Réflexion sur la censure qui s'applique en Europe soi-disant pour aider les auteurs et en réalité installer la censure et supprimer l'expression libre sur le net, mes chers cinq lecteurs.
Droits voisins.
A partir du 3 juillet, on n'a plus le droit de citer, copier un article ou une photo sans payer ou avoir l'autorisation de l'auteur. Donc, ma page facebook disparaît d'office puisqu'elle est le pendant de mon blog et mon blog doit trouver une nouvelle formule pour exister, à moins de trouver un autre moyen de relayer l'information.
Donc, d'office, on ne cite plus les médias des milliardaires qui en France possèdent les journaux nationaux et régionaux, les journaux gratuits, plus les grandes chaînes de télé et de radios.
Non, plus, les médias d'état, chaîne de télé et radios, ni l'agence de presse officielle, L'AFP.
Ce n'est déjà pas souvent mon cas pour beaucoup de médias officiels ou privés français.
Le canal de l'information le plus usité est les agences de presse au point que les journalistes ne font que reproduire texto leurs articles. Et, là, si, elles nous obligent à payer l'information, on est mal parce que si, ils veulent être vraiment vicieux, ils peuvent l'être.
On pourra toujours, je suppose accéder à des informations provenant d'agences étrangères non occidentales. Après, à notre libre arbitre de faire la part des choses, tout en sachant que l'accusation de travailler en faveur d'une puissance étrangère nous pend au nez.
Il faut faire attention parce que cette loi des droits voisins appelle une loi à venir plus répressive qui imposera une peine de mise en détention.
Seule solution, créer une agence de presse libre d'accès et ne comprenant que des bénévoles sur la toile.
Pas une agence de presse, plutôt un outil informel où puiser de l'information.
Un site où les internautes pourront mettre en ligne toutes les informations et où l'origine de l'information sera libre de citation.
Naturellement, un tel site peut donner lieu à un maximum de fausses informations, dans ce cas, les croiser avec celles des agences officielles pour juger de leur pertinence doit suffire à, comme dirait Jean-Jacques Rousseau, un esprit éclairé.
Moi, je n'y connais rien en informatique, c'est à un groupe de proposer un tel site et à prévenir tous les blogs qui véhiculent de l'information. A celui qui fréquente le site à déterminer le type d'idéologie sous-jacente à l'information.
En tout cas, voilà, la courte réflexion que je me fais, il faut s'organiser pour survivre. Autrement, ils abrutiront nos enfants avec un enseignement pourri de bas niveau, ne nous laisseront pas penser plus haut que le niveau d'un légume et finiront de faire de nous des êtres soumis, corvéables et jetables à merci.
rené
(On est le 30, c'est pour ce mercredi !)
Droits voisins.
A partir du 3 juillet, on n'a plus le droit de citer, copier un article ou une photo sans payer ou avoir l'autorisation de l'auteur. Donc, ma page facebook disparaît d'office puisqu'elle est le pendant de mon blog et mon blog doit trouver une nouvelle formule pour exister, à moins de trouver un autre moyen de relayer l'information.
Donc, d'office, on ne cite plus les médias des milliardaires qui en France possèdent les journaux nationaux et régionaux, les journaux gratuits, plus les grandes chaînes de télé et de radios.
Non, plus, les médias d'état, chaîne de télé et radios, ni l'agence de presse officielle, L'AFP.
Ce n'est déjà pas souvent mon cas pour beaucoup de médias officiels ou privés français.
Le canal de l'information le plus usité est les agences de presse au point que les journalistes ne font que reproduire texto leurs articles. Et, là, si, elles nous obligent à payer l'information, on est mal parce que si, ils veulent être vraiment vicieux, ils peuvent l'être.
On pourra toujours, je suppose accéder à des informations provenant d'agences étrangères non occidentales. Après, à notre libre arbitre de faire la part des choses, tout en sachant que l'accusation de travailler en faveur d'une puissance étrangère nous pend au nez.
Il faut faire attention parce que cette loi des droits voisins appelle une loi à venir plus répressive qui imposera une peine de mise en détention.
Seule solution, créer une agence de presse libre d'accès et ne comprenant que des bénévoles sur la toile.
Pas une agence de presse, plutôt un outil informel où puiser de l'information.
Un site où les internautes pourront mettre en ligne toutes les informations et où l'origine de l'information sera libre de citation.
Naturellement, un tel site peut donner lieu à un maximum de fausses informations, dans ce cas, les croiser avec celles des agences officielles pour juger de leur pertinence doit suffire à, comme dirait Jean-Jacques Rousseau, un esprit éclairé.
Moi, je n'y connais rien en informatique, c'est à un groupe de proposer un tel site et à prévenir tous les blogs qui véhiculent de l'information. A celui qui fréquente le site à déterminer le type d'idéologie sous-jacente à l'information.
En tout cas, voilà, la courte réflexion que je me fais, il faut s'organiser pour survivre. Autrement, ils abrutiront nos enfants avec un enseignement pourri de bas niveau, ne nous laisseront pas penser plus haut que le niveau d'un légume et finiront de faire de nous des êtres soumis, corvéables et jetables à merci.
rené
(On est le 30, c'est pour ce mercredi !)
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