vendredi 31 août 2018

Un parasite mortel se dirige vers notre continent

source : Passeport santé
Un parasite mortel se dirige vers notre continent
Le 29 août 2018.
Un ver, le schisostome, responsable d’une maladie tropicale grave, serait en train de migrer vers l’Europe. Une migration qui préoccupe les autorités sanitaires.

Un ver responsable d’une maladie mortelle

Nous ne souffrons pas des mêmes maladies selon que nous habitons dans un pays chaud ou un pays froid. Les microbes ne sont pas les mêmes, les parasites non plus. Or il semblerait qu’un ver, le schisostome, très présent dans l’hémisphère sud, soit en train de migrer vers notre continent. Ce parasite est à l’origine d’une maladie appelée bilharziose ou fièvre de l'escargot. Une maladie potentiellement mortelle.
Ces vers peuvent en effet provoquer des infections et de lourds handicaps. La bilharziose n’est pas bien connue en France, mais elle tue pourtant entre 20.000 et 200.000 personnes chaque année, selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Il s’agit de la deuxième endémie parasitaire mondiale, derrière le paludisme. On peut être contaminé en se baignant dans une eau douce. Les larves pénètrent dans l'organisme humain par la peau.

Un parasite repéré en Corse

Ce qui inquiète les autorités sanitaires c’est que ce parasite a été identifié à de nombreuses reprises en Europe et notamment en Corse. La maladie se manifeste par de la diarrhée, du sang dans les selles et des douleurs abdominales. Un traitement existe contre ce parasite et il est efficace dès les premiers symptômes. Si vous vous êtes baigné dans la rivière du Cavu, en Corse, soyez particulièrement attentifs à ces différents symptômes.
Reste à savoir comment ce parasite est arrivé sur l'île. Selon l’Agence régionale de santé (ARS) de Corse, il se pourrait qu’une personne contaminée ait uriné dans l’eau, contaminant ainsi les mollusques de la rivière. Autre objet de préoccupation : ces parasites ont évolué vers des formes hybrides. Ils pourraient désormais contaminer des bovins mais également de nouvelles espèces. À suivre...

Take Back Your Power 2017 (Official) - smart meter documentary

Pour la Russie, le temps est venu de se débarrasser du dollar américain

Pour la Russie, le temps est venu de se débarrasser du dollar américain© Maxim Shemetov / Reuters
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En réponse aux nouvelles sanctions venues des Etats-Unis, Moscou a fait part de sa volonté de redoubler d'efforts pour abandonner la monnaie américaine dans ses transactions commerciales. Un souhait qui ne s'arrête pas aux frontières de la Russie.
Visé par une liste grandissante de sanctions américaines, Moscou est prêt à contre-attaquer. «Le temps est venu de passer des mots aux actions, et de se débarrasser du dollar comme moyen de règlements mutuels et de rechercher d'autres alternatives», a déclaré le vice-ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Ryabkov dans un entretien avec le magazine russe International Affairs publié le 23 août.
Lire aussi : Moscou considérera de nouvelles sanctions américaines comme une «déclaration de guerre économique»
«Dieu merci, c'est ce qui se produit et nous allons accélérer ce processus», a ajouté le vice-ministre, expliquant qu'il s'ajouterait à d'autres «mesure de représailles» contre les sanctions prises par Washington.
Plus tôt, en avril, le ministre russe de l'Energie, Alexandre Novak avait fait remarquer qu'un nombre grandissant de pays réfléchissaient à remplacer le dollar comme monnaie de référence du commerce mondial.
«Il est communément admis que nous devons nous diriger vers l'utilisation de monnaies nationales pour nos règlements», avait-il déclaré. «Nous réfléchissons à une option de paiement en monnaie nationale avec [l'Iran et la Turquie]», avait-il encore affirmé, précisant : «Cela nécessite certains ajustements dans les secteurs financier, économique et banquier.»
Le Kremlin a notamment fait savoir qu'il était intéressé par l'utilisation du rouble et de la livre turque pour ses échanges avec Ankara. De son côté, l'Inde, se penche sur la possibilité de payer une partie de ses achats de pétrole iranien en roupies. La Chine, seconde économie mondiale, a elle lancé en mars dernier ses premiers contrats à terme sur le pétrole, cotés en yuans.

