vendredi 5 mars 2021

 

Sauvez les enfants des vaccins anticovid inutiles et dangereux

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par Gérard et Nicole Delépine.

Luttez contre une propagande insidieuse véhiculée par un quotidien pour enfants en toute illégalité

Tout médicament ou vaccin ne doit être prescrit que si les avantages espérés sont supérieurs aux complications possibles pour celui qui le reçoit.

Aucun traitement expérimental ne doit être proposé sans le consentement libre et éclairé du cobaye.

Ces deux règles fondamentales d’éthique médicale (serment d’Hippocrate) et d’éthique de la recherche (déclaration d’Helsinki de l’Association Médicale Mondiale) sont totalement bafouées lorsqu’on propose un vaccin anticovid et singulièrement aux enfants.

Mais une revue pour enfants, le petit quotidien, n’hésite pourtant pas à en faire la promotion !

Pour un enfant, le vaccin anticovid ne peut pas offrir de bénéfice personnel.

Chez l’enfant, le covid est moins dangereux que la grippe ordinaire !

Au 2 mars 2021, 10 009 articles traitant du covid chez l’enfant sont référencés dans la base de données PubMed, lorsqu’on lorsque l’on tape « Children Covid », dont 3 124 si on précise « severe children covid ».

Tous ces articles s’accordent sur la faible fréquence de la virose chez l’enfant de moins de 15 ans, et sa bénignité habituelle1, plus de la moitié des infections ne donnant aucun signe de maladie.

Dans les trois dernières années, les grippes saisonnières ont causé entre 7 et 10 décès parmi les presque 7,5 millions de Français de moins de 15 ans. En 2020, le covid19 n’a été mis en cause que pour 3 décès dans ce groupe d’âge et il s’agissait d’enfants à très lourdes maladies préexistantes. Chez l’enfant, le Covid est environ trois fois moins mortel que la grippe pour laquelle aucune vaccination antigrippale n’est actuellement recommandée.

On ne sait même pas si les vaccins sont efficaces chez l’enfant

Nous nous contenterons ici de citer l’avis de la Haute Autorité de Santé de décembre 20202 : « l’efficacité vaccinale n’a pu être évaluée chez les jeunes de moins de 16 ans ».

Au 3/3/2021 le Registre des essais cliniques de l’UE3 ne recensait aucun essai de vaccin anticovid chez l’enfant.

On ignore totalement les risques des vaccins anticovid chez l’enfant

Les quelques éléments des essais publiés montrent qu’ils n’ont pas été testés chez l’enfant, ni chez les enfants à risques (prématurés, immunodéficients, mucoviscidose) la sélection des participants aux essais excluant, en autres, les moins de 18 ans et ceux souffrant de pathologies respiratoires, cardiaques, d’obésité ou de diabète…

La durée moyenne de surveillance des participants à l’essai est actuellement inférieure à six mois, alors que les plus graves complications (dont les narcolepsies) des vaccins anti grippe H1N1 sont apparues majoritairement après ce délai.

Aucun bénéfice envisageable versus complications possibles : chez l’enfant, la balance avantage /risque est à l’évidence défavorable.

D’ailleurs l’HAS ne recommande pas ces vaccins chez l’enfant et on peut se demander si la publicité pour un vaccin qui n’a pas reçu une AMM (même conditionnelle) dans ce groupe d’âge ne constitue pas une infraction pénale.

Vacciner les enfants ne protégerait pas les adultes, car ils ne sont pas vecteurs

Lorsqu’aucun bénéfice personnel n’est attendu, la publicité incite à la vaccination altruiste « pour protéger les autres », ce que fait le quotidien pour enfant. Noble motivation, mais sans aucune justification médicale ici, puisque les vaccins paraissent actuellement incapables d’empêcher la transmission de la maladie et que, de toute manière, les enfants ne contaminent personne.

Tous les articles publiés montrent que les enfants ne participent pas à la transmission du coronavirus.

Au début de l’épidémie, on croyait que le covid-19 se propageait comme la grippe en passant par les enfants. Mais toutes les études épidémiologiques sérieuses ont prouvé qu’il n’en était rien. Les enfants ne contaminent personne, ni les autres enfants ni les adultes.

