Women’s March: Qui sait pour quoi elles manifestent et qui sait que George Soros y a engagé 56 partenaires ?
Réalisée le lendemain de l’investiture de Donald Trump, une nouvelle expérience sociale du site TheRebel.media démontre à quel point les manifestants peuvent être ignorants et influencés aveuglement par de forces travaillant en sous-main.
Le site TheRebel.media, ouvertement opposé aux médias mainstream, a réalisé à Washington une expérience sociale auprès des participantes — et participants — de la « Women's March », manifestant pour les droits des femmes et contre tout « tout ce que Trump représente » au lendemain de l'investiture du 45e président des États-Unis.
Or, plusieurs manifestantes avaient une idée assez vague des « abus » contre lesquels elles protestent avec tant d'acharnement, quitte à imputer à Donald Trump des harcèlements sexuels à l'égard de Juanita Broaddrick et de Paula Jones, toutes les deux victimes de Bill Clinton.
Ces allégations ont été vite reprises par d'autres manifestantes:
« C'est un prédateur, c'est un violeur. Je n'arrive pas à croire qu'on puisse penser que c'est normal que quelqu'un comme lui gouverne notre pays. »
Le moins qu'on puisse dire, c'est que certaines protestataires ne mâchaient pas leurs mots:
« C'est un crime et il doit être destitué! »
Et ont même proposé des solutions radicales pour y remédier:
« Je ne serais pas étonnée si on apprenait que c'est un violeur. D'ailleurs, je pense qu'il l'est. C'est dégoutant! À mon avis, en tant que pays protégeant les valeurs humaines, nous sommes tenus de faire avancer le processus de sa destitution. »
Plus de deux millions de personnes, surtout des femmes, ont participé samedi aux « Marches des femmes » organisées dans le monde pour la défense des droits civiques et contre Donald Trump.
D'après l'ONG Wikileaks, cette action a impliqué entre autres George Soros — l'un des plus importants donateurs d'Hillary Clinton — qui entretient d'étroites relations avec au moins 56 « partenaires » de la marche. Il s'agit, entre autres, de Planned Parenthood et du Conseil national de défense des ressources, structures connues pour leur opposition intransigeante envers le nouveau président des États-Unis Donald Trump, ou de MoveOn.org, organisation « farouchement pro-Clinton », et le National Action Network, salué par l'ex-locataire de la Maison Blanche Barack Obama.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire