(Si vous prenez tous les pays qui ont servi de laboratoires à la nouvelle ingénierie sociale et économique du nouvel ordre mondial, vous mettez les évènements bout à bout, vous saurez un diaporama de ce qui va nous arriver. Par exemple, l'électricité va aussi se mettre à manquer pour bien nous plonger la tronche dans la cuvette des chiottes, alors, j'achète des bougies. note de rené)
Je sais que beaucoup de riches libanais ainsi que les geeks de Beyrouth ont investi depuis des années dans le BTC et l'Ethereum, ce qui les a sauvés (et les sauve toujours) de la destruction du cours de la livre libanaise, qui, techniquement, ne vaut même plus son poids en papier.
Et là où cela devient assez cocasse finalement, est que la firme turque Karpowership (filiale de Karadeniz) a décidé de stopper de fournir le Liban en... courant électrique. Lors de mon reportage à Beyrouth d'il y a presque 1 an et demi, j'ai été confronté lors de mes rendez-vous à maintes coupures, et Dieu Merci, j'avais choisi comme point de chute le Phoenicia Hotel qui disposait d'une alimentation privée constante via les 2 navires-centrales l'Orhan Bey et le Fatmagül Sultan, au large, ce qui m'a permis de travailler sans angoisse.
"L'Etat loue à la filiale de Karadeniz deux navires-centrales, depuis 2013, amarrés à Jiyé (Chouf) et Zouk Mosbeh (Kesrouan), respectivement au sud et au nord de Beyrouth, qui déploient une capacité de 370 mégawatts (MW), soit près d'un quart des capacités totales disponibles dans le pays. Le gouvernement libanais a des arriérés de paiements de dix-huit mois vis-à-vis de l'entreprise turque, pour un montant de 180 millions de dollars."
Mais aujourdhui plus personne n'est à l'abri: "Aucune compagnie ne peut travailler dans un tel environnement plein de risques directs et injustifiables", déplore l'entreprise turque à qui l'Etat libanais loue deux navires-centrales. La firme met ainsi à exécution une menace lancée il y a quelques jours afin de protester contre des impayés de la part de l'Etat et contester des poursuites en justice dont elle fait l'objet.
Les deux navires-centrale opèrent au Liban depuis 2013, fournissant jusqu'à 25% de son électricité (...) Cette décision fait donc craindre un blackout total dans un Liban déjà en grave crise économique et qui souffre d'un important déficit chronique en alimentation électrique."
Et là où cela devient assez cocasse finalement, est que la firme turque Karpowership (filiale de Karadeniz) a décidé de stopper de fournir le Liban en... courant électrique. Lors de mon reportage à Beyrouth d'il y a presque 1 an et demi, j'ai été confronté lors de mes rendez-vous à maintes coupures, et Dieu Merci, j'avais choisi comme point de chute le Phoenicia Hotel qui disposait d'une alimentation privée constante via les 2 navires-centrales l'Orhan Bey et le Fatmagül Sultan, au large, ce qui m'a permis de travailler sans angoisse.
"L'Etat loue à la filiale de Karadeniz deux navires-centrales, depuis 2013, amarrés à Jiyé (Chouf) et Zouk Mosbeh (Kesrouan), respectivement au sud et au nord de Beyrouth, qui déploient une capacité de 370 mégawatts (MW), soit près d'un quart des capacités totales disponibles dans le pays. Le gouvernement libanais a des arriérés de paiements de dix-huit mois vis-à-vis de l'entreprise turque, pour un montant de 180 millions de dollars."
Mais aujourdhui plus personne n'est à l'abri: "Aucune compagnie ne peut travailler dans un tel environnement plein de risques directs et injustifiables", déplore l'entreprise turque à qui l'Etat libanais loue deux navires-centrales. La firme met ainsi à exécution une menace lancée il y a quelques jours afin de protester contre des impayés de la part de l'Etat et contester des poursuites en justice dont elle fait l'objet.
Les deux navires-centrale opèrent au Liban depuis 2013, fournissant jusqu'à 25% de son électricité (...) Cette décision fait donc craindre un blackout total dans un Liban déjà en grave crise économique et qui souffre d'un important déficit chronique en alimentation électrique."