Plus de 20 études épidémiologiques dans une dizaine de pays ont recherché opiniâtrement des contaminations à partir d’enfants de moins de 18 ans : aucune n’a pu mettre en évidence un seul exemple réellement probant.

L’étude de l’INSERM4 est très démonstrative. L’enfant des Contamines a été en contact, alors qu’il était malade, avec 172 personnes, dont 112 élèves et professeurs dans trois écoles et un ski-club. Il n’a contaminé personne, même pas les deux autres enfants de sa fratrie. Et l’infection apportée de Singapour par un adulte est restée cantonnée aux occupants du chalet.

L’étude de l’Institut Pasteur sur les écoles primaires de Crépy-en-Valois5 a porté sur 1 340 personnes, dont 139 infectées (81 adultes et 58 enfants). Parmi 510 élèves de six écoles primaires, ils ont identifié trois enfants de trois établissements différents qui étaient infectés au moment où les écoles étaient encore ouvertes. Aucun de ces trois enfants n’a contaminé quiconque, qu’il s’agisse d’autres élèves ou d’adultes.

L’étude Coville6, du groupe Activ (Association clinique et thérapeutique infantile du Val-de-Marne) dirigé par le professeur Robert Cohen, vice-président de la Société française de pédiatrie, a porté sur 600 enfants, de la naissance à l’âge de 15 ans permet de conclure que : « sans histoire de Covid parental, l’enfant n’a rien ».

Aux Pays-Bas, les enfants âgés de 0 à 17 ans ne représentent que 1,3% de tous les patients déclarés avec COVID-19, bien qu’ils représentent 20,7% de la population. Seulement 0,6% des hospitalisations signalées concernaient des enfants de moins de 18 ans et Il n’y a pas de cas d’enfants décédés du COVID-19. Une étude des ménages aux Pays-Bas a rapporté des données sur 116 enfants de 1 à 16 ans7 et les résultats préliminaires ont montré que rien n’indique que les enfants de moins de 12 ans aient été les premiers infectés de la famille.

En Irlande8, avant la fermeture des écoles aucun cas de contamination scolaire n’a été détecté parmi les 924 enfants et 101 adultes au contact de six infectés (trois enfants, trois adultes).

En Australie9,10, 9 élèves et 9 membres du personnel infectés par le SRAS-CoV-2 dans 15 écoles ont eu des contacts étroits avec un total de 735 élèves et 128 membres du personnel. Seules 2 infections secondaires ont été identifiées, aucune chez le personnel adulte. 1 élève du primaire a été potentiellement infecté par un membre du personnel.

En Suisse : sur un total de 4 310 patients atteints du SRAS-CoV-2, 40 étaient âgés de moins de 16 ans (0,9%). Parmi les 111 contacts familiaux positifs des enfants étudiés, les mères prédominaient (n = 39), suivies des pères (n = 32), des frères et sœurs pédiatriques (n = 23), des frères et sœurs adultes (n = 8) et des grands-parents (n = 7).

En Finlande11, un enfant de 12 ans qui allait à l’école durant sa maladie a été en contact avec 121 personnes et n’en a contaminé aucune.

En Grèce12 l’analyse épidémiologique de 23 clusters touchant 109 personnes (66 adultes et 43 enfants n’a retrouvé aucun cas de transmission à partir d’un enfant.

À Singapour13, deux écoles primaires et une école secondaire ont constaté des covid-19 infantiles. Aucun des 34 contacts identifiés des écoles primaires ne s’est révélé positif. Parmi les 77 contacts de l’école secondaire, 8 ont développé des symptômes grippaux, mais aucun d’entre eux n’a été testé positif.

Le lobby de la peur, pour imposer des vaccins chez l’enfant, n’a pas d’études épidémiologiques sérieuses à présenter.

Il n’exhibe que des études virologiques ou des études basées sur des tests affirmant que les enfants ont parfois une charge virale élevée et que lorsqu’ils sont symptomatiques, ils excréteraient autant que les adultes et donc qu’ils seraient susceptibles d’être contaminants.

