(Ce que je remarque est qu'aucun de ces gens ne sont en prison et qu'au contraire ils essaient de continuer à nous empoisonner. note de rené)
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par Patrice Gibertie
Existe-t-il un test qui confirme que les cancers sont dus aux vaccins COVID-19 ?
«Nous menons actuellement une étude pilote. La première que nous avons menée a montré que le plasmide ADN contaminant de Pfizer était présent dans la tumeur. Et non seulement le plasmide était présent, mais il était en train de muter». ~ Dr Ryan Cole
Angus Dalgleish, professeur d’oncologie à St George’s, Université de Londres, explique à Charles Kovess (@CharlesKovess) et al. lors d’une récente discussion avec Medical Doctors for COVID Ethics International comment non seulement les injections COVID, mais toutes les injections utilisant la plateforme d’administration d’ARNm, doivent être arrêtées «à tout prix». Dalgleish, qui a déclaré ailleurs avoir constaté une «explosion» de cancers parmi ses patients depuis le déploiement des injections COVID, note que la plateforme d’ARNm est «non seulement folle, [mais aussi] diabolique».
«J’ai passé 30 ans à concevoir des vaccins contre le cancer et le VIH. J’ai également siégé au conseil d’administration de grandes sociétés pharmaceutiques, de sociétés pharmaceutiques de milieu de gamme, en particulier celles qui s’occupent des vaccins, et plus important encore… d’une société qui se fait appeler la société de vaccins à ARN messager. J’y ai siégé pendant cinq ans, et j’ai quitté il y a sept ans», explique Dalgleish. «Et j’ai alors compris que le problème avec l’ARN messager [est] qu’il faut le stabiliser. Et après toutes ces années, ils n’ont jamais été capables de le stabiliser de manière significative… il ne s’intégrera pas, ne fera pas de ravages et ne se répliquera pas. C’est là que réside le problème».
«L’idée de l’administrer à des patients atteints de cancer pour tenter d’interférer est une chose, et j’aurais pu soutenir cette idée il y a 10 ou 20 ans, car je pensais que les vaccins contre le cancer étaient vraiment importants dans la thérapie génique. C’est ce que je faisais. En fait, j’étais membre du comité de rédaction d’une revue appelée Gene Therapy. Je sais donc beaucoup de choses sur ce dont on m’accuse de ne pas savoir de quoi je parle», ajoute Dalgleish. «Mais l’idée de l’administrer à quelqu’un d’autre qu’un patient atteint d’un cancer en phase terminale n’a jamais été envisagée».
«Et jusqu’à ce que cette pandémie soit imaginée et créée et déguisée en urgence, ils ne pouvaient même pas [la déployer] pour le traitement du cancer», note Dalgleish. «Alors maintenant, nous avons… [le médecin en chef de l’Angleterre, Chris] Whitty et Morris et tous ces gens disent : «Ah, c’est fantastique. Nous avons un excellent moyen de produire… des vaccins rapides pour de nouveaux virus et des choses pour les enfants, etc.» Et l’article dont j’ai parlé disait que Moderna et aucune des entreprises ne seraient tenues responsables de cela».
Dalgleish poursuit en notant :
«Ils veulent infecter les enfants et les jeunes adultes avec des maladies comme le VRS, la grippe, etc. C’est l’équivalent d’exposer les enfants au radium, sur le terrain. Voyons si cela causera des problèmes dans 10 ou 20 ans. Ce n’est pas seulement fou, c’est diabolique. Et nous devons y mettre un terme. Et je m’arrête là, car c’est le grand message que je veux faire passer : nous devons arrêter l’ARN messager à tout prix».
Nous avons initialement identifié 678 études et, après avoir examiné nos critères d’inclusion, nous avons inclus 44 articles contenant 325 cas d’autopsie et un cas d’autopsie restreinte à un organe (cœur). L’âge moyen du décès était de 70,4 ans. Le système organique le plus impliqué parmi les cas était le système cardiovasculaire (49%), suivi par le système hématologique (17%), le système respiratoire (11%) et plusieurs systèmes organiques (7%). Trois systèmes organiques ou plus étaient touchés dans 21 cas. Le délai moyen entre la vaccination et le décès était de 14,3 jours. La plupart des décès sont survenus dans la semaine suivant la dernière administration du vaccin. Au total, 240 décès (73,9%) ont été jugés de manière indépendante comme étant directement dus ou significativement liés à la vaccination contre la COVID-19, dont les principales causes de décès comprennent la mort cardiaque subite (35%), l’embolie pulmonaire (12,5%), l’infarctus du myocarde (12%), le VITT (7,9%), la myocardite (7,1%), le syndrome inflammatoire multisystémique (4,6%) et l’hémorragie cérébrale (3,8%).
Conclusions : La cohérence observée entre les cas de cette revue et les mécanismes connus de lésions et de décès liés aux vaccins contre la COVID-19, associée à la confirmation de l’autopsie par un médecin, suggère qu’il existe une forte probabilité d’un lien de cause à effet entre les vaccins contre la COVID-19 et le décès. Une enquête plus approfondie est nécessaire de toute urgence pour clarifier nos conclusions.
source : Patrice Gibertie
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