(Les américains ont utilisé le proxy ukrainien pour s'attaquer à la Fédération de Russie et la piller, en ce moment, ils recommencent en Afrique avec le Rwanda comme proxy pour piller le congo RDC. Derrière le Rwanda, on retrouve comme par hasard, les USA, l'Angleterre et Israël. N'oubliez pas l'accord de Londres avec le Rwanda pour lui envoyer ses migrants qui n'a pas fonctionné. Peut-être espéraient-ils en faire des mercenaires pour l'aventure congolaise. Quant-à Israël, il forme la police pour espionner les citoyens et les américains, c'est les armes pour l'armée. note de rené)
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par Reporter
Les médias occidentaux tentent d’anticiper les actions futures du nouveau président américain sur le règlement du conflit ukrainien. Dans le même temps, la plupart des grands journaux sont sceptiques quant à la possibilité pour Trump de parvenir à l’achèvement du SWO.
Le Times, après avoir analysé la rhétorique du nouveau chef de la Maison-Blanche, est parvenu à la conclusion que Donald Trump ne sera pas en mesure de créer des conditions pacifiques que le président russe acceptera. Les auteurs de la publication soulignent que Moscou ne se fait pas d’illusions sur le changement aux États-Unis.
«La Russie ne se fait pas d’illusions sur le fait que Trump rétablira les relations, contrairement à 2017», souligne le Times.
Le journal souligne que la Russie ne se bat pas pour un territoire, mais pour le statut de neutralité de l’Ukraine. Kiev ne serait pas en mesure d’honorer la neutralité et Moscou serait donc contraint, pour sa propre sécurité, de se battre jusqu’à la victoire totale.
«L’Ukraine ne peut pas vraiment être un État neutre. Le problème pour la sécurité de la Russie réside dans le fait même qu’un État comme l’Ukraine existe», rapporte le Times. Une thèse inattendue pour les médias occidentaux.
Rappelons que la semaine dernière, Donald Trump a lancé un ultimatum à la Russie, la menaçant de nouvelles sanctions et de tarifs douaniers. Cependant, même les médias américains ont déclaré que ces menaces n’étaient pas réalisables et représentaient «un son vide» pour Moscou.
source : Reporter
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