samedi 11 novembre 2017


 
 

Vaccins, comment mobiliser les parlementaires ? (France)

Dans ma dernière lettre, que je vous remets ci-dessous, j’ai mentionné la création d’un collectif d’association.

La première action de ce collectif a été de lancer une pétition auprès des parlementaires.

Vous la trouverez ici.

N’hésitez pas à la signer et à la faire signer autour de vous !

Naturellement vôtre,

Augustin de Livois

Chère amie, cher ami,

Un collectif d’associations s’est formé pour apporter une réponse et une alternative au discours violent et coercitif imposé par les autorités sur la question de l’obligation vaccinale. Car, je le rappelle, dans cette histoire, le débat ne porte pas sur les vaccins mais sur l’obligation de se faire vacciner. C’est un débat juridique et sociétal, bien plus qu’un débat scientifique.

Le collectif est formé des organismes suivants :

Association internationale pour une médecine scientifique indépendante et bienveillante (AIMSIB)
Association Liberté Information Santé (ALIS)
Comité développement durable santé (C2DS)
Coordination nationale médicale santé environnement ((CNMSE)
Ensemble pour la vaccination libre (EPVL)
Fondation Stacy
Info Vaccins France
Institut pour la Protection de la Santé Naturelle (IPSN)
Ligue nationale pour la liberté des vaccinations (LNPLV)
Maman Courage
Mouvement pour le respect des droits fondamentaux de la personne
Réseau des victimes des vaccins contre l'hépatite B (REVAHB)

L’objectif de ce réseau est d’obtenir la liberté vaccinale, qui au vu des faits, semble être la seule alternative crédible, intelligente et rationnelle à la politique voulue par le gouvernement. C’est du reste la position de la majorité des gouvernements en Europe : Angela Merkel s’est positionnée contre l’obligation, le parlement suédois également. Elle n’existe pas au Royaume Uni, ni aux Pays-bas etc. En réalité, seules, l’Italie, la France, la Belgique et le Portugal ont une obligation vaccinale.

A l'heure actuelle, le collectif sensibilise les sénateurs avant qu'ils ne votent sur le texte de loi qui vise à étendre l'obligation vaccinale à 11 vaccins.

Les quatre arguments qui me paraissent les plus importants sont :

1/ La gravité des sanctions potentiellement imposées aux parents qui hésiteraient à faire vacciner leur nourrisson de deux mois. En effet, le projet de loi actuel supprime l’infraction “refus de vacciner”. Cette infraction est prévue par le Code de la santé publique (article L3116-4). Le texte prévoit 6 mois de prison et 7500 euros d’amende. 

Malheureusement, le journal le Monde confirme que pourrait être appliquée une autre sanction. Celle-ci, prévue à l’article L227-17 du code pénal, punit :
“Le fait, par le père ou la mère, de se soustraire, sans motif légitime, à ses obligations légales au point de compromettre la santé, (...) de son enfant mineur”.
Cette infraction est punie de deux ans d'emprisonnement et de 30 000 euros d'amende. Aujourd’hui personne ne sait si elle sera appliquée. Cela dépendra des juges. Mais ce texte reste comme une épée de damoclès au-dessus des parents. Le flou qui existe sur son application ne rassure personne.

2/ Les personnes vaccinées continuent à être porteuses des virus. C’est, en tout cas, un fait avéré pour la rougeole. Les Pr Luc Montagnier et Henri Joyeux, ont eu l’occasion de confirmer ce point mis en avant par des études (Gustavson 1987, notamment) lors de leur conférence de presse d’hier. Je vous en ferai un compte rendu complet dans une prochaine lettre.

Il est donc faux de dire que l’on se vaccine pour les autres. On se vaccine pour soi. Et c’est l’une des raisons centrales pour lesquelles, l’obligation vaccinale n’est pas légitime.

