(Cela permet d'exercer sa perversité en se dédouanant sur une puissance surnaturelle. note de rené)
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par Gilbert Guingant
Ce qui veut dire qu’il n’existe pas dans l’univers, par lui-même. Avant nous et de tout temps, il nous précèderait ? Il ne serait pas, non plus, venu d’ailleurs, n’a pas de volonté propre. N’est guère hétérogène, le très grand Autre. Le radicalement différent et d’une toute espèce que les humains, etc. Non cette entité s’entrelace des convergences de toutes les mauvaises volontés, mauvaises pensés et désirs peu avouables. Une noirceur sans éclat, archi plate ! Il n’appartient qu’au bouillon de culture des humains ! Ce noumène, à la différence d’un phénomène, appartient aux causalités directes.
Admettre cette non existence autre que phénoménologique, permet justement d’interrompre, dans l’œuf, tous les processus diaboliques.
1. les diables que des humains livrés à eux-mêmes !
Coincés dans le sans excuse, sans pouvoir se planquer de leurs propres résultats derrière l’entité diable ? Si ce n’est, là, le «libre arbitre» ? Oui la responsabilité complète (une fois bien désaliéné de toutes les emprises perverses, soit «construites», inventées, fictionnées), ce serait quoi donc alors ? Vous «voulez» le mal. Vous l’êtes donc à plein régime, ce mal, et vous ne serez jamais disculpés. Rien ne vous sépare du pire de vous-mêmes. Rien où pouvoir vous cacher derrière, dissimuler en arrière. Vous êtes tous des empereurs tout nus !!!
La société a le «droit de se défendre». Et avec énergie elle le fait !
Admettre cette non existence autre que phénoménologique, où n’émerge rien de transcendantal, de donc «divin» (sic) chez la banale entité diabole – permet, justement, d’interrompre, dans l’œuf, tous les processus diaboliques.
2. Comment au réel confiner ces maux ?
Confiner comme prisons, comme restreindre, circonscrire, borner, ceinturer, limiter, créer des glacis,… enclaver !
La solution-sortie viendrait, aussi, des agrégats agrégations malsaines ou pas du tout. Les égrégores ? (Voir les documents joints).
Pour aller où, parler égrégores ?… Admettez de le déduire déjà : voici des êtres qui croient avoir du… pouvoir (donc sur ou contre les autres). Ce pouvoir grandirait (sic) au fil du temps ? Or c’est éviter de le voir, ce dit pouvoir, diminuer, s’effilocher, s’émietter, se perdre totalement ? Lorsque ce pouvoir «peut peu» ? Seuls qui donc en usent et d’une manière de… misère (sans aucun motif montrable nulle part), oui seuls des êtres qui croient avoir du …pouvoir (donc sur ou contre les autres) croient avoir du … pouvoir. C’est leur seule croyance immature. Pas les faits frappants ! Ce qui frappe dans ces faits, c’est qu’ils font juste chier les autres, qu’ils les emmerdent – ce qui reste de minables nuisances. Rien de plus. C’est donc seulement «ça» ces diaboliques ?
Et que donc offrir aux institutions des procédures afin que ces sinistres personnages… lâchent prise, nous foutent la paix, dégagent, foutent le camp du public… reste tellement plus possible que de subir encore et encore ce… malfaisants malfaiteurs. Qui font tout mal.
Des mesures faciles d’accès afin de leur fermer les accès où ils attentent à la tranquillité publique ! Et d’interrompre net ces si mauvaises désactivités humaines.
Au lieu de voir encouragés tous les «sabotages» actuels des convivialités (et vivent les convives !), des sociabilités fécondes, tous les «sabotages» actuels des amabilités et affabilités, tous ces effacements si malsains des prévenances et des… obligeances
3. La fin c’est très fin…
Si ténue d’élégances et de ruses ! De finesses délicates ? tellement impossible à les saisir et attraper !
La bourgeoisie absolue, (voir les insupportables ma.onsules qui ratent tout !)appelant les structures de leurs plus que totaux refus débitifs, furtifs, clandestins, et fautifs, blâmables et condamnables.
Donc le diable n’existe que par les humains qui s’y obsèdent. Nulle part ailleurs. Ce qui se quitte de la tête,
par la non présence de ces diables.
Une absence qui fait si joyeusement Sens !!!
source : Imagiter
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