China says willing to team with Syria’s Assad in push to retake territory

Diplomat relays message that Chinese military ready to help ‘in some way’ as campaign moves north

 AUGUST 3, 2018 1:03 AM (UTC+8)
China’s ambassador to Damascus has reportedly told Syrian media that Beijing is prepared to aid the government’s push to retake territory throughout the country.
Speaking to Syrian pro-government daily Al-Watan, the envoy, Qi Qianjin, expressed China’s support for what he referred to as Syria’s war against terrorists, according to a dispatch from the Middle East Media Research Institute.
Qi said he regretted that Chinese Uyghurs had participated in fighting against the government of President Bashar al-Assad, adding that the Chinese military was hoping to enhance relations with the Syrian military.
“Asked about the possibility that his country would take part in the Syrian Arab Army’s upcoming campaign against the terrorists in Idlib, especially in light of the presence of Uyghur fighters [there], [Qi] replied that China ‘is following the situation in Syria, in particular after the victory in southern [Syria], and its military is willing to participate in some way alongside the Syrian army that is fighting the terrorists in Idlib and in any other part of Syria,” the article from Al-Watan was translated as saying.
When asked about Chinese participation in the campaign, military attaché Wong Roy Chang said “‘the military cooperation between the Syrian and Chinese armies is ongoing. We have good relations and we maintain this cooperation in order to serve the security, integrity and stability of our countries. We – China and its military – wish to develop our relations with the Syrian Army. As for participating in the Idlib operation, it requires a political decision.’ He denied that there were military advisers or special Chinese forces in Syria today.”

Les faces cachées du Coca-Cola -- Santé et Bien-être -- Sott.net

Les faces cachées du Coca-Cola -- Santé et Bien-être -- Sott.net: https://fr.sott.net/article/32950-Les-faces-cachees-du-Coca-Cola

« 10 000 terroristes » pouvant user d'armes chimiques, l'ONU redoute un bain de sang à Idlib -- Les Maîtres du Monde -- Sott.net

« 10 000 terroristes » pouvant user d'armes chimiques, l'ONU redoute un bain de sang à Idlib -- Les Maîtres du Monde -- Sott.net: https://fr.sott.net/article/32952-10-000-terroristes-pouvant-user-d-armes-chimiques-l-ONU-redoute-un-bain-de-sang-a-Idlib

Les Casques blancs auraient kidnappé 44 enfants selon le ministre syrien des Affaires étrangères

Les Casques blancs auraient kidnappé 44 enfants selon le ministre syrien des Affaires étrangères© Khalil Ashawi Source: Reuters
Des enfants courant dans la province d'Idlib, le 30 juillet 2018 (image d'illustration).
Une mise en scène d'attaque chimique à Idlib est-elle en cours de préparation chez les djihadistes ? Selon le ministre Walid al-Mouallem, la sulfureuse organisation des Casques blancs aurait kidnappé des enfants pour la réalisation de celle-ci.
Le 30 août, le ministre syrien des Affaires étrangères, Walid al-Mouallem, a accusé les Casques blancs, cette ONG très controversée, d'avoir kidnappé 44 enfants afin de mettre en scène une attaque chimique à Idlib, seule province encore aux mains des djihadistes.
«Comme vous le savez, ce sont les services spéciaux britanniques qui ont créé cette pseudo-organisation, ils les parrainent et les dirigent, ils étaient derrière les scénarios fabriqués d’utilisation d’armes chimiques, et maintenant ils sont en train de préparer le même scénario d’utilisation d’armes chimiques à Idlib», a-t-il déclaré, avant de poursuivre : «D’après nos informations, ils ont récemment enlevé 44 enfants dans la zone d’Idlib pour mettre en œuvre ce scénario».
Walid al-Mouallem a en outre précisé qu’«il n’y a[vait] pas d’armes chimiques en Syrie». «L’armée syrienne remporte bataille sur bataille, nous n’avons pas besoin de ces armes. Pourtant, que cette triple agression soit commise ou non, cela n’influencera d’aucune façon notre volonté d’atteindre notre objectif de débarrasser le territoire syrien des terroristes», a-t-il ajouté. Le ministre répondait aux inquiétudes de l'ONU, qui craint que de la chlorine puisse être employée par Damas ainsi que par les rebelles dans le cadre d'une offensive dans la région d'Idlib.
Ces déclarations font écho aux avertissements envoyés par la Russie depuis plusieurs jours quant à une fausse attaque chimique dans la province d'Idlib en préparation par les djihadistes. Moscou redoute en effet une mise en scène servant de prétexte à de nouvelles frappes occidentales contre la Syrie. 

