(Il faut rétablir la peine de mort en France ! note de rené)
par Brian Wang.
L’Indian Bar Association (IBA) a poursuivi la scientifique en chef de l’OMS, Mme Soumya Swaminathan, le 25 mai, l’accusant dans un mémoire en 71 points d’avoir causé la mort de citoyens indiens en les induisant en erreur au sujet de l’ivermectine. Il y a également une notification juridique mise à jour le 13 juin 2021.
Le point 56 stipule : « Que votre avis trompeur sur l’application Twitter du 10 mai 2021 contre l’utilisation de l’ivermectine a eu pour effet que l’État du Tamil Nadu a retiré l’ivermectine du protocole le 11 mai 2021, juste un jour après que le gouvernement du Tamil Nadu a indiqué la même chose pour le traitement des patients atteints du Covid-19 ».
Si un procès en Inde déclare la scientifique en chef de l’OMS, Dr Soumya Swaminathan, coupable, alors elle pourrait être soit condamnée à mort, soit à la prison à perpétuité.
Le gouvernement du Tamil Nadu a publié de nouveaux protocoles de traitement pour les patients atteints du Covid-19 qui excluent l’utilisation de l’ivermectine, laquelle avait été incluse dans une version précédente.
Les nouveaux protocoles décrivent trois catégories de patients atteints du Covid-19 en fonction du niveau de soins dont ils ont besoin : soins à domicile, soins primaires et soins pré-hospitaliers. Les tests permettant de déterminer la catégorie à laquelle appartient un patient sont la saturation en oxygène (SpO2) et la fréquence respiratoire.
L’avocate Dipali Ojha, avocate principale de l’Association du Barreau indien, a menacé de poursuites pénales Mme Swaminathan « pour chaque décès » causé par ses actes de commission et d’omission. L’acte d’accusation précise que Mme Swaminathan a usé de sa position d’autorité sanitaire pour modifier l’ordre du jour en faveur de l’industrie des vaccins.
L’ivermectine est un médicament bon marché qui est prescrit comme antiparasitaire et qui gagne en popularité pour prévenir le Covid-19. L’OMS et la FDA n’approuvent pas l’ivermectine, mais de nombreux médecins et scientifiques pensent que l’ivermectine est efficace. Les États indiens qui ont utilisé l’ivermectine ont obtenu de bien meilleurs résultats et beaucoup moins de décès liés au Covid que les États indiens qui ne l’ont pas utilisé.
Parmi les exemples les plus importants figurent les régions de Delhi, Uttar Pradesh, Uttarakhand et Goa où les cas ont chuté de 98%, 97%, 94%, et 86%, respectivement.
En revanche, le Tamil Nadu n’a pas opté pour l’ivermectine. En conséquence, les cas ont monté en flèche et ont atteint le plus haut niveau en Inde. Les décès au Tamil Nadu ont décuplé.
Dans un test de plus de 4 000 personnes en Inde (plus de 3 000 avec Ivermectine et plus de 1 000 sans Ivermectine). Résultats : 2% des personnes qui prenaient de l’ivermectine ont eu un test de PCR positif au Covid-19 et 11,7% des personnes qui n’en prenaient pas ont eu un test PCR positif. Les gens ont reçu deux doses de 21 mg d’ivermectine pour moins d’un centime d’euro par personne.
Des accusations précises ont notamment été portées contre l’ivermectine dans le cadre d’une campagne de désinformation et de déclarations dans les réseaux sociaux visant à influencer à tort le public contre l’utilisation de l’ivermectine, et ce, malgré l’existence de grandes quantités de données cliniques démontrant son efficacité dans la prévention et le traitement du Covid-19.
Le mémoire du Barreau indien fait référence en particulier aux publications examinées par les pairs et aux données probantes compilées par le groupe Front Line Covid-19 Critical Care Alliance (FLCCC) de dix membres et le groupe British Ivermectin Recommendation Development (BIRD) de 65 membres.
Ce panel est dirigé par le Dr Tess Lawrie, consultant de l’OMS et expert en méta-analyse.
Dans son mémoire, le procureur des États-Unis, Ralph C. Lorigo, a cité des cas à l’hôpital de New York où des ordonnances du tribunal étaient nécessaires pour que les patients mourants du Covid-19 reçoivent de l’ivermectine. Dans de nombreux cas, après avoir reçu l’ivermectine ordonnée par le tribunal, des patients comateux se sont rétablis.
L’avocat Ojha a accusé l’OMS et le Dr Swaminathan – dans les points 60 et 61 – d’avoir induit en erreur le peuple indien tout au long de la pandémie, du port de masques à la disculpation de la Chine quant aux origines du virus.
« L’Association du Barreau indien a prévenu d’une action intentée en vertu de l’article 302 du Code pénal indien contre le Dr Soumya Swaminathan et d’autres personnes, pour le meurtre de chaque personne décédée en raison de l’obstruction dans le traitement du Covid-19 par Ivermectin. La peine prévue à l’article 302 du Code pénal indien est la peine de mort ou l’emprisonnement à perpétuité ».
L’ivermectine, utilisée à Delhi à partir du 20 avril, a anéanti la crise du Covid-19. Les cas ont chuté de 97% en six semaines. L’erreur fatale aurait été de ne pas utiliser l’ivermectine. Ils l’ont utilisé et cela a sauvé Delhi. Malheureusement, le Tamil Nadu ne l’a pas fait et l’État a été dévasté. Les nouveaux cas y sont passés de 10 986 à 36 184, soit trois fois plus. Le refus du Tamil Nadu d’utiliser l’ivermectine lui a nui. Non seulement les cas ont atteint un sommet en Inde, mais les décès ont grimpé en flèche, passant de 48 le 20 avril à 474 le 27 mai, soit dix fois plus.
source : https://www.nextbigfuture.com
traduit par Tanguy pour Le Média en 4-4-2
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire