samedi 18 juin 2016

Un bébé de deux mois a souffert d’apnées et est décédé après avoir reçu 8 doses de vaccins

Vactruth, 16 juin 2016
Le petit Cash décède après avoir reçu 8 vaccins

Encore une famille en deuil suite à la perte de leur bébé de deux mois après une vaccination de routine.

Après l’injection de vitamine K et du vaccin contre l’hépatite B qui lui furent administrés immédiatement après la naissance, le petit Cash Dewayne Thomas a fait des épisodes d’apnée. Quand la maman a fait part de ses inquiétudes à plusieurs médecins, ceux-ci n’ont pas voulu prêter attention à ses préoccupations et mettre l’enfant sur moniteur respiratoire.

A sa visite médicale de deux mois, le pédiatre a assuré la maman que les vaccins étaient sans danger. Il a ensuite signé un document permettant à une infirmière d’administrer 8 vaccins à Cash, alors que personne ne s’était préoccupé de ses problèmes respiratoires. Le petit Cash est mort 16 jours plus tard. C’est là un des jours critiques où les nourrissons risquent de souffrir de problèmes respiratoires après des vaccinations. [1,2]

Après avoir enterré leur petit garçon, les parents de Cash  ont regretté avoir écouté le pédiatre plutôt que leur propre intuition.

Le papa et la maman de Cash veulent envoyer un message fort aux parents qui soutiennent les vaccins dans l’espoir que l’histoire tragique de leur petit garçon pourra épargner à d’autres parents les souffrances par lesquelles ils ont dû passer.

Cash n’a pas pu échapper à l’assaut des médecins qui ont voulu vacciner sa maman quand elle était enceinte.

Cash avait déjà survécu à l’assaut de dangereux vaccins que sa maman a dû recevoir quand elle était enceinte de plus de 6 mois (DTCa et grippe). [3,4]

A 40 semaines de gestation, Whitney s’est rendue au Centre médical de Kansas City. Comme on avait découvert qu’elle était positive pour les streptocoques du groupe B, elle a dû recevoir deux doses de pénicilline. C’est relativement peu de temps après que Cash est né. A la naissance, il n’avait aucune réaction et dut être immédiatement  réanimé.

Après avoir été réanimé, les médecins ont estimé qu’il était en bonne santé. On lui a alors injecté de la vitamine K et un vaccin contre l’hépatite B. Ceci se passait le jour même de sa naissance. Les deux injections combinées contiennent approximativement 350 mcg d’aluminium. Ces deux injections sont connues pour être liées à des problèmes respiratoires, entre autres complications. [5]

Quand il eut 3 semaines, la maman remarqua qu’il présentait des épisodes de suffocation quand il dormait dans son berceau. Quand il se réveillait, il laissait échapper un bruit qui montrait qu’il voulait reprendre son souffle.

Quand Cash eut 5 semaines, ses épisodes d’apnée se sont produits plus fréquemment, environ une fois toutes les heures. La maman de Cash devait souffler dans la bouche de l’enfant pour l’aider à reprendre sa respiration.

Le 26 mai 2013, Whitney se précipita aux urgences de l’hôpital des enfants de Kansas City pour demander de l’aide. Whitney savait que quelque chose ne tournait pas rond, mais le médecin n’a pas voulu l’écouter, attribuant les problèmes respiratoires de Cash à des réactions de reflux. Il a ensuite écrit une ordonnance pour du Zantac, et a conseillé à la maman de consulter son pédiatre. Whitney se sentait impuissante et frustrée de constater que l’on ne voulait pas brancher son petit garçon à un moniteur respiratoire.

Cash a été allaité pendant plusieurs semaines, puis a été nourri au biberon. Il n’a eu aucune congestion, pas de nez qui coule, pas de gonflements des yeux, autant de symptômes qui pourraient être liés à une allergie alimentaire. Estimant que les médecins savaient mieux ce qu’il fallait faire, Whitney a donné le Zantac prescrit à son petit bout. Cette prise du médicament ne fut cependant d’aucune aide.

