(En réalité, le bénéfice/risque a basculé côté risque depuis un certain temps, si les vrais chiffes remontaient et les médias des milliardaires, également actionnaires de big pharma, ne mentaient pas. note de rené)
La France s’apprête sans remords à trier dès demain sa population en fonction des données de ses QR codes puisque 20% de ses députés ont instauré cette mesure, incroyablement liberticide, du jamais vu depuis la dernière guerre. Parce qu’il faut à tout prix vacciner toute la population âgée de plus de 12 ans, pour son bien. Mais quel bénéfice individuel tirer de ce gigantesque pari immunitaire ? Chez les enfants à tous les coups ils ne gagnent rien et certains d’entre eux vont probablement en mourir cet hiver. Pour ne pas dire qu’on ne savait pas, bonne lecture.
Résumé
- Si vous ne deviez retenir que 3 points de cet article :
Pour les personnes de moins de 45 ans, la létalité supposée liée au vaccin est plus importante que la mortalité liée à la Covid-19. - Selon les statistiques actuelles, la vaccination des 12-14 ans pourrait entrainer 85 décès et jusqu’à 235 invalidités graves, pour un bénéfice totalement inexistant.
- À ce jour, aucun enfant en bonne santé n’est décédé de la Covid-19.
Comparaison mortalité Covid-19 et létalité de la vaccination
Alors qu’un plan de vaccination des enfants1, un plan de vaccination en anneau2 et une demande par l’Académie de Médecine d’une vaccination obligatoire contre la Covid-193 ont été proposés puis que la vaccination soit imposée au personnel soignant par le président de la République, il est urgent de s’interroger sur leur balance bénéfices/risques, en comparant la mortalité liée à la Covid-19 et la létalité supposée liée à la vaccination par tranche d’âge.
Mortalité versus létalité
- La létalité est le nombre de décès dû à un facteur d’exposition divisé par le nombre de personnes exposées à ce facteur. Par exemple la létalité de la covid-19 est le nombre de personnes décédées de la Covid-19 divisé par le nombre de personnes atteintes de la Covid-19.
- La mortalité est le nombre de décès dû à un facteur divisé par le nombre de personnes dans une population donnée. Par exemple pour la covid-19, la mortalité française de cette maladie est le nombre de personnes décédées de cette maladie divisé par toute la population française.
Il est donc tout à fait légitime, de comparer la létalité supposée liée au vaccin (certitude d’être exposé si on se fait vacciner) avec la mortalité de la Covid-19 (personne n’est heureusement certain d’attraper la Covid-19) pour calculer le bénéfice/risque de la vaccination.
Les tableaux présentés ont été construits à partir des données suivantes :
• La répartition INSEE de la population par âge en 20214 • Le nombre de décès par tranche d’âge à l’hôpital et en EHPAD du Point épidémiologique publié par Santé publique France du 27 mai 20215 • Les données de pharmacovigilance des vaccins du 27 mai pour Pfizer6 et Moderna7, et du 20 mai pour AstraZeneca8 • Les détails des calculs sont téléchargeables ici9
Les résultats concernant la mortalité de la Covid-19 (tableau 1) ont été exprimés en « risque pour 100 000 habitants ». Les informations relatives aux comorbidités par classe d’âge ne sont disponibles que pour les décès certifiés par voie électronique (page 43 de (5), qui ne représentent que 48 676 décès sur les 108 908 décès comptabilisés page 1. On peut constater qu’une proportion, variant de 100% pour les plus jeunes à 64% pour la tranche d’âge la plus haute, présente au moins une comorbidité. Toutefois, Santé publique France précise (page 37 de (5)), à propos des caractéristiques des cas graves admis en réanimation, que « pour les deux périodes étudiées (sept.-dec. 2020 et janv.-mai 2021), 94% des personnes décédées présentaient au moins une comorbidité ».
Le risque de décès calculé dans le tableau 1, sur la base des certificats électroniques, semble donc encore surestimé pour les personnes en bonne santé.