"Nous avons fait preuve de flexibilité durant 18 mois avec l'Etat libanais, et nous avons assuré le courant électrique sans obtenir les montants qui nous sont dus et sans aucun plan de paiement, car le Liban traverse une période très difficile. Toutefois, aucune compagnie ne peut travailler dans un tel environnement plein de risques directs et injustifiables"
Electricité du Liban (EDL), qui gère le réseau électrique du pays, a confirmé que la société turque a mis ses moteurs à l'arrêt à 8h vendredi matin à Zouk et Jiyé, entraînant une perte de 240 MW d'alimentation en courant. EDL explique ensuite qu'elle a activé plusieurs groupes électrogènes dans les centrales à moteurs inversés de Zouk et Jiyé et dans une centrale à Tyr, ce qui devrait assurer une production supplémentaire de 130 MW "afin de compenser partiellement le déficit entraîné par la suspension des moteurs des navires-centrales".
Et j'en arrive à ceux qui ont des crypto-monnaies et/ou des cartes de crédit au Liban: sans électricité, aucune opération possible.
Le "fall-back" naturel ? Pièces d'or et d'argent ... ne serait-ce que pour acheter de l'essence aux vendeurs à la sauvette !
Naturellement -on est au Liban-, aussitôt l'Etat libanais a accusé les Turcs de corruption et blanchiment !
C'est la centrale qui se moque du générateur-charité !!!!
"Le procureur général financier Ali Ibrahim a interdit, en fin de semaine à la société turque de faire sortir du territoire ses deux navires-centrales, afin de garantir que la filiale de l'opérateur turc Karadeniz ne se déroberait pas à son obligation de payer 25 millions de dollars à l'État au cas où la justice confirmerait sa participation à des "transactions financières et opérations de courtage litigieuses".
Le directeur de Karpowership, Ralf Faysal, qui faisait partie des personnes aux arrêts depuis plusieurs semaines dans le cadre de cette affaire, a récemment été libéré sous caution. Les sources proches du dossier contactées évoquent une affaire "totalement politique", le secteur de l'électricité en général, et celui de la location des navires-centrales en particulier, ayant régulièrement alimenté des tensions entre les partis au pouvoir".
D'accord...
Question à mes chers lecteurs au Liban: la caution, elle, elle a été payée comment? Ha ha ha LoooooooL Mdrrr (j'en ai mal au ventre de rire ) Lire ici l'Orient le Jour et la Nuit histoire de vraiment vous amuser en ces temps de cholèra. Revue de Presse par Pierre Jovanovic © www.quotidien.com 2008-2021
Electricité du Liban (EDL), qui gère le réseau électrique du pays, a confirmé que la société turque a mis ses moteurs à l'arrêt à 8h vendredi matin à Zouk et Jiyé, entraînant une perte de 240 MW d'alimentation en courant. EDL explique ensuite qu'elle a activé plusieurs groupes électrogènes dans les centrales à moteurs inversés de Zouk et Jiyé et dans une centrale à Tyr, ce qui devrait assurer une production supplémentaire de 130 MW "afin de compenser partiellement le déficit entraîné par la suspension des moteurs des navires-centrales".
Et j'en arrive à ceux qui ont des crypto-monnaies et/ou des cartes de crédit au Liban: sans électricité, aucune opération possible.
Le "fall-back" naturel ? Pièces d'or et d'argent ... ne serait-ce que pour acheter de l'essence aux vendeurs à la sauvette !
Naturellement -on est au Liban-, aussitôt l'Etat libanais a accusé les Turcs de corruption et blanchiment !
C'est la centrale qui se moque du générateur-charité !!!!
"Le procureur général financier Ali Ibrahim a interdit, en fin de semaine à la société turque de faire sortir du territoire ses deux navires-centrales, afin de garantir que la filiale de l'opérateur turc Karadeniz ne se déroberait pas à son obligation de payer 25 millions de dollars à l'État au cas où la justice confirmerait sa participation à des "transactions financières et opérations de courtage litigieuses".
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