Les crises d’apnée ont continué avant qu’elle puisse voir son pédiatre. Whitney avait pensé qu’elle devait avoir l’avis du pédiatre pour présenter son petit garçon à la clinique afin de pouvoir tester les troubles du sommeil.

C’est le 7 juin 2013 que le pédiatre a pris rendez-vous à la clinique du sommeil pour le petit Cash. C’est à cette époque que Whitney avait dû plusieurs fois faire du bouche à bouche avec le petit quand il arrêtait de respirer.

L’hôpital finit par faire savoir à Whitney que Cash devait être mis sur une liste d’attente car il devait absolument être vu par un médecin.

Les semaines passaient et Cash se trouvait toujours sur la liste d’attente sans que Whitney reçoive quelque aide des médecins. Elle en fut vraiment choquée.

Comme la visite médicale des deux mois était proche, Whitney emmena ses trois enfants pour qu’ils reçoivent leurs vaccins à temps. A ce moment-là, elle ne savait pas que les vaccins pouvaient entrainer des apnées et des problèmes respiratoires.

A sa visite de deux mois, le médecin recommanda négligemment que Cash reçoive tous les vaccins prévus au programme officiel. Le médecin rassura Whitney en lui précisant que les vaccins étaient sans danger. Il signa ensuite un papier pour que l’infirmière puisse administrer à Cash huit doses supplémentaires de vaccins, bien que personne ne s’était occupé des problèmes respiratoires du petit. Whitney fit confiance au médecin et signa un document de consentement à la vaccination.

C’est donc le 19 juin 2013, alors que Cash pesait près de quinze livres, que l’infirmière administra les vaccins contre la diphtérie, le tétanos, la coqueluche, l’hépatite B, la polio, le Hib, le pneumocoque et le rotavirus. Le tout en trois injections plus une dose orale, soit un total de huit doses de vaccins.

Après avoir reçu ces vaccins, Cash était devenu grincheux et difficile. Sa maman lui administra du Tylenol qui avait été recommandé par le médecin. C’est alors que les problèmes respiratoires de Cash ont commencé à empirer. Les jours passaient et les problèmes d’apnée continuaient.

La maman de Cash se sentait impuissante et ne savait que faire en attendant un nouveau rendez-vous. Alors qu’elle soutenait Cash au-dessus de son oreiller, elle a vu que Cash qui tenait ses mains devant son visage avait cessé de respirer. Il ne respira plus pendant environ quinze secondes.

Whitney était terrifiée parce que quand Cash dormait, ses apnées s’aggravaient depuis qu’il avait reçu ses vaccins. Aucun médecin ne semblait vouloir les aider.

Cash riait et jouait -  5 heures plus tard il mourait !

Le 4 juillet 2013, après la célébration du jour d’Indépendance, Cash riait et jouait avec son oreiller. Il alla dormir vers 23h.30. Après l’avoir bercé dans ses bras, sa maman le plaça sur le dos en position élevée. D’habitude, il dormait dans son berceau, mais cette nuit-là, la maman préféra que son petit dorme à côté d’elle.

Le 5 juillet 2013, aux environs de 5 heures, la maman se réveilla pensant qu’il était étrange que le petit ne se soit pas réveillé. D’habitude il se réveillait plus tôt pour être nourri. La maman vit que Cash se trouvait exactement dans la même position qu’elle l’avait placé. Whitney se rendit compte que quelque chose n’allait pas. Elle a pris le petit dans ses bras et a crié son nom. Le corps de Cash était encore chaud mais ses lèvres étaient froides. Whitney cria pour que son mari Jesse appelle le 911. Huit minutes plus tard l’ambulance arrivait. Les secouristes ont de suite essayé de ranimer Cash. Mais toutes les tentatives de réanimation furent vaines. Cash fut déclaré mort à l’hôpital pour enfants à 5h.51. Il avait deux mois et demi.- Quand Cash est mort, les secouristes ont remarqué une importante quantité de sang au fond de sa gorge, tout en ne soupçonnant rien de déloyal.

