(blog à finir et à corriger)
Désolé, mes chers cinq lecteurs, je vous avoue que j'ai pris une semaine de vacances, non pour me reposer, mais, pour refaire les façades de ma maison d'habitation avant la venue de l'hiver. Au plus haut, elle mesure dix mètres et elles sont très abîmées.
Donc, depuis lundi, j'y suis du matin au soir.
Aussi, parfois, je n'ai pas le courage de me mettre sur ce blog.
Mais, passons, parce que je vous ai souvent parlé du méthane. Vous savez, qui va s'échapper de Sibérie par exemple à une densité qui variera au pro-rata de le la fonte du permafrost, ce sol gelée sibérien, canadien, chilien, argentin et des meilleurs et j'en passe.
Ce méthane qui renverra les générations à venir (pour les survivants) vivre dans des cavernes en tout cas dans des cités enterrées.
Eh, bien, mes chers lecteurs, le gaz de schiste et explosant les roches à coups de produits chimiques hautement toxiques en dégagent beaucoup, beaucoup, beaucoup.
Au point, puisque tous les pays veulent y aller de leurs puits, à terme, nous mettre, nous, cette génération tous en danger.
Il n'y aura donc pas à attendre les générations, celle de nos enfants, pour vivre l'enfer de Dante.
C'est la raison, pour laquelle d'ailleurs, je compte finir ma vie sur une autre planète.
QUI M'AIME ME SUIVE !
(source : Reportrre)
Mais, rassurez-vous, mes chers lecteurs, tout le monde s'en fout. Les multinationales attendent avec avidité de pouvoir exploiter les pôles, donc, la lutte contre le changement climatique, ils s'assoient dessus.
Et, les places financières s'assoient sur le désir des peuples de les contrôler dans leur folle course à tout les profits. De leur côté, les gouvernements nous font croire qu'ils leur mettent des bâtons dans les roues, mais, ils pondent des textes qui ne produisent aucunes contraintes réelles, même, s'ils tentent de nous faire croire le contraire.
Le mode de financement des campagnes américaines en est l'un des responsable parce qu'il est un facteur de corruption. Il faut dire qu'Obama a fait pondre un texte pour confirmer qu'après les banques, l'industrie, les milliardaires américains peuvent financer les candidats.
Après, demandez-vous pourquoi, les congressistes américain, les juges, les shériffs, ne veulent surtout pas les emmerder et nous pondent des lois comme le Mosanto Act qui met cette multinationales au dessus des lois américaines et qui lui permet d'opprimer le citoyen américain.
(source : Le Nouvel Observateur économie)
Jean-Michel Naulot, membre du Collège de l’Autorité des marchés financiers (AMF) : "On a fait semblant de réguler" (Bruno Coutier pour
vvv
Désolé, mes chers cinq lecteurs, je vous avoue que j'ai pris une semaine de vacances, non pour me reposer, mais, pour refaire les façades de ma maison d'habitation avant la venue de l'hiver. Au plus haut, elle mesure dix mètres et elles sont très abîmées.
Donc, depuis lundi, j'y suis du matin au soir.
Aussi, parfois, je n'ai pas le courage de me mettre sur ce blog.
Mais, passons, parce que je vous ai souvent parlé du méthane. Vous savez, qui va s'échapper de Sibérie par exemple à une densité qui variera au pro-rata de le la fonte du permafrost, ce sol gelée sibérien, canadien, chilien, argentin et des meilleurs et j'en passe.
Ce méthane qui renverra les générations à venir (pour les survivants) vivre dans des cavernes en tout cas dans des cités enterrées.
Eh, bien, mes chers lecteurs, le gaz de schiste et explosant les roches à coups de produits chimiques hautement toxiques en dégagent beaucoup, beaucoup, beaucoup.
Au point, puisque tous les pays veulent y aller de leurs puits, à terme, nous mettre, nous, cette génération tous en danger.
Il n'y aura donc pas à attendre les générations, celle de nos enfants, pour vivre l'enfer de Dante.
C'est la raison, pour laquelle d'ailleurs, je compte finir ma vie sur une autre planète.
QUI M'AIME ME SUIVE !
(source : Reportrre)
Quelques lignes aux très lourdes conséquences dans le rapport du GIEC sur le climat : le méthane voit doubler son rôle comme gaz à effet de serre ! Une nouvelle donne qu’il faudrait absolument prendre en compte dans la lutte contre le changement climatique, notamment dans les discours sur le gaz de schiste.
Le « résumé pour décideurs » du groupe 1 du Giec vient de paraître. Ce résumé nous apprend que le forçage radiatif (1) supplémentaire de l’ensemble des gaz à effet de serre émis par l’homme (gaz carbonique - CO2- , méthane - CH4 -, protoxyde d’azote - N2O - et halo-carbones) (3) entre 1750 et 2011 atteindrait 3 watts par m2. Sans surprise, le gaz carbonique CO2, résultat de la combustion des combustibles fossiles et de la déforestation, reste avec 1,68 W par m2 le premier responsable du réchauffement (56%).
Mais on y apprend aussi que le forçage supplémentaire du méthane sur la même période est de 0,97 W par m2 soit 32% du forçage total. C’est deux fois plus que ne le laisserait penser la simple prise en compte de sa concentration dans l’atmosphère et deux fois plus que ce qu’estimait le Giec dans son rapport précédent (3) où il ne comptait que pour 0,48 par m2 !
En page 16 du ’Résumé pour les décideurs’ - IPCC 2013 -
Cette information semble être passée pratiquement inaperçue : elle est pourtant majeure puisqu’elle indique que la responsabilité du méthane dans le réchauffement n’est pas actuellement de l’ordre de 15% comme l’annonçait le rapport du Giec en 2007 mais plutôt du double. D’autant que la concentration du méthane dans l’atmosphère, qui avait peu évolué depuis le début des années 90 jusqu’en 2005, semble accélérer depuis cette époque.
Figure SPM.5 du ’Sumary for policymakers" - IPCC 2013 -
Dans les années 2000, il était généralement admis que les émissions mondiales de méthane, de l’ordre de 360 millions de tonnes (4), provenaient pour environ 38% de l’agriculture irriguée et de l’élevage des bovins, pour 33% des émissions du système énergétique fossile, 23% de la fermentation des déchets agricoles et ménagers et enfin 6% des feux de forêt. Et parmi ces fuites du système énergétique, on attribuait une trentaine de millions de tonnes aux fuites de méthane (CH4) du système gazier, sur la base de taux de fuites de 1 à 2% selon les pays.
La production du gaz de schiste génère d’importantes fuites de méthane
Cette situation risque d’empirer rapidement avec le développement inconsidéré des gaz de schistes, d’abord aux Etats-Unis et peut-être bientôt ailleurs.
Les dernières mesures de fuites de méthane effectuées sur des champs gaziers aux Etas-Unis à partir de campagnes aériennes (5) donnent en effet des résultats très préoccupants : 6% à 12% de la production des champs de gaz de schiste fuirait vers l’atmosphère. Si des fuites de cette importance se confirmaient sur d’autres champs gaziers, les conséquences sur les émissions totales de méthane mondiales deviendraient très importantes.
La production de gaz de schiste aux Etas-Unis atteignait en effet déjà environ 150 millions de tonnes de CH4 en 2011. Même pour des fuites qui se situeraient dans le bas de la fourchette (6%), les émissions mondiales du système gazier se verraient augmentées de 30% par cette seule production et les émissions mondiales de méthane tous secteurs confondus de près de 3%. On n’ose imaginer les conséquences du développement international intense de production de gaz de schiste que prône un organisme comme l’Agence internationale de l’énergie qui envisage une production mondiale de gaz de schiste de l’ordre de cinq fois la production actuelle dans moins de 20 ans, avec la perspective d’augmenter les émissions mondiales de méthane de 15% à 20%.
Depuis plus de cinq ans, quelques climatologues et quelques experts de l’énergie ont essayé de faire prendre conscience à la communauté scientifique comme aux décideurs politiques ou aux médias de l’importance de cette question du méthane, malheureusement sans beaucoup de succès. C’est d’autant plus dommage que de nombreuses actions de prévention des émissions de méthane sont à portée de la main, économiquement rentables et procurent dans de nombreux cas une source d’énergie locale qui manque parfois cruellement (par exemple par récupération du méthane des déchets agricoles et domestiques).
Comme nous le laisse entendre discrètement le GIEC aujourd’hui, la question du méthane apparaît comme encore plus cruciale pour l’avenir du climat. Il devient en tout cas urgent, d’une part de réagir vivement aux discours des promoteurs de l’exploitation à tout va des gaz de schiste qui affirment sans vergogne participer ainsi à la transition énergétique, et d’autre part de définir des objectifs et un calendrier spécifiques de réduction des émissions de méthane pays par pays, secteur par secteur.
Notes :
(1) Le forçage radiatif mesure le flux d’énergie par m2 apporté à l’atmosphère par chacun des gaz responsable de l’effet de serre.
(2) Les Halo-carbones comprennent dans le document du GIEC : O3 (ozone), CFCs (chlorofluorocarbones), HFCs
(3) Cette nouvelle estimation prend en effet en compte l’influence des émissions de CH4 sur l’ozone et la vapeur d’eau stratosphériques.
(4) « Réduire le méthane : l’autre défi du changement climatique », Benjamin Dessus et Bernard Laponche, document de travail 68 AFD
(5) « Methane emissions estimate from airborne measurements over a western United States natural gas field », Anna Karion et al, Geophysical Research Letters, Vol. 40, 1–5, doi:10.1002/grl.50811, 2013.
Source : Courriel à Reporterre.
Photo : Maxisciences.
Mais, rassurez-vous, mes chers lecteurs, tout le monde s'en fout. Les multinationales attendent avec avidité de pouvoir exploiter les pôles, donc, la lutte contre le changement climatique, ils s'assoient dessus.
Et, les places financières s'assoient sur le désir des peuples de les contrôler dans leur folle course à tout les profits. De leur côté, les gouvernements nous font croire qu'ils leur mettent des bâtons dans les roues, mais, ils pondent des textes qui ne produisent aucunes contraintes réelles, même, s'ils tentent de nous faire croire le contraire.
Le mode de financement des campagnes américaines en est l'un des responsable parce qu'il est un facteur de corruption. Il faut dire qu'Obama a fait pondre un texte pour confirmer qu'après les banques, l'industrie, les milliardaires américains peuvent financer les candidats.
Après, demandez-vous pourquoi, les congressistes américain, les juges, les shériffs, ne veulent surtout pas les emmerder et nous pondent des lois comme le Mosanto Act qui met cette multinationales au dessus des lois américaines et qui lui permet d'opprimer le citoyen américain.
(source : Le Nouvel Observateur économie)
Crise financière : un banquier repenti balance
Banquier pendant 37 ans, Jean-Michel Naulot tire la sonnette d’alarme : la dictature des marchés, plus dangereuse que jamais, règne toujours !
Attention, danger ! C’est l’avertissement que lance un ancien banquier, Jean-Michel Naulot, dans un essai virulent qui paraît ce jeudi : "Crise financière : pourquoi les gouvernements ne font rien" (Seuil). L’homme sait de quoi il parle. Il a derrière lui trente sept ans de carrière bancaire et dix ans de régulation financière. Depuis 2003, il siège au Collège de l’Autorