Psychiatrie : inventer des maladies est devenu un jeu…
via Les Moutons Enragés
Un article proposé par Jimmy, il a trait à une manipulation de la part de psychiatres peu scrupuleux. On savait déjà qu’il y a des maladies inventées et là ce sont des traitements qui sont proposés pour des « maladies » qui sont avant tout, des désordres dus à certaines addictions comme le café ou le tabac ou à un mal être qui engendre un mauvais sommeil. On se demande jusqu’où ça va aller. Chez nous, l’Ordre des médecins, répond à Mr Guennebaud » « les effets secondaires des vaccins ne nous concernent pas, leurs évaluations non plus » » Voilà des « sages » ayant fait de longues études, qui ne se sentent pas concernés par la santé de ceux qu’ils ont en charge, refusant de relier certains effets secondaires APRÈS vaccination et n’anticipant aucunement. On se demande qui sont les « dérangés ». Partagez ! Volti
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Auteur Jimmy pour TerraponiaAvez-vous déjà entendu parler de la Commission des Citoyens pour les Droits de l’Homme (CCDH) ? Si tel n’est pas le cas, alors leur intervention sur le thème de la psychiatrie risque de fortement vous intéresser ! Tout droit issue des États-Unis, où elle est appelée Citizens Commission on Human Rights (CCHR), la CCDH est l’adaptation francophone de la CCHR.Plutôt que de réitérer des propos déjà divulgués dans leur article, je vous laisse le soin de parcourir ce dernier (ci-dessous) et d’en tirer les plus nobles et utiles informations. Il y a de quoi faire***Incipit : « La profession psychiatrique n’a pas de tests pour valider tout trouble ou « maladie » mentale. De nombreux troubles sont identifiés comme tels par un vote sans aucun fondement scientifique ni aucune preuve.En termes légaux, l’escroquerie implique la tromperie intentionnelle ou le mensonge délibéré pour prendre de l’argent, des droits, une propriété ou un privilège. En langage courant, escroquerie est synonyme de transaction malhonnête, tricherie ou tromperie.Un des moyens les plus efficaces utilisés par la psychiatrie pour escroquer ceux qui payent pour les traitements psychiatriques est d’utiliser le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM-V) et son complément, la section sur les troubles mentaux de la Classification internationale des maladies (CIM-10).Comme l’indiquent les professeurs Herb Kutchins et Stuart A. Kirk, auteurs de Nous faire passer pour des fous (Making Us Crazy) : « Le DSM ouvre non seulement la porte à l’argent des compagnies d’assurance-maladie privées, mais aussi à celui des caisses publiques et de divers programmes sociaux pour handicapés, anciens combattants ou autres. »La nature non-scientifique et fallacieuse du DSM invite à l’escroquerieLe Dr Robert F. Stuckey, ancien directeur médical de l’un des hôpitaux psychiatriques du groupe National Medical Enterprises, a admis que les psychiatres et le personnel hospitalier « étaient des génies absolus de l’assurance médicale ». Dès qu’un patient potentiel entre en contact avec l’hôpital, son assurance est examinée à fond. Une fois que le patient est admis, l’assurance est régulièrement passée au crible pour vérifier « comment l’hôpital pourrait légalement obtenir chaque dollar possible encore disponible ce jour-là, sur ce contrat-là », affirme le Dr Stuckey.
« La fonction première de l’hôpital, une fonction tellement importante qu’elle rend les autres accessoires, est de tirer le moindre centime possible des patients ».Voici une liste de troubles pour adultes facturés frauduleusement : trouble du sevrage de la nicotine, trouble de somnambulisme, trouble d’intoxication ou du sevrage de la caféine, trouble de terreur pendant le sommeil (comprenant le fait de se réveiller en sueur à cause d’un cauchemar), trouble du cauchemar.« L’une des principales raisons de la puissance du DSM vient de ses rapports avec les remboursements des assurances médicales : DSM est le mot de passe utilisé par le thérapeute pour obtenir le remboursement des soins auprès des caisses d’assurance… c’est la clef permettant d’accéder à des millions de dollars payés par les caisses couvrant les psychothérapies, les hospitalisations et les médicaments. » (Pr. Herb Kutchins et Pr. Stuart A. Kirk)Le praticien new-yorkais Ron Leifer avertit que les psychiatres trouveront une maladie mentale dans toute chose et qu’il n’y a rien de scientifique là-dedans. Considérant la méthode de diagnostic du DSM comme « une fraude arrogante », il ajoute que: « prétendre de quelque façon que ce soit qu’il s’agit d’une déclaration scientifique est (…) néfaste à la culture. »Le Dr Thomas Dorman, membre du Collège royal des médecins du Royaume-Uni et du Canada, déclare: « En résumé, toute cette affaire qui consiste à créer des catégories psychiatriques de “maladies”, puis à les officialiser par consensus et à leur donner des codes diagnostiques afin de les utiliser pour facturer aux assurances des traitements, n’est rien d’autre qu’un immense racket fournissant à la psychiatrie une aura pseudo-scientifique. Ses auteurs s’engraissent, bien entendu, sur le dos du public.». »
Pour rappel, les maladies sont guérissables … qui plus est par l’unique et alimentation.Prenez soin de vous et visez votre indépendance en termes de santé avec Terraponia.fr.Jimmy pour Terraponia.fr
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