(blog à finir et à corriger)

Bon, sarko a encore raté l'affaire. Sa yankeemania a finit par le perdre. C'est vrai, il se croit où.
Son meeting de Villepinte a fini de persuader les français qu'il a la folie des grandeurs.
Sans compter qu'il se croit toujours le plus intelligent et qu'il a encore balancé des promesses à la noix qu'il n'a pas l'intention de tenir.
Et, on peut se demander pourquoi, il s'imagine qu'il faille prendre les français pour des cons en leur promettant tout et n'importe quoi.
A Villepinte, tout ce qu'il a réussi à faire, c'est prouver qu'il est fini.
Le plus drôle, c'est qu'il va entraîner tout le monde dans sa chute.
Alors, je le redis, il est temps pour les élus qui veulent être réélus d'abandonner ce qui désormais ressemble au radeau de la méduse, l'UMP, et rejoindre François Bayrou.
Mais, passons, parce que cela est une histoire franco-française.
En attendant le déluge tend à se répéter sur la planète.

(source : futura-environnement, Par Jean-Luc Goudet, Futura-Sciences)

"Les météorologistes l’affirment : la situation actuelle, qui a conduit aux terribles inondations en Australie et aux Philippines, correspondant à un phénomène appelé La Niña, va perdurer encore plusieurs mois.

Les inondations que connaît actuellement l’Australie dans l’état du Queensland sont dantesques. La surface couverte par les eaux atteint celle de l’Allemagne et de la France réunies, 200.000 personnes sont sinistrées, trois quarts des mines de charbon sont noyées (le Queensland en est le premier producteur mondial) et la moitié de la prochaine récolte de blé est perdue. Les eaux envahissantes charrient des serpents et des crocodiles. Une ville de 75.000 habitants, Rockhampton, est actuellement coupée du monde.
Il faut remonter loin dans le temps pour retrouver des déluges semblables. On parle de l’été le plus pluvieux depuis 111 ans. Les zones les plus touchées ont reçu 1,20 mètre d’eau entre septembre et novembre, soit la moyenne annuelle de la région. L’Australie n’est d’ailleurs pas la seule à être touchée. Les Philippines connaissent également leurs pluies exceptionnelles et les inondations y ont causé 12 victimes."

Bon, alors, les catastrophes naturelles augmentent en intensité et en nombre. Il n' a qu'à regarder les Etats-Unis où les ouragans se sont multipliés et ont carrément rasé des villages.
Quoi, de plus normal, l'homme détruit la terre, normal qu'il en subissent les effets collatéraux.
Dommage, que les tornades ne tuent pas que les riches qui spéculent. Cela viendra peut-être un jour.
En attendant, la moitié de la récolte de blé australienne est pourrie, l'Iran achète à tour de bras, encore une catastrophe et les spéculateurs vont s'y mettre pour faire monter les prix.
Les grands céréaliers français vont encore s'en mettre plein les fouilles. Tant mieux pour eux et pour la balance commerciale de notre beau pays.
Quant-au charbon, cela ne devrait pas jouer, vu qu'il y en a encore des quantités en exploitation et, surtout, que l'hiver est derrière nous.