3/ Il existe des victimes de la vaccination (soit victime du vaccin lui-même, soit de l’aluminium qu’il contient). Ces victimes ne sont que rarement indemnisées. Le plus souvent, tout lien de cause à effet entre le vaccin et ses potentiels effets secondaires est nié. Le Pr Montagnier souligne cependant qu’il existe une corrélation temporelle souvent observée par les parents. Le cas récurrent est le suivant : l’enfant est vacciné, le lendemain il est pris de convulsions, deux mois après il est sujet à des troubles neurologiques. Pour certains médecins, il ne peut y avoir de lien possible entre les deux faits. Et pour les parents? Comment faire vacciner sereinement son deuxième, quand le premier a été pris de convulsions. Cela n’arrive pas à tout le monde, c’est vrai, mais pour ceux à qui cela arrive que fait-on?

Toujours selon le Pr Montagnier, ceux qui subissent les effets secondaires des vaccins ont souvent, au départ, un système immunitaire plus fragile, que les autres. Il réagissent mal à la tempête de cytokines que le vaccin ou son adjuvant produisent dans leur système immunitaire. Les vacciner est donc une erreur. C’est aussi, lorsqu’ils en payent le prix fort, une double injustice.

4/ Les vaccins ne sont pas contrôlés avec la même rigueur que les médicaments. On ne compare jamais des populations vaccinées et non vaccinées comme on le fait avec n’importe quel médicament dont l’efficacité est testée contre un placebo. Ce sont les fameuses études en double aveugle. On ne peut pas imposer des traitements par la force, s’ils ne sont pas validés avec toute la transparence et la rigueur nécessaires. C’est inacceptable !

Collecter des témoignages

De notre côté à l’IPSN, nous continuons avec Maître Bergel, à travailler sur les recours juridiques en cours.

Afin d’étayer sa requête auprès du Conseil d’Etat, Maître Bergel-Hatchuel a besoin de témoignages formels. Cela rendra son dossier plus crédible.

Si donc vous avez été victime de l’aluminium dans un vaccin, vous pouvez lui envoyer votre témoignage. Pour être valide auprès du Conseil d’Etat, il doit comprendre :
  • Vos coordonnées précises si vous êtes parent(s) : carte d’identité photocopiée recto-verso de la personne qui témoigne.
  • Les coordonnées de l’enfant si les complications sont apparues chez lui : nom et prénoms, date de naissance et date d’apparition des troubles.
  • Une photocopie lisible du carnet de vaccination.
  • Les troubles physiques, psychiques ou biologiques observés en fournissant si nécessaire les preuves des anomalies et les dates auxquels ils sont apparus.
  • Les traitements nécessaires avec photocopie des ordonnances.
  • Les lettres ou certificats des médecins ayant constaté ces troubles.
Vous pouvez adresser vos documents à :

Me Jacqueline Bergel-Hatchuel
Avocate à la Cour
122, avenue Charles de Gaulle
92200 NEUILLY SUR SEINE
Tél :+33 609.040.916
E-mail : avocat@avocat-bergel.com
Sites : www.avocat-bergel.com
Palais PN 160    

Je vous remercie à l’avance pour votre engagement dans ce débat qui est aussi un combat pour la liberté de chacun et notre droit d’exister en tant que citoyen face à l’Etat et à l’industrie pharmaceutique.

Même si vous êtes un vaccinaliste convaincu, vous ne pouvez pas accepter ce texte. Il est voté tambour battant par des députés qui viennent d’arriver, qui ne connaissent pas le sujet et que l’on place dans une position morale délicate. Il est profondément coercitif et anxiogène pour les parents.

Il est temps de faire émerger un autre discours sur la vaccination. Nous disposons de tous les éléments pour le faire. Elle pourrait être proposée et non imposée. Elle pourrait être individualisée et non massive. Elle pourrait être faite à l’issue d’une discussion avec le médecin et non systématique. Le calendrier vaccinal est devenu plus important que le cahier scolaire. Est-cevraiment la société que nous voulons construire?

Naturellement vôtre,

Augustin de Livois

PS : Nos vidéos du Congrès de St Malo sont désormais disponibles. Retrouvez toutes les conférences de ce week-end ici.

Le thème était “Respirez la Santé”. Vous trouverez des exposés sur la nutrition, la respiration, la méditation, le quinton, le système immunitaire… Bon visionnage !

Les vidéos sont accessibles ici.

 
 

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