Les parents de Cash traités comme des criminels

Les parents de Cash furent immédiatement séparés et conduits à l’hôpital dans deux voitures différentes. Quand Whitney entra aux urgences, elle fut accompagnée par dix étrangers qui étaient chargés de lui apprendre que son bébé était mort. Whitney a alors déclaré : « Je ne veux pas entendre cela ! Je vous ai amené mon petit garçon parce qu’il risquait d’arrêter de respirer. Et vous ne vouliez pas nous venir en aide ! »

Jesse, le père de Cash arriva 30 minutes plus tard dans une voiture de détective. Quand les parents de Cash ont été autorisés à se retrouver, ils ont eu vite fait de comprendre qu’ils étaient tenus en otage. Un aumônier avait été mis à leur disposition pour leur venir en aide.

Whitney et Jesse ne furent pas autorisés à quitter l’hôpital avant que les résultats des radios du squelette de leur fils puissent prouver leur innocence. - Il est impensable que des parents soient traités de cette manière après avoir perdu leur bébé. Ils se sont sentis traités comme des criminels.

Les services hospitaliers ont demandé à la maman de Cash s’ils pouvaient prélever des organes et des tissus sur le corps de l’enfant

A peine deux heures après qu’ils soient rentrés de l’hôpital, Whitney reçut un coup de fil. On lui demandait si elle pouvait donner la permission que l’on prélève des organes et des tissus sur le corps de l’enfant. Whitney ne put supporter la chose. Elle était tellement bouleversée qu’elle  leur a dit  de ne pas toucher à son bébé.

Whitney était à ce point émotionnellement ébranlée qu’elle n’a pu rester dans sa maison pendant une semaine.

Le rapport d’autopsie n’a pas mentionné les vaccins

Le rapport d’autopsie évoque « l’asphyxie probable » pour expliquer le décès de Cash, asphyxie due au fait que l’enfant dormait avec un adulte. Cette interprétation rendait la maman coupable. Le décès a été jugé accidentel.

Cash  avait une quantité importante de sang dans le fond de la gorge et plusieurs de ses organes étaient congestionnés. Son corps avait été privé d’oxygène. Il n’y avait cependant aucun signe de suffocation quand Cash est mort. Il était couché sur le dos et rien ne faisait obstruction à ses voies respiratoires.

Aucun vaisseau n’avait éclaté dans les yeux de Cash, il ne présentait aucun gonflement, aucune ecchymose sur le  visage. Son visage n’était pas décoloré. Ce sont là des signes qui pourraient montrer qu’une personne a vraiment étouffé.

Les principales conclusions de l’autopsie de Cash émanant du bureau du Jackson County Medical Examiner in Kansas City Missouri sont les suivantes :

Asphyxie probable

Enfant trouvé inconscient après avoir dormi avec un adulte

Pétéchies sur le thymus et les poumons.

Congestion sévère des organes internes.

AUCUN VACCIN NE FUT MENTIONNE DANS LE RAPPORT D’AUTOPSIE DE CASH

Sur base des résultats qui furent trouvés au cours de l’autopsie, on peut comprendre que le système immunitaire du petit avait dû être surexcité. Ces conclusions sur le rapport d’autopsie de Cash sont typiques d’une personne qui a subi une réaction sévère, associée au système immunitaire ou à de l’asthme lié à une réponse inflammatoire.

Les pétéchies retrouvées sur le thymus et sur les poumons signifient que les capillaires saignaient. On sait que les vaccins peuvent affecter le thymus. [6,7]

Le fait de dormir à côté d’une personne ne conduit pas à ce type de réaction, alors que la réaction à un vaccin pourrait précisément le produire. Le médecin légiste a complètement ignoré la chose. Les notices des vaccins administrés à Cash mentionnent : septicémie, apnée, difficultés respiratoires, MORT SUBITE DU NOURRISSON, réactions allergiques, etc.