(44 petits cadavres prêts pour la photo pour exciter les médias des milliardaires et surtout morts pour qu'ils puissent pas causer. Le temps que les parents identifient leurs enfants, l'effet médiatique pour justifier un bombardement sera passé par là. Avec l'argent (plusieurs millions) que macron/hollande, les anglais, les amerlocks après, ils peuvent s'installer confortablement dans n'importe quel pays du monde après la Syrie.
Par contre, question, les djihadistes qui vont venir en Europe, ils ont été armés, financés par l'occident, quel maître y serviront-ils, Allah ou leurs financeurs ? note de rené)

jeudi 30 août 2018


Penzance, la première ville britannique à bannir le plastique ! (Angleterre)
source : La Relève et la Peste
« Il y avait des bouteilles en plastique, des bâtons de cocktail, des couvercles de tasses à café, des rasoirs, des brosses à dents ... Je n'avais jamais rien vu de tel et quelque chose en moi s'est enclenché. »

22 août 2018 - Laurie Debove



Toute une ville qui se mobilise pour supprimer le plastique de son quotidien ? C’est possible, et Penzance le fait ! En décembre dernier, cette petite ville balnéaire des Cornouailles a été la toute première à obtenir le label de « ville sans plastique », lançant un mouvement national : 330 autres villes anglaises veulent atteindre cet objectif !

Une tempête comme prise de conscience
Penzance est une station balnéaire de 21 200 habitants située dans la plus grande baie des Cornouailles : Mount’s Bay. En février 2014, de violentes tempêtes ont ravagé la côte sud-ouest des Cornouailles, rejetant sur les plages d’innombrables quantités de déchets générés par les hommes. Pour les habitants de Penzance, c’est le choc.

« Il y avait des bouteilles en plastique, des bâtons de cocktail, des couvercles de tasses à café, des rasoirs, des brosses à dents … Je n’avais jamais rien vu de tel et quelque chose en moi s’est enclenché. », rapporte à The Guardian une des bénévoles ayant nettoyé les plages, Rachel Yates.

Le Centre National d’Analyse et de Synthèse Ecologiques en Californie et l’Université de Géorgie ont ainsi estimé que plus de 8 millions de tonnes de plastique sont déversés dans les océans chaque année ! L’an dernier, the Marine Conservation Society a organisé une immense opération de nettoyage sur 300 plages du Royaume-Uni. Les bénévoles ont récolté en moyenne 718 débris en plastique tous les 100 mètres de littoral ! S’il est fastidieux, mais réalisable, de nettoyer les plages en ramassant les déchets rapportés par les courants, le plastique inflige des dommages irréparables à la faune et flore maritime, empoisonnant la chaîne alimentaire et asphyxiant les océans.

Un label « plastic free » par Surfers Against Seawage
Après la tempête et ses révélations, de nombreux habitants de Penzance se sont donc mobilisés pour bannir le plastique de leur ville. Certains d’entre eux, comme Rachel Yates, ont décidé de rejoindre l’association « Surfers against Seawage » (SAS – Surfers contre la pollution maritime) pour mettre en place son plan d’action dans la ville de Penzance. SAS est spécialisée dans la protection de la vie marine. Parmi ses objectifs, l’association souhaite créer un réseau de 125 villes zéro plastique d’ici 2020.

Plage de la baie de Penzance / Crédit Photo : Antoine Lorgnier / Only World / Only France
Pour être labellisée, une ville doit soutenir la campagne, encourager les entreprises à bannir le plastique à usage unique, faire de l’éducation dans les écoles et auprès des jeunes, organiser des événement de nettoyage des déchets, et créer un comité de suivi du plan d’action zéro plastique.
Après des mois de mobilisation citoyenne et locale, Penzance a réussi à obtenir ce fameux label en décembre 2017, suite à une résolution du conseil municipal de soutenir les efforts pour avoir des plages sans plastique.

Les bonnes pratiques de Penzance
SAS a ainsi aidé treize entreprises à changer leurs pratiques pour ne plus utiliser de plastique à usage unique notamment les pailles, les bouteilles, les emballages, les boîtes à emporter, les cotons tiges, le film alimentaire et les couverts jetables. Aujourd’hui, plus de 70 entreprises et commerces se sont lancés dans la démarche. La plupart des cafés de la ville incitent leurs clients à apporter leur propre tasse ou proposent des mugs de café en amidon de maïs. La majorité des bars et restaurants ont banni l’usage de sacs et pailles en plastique. D’autres demandent à leurs fournisseurs de ne plus emballer fruits et légumes dans du plastique.

Les alternatives au tout-jetable coûtant parfois plus cher pour les commerces que le plastique à usage unique, la commission zéro plastique se bat maintenant pour rétablir l’équilibre afin de convaincre les derniers récalcitrants. « Nous n’avons pas tout changé du jour au lendemain, et ce n’est pas possible, cette démarche prend du temps », a ainsi confié à The Guardian la gérante d’un magasin de produits de beauté, Emily Kavanaugh.Membre du comité zéro plastique de la ville, elle agit pour que la pression des consommateurs influence toute la chaîne alimentaire à adopter de bonnes pratiques en unissant leurs forces. Elle essaye ainsi de convaincre 32 magasins vendant du café à acheter ensemble des alternatives aux tasses en plastique afin que cela leur revienne moins cher.
Penzance a fait des émules. Depuis, 29 autres villes ont obtenu le label « zéro plastique » et plus de 330 autres communes se sont lancées dans la démarche. Rachel Yates précise : « Rome ne s’est pas construite en un jour, nous y allons étape par étape pour débarrasser les villes du plastique jetable. Nous souhaitons bâtir les fondations d’un futur durable ».

22 août 2018 - Laurie Debove

mercredi 29 août 2018

Bataille d’Idleb : enfants kidnappés et redéploiement US en Irak (Syrie)

