(Comment la natalité américaine est en berne, AH, sans doute, c'est pour ça qu'ils attaquent tous l'avortement en utilisant les évangélistes. Vous savez ces évangélistes qui ont l'oreille attentive de trump, ces mêmes évangélistes qui sont pour un grand Israël avec la construction d'un nouveau temple à la place de la mosquée Al Aqsa. note de rené)
Etats-Unis: La dette et la natalité font retentir la sonnette d’alarme
Deux nouvelles importantes, n’ayant à première vue aucun lien entre elles, sont tombées la semaine dernière. Si l’une a été couverte, l’autre a fait l’objet de moins d’attention.
Vous avez probablement entendu que la natalité américaine a enregistré en 2018 un plus bas de 32 ans. Il n’y a eu l’année dernière que 3,788 millions de naissances aux USA. Cela représente une baisse de 2 % par rapport à 2017.
Vous avez probablement entendu que la natalité américaine a enregistré en 2018 un plus bas de 32 ans. Il n’y a eu l’année dernière que 3,788 millions de naissances aux USA. Cela représente une baisse de 2 % par rapport à 2017.
La population américaine ne fait pas assez de bébés pour stabiliser ses effectifs. Cela deviendra bientôt un problème financier pour le pays. J’y reviendrai un peu plus tard.
L’autre nouvelle concerne les cartes de crédit : les Américains payent aujourd’hui les taux d’intérêt les plus élevés de l’histoire sur cet instrument de crédit. Le taux moyen de 17 % qui est appliqué aujourd’hui par les banques est probablement la raison qui explique pourquoi les consommateurs dépensent moins durant ce printemps. Cela pourrait également expliquer la baisse de la natalité.
Si on part du principe que les gens restent intéressés par les relations sexuelles, mais qu’ils savent qu’avoir des enfants coûte cher, on est peut-être sur une piste.
L’autre nouvelle concerne les cartes de crédit : les Américains payent aujourd’hui les taux d’intérêt les plus élevés de l’histoire sur cet instrument de crédit. Le taux moyen de 17 % qui est appliqué aujourd’hui par les banques est probablement la raison qui explique pourquoi les consommateurs dépensent moins durant ce printemps. Cela pourrait également expliquer la baisse de la natalité.
Si on part du principe que les gens restent intéressés par les relations sexuelles, mais qu’ils savent qu’avoir des enfants coûte cher, on est peut-être sur une piste.
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