Concernant les effets secondaires des vaccins, exprimés en « risque pour 100 000 vaccinés », les résultats ont été obtenus pour la létalité des vaccins en divisant le nombre de décès supposés liés aux vaccins par le nombre de personnes ayant été vaccinées, c’est-à-dire le nombre de premières doses. Les séquelles très graves regroupant les décès, invalidité et mise en jeu du pronostic vital, ont également été analysées. Il faut noter que les données de pharmacovigilance ne sont pas réparties par âge. Selon les déclarations d’effets secondaires rapportées auprès de l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament et des Produits de Santé (ANSM), on peut obtenir le tableau 2 :
Imputabilité en pharmacovigilance
Les données de pharmacovigilance permettent-elles de conclure que les décès et séquelles invalidantes sont liés à la vaccination ? En pharmacovigilance, une forte preuve de l’imputabilité est la ré-apparition de l’évènement lors d’une ré-administration du médicament en question. Dans le cas des décès survenant après vaccination cela est doublement impossible :
- on ne peut pas « enlever les anticorps produits par le patient suite au vaccin »
- on ne peut pas ressusciter le patient pour voir « s’il remeurt » lors de la réintroduction du vaccin.
Comme l’explique cet extrait d’article10 : « L’évolution de l’événement à l’arrêt du traitement et le résultat d’une éventuelle ré-administration, critères habituellement déterminants pour évaluer l’imputabilité, ne sont pas, le plus souvent, évaluables pour imputer un événement survenu après l’administration d’un vaccin. En effet, une fois administré, le vaccin déclenche dans l’organisme une cascade d’événements immunologiques qui perdure malgré l’absence de ré-administration. Il est indispensable de mettre en place une analyse du risque, notamment en connaissant bien les caractéristiques épidémiologiques et cliniques des maladies qui peuvent survenir dans la tranche d’âge de la population-cible du vaccin ».
Les données de pharmacovigilance par pathologie ne sont pas ventilées par classe d’âge. Toutefois, le nombre de cas graves est bien précisé par tranche d’âge. Ainsi, les cas graves rapportés après vaccination Pfizer et Moderna sont pratiquement uniformément répartis sur les différentes tranches d’âge, alors que pour Astrazeneca, les problèmes graves sont plus souvent rencontrés par les personnes plus jeunes (49% des cas graves sont rapportés pour les moins de 49 ans). C’est pourquoi, l’hypothèse d’une répartition homogène dans les différentes tranches d’âge, des risques de décès ou de séquelles graves, a été adoptée afin de construire le tableau 3 qui permet d’estimer le bénéfice/risque des vaccins. Ce tableau est obtenu en divisant la létalité (ou les séquelles graves) supposées liées au vaccin (tableau 2) par la mortalité Covid pour chaque tranche d’âge (tableau 1). Le rapport bénéfice/risque de la vaccination est défavorable lorsque le nombre est supérieur à 1 (cases rouges).
Le bénéfice tiré de la vaccination est donc à relativiser pour les personnes en bonne santé, c’est-à-dire ne présentant pas de comorbidité.
Il apparaît alors clairement que :
Pour les personnes âgées de moins de 45 ans :
- Le risque de décès après vaccination est 140% plus élevé par rapport à la mortalité Covid-19
- Le risque d’effet secondaire très grave entraînant une invalidité, un décès ou un pronostic vital engagé après vaccination est jusque 370% plus élevé par rapport au Covid-19
- Concernant les enfants avec comorbidité, le risque de décès supposé lié à la vaccination est 60 fois plus élevé qu’avec la Covid-19. Et puisqu’aucun enfant en bonne santé n’est décédé de la Covid-19, le risque lié à la vaccination est tout simplement infiniment plus élevé.
Le gouvernement a ouvert la vaccination aux adolescents à partir de 12 ans. Ils sont 2 446 848 enfants entre 12 et 14 ans. En reprenant les calculs précédents :
La vaccination des adolescents de plus de 12 ans pourrait entraîner 85 décès et jusqu’à 235 invalidités graves, pour un bénéfice totalement inexistant.
Ajoutons à ce constat à court terme, le fait que les effets secondaires à moyen et long terme (3 à 10 ans) sont totalement inconnus.
Rappelons également que ces vaccins n’ont reçu qu’une Autorisation de Mise sur le Marché (AMM) conditionnelle11, ce qui signifie que l’évaluation de leur efficacité et de leur innocuité est encore en cours. Il est d’ailleurs à noter qu’il faut habituellement 10 ans pour s’assurer de l’innocuité d’un vaccin. 12
source : https://www.aimsib.org
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