Publié par wikistrike.com sur 29 Août 2018, 08:23am
Bataille d’Idleb : enfants kidnappés et redéploiement US en Irak
Alors que les sources russes ont annoncé attendre d’ici 48 heures une attaque chimique à Idlib, attaque qui devrait fournir l’alibi nécessaire à une frappe américaine d’envergure contre l’armée syrienne et ses alliés, plusieurs enlèvements d’enfants viennent de se produire à Idlib. Des sources syriennes confirment le kidnapping des dizaines d’enfants ces derniers jours par les terroristes retranchés à Idlib.
Ce qui a soulevé de vives inquiétudes quant à leur sort au moment où les terroristes soutenus par les occidentaux se préparent, selon les informations fournies par le Centre russe pour la réconciliation des parties en conflit en Syrie, pour une nouvelle mise en scène de l’attaque chimique. Dans la foulée, les États-Unis, la France et la Grande-Bretagne ont menacé la Syrie d’action militaire d’envergure si une telle attaque venait à avoir lieu.
La chaîne libanaise al-Mayadeen revient sur la disparition des dizaines de mineurs à Idlib, enlevés par les terroristes d’Al-Nosra et des groupes terroristes liés à Ankara et à Riyad. Les enlèvements ont eu lieu pour la plupart au nord-est de la Syrie où sont positionnés les groupes terroristes à savoir dans la banlieue ouest d’Alep ainsi que dans les régions de Zaraya et de Turmanin. Ces enlèvements d’enfants ont également eu lieu dans les camps des réfugiés contrôlés par les terroristes qui se revendiquent d’Ankara.
Le cas de trois enfants d’une même famille disparus dans le village de Turmanin en banlieue ouest d’Alep, est le dernier d’une série d’enlèvements d’enfants qui agite la Syrie depuis ces derniers temps.
Selon les sources bien informées le groupe terroriste du Front al-Nosra et ses affiliations ont également procédé à de vastes arrestations à Idlib visant des jeunes et cela, sous de fausses accusations.
« Les terroristes sont apparemment inquiets de présumés liens des jeunes avec le gouvernement syrien», ont confié les sources à al-Mayadeen. À vrai dire, il s’agirait d’une chasse aux sorcières.
Parallèlement à ces préparatifs, des informations font état du déploiement des forces américaines en Irak, non loin des frontières avec la Syrie. Il s’agirait d’un déploiement inattendu dans la province d’al-Anbar qui s’expliquerait par la nouvelle donne à Idlib.
Source: Parstoday

Charcuterie : les nitrites font exploser le taux de cancers ! …

via les Moutons Enragés
Une alerte lancée par Jimmy. Du factuel et un petit peu moins d’égocentrisme, c’est beaucoup mieux pour faire passer le message. J’ai enrichi l’article par la vidéo complète de l’émission d’Élise Lucet en fin d’article pour tout savoir sur les nitrites et, une vidéo en réaction au reportage, de l’industrie de la viande, comparez !  Partagez ! Volti
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Auteur Jimmy pour Terraponia
Manger de la charcuterie n’a jamais fait office d’alimentation saine, soyons clairs là-dessus. Toutefois, cela fait désormais plusieurs dizaines d’années qu’on sait pertinemment qu’elle est cancérigène. Charcuterie, nitrites et cancers sont intimement liés.
Difficile à croire ? Non, puisque que très simple à expliquer. En effet, lors de la digestion, les nitrites (ou sels nitrités) se transforment dans le corps en nitrosamines au contact avec les protéines de la viande consommée. Selon le toxicologue Théo De Kok, de l’Université de Maastricht, « les nitrosamines sont connus pour provoquer des dommages dans le gros intestin. Cela peut provoquer des ruptures de l’ADN. Cela peut faire muter les cellules en cellules précancéreuses. Et c’est, bien entendu, quelque chose qu’il vaut mieux éviter ».
Les nitrosamines, la véritable origine du cancer colorectal !
Pour reprendre les propos du toxicologue : « si vous n’êtes pas exposé aux nitrosamines, la cellule est intacte, bien ronde. Mais à un niveau important d’exposition [aux nitrosamines], cela casse votre ADN. Votre cellule ressemble un peu à une comète. La destruction est vraiment très importante. Et plus vos cellules ressemblent à cela, et plus vous avez de risques qu’elles deviennent pré-cancéreuses. Ce genre de dégâts peut apparaître assez rapidement. […]. Cela arrive vraiment très vite, et cela ne se produit pas qu’en laboratoire. Mais aussi dans le corps humain. »
Selon ses dires, en supprimant les nitrites de l’alimentation, cela créerait une différence de dizaines de milliers de cancers colorectaux en moins tous les ans … que ce soit en Europe ou aux États-Unis, et partout ailleurs où de telles substances sont consommées.
Vous n’êtes pas convaincus ? Vous vous demandez encore d’où peuvent provenir mes sources ? Pas de panique, messieurs et mesdames de l’agro-industrie ! Mes sources sont officielles, nombreuses et factuelles.
Pour vous faire plaisir, comme toujours, voici l’extrait de la vidéo officielle – signée Cash Investigation, donc France 2 – dont sont issues mes sources. Vous le savez, Terraponia est en paix … mais pas dupe pour autant. Faire l’autruche n’est pas une pratique très appréciée par ici.
Vous n’êtes toujours pas convaincu ? Nom d’un petit cochon, il me faut sortir l’artillerie – de la paix – lourde. Je préfère préciser.
Mais oui, vous le savez maintenant. Je suis juste là pour aider les gens à rétablir leur santé, c’est tout ! D’accord, on a compris que les industries sont bien plus rentables lorsqu’il s’agit de rendre les gens malades, de les affaiblir ou de les tuer (in)directement. Néanmoins, dans un effort de paix et de bienveillance humaine, comprenez que la bonne santé des gens est l’idéal à atteindre, en plus d’être un droit fondamental. Mince alors : c’est écrit dans les Principes de la Constitution de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Eh oui, il est écrit comme suit que : « la possession du meilleur état de santé qu’il est capable d’atteindre constitue l’un des droits fondamentaux de tout être humain, quelles que soit sa race, sa religion, ses opinions politiques, sa condition économique ou sociale ».
Terraponia, grâce à cet art qu’est la Nutrithérapie, ne fait que suivre les préconisations de l’OMS. Le site veille à la bienveillance des autres en leur permettant d’atteindre le meilleur état de santé qui soit.
Si, messieurs et mesdames de l’industrie, vous êtes hors-la-loi, il faut s’en plaindre à l’OMS … et pas à moi. En plus, l’OMS est une création institutionnelle de la famille Rockefeller. De fait, je vous saurai gré de vous plaindre au concepteur … et non à l’applicateur des principes de bienveillance énoncés dans leur Constitution, ahah.
… et puis le CIRC, aussi !
Bon, passons au CIRC. Oui, je sais : ils ont trouvé le bon nom ! En effet, lorsqu’on regarde de près ce qu’il s’y passe, des yeux avertis ne peuvent pas manquer de dire que c’est véritablement un gros CIRQUE ! Et puis, dans un CIRC, on y trouve beaucoup de clowns. Toutefois, allez savoir pourquoi, les clowns se sont un jour dit qu’il fallait être sérieux. Oui, c’était la première fois de leur vie !
Dès lors, qu’ont-ils choisi de nous pondre ? Ah, une vraie merveille, disant ceci :
« Le CIRC s’est basé sur plus de 800 études pour ranger la viande transformée dont fait partie la charcuterie dans la catégorie des agents cancérogènes pour l’homme (Groupe 1). Ce classement a été établi sur la base « d’indications suffisantes selon lesquelles la consommation de viande transformée provoque le cancer colorectal chez l’homme ». « Ce risque augmente avec la quantité », selon le Dr Kurt Straif, du CIRC ».
Conclusion
Quel plaisir de pouvoir citer France 2, un journal reconnu et officiel et le CIRC. Bien évidemment, à des fins d’informations pertinentes et factuelles ! Terraponia est à la santé ce que maître Jedi est au combat : une force tranquille et bienveillante.
Je vous prie de considérer ces touches d’humour pour ce qu’elles sont, de l’humour satirique ! Vous savez à quel point je ne porte pas la moindre once de considération pour ces institutions médicales et de santé corrompues. Toutefois, dans un système qui fait tout pour faire taire ceux que l’on appelle « lanceurs d’alerte », le meilleur moyen de se protéger reste de retourner la matrice contre elle-même. Son absurdité est patente, latente et évidente, mais elle est difficile à mettre en évidence, pour tout un chacun, à tous les niveaux de la santé et de l’alimentation.
Soutenez Terraponia autant que faire se peut, car le nouveau paradigme alimentaire promis est en marche … et j’ai besoin de vous pour arriver à le faire croître.
Prenez soin de vous et visez votre indépendance en termes de santé avec Terraponia.fr.
Jimmy

Les Démocrates américains préparent une prise de contrôle d’internet par le gouvernement des USA

Certes, ça patauge encore, les propositions ne sont pas toutes applicables, a fortiori selon les différentes législations des pays où les géants américains d’internet sont présents — c’est-à-dire partout dans le monde — mais la volonté de contrôler le net mondial est bien là.
La menace, la vraie, ne vient pas de la Russie (uniquement présente sur le Web à travers Russia Today et Sputnik), mais de l’extraterritorialité américaine.

Par Elizabeth Nolan Brown
Paru sur Reason.com sous le titre Senate Democrats Are Circulating Plans for Government Takeover of the Internet

All your base are belong to us. Une note de service qui, après avoir fait l’objet d’une fuite, circule parmi les sénateurs démocrates contient une foule de propositions délirantes pour réglementer les plateformes numériques, prétendument comme moyen de sévir contre les bots russes et les « fake news ». Pour sauvegarder la confiance des Américains dans « nos institutions, notre démocratie, notre presse libre et nos marchés », elle suggère la nécessité d’une intervention gouvernementale sans précédent et antidémocratique dans la presse et les marchés en ligne, y compris une « législation complète (de type GDPR) de protection des données » du type de celle promulguée dans l’UE.
Intitulé « Potential Policy Proposals for Regulation of Social Media and Technology Firms » (Propositions pour des politiques potentielles de régulation des réseaux sociaux et des firmes de technologies numériques), le brouillon de projet — rédigé par le sénateur démocrate Mark Warner et divulgué par une source inconnue à Axios — commence par noter que les Russes ont longtemps diffusé de la désinformation, y compris lorsque « les Soviétiques avaient essayé de diffuser des « fake news » contre Martin Luther King » – ici, il oublie que les Américains en charge à l’époque avaient fait la même chose [Et bien pire. Martin Luther King a fait l’objet d’un véritable harcèlement de la part du FBI. Si pour les Soviétiques, il n’était pas assez anticapitaliste, il l’était beaucoup trop aux yeux des autorités américaines, NdT]. Mais aujourd’hui, c’est différent, parce que la technologie a débarqué.
« Les outils d’aujourd’hui semblent presque bâtis sur mesure pour les techniques de désinformation russes », selon Warner. Et ceux à venir, nous assure-t-il, seront encore pires.
Voici comment Warner suggère de traiter le problème :
Géolocalisation obligatoire. Le document suggère d’obliger les plateformes de médias sociaux à authentifier et à divulguer l’origine géographique de tous les comptes ou messages des utilisateurs.
Vérification obligatoire de l’identité : Le document suggère d’obliger les réseaux sociaux et les plateformes technologiques à authentifier l’identité des utilisateurs et à n’autoriser que les comptes « authentiques » (« les comptes non authentiques ne constituent pas seulement une menace pour notre processus démocratique… mais ils sapent l’intégrité des marchés numériques »). « L’omission de traiter de manière appropriée les activités de comptes non authentiques » serait punissable en tant que « violation des règles de transparence de la SEC (Securities and Exchange Commission) et/ou de l’article 5 du Federal Trade Commission act » (loi sur la Commission fédérale du commerce).
Étiquetage des bots : Le document de Warner suggère de forcer les entreprises à étiqueter les bots d’une façon ou d’une autre ou à être pénalisées (Warner ne dit pas comment cela serait possible). [En fait, ce serait très facile. Les bots étant des machines, il suffirait de quelques questions non-intrusives, par exemple des photos à cliquer, pour les distinguer d’humains, NdT]
Définir les technologies les plus populaires comme « infrastructures essentielles ». Celles-ci seraient ensuite faciles à soumettre à toutes sortes de règles et de contrôles, dit le mémo, qui offre Google Maps comme exemple des types d’applications ou de plateformes qui pourraient être étiquetées « essentielles ». « La loi n’exigerait pas qu’un fournisseur dominant offre le service gratuitement », écrit Warner. « Il serait plutôt tenu de l’offrir à des conditions raisonnables et non discriminatoires » – des conditions qui seraient, bien sûr, définies par le gouvernement des USA.
D’autres propositions comprennent des exigences accrues de transparence pour les discours politiques en ligne, plus de dépenses pour contrer les menaces supposées à la cyber-sécurité, plus de financement pour la Commission fédérale du commerce, l’exigence que les algorithmes des entreprises fassent l’objet d’audits du gouvernement fédéral US (et que leurs données soient partagées avec des universités et autres), et une exigence d’« interopérabilité entre les plates-formes dominantes ».
Le document suggère également d’établir une règle selon laquelle les plateformes technologiques, au-dessus d’une certaine taille, soient dans l’obligation de transmettre leurs données et processus à des « chercheurs indépendants voués à l’intérêt public » afin qu’ils puissent identifier les effets potentiels de la toxicomanie sur la santé publique, les comportements anticoncurrentiels, la radicalisation, les escroqueries, la « désinformation propagée par les utilisateurs » et le harcèlement, des données qui pourraient être utilisées pour « informer les actions des autorités régulatrices et du Congrès ».
Et – bien sûr – cela impliquerait des révisions de l’article 230 de la Communications Decency Act, la loi sur « la Décence dans les communications » [qui garantit une immunité à ceux qui partagent des contenus dont ils ne sont pas les auteurs, NdT]. Une révision de l’article 230 pourrait permettre à divers intervenants d’exiger le retrait de certains types de contenu et de tenir les plateformes responsables en case de non-respect de ces règles, même si la note admet que « tenter de faire la distinction entre la désinformation véritable et la satire légitime pourrait s’avérer difficile « .
« Les propositions contenues dans le document sont d’une grande portée et, dans certains cas même, politiquement inapplicables. Elles soulèvent presque autant de questions qu’elles ne tentent d’en résoudre », a écrit Mathew Ingram dans la Columbia Journalism Review.
C’est un euphémisme.
Traduction et note d’introduction Entelekheia

