(Beaucoup de pédophiles et de trafic d'organes en Afrique du Sud. Prenons l'occident, la nourriture industrielle rend malade les enfants dont les organes sont soit affaiblis, soit se détériorent, donc, il faut de la matière pour remplacer. Il y a beaucoup, beaucoup de greffes de reins, je ne sais pas pourquoi, ils sont extrêmement demandeurs et concernant les chirurgiens parce que le rein est vraiment malade ou c'est une opération bidon pour juste gagner du fric. Sauf qu'après il faut trouver l'organe et peut-être, on finit par tuer l'enfant parce que cela coûte moins cher d'en trouver un autre que d'en nourrir un même dans une prison avant de lui enlever un autre organe. Je ne sais pas moi, il faut vous réveiller, ils sont en train en tuant le système de police et de justice de nous construire une société où les plus pourris ont le pouvoir sur nous et nos enfants. note de rené)
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par Karol Biedermann
En Afrique du Sud, un enfant disparaît toutes les cinq heures, un phénomène en forte hausse ces dernières années, notamment en raison de la traite des êtres humains, selon un rapport publié lundi par la police.
D’après les chiffres fournis par les autorités, entre septembre 2023 et février 2024, 348 enfants ont été signalés comme disparus. Parmi eux, seuls 207 ont été retrouvés, tandis que 141 restent introuvables. Bianca van Aswegen, criminologue et coordinatrice nationale de «Missing Children South Africa», a souligné que ces statistiques, émanant du Bureau des personnes disparues du service de police sud-africain (Saps), révèlent l’ampleur croissante des dangers qui menacent les enfants dans le pays.
Elle a déploré que 23% des enfants disparus ne soient jamais retrouvés, devenant ainsi des victimes de la traite ou retrouvés morts, précisant que les enfants sont également particulièrement vulnérables à la violence sexiste. Pour elle, la situation est choquante et incontestable, et elle estime que les autorités ne peuvent plus rester passives face à ce phénomène.
De son côté, la professeure Anni Hesselink, criminologue à l’Université de Limpopo, a souligné que les disparitions d’enfants sont devenues un problème majeur en Afrique du Sud, notamment en raison de la faiblesse du contrôle aux frontières. Elle a expliqué que de nombreux réseaux criminels, tant locaux qu’internationaux, exploitent cette situation pour alimenter le marché mondial. «Les enfants sont enlevés pour diverses raisons, notamment pour être réduits en esclavage ou pour devenir les victimes de prédateurs sexuels, qui les violent ou les tuent», a-t-elle ajouté.
Elle a attribué cette augmentation des disparitions à plusieurs facteurs sociaux et économiques, tels que la criminalité élevée, la pauvreté, la toxicomanie, la négligence parentale et un manque d’implication des parents dans l’éducation des enfants.
L’Afrique du Sud avait lancé une campagne nationale pour lutter contre la violence à l’égard des femmes et des enfants. Le pays, qui enregistre plus de 2400 féminicides par an, fait face à l’un des taux d’enlèvements les plus élevés au monde.
Selon les statistiques de la criminalité publiées par le service de police, entre avril 2023 et mars 2024, 17 061 cas d’enlèvements ont été enregistrés. De plus, entre avril et juin 2024, 4205 cas supplémentaires ont été signalés, ce qui témoigne de l’ampleur de cette problématique dans le pays.
source : Sahel Intelligence
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