Et plus récemment des foyers dans un camp de vacances ou des crèches, mais jamais des études épidémiologiques de la qualité de celles réalisées, au début de l’épidémie lorsque la faible prévalence du covid-19 permettait de remonter avec certitude la piste des contaminations. Des hypothèses, des supputations au conditionnel, pas de preuves !

Restons factuels.

Toutes les études épidémiologiques publiées concluent que l’enfant ne contamine personne ou presque. Et aucune étude épidémiologique sérieuse n’a jusqu’à présent montré que le variant anglais en serait capable. Si davantage d’enfants anglais sont des cas positifs, c’est peut-être parce qu’ils sont actuellement exposés à davantage de personnes contaminées depuis le début de la vaccination, ainsi que le montrent les courbes de l’OMS.

Les vaccins sont expérimentaux ; leur utilisation chez les enfants viole le code de Nuremberg et la déclaration d’Helsinki

Les résultats des essais des vaccins anti covid chez l’enfant n’ayant été ni établis, ni publiés, leur utilisation constitue un essai thérapeutique. Or le code de Nuremberg14 identifie le consentement éclairé comme préalable absolu à la conduite de recherche mettant en jeu des sujets humains.

« Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Cela veut dire que la personne intéressée doit jouir de capacité légale totale pour consentir : qu’elle doit être laissée libre de décider, sans intervention de quelque élément de force de fraude, de contrainte, de supercherie, de duperie ou d’autres formes de contraintes ou de coercition.

Il faut aussi qu’elle soit suffisamment renseignée, et connaisse toute la portée de l’expérience pratiquée sur elle, afin d’être capable de mesurer l’effet de sa décision.

Avant que le sujet expérimental accepte, il faut donc le renseigner exactement sur la nature, la durée, et le but de l’expérience, ainsi que sur les méthodes et moyens employés, les dangers et les risques encourus ; et les conséquences pour sa santé ou sa personne, qui peuvent résulter de sa participation à cette expérience ».

Proposer ou prôner un vaccin expérimental à des enfants qui n’ont pas la capacité légale de consentir viole donc le code de Nuremberg.

L’Association médicale mondiale (AMM) a élaboré la Déclaration d’Helsinki15 comme un énoncé de principes éthiques applicables à la recherche médicale impliquant des êtres humains.

Le Serment de Genève de l’Association médicale mondiale lie le médecin dans les termes suivants :

« La santé de mon patient sera mon premier souci »

et le Code international d’éthique médicale énonce que « le médecin devra agir uniquement dans l’intérêt de son patient lorsqu’il lui procure des soins qui peuvent avoir pour conséquence un affaiblissement de sa condition physique ou mentale ».

Dans la recherche médicale sur les sujets humains, les intérêts de la science et de la société ne doivent jamais prévaloir sur le bien-être du sujet.

Proposer ou prôner un vaccin expérimental à des enfants pour protéger autrui viole donc aussi les principes éthiques de la médecine.

Mais que vient faire le « Petit Quotidien » dans cette galère de propagande vaccinale inappropriée ?

Faire la promotion directe aux enfants d’un vaccin qui ne leur est pas destiné est quasi délictueux et relève de la Justice comme les promotions vaccinales par des mairies dont une est déjà poursuivie16,17.

Violer le code de Nuremberg et la déclaration d’Helsinki, bases de l’éthique médicale et de la recherche médicale constitue des fautes morales majeures.

Comment le petit quotidien, qui prétend rapporter « 100% de faits 0% d’opinion » a-t-il pu tomber aussi bas ?

Comment ses rédacteurs ont-ils été si mal renseignés ?

Si le « petit quotidien » ne corrige pas rapidement ses erreurs en rappelant dans un prochain numéro l’histoire du procès des médecins nazis et les bases éthiques élaborées à son occasion, il montrera qu’il n’a agi que comme militant des firmes pharmaceutiques et pourra être poursuivi pour publicité illégale.

source : https://nouveau-monde.ca


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