(Toute la finance a des yeux de biche pour l'Afrique, à quand, le retour de bâton pour les africains, En Tanzanie, ça a commencé, les agriculteurs n'ont plus le droit d'échanger, ni de vendre leurs graines traditionnelles et les gouvernement vendent par millions d'hectares les terres traditionnelles des minorités ethniques. note de rené)

Le chinois Guangdong New South Group va investir près de 2 milliards $ pour la construction d’un parc industriel au Kenya

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    -   lundi, 22 mai 2017 20:09

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(Agence Ecofin) - Le chinois Guangdong New South Group va investir environ 200 milliards de Schillings Kenyans (1,94 milliards $) pour la construction d’un parc industriel dans la zone spéciale d’Eldoret située dans l'ancienne province de la vallée du Rift à l’ouest du Kenya.

Un accord a été signé, à cet effet, avec le gouvernement kenyan en marge du Forum « One Belt, One Road » organisé les 14 et 15 mai dernier à Pekin, en Chine. La signature de convention a eu lieu en présence du Président kenyan Uhuru Kenyatta.

Ce projet de parc industriel sera mis en place à travers un partenariat entre la firme chinoise et Africa's Economic Zones Ltd, qui constitue la première zone économique spéciale privée au Kenya.

Cet accord consiste dans la construction et l’exploitation d’une zone économique spéciale de haut de gamme, avec une infrastructure de classe mondiale à Eldoret. Zone bénéficiant d’un accès facile aux matières premières agricoles, mais aussi de vastes étendues de terrains pour les implantations industrielles.

Pour les autorités kenyanes, la mise en place de cette zone économique spéciale constitue un moyen d'attirer des investissements directs étrangers (IDE), principalement dans le secteur manufacturier. Avec in fine pour objectif, la création d'emplois et la croissance des exportations.

Ainsi, à travers ce projet, ce sont plus de 40 000 emplois directs pour les jeunes et plus de 150 000 possibilités d’emplois indirects qui sont envisagés.

Par ailleurs, une fois que cette zone économique spéciale sera entièrement opérationnelle, les autorités kenyanes estiment que la production industrielle devrait atteindre 3 milliards $ par an, et augmenter de façon exponentielle.

B.K