(blog à finir et à corriger)

Bravo !
Pourquoi, je dis Bravo ?
Parce que j'y étais à la manifestation de la Bastille organisée par le Front de Gauche dont le candidat à l'élection présidentielle est Jean Luc Mélenchon.
Plus de 100.000 personnes sont venues de la France entière pour défiler et crier leur espoir d'un véritable changement.
Et, tout ce que ont retenu les journalistes, ce sont les militants présents qui affirmaient qu'au final, ils voteront utile, donc Hollande.
Pourtant, un frémissement s'est fait sentir parmi ceux qui commencent à croire que Mélenchon pourrait être présent au deuxième tour.
Bon, à part cela, il y a un fou mental qui flingue à tout va en France.
Cherchez le, chez les anciens militaires qui ont fait l'Afghanistan.
A part cela, à nouveau, j'ai discuté avec une connaissance qui me disait qu'à cause de nous, nous allions nous retrouver avec sarko comme président.
Je lui ai répliqué que lui qui allait voter pour un apparatchik, pour un appareil, il allait tuer le rêve.
Il m"a répondu, "J'entends, même, je suis d'accord, je vais m'y tenir".
Et, c'est là, le noeud du problème, ils votent utile et ils tuent le rêve.
Réfléchissez-y, mes quatre chers lecteurs. Alors que vous savez que sarko ne passera pas, du fait qu'il y a beaucoup de gens à droite qui ne voteront pas pour lui.
Pour une fois dans votre vie, "OSEZ !"
René.

PS : J'ai perdu la source. Rn tout cas, vive le nucléaire français, la totalité du territoire risque de devenir un désert nucléaire !

Lundi 19 mars 2012
"A Fukushima, « si la piscine de l'unité 4 fuit, c'est la fin »
Lors d’une émission intitulée "Morning Bird" sur TV Asahi, diffusée en direct le 8 mars 2012, les Japonais qui pensaient que la catastrophe nucléaire de Fukushima était terminée ont été frappés de stupeur en écoutant une interview d’Hiroaki Koide. « Si la piscine de l'unité 4 fuit, c'est la fin », a-t-il déclaré.
Mais la fin de quoi ? La fin de toute vie humaine possible à 250 km à la ronde autour de la centrale. Le journaliste, Toru Tamakawa, ne précise pas cela, car tout le monde sait que dans ce cas-là, Tokyo devrait être évacué. L’effroi se lit dans les visages.
Il y a 1535 assemblages dans la piscine n°4, soit 264 tonnes de combustible.
Le journaliste demande si on ne pourrait pas tout simplement construire une autre piscine à côté et transférer les barres de l’une à l’autre. Hiroaki Koide répond que si on sortait les barres à l’air libre, leur radioactivité tuerait immédiatement les hommes qui se trouveraient là."