Burundi : l’usage de sacs plastiques officiellement interdit dès 2020

  
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Une mer de déchets plastiques- Crédits photo : PxHere
Malgré son instabilité politique notoire l’Afrique montre un tout autre visage en ce qui concerne le respect de l’environnement ces dernières années. Parmi les projets les plus porteurs on compte notamment les serviettes hygiéniques biodégradables du Cameroun mais surtout la décision forte du Rwanda d’interdire formellement et officiellement en 2004 l’usage des sacs plastiques. Le Burundi emboîte le pas de son voisin est-africain puisque la nation aux 11 millions d’habitants a officiellement acté une loi interdisant l’usage ou la distribution de sacs plastiques d’ici 2020.

En gros le plastique au Burundi, c’est fini

Le 14 août dernier, l’AFP consultait les derniers décrets présidentiels émis par l’homme fort du Burundi, Pierre Nkurunziza. Parmi ces nouveaux décrets se trouvait notamment un portant sur le plastique. Le président du Burundi interdisait par simple ordonnance la fabrication, l’importation, le stockage, la vente, l’utilisation ou la réutilisation des sachets et autres emballages plastiques.
Pierre Nkurunziza, Président du Burundi – Crédits photo : Wikimedia Commons
L’entrée en vigueur de la mesure est fixée à 2020. Ce qui laisse un délai de 18 mois à peine aux entreprises pour s’arrimer à la nouvelle réglementation. Et d’écouler leurs stocks.

Quelques exceptions cependant

Puisqu’on ne peut vivre dans un monde sans plastique, quelques exceptions ont été proposées par le décret du président burundais. Dans un premier temps la fabrication et la commercialisation de sacs plastiques jetables pourront être autorisées par dérogation.
Cependant cela se ferait uniquement dans le but de fabriquer des sacs plastiques biodégradables ou des emballages pour les équipements médicaux.

Vers une prise de conscience globale ?

Le Burundi n’est absolument pas la première nation à tourner officiellement le dos au plastique. En Australie on le transforme en électricité. En Dominique le plastique à usage unique est strictement interdit. Au Costa Rica le plastique est utilisé pour construire des routes.
Même les multinationales s’y sont mises. Notamment Starbucks qui prit la résolution de supprimer les pailles en plastique de ses restaurants.
Source :