et autres maladies. Non, cela n'est pas vrai !
Et, notre président national n'en a rien à faire de tout cela parce que les multinationales font partie du genre de réussite industrielle qu'il admire.
Le lobbying n'a évidement aucun effet sur son jugement, ni, celui des membres de son gouvernement, ni celui des députés et sénateurs Ump. Non, cela n'est pas vrai !
Mais, revenons-en en Inde.
(source : Aujourd'hui l'Inde sur le net)
Suicides de paysans: un ministre indien dénonce le recours aux engrais
13/01/2011 | AFP.
Le ministre de l'Agriculture d'un Etat du centre de l'Inde a mis en cause jeudi l'utilisation abusive d'engrais chimiques qui ruine les cultures et les paysans, après une nouvelle série de suicides, et il a appelé à pratiquer une agriculture biologique.
L'Inde commence à remettre en cause l'agriculture intensive ©AFP
En moins d'un mois, sept paysans ont mis fin à leurs jours dans l'Etat du Madhya Pradesh (centre) et au moins cinq autres sont toujours entre la vie et la mort après avoir tenté de se suicider en ingurgitant des pesticides. Les récoltes ont chuté dans cet Etat de 60% cette année en raison de pluies inhabituelles en septembre et d'un intense épisode de gel au cours du derniers mois qui a décimé les cultures de farine, soja, haricots, petits pois et d'oranges, selon l'association locale des paysans.
Les familles des paysans qui se sont suicidés ont évoqué les dettes qui s'accumulent et la perpective d'être ruinés. Mais le ministre de l'Agriculture, Ramkrishna Kusmaria, qui a pour circonscription le district où se sont produits les suicides, a suggéré que les malheurs des paysans étaient liés à de mauvais choix agricoles.
"C'est à cause de nos vieux péchés que nous avons des dégâts dans les récoltes. Une utilisation régulière de produits chimiques dans les champs a affaibli la santé et la résistance et les cultures sont endommagées", a-t-il affirmé à l'AFP. "Les paysans devraient se mettre à l'agriculture biologique", a-t-il ajouté.
Ces commentaires interviennent dans un contexte où l'Inde remet en cause son choix d'une agriculture intensive et d'un recours aux engrais depuis les années 1970 qui ont abouti à une "révolution verte" dont les bienfaits sont aujourd'hui discutés."
Allez, un effort, monsieur notre président national. Faites que le Grenelle que vous avez utilisé comme un piège à cons devienne un véritable outil pour notre bien être. En évitant, que la politique prônée par les écologistes ne donne lieu à un alourdissement de la fiscalité au nom de ce fameux mieux être. Surtout, lorsque c'est les classes moyennes ou précaires qui en payent le prix fort.
Mais, passons pour nous intéresser à Israël qui n'en finit pas de retrouver ses tribus dispersées tout le long de l'histoire. En tout cas, cela fera de la candidature pour les colonies contre les arabes et du soldat pour réprimer les palestiniens.
Mais, déjà au rythme où cela va, Israël compte déjà plus de dix tribus. A mon humble avis, car, je n'ai pas vérifié, cela voudrait dire que tous les autre sont des imposteurs !
Halte-là, je vous entends mes chers trois lecteurs qui me soupçonnent de vouloir semer la zizanie en Israël.
Je dis simplement que je croyais qu'un juif converti n'était pas un véritable juif, mais, un de pacotille, juste bon à être montré devant les caméras.
Mais, non, je plaisante. C'était juste pour rigoler. Euh ! Ca a pas l'air de faire rire. Alors, revenons-en à l'article de la même source.
"Des descendants d'une tribu juive perdue veulent quitter l'Inde pour Israël
12/01/2011 | Michael Blum.
Des milliers de membres d'une tribu vivant en Inde, les Bné Menaché, qui affirment être juifs, demandent à immigrer en Israël, selon des membres de cette tribu déjà installés dans l'Etat hébreu.
Les Bné Menaché, qui habitent le nord-est de l'Inde affirment être les descendants d'une des dix tribus du royaume d'Israël ©AFP
Une des dix tribus d’Israël
Une commission parlementaire s'est réunie la semaine dernière à Kyriat Arba, une colonie juive de Cisjordanie où résident plusieurs centaines de membres de la tribu Bné Menaché, pour discuter de l'avenir des milliers d'autres vivant encore en Inde. Ces Indiens se disent les descendants d'une des dix tribus qui vivaient dans le royaume d'Israël au temps de la Bible et qui ont été dispersées, selon le récit biblique, à la suite d'une invasion des Assyriens en 721 avant JC.
Selon les chiffres de Michaël Freund, qui dirige l'association Shavei Israël (littéralement "Ceux qui retournent en Israël"), chargée de retrouver la trace de ces tribus perdues, plus de 7.200 personnes réclament l'aide du gouvernement israélien pour immigrer depuis l'Inde.
(...) Pour le député d'opposition et ancien ministre de l'Intégration Elie Aflalo, il est urgent de faire venir les Bné Menaché. "Il faut faire pression sur le gouvernement pour qu'il accélère le processus d'immigration de ces 7.200 personnes", estime M. Aflalo. "Ils ont conservé leurs traditions pendant des millénaires et dans cette période où les candidats à l'immigration en Israël ne se bousculent pas au portillon, on ne fait rien pour les aider", s'indigne-t-il.
Moins de 20.000 personnes ont immigré en Israël en 2010 selon les chiffres officiels. Le groupe des Bné Menaché souhaitant rejoindre leurs familles en Israël patiente depuis trois ans au Manipur, un Etat situé à la frontière avec la Birmanie."
Eh, oui comme dit, ils reviennent de loin. Sans doute, ceux-là, ont dû croiser les tribus gitanes qui faisaient la route inverse.
Et, sur ce, je vous souhaite bien le bonjour chez vous et je m'en vais voir cette fameuse peuplade algérienne dont les rois finirent pharaons d'Egypte avec Tanis comme capitale.
A bientôt.
René.
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