La maman de Cash n’avait pas été informée par le pédiatre que tous les vaccins qui ont été administrés à Cash pouvaient être associés à des problèmes respiratoires et à des apnées comme réactions possibles aux vaccins. Tout ceci est mentionné sur les notices des vaccins administrés à Cash. [8,9,10,11,12,13]VOIR notices ci-dessous :
Le petit Cash décède après avoir reçu 8 vaccins

Si Whitney avait pu disposer de cette information, elle n’aurait pas autorisé que l’on poursuive les vaccinations. Vacciner un enfant au moyen de vaccins qui peuvent provoquer des apnées relève de la négligence, mais les médecins ne s’en occupent généralement pas du fait qu’ils ne peuvent pas être tenus responsables  quand pareilles réactions peuvent se produire.

Le décès de Cash est probablement dû à des causes iatrogènes, à une intervention médicale qui comprenait la vaccination. La chose ne peut être ignorée. Whitney avec de nombreux autres parents veulent que le certificat de décès de son enfant soit modifié et qu’il stipule que les vaccins constituent le facteur le plus plausible de la mort de leur enfant.

Le pédiatre a vacciné l’enfant avant que les tests d’apnée aient été effectués.

Nous possédons le certificat médical prouvant que le médecin a signé l’autorisation de vacciner, alors que Cash avait encore des problèmes d’apnée non résolus. Ceci n’a pas été mentionné dans le rapport d’autopsie.

Le médecin légiste a aussi oublié de mentionner le fait que Cash dormait dans son berceau

Sur le rapport d’autopsie, le médecin légiste a noté que Cash ne réagissait plus après avoir dormi avec un adulte. Ce médecin légiste a oublié que Cash dormait généralement dans son berceau et que ses épisodes d’apnée se manifestaient aussi dans son berceau, et pas uniquement après avoir dormi près de sa maman.

Il faut jeter un coup d’œil aux ingrédients des vaccins reçus par Cash. Le document émane du site du CDC. Ce sont les ingrédients des huit doses de vaccin que Cash a reçus avant de mourir. C’est consternant, et on ne comprend pas pourquoi le médecin légiste n’a pas trouvé nécessaire de mentionner ces vaccins sur le rapport d’autopsie. [14]

Le médecin légiste n’a pas mentionné que la maman de Cash a cherché de l’aide pour résoudre le problème des apnées de son fils. Elle n’a, en fait, reçu aucune aide à l’exception d’une prescription pour le reflux. Le médecin légiste a noté que Cash avait été trouvé sans réaction après avoir dormi près d’un adulte, tout en ignorant les autres faits. Whitney veut que le texte du rapport ayant trait au décès de son fils soit modifié. Elle fait partie de ces nombreux parents  qui ont à souffrir de ce camouflage, de ces dissimulations ayant trait aux vaccins.[…]

Conclusion

Après avoir enterré leur petit, les parents de Cash se sont trouvés plongés dans un monde dont ils n’avaient pas la moindre idée. Ils faisaient maintenant partie d’un groupe de parents qui avaient stupidement perdu leur enfant en raison de pratiques  recommandées par les médecins. Quand on compile les données de mortalité infantile, on se rend compte que les vaccins sont purement et simplement ignorés. En 2013, Cash Dewayne Thomas était en fait l’un des 23.440 bébés qui sont morts aux Etats-Unis avant leur tout premier anniversaire (selon les dernières données de mortalité infantile publiées en 2016. [19]. Ce sont environ 11.300 nouveau-nés qui meurent au cours de leur premier jour d’existence. Beaucoup de bébés meurent très vite à l’hôpital après avoir reçu leur première dose du vaccin contre l’hépatite B. [20]

Si les médecins légistes omettent complètement de rapporter les problèmes dus aux vaccins dans leurs rapports d’autopsie, alors les vaccins risquent de n’avoir aucun impact sur les statistiques de mortalité infantile. On doit vraiment se demander pourquoi les vaccins sont exclus si rapidement des causes de décès, alors que tant de bébés décèdent à la suite de vaccinations.

C’est le cœur brisé que nous envoyons tout notre amour à Cash. Nous ne pourrons jamais l’oublier ni non plus tout ce qu’il nous a enseigné. 
Le petit Cash décède après avoir reçu 8 vaccins

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