mardi 29 décembre 2020

 (Ca, on le sait, il faudra plusieurs vaccinations dans l'année, c'est à cela que les reconfinements vont servir. Oh, là, là, les milliards que big pharma va empocher en distribuant des actions gratuites à nos dirigeants. Tiens, il paraît qu'elon musk investit dans big pharma avec le pognon qu'il s'est fait lors de la dernière manipulation boursière sur Tesla. A part ça, c'est comme le sida (HIV), les gens se récontaminent avec des souches mutantes. note de rené)


Une responsable scientifique de l’OMS met en garde : “Il n’y a aucune preuve que le vaccin contre le COVID empêche la transmission du virus”

Une fois de plus, l’OMS est intervenue pour faire des commentaires déroutants sur le vaccin contre le coronavirus, avertissant qu’il n’y a “aucune preuve que les vaccins empêchent la transmission” et que les personnes qui se font vacciner devraient continuer à porter des masques et à suivre toutes les directives de distanciation sociale et de voyage.

Ces commentaires ont été faits par Soumya Swaminathan, responsable scientifique de l’OMS, au cours de ce qui semble être une conférence de presse virtuelle tenue lundi.

Un clip de la phrase incriminée a commencé à circuler sur les médias sociaux.

“Pour l’instant, je ne crois pas que nous ayons les preuves que ces vaccins sont sûrs pour empêcher les gens de contracter l’infection et de la transmettre,”

Bien sûr, un examen attentif des recherches publiées par Pfizer et Moderna montre que les études n’ont pas réellement testé si les vaccins empêchent réellement la transmission du virus ; le but des essais était de voir si les patients vaccinés présentaient des symptômes du COVID à un rythme nettement moins fréquent que les personnes qui n’avaient pas été vaccinées. C’est à peu près tout. Bien que les données puissent laisser entrevoir une diminution des taux de transmission, cela reste à déterminer, apparemment.

Certains sur twitter se sont moqués de ce commentaire.

La médecin a poursuivi en expliquant qu’il n’y a pas de preuve que les personnes qui ont été vaccinées ne présenteraient pas de risque si elles se rendaient dans un pays étranger, par exemple l’Australie, où le taux de COVID est relativement faible.

À ce stade, il pourrait être utile que l’OMS produise une sorte de clarification qui offre un contexte beaucoup plus large pour expliquer cette remarque.

Mais nous pensons que ce ne sera pas le cas.

Pourquoi ? Eh bien, peut-être parce que ce contexte pourrait saper l’insistance de certains responsables gouvernementaux qui affirment qu’il n’y a absolument aucune raison de mettre en doute l’efficacité et les effets secondaires potentiels (à long terme et à court terme) liés aux nouveaux vaccins contre le COVID-19.

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