samedi 1 juillet 2017

(Le vaccin que la ministre de la santé veut nous obliger à inoculer à nos bébés !

"Par exemple, les incidents liés à la campagne de vaccination contre l'hépatite B menée dans les années 90 ont été légions. Ils ont donné lieu à des procès. Les victimes ont gagné. La Cour de cassation a reconnu dans différents arrêts qu'il existait un lien entre la sclérose en plaques et ce vaccin. 


La Cour européenne de Justice a elle aussi validé récemment l'existence d'un lien de cause à effet entre une vaccination contre l'hépatite B et l'apparition d'une sclérose en plaques." note de rené)

Vaccins : 3 actions pour sauver nos enfants ! (France)



Chère amie, cher ami, 




Le temps est à l'action ! 


Nous avons jusqu'au 8 août 2017 pour nous mobiliser afin de faire reculer la ministre de la Santé, Madame Agnès Buzyn, sur la question des 11 vaccins obligatoires. 

A cette date, le Gouvernement devra prendre une position officielle par rapport à la discordance existant entre l'obligation vaccinale qui concerne trois maladies (Diphtérie, tétanos, poliomyélite) et les vaccins proposés par les laboratoires qui couvrent cinq ou six maladies.  

En Europe, quelques pays imposent la vaccination obligatoire. La France (3 vaccins), l'Italie (12 vaccins), la Belgique (1 vaccin) , le Portugal (2 vaccins), la Roumanie (10 vaccins).Dans les autres pays, la vaccination est fortement recommandée mais libre. En Suède, l'obligation vaccinale a été jugée inconstitutionnelle. Or dans ce pays, la couverture vaccinale est de 96%... 

L'obligation est-elle vraiment nécessaire? 

En France, si vos enfants ne sont pas vaccinés contre la diphtérie, le tétanos ou la poliomyélite, vous risquez d'être condamnés pénalement. La peine encourue peut aller jusqu'à 2 ans de prison et 30 000 euros d'amende

Ne pas vacciner vos enfants contre ces trois maladies fait de vous un délinquant. 

Les vacciner, alors que vous savez qu'ils pourraient mal réagir (Si par exemple votre aîné a eu des problèmes avec un vaccin) et en subir des conséquences dramatiques toute leur vie, fait de vous un tortionnaire

Cela vous paraît violent ? Vous avez raison. C'est la violence de la loi, qui en l'occurrence, est la loi du plus fort, celle des laboratoires pharmaceutiques. Ils imposent leur volonté et leurs agendas aux responsables politiques, qui obtempèrent.

Un cas de conscience


Dans le fond, personne ne veut que son enfant ne contracte de maladies graves comme le tétanos ou la polio. 



Mais, tout le monde sait aussi, pour l'avoir expérimenté à titre personnel, familial ou dans son cercle proche, que les vaccins ne sont pas sûrs à 100%. 

Par exemple, les incidents liés à la campagne de vaccination contre l'hépatite B menée dans les années 90 ont été légions. Ils ont donné lieu à des procès. Les victimes ont gagné. La Cour de cassation a reconnu dans différents arrêts qu'il existait un lien entre la sclérose en plaques et ce vaccin. 

La Cour européenne de Justice a elle aussi validé récemment l'existence d'un lien de cause à effet entre une vaccination contre l'hépatite B et l'apparition d'une sclérose en plaques. 

Peut-on, en conscience, continuer à obliger, sous peine de prison, l'administration de vaccins, dont on sait par ailleurs, qu'ils comportent un risque pour la santé ?

Nous devons empêcher ce gouvernement de commettre les erreurs des équipes précédentes. C'est pourquoi, je vous demande de signer notre grande pétition pour empêcher la mise en place d'une vaccination obligatoire à 11 vaccins ! 

Faites circuler autour de au maximum. Nous devons être 1 million de signataires !

ACTION 1 :



ACTION 2 : En marche pour la liberté vaccinale !


Nous vous donnons par ailleurs, rendez-vous dans différentes villes de France pour une grande marche pour la liberté vaccinale le 8 juillet 2017. 



Des rassemblements sont organisés à : 


  • Paris, informations ici.  

  • Nantes, information ici.  

  • Grenoble, information ici.  


Je me rendrai personnellement à la marche de Paris. 



Car nous devons résister à cette tentative de passage en force des autorités. Cela me paraît d'autant plus nécessaire que nous avons tous les moyens à notre disposition pour mettre en place une politique de vaccination, concertée, intelligente et personnalisée. 

Nous le savons désormais, comme l'a montré l'étude de l'Hôpital Sarcelles (94), nous ne sommes pas égaux face à la vaccination. 

Cette étude menée sur le personnel hospitalier a révélé que des personnes pouvaient être vaccinées contre le tétanos et ne pas avoir les bons anticorps dans leur système immunitaire, alors qu'à l'inverse, des personnes non vaccinées étaient naturellement protégées. 

La conclusion qui s'impose est simple : les scientifiques ont encore beaucoup de choses à apprendre sur la vaccination et l'immunité. Il serait donc bon d'avancer prudemment sur la vaccination

Or aujourd'hui, le gouvernement nous propose une marche forcée !


Action 3 : Requête auprès de la Ministre, Madame Agnès Buzyn sur la question de l'aluminium


Les vaccins obligatoires sont toujours associés à l'aluminium. On sait désormais qu'il crée des maladies et notamment la myofasciite à macrophages.  



Cette maladie invalidante est liée à l'aluminium présent dans le muscle des patients à l'issue de la vaccination

Elle est apparue dans les années 90, au moment où les laboratoires pharmaceutiques ont décidé de changer le mode d'administration des vaccins : on les injectait en sous-cutané, désormais c'est en intramusculaire. 

Le problème est que, si une partie de l'aluminium est évacuée, une autre partie reste dans le muscle, emprisonnée par des « macrophages », des cellules immunitaires. De là, l'aluminium se répand dans le corps par la lymphe. Si par malchance, le cerveau est touché, les conséquences sont graves : épuisement chronique, douleurs musculaires diffuses et troubles cognitifs

Les patients ne peuvent plus travailler ni même avoir une vie sociale. 

C'est la raison pour laquelle, avec Maître Jacqueline Bergel-Hatchuel, que vous connaissez bien désormais, nous avons décidé de lancer une nouvelle requête auprès de la Ministre de la Santé

Cette fois, il s'agit de savoir pourquoi le gouvernement maintient l'aluminium dans les vaccins obligatoires alors que : 

>> d'une part, de nouvelles études ont montré qu'il existait un lien entre l'utilisation de l'aluminium dans les vaccins et la myofasciite à macrophages, 

>> et d'autre part, qu'il existe un autre adjuvant, le phosphate de calcium, pour lequel il n'existe pas d'effets secondaires connus. 

Vous pouvez vous joindre à cette action en mandatant Maître Bergel-Hatchuel. Pour cela rendez-vous ici. 

Merci pour votre soutien et votre engagement à travers ces trois actions ! 

Continuons le combat. 

Avec tout mon dévouement, 

Augustin de Livois



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