vendredi 5 février 2016

ALERTE SÉRIEUSE: LE BALTIC DRY À MOINS DE 300

Il y a nombre d’articles qui expliquent que la situation est plus que délicate, des prévisions à la pelle, des indices plus que nombreux, et des scénarios dont les issues ne sont que peu optimistes, mais le Baltic Dry, c’est un des reflets de l’économie mondiale, et celui-ci est très mal en point.
Pour bien comprendre ce à quoi nous avons affaire, voici ce que nous explique l’encyclopédie en ligne Wikipédia: « Le Baltic Dry Index (BDI) est un indice des prix pour le transport maritime de vrac sec (principalement minerais, charbon et céréales), publié par la société britannique Baltic Exchange basée à Londres. »
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Le BDI est donc l’indicateur global des tarifs d’expédition de marchandises à travers la planète par voies maritimes, et de ce fait, plus l’indice est élevé, plus grand est le nombre de marchandises transporté. Le souci, c’est que si ce nombre réduit, cela signifie que les imports-exports réduisent également, et donc que les pays n’ont plus les moyens pour cela.
La crise de 2008 a eu un effet dévastateur sur l’indice BDI, puisque celui-ci s’est littéralement effondré, un signe qui déjà était relativement mauvais:
Depuis sa création, le BDI a connu une volatilité significative. Le 20 mai 2008, il a atteint son plus haut niveau historique, à 11 793 points, les taux de fret ayant doublé suite à l’explosion du trafic maritime avec la demande chinoise en matières premières (cette période s’appelle le « supercycle »).
Peu avant la crise bancaire et financière de l’automne 2008, le BDI chute et perd 94 % de sa valeur en quelques mois. Le 20 décembre 2008, il atteint 663 points. Plus surWikipedia
Mais voilà, celui-ci continue à descendre, il était à seulement 317 point il y a quelques jours, et vient de passer sous la barre des 300, il est tombé à 298:
IMG_20160204_212904Source de l’image: Dryships.com
En clair? Comme l’explique cet article: « Quand l’indice plonge, c’est que le commerce plonge, avec ses conséquences, l’impact sur l’emploi puis l’endettement privé puis la solidité des banques et par contagion de tout le système bancaire« .
Quoi qu’en disent certains experts, ces économistes qui ne valent pas grand chose au final, ou encore nos politiques aux discours complètement creux, IL N’Y A PAS DE REPRISES, mais un effondrement total.
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ALERTE SÉRIEUSE: LE BALTIC DRY À MOINS DE 300

Il y a nombre d’articles qui expliquent que la situation est plus que délicate, des prévisions à la pelle, des indices plus que nombreux, et des scénarios dont les issues ne sont que peu optimistes, mais le Baltic Dry, c’est un des reflets de l’économie mondiale, et celui-ci est très mal en point.
Pour bien comprendre ce à quoi nous avons affaire, voici ce que nous explique l’encyclopédie en ligne Wikipédia: « Le Baltic Dry Index (BDI) est un indice des prix pour le transport maritime de vrac sec (principalement minerais, charbon et céréales), publié par la société britannique Baltic Exchange basée à Londres. »
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Le BDI est donc l’indicateur global des tarifs d’expédition de marchandises à travers la planète par voies maritimes, et de ce fait, plus l’indice est élevé, plus grand est le nombre de marchandises transporté. Le souci, c’est que si ce nombre réduit, cela signifie que les imports-exports réduisent également, et donc que les pays n’ont plus les moyens pour cela.
La crise de 2008 a eu un effet dévastateur sur l’indice BDI, puisque celui-ci s’est littéralement effondré, un signe qui déjà était relativement mauvais:
Depuis sa création, le BDI a connu une volatilité significative. Le 20 mai 2008, il a atteint son plus haut niveau historique, à 11 793 points, les taux de fret ayant doublé suite à l’explosion du trafic maritime avec la demande chinoise en matières premières (cette période s’appelle le « supercycle »).
Peu avant la crise bancaire et financière de l’automne 2008, le BDI chute et perd 94 % de sa valeur en quelques mois. Le 20 décembre 2008, il atteint 663 points. Plus surWikipedia
Mais voilà, celui-ci continue à descendre, il était à seulement 317 point il y a quelques jours, et vient de passer sous la barre des 300, il est tombé à 298:
IMG_20160204_212904Source de l’image: Dryships.com
En clair? Comme l’explique cet article: « Quand l’indice plonge, c’est que le commerce plonge, avec ses conséquences, l’impact sur l’emploi puis l’endettement privé puis la solidité des banques et par contagion de tout le système bancaire« .
Quoi qu’en disent certains experts, ces économistes qui ne valent pas grand chose au final, ou encore nos politiques aux discours complètement creux, IL N’Y A PAS DE REPRISES, mais un effondrement total.

ALERTE SÉRIEUSE: LE BALTIC DRY À MOINS DE 300

Il y a nombre d’articles qui expliquent que la situation est plus que délicate, des prévisions à la pelle, des indices plus que nombreux, et des scénarios dont les issues ne sont que peu optimistes, mais le Baltic Dry, c’est un des reflets de l’économie mondiale, et celui-ci est très mal en point.
Pour bien comprendre ce à quoi nous avons affaire, voici ce que nous explique l’encyclopédie en ligne Wikipédia: « Le Baltic Dry Index (BDI) est un indice des prix pour le transport maritime de vrac sec (principalement minerais, charbon et céréales), publié par la société britannique Baltic Exchange basée à Londres. »
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Le BDI est donc l’indicateur global des tarifs d’expédition de marchandises à travers la planète par voies maritimes, et de ce fait, plus l’indice est élevé, plus grand est le nombre de marchandises transporté. Le souci, c’est que si ce nombre réduit, cela signifie que les imports-exports réduisent également, et donc que les pays n’ont plus les moyens pour cela.
La crise de 2008 a eu un effet dévastateur sur l’indice BDI, puisque celui-ci s’est littéralement effondré, un signe qui déjà était relativement mauvais:
Depuis sa création, le BDI a connu une volatilité significative. Le 20 mai 2008, il a atteint son plus haut niveau historique, à 11 793 points, les taux de fret ayant doublé suite à l’explosion du trafic maritime avec la demande chinoise en matières premières (cette période s’appelle le « supercycle »).
Peu avant la crise bancaire et financière de l’automne 2008, le BDI chute et perd 94 % de sa valeur en quelques mois. Le 20 décembre 2008, il atteint 663 points. Plus surWikipedia
Mais voilà, celui-ci continue à descendre, il était à seulement 317 point il y a quelques jours, et vient de passer sous la barre des 300, il est tombé à 298:
IMG_20160204_212904Source de l’image: Dryships.com
En clair? Comme l’explique cet article: « Quand l’indice plonge, c’est que le commerce plonge, avec ses conséquences, l’impact sur l’emploi puis l’endettement privé puis la solidité des banques et par contagion de tout le système bancaire« .
Quoi qu’en disent certains experts, ces économistes qui ne valent pas grand chose au final, ou encore nos politiques aux discours complètement creux, IL N’Y A PAS DE REPRISES, mais un effondrement total.
(Import-export en chute, prix des matières premières en chute, baril de pétrole en chute, la dernière fois, la crise de 2008 a sur-endetté les états au profit des banques, la suivante verra l'effondrement des états au profit d'une entité supra-nationale conceptualisée par les places financières de wall street et de la city contrôlées par une trentaine de familles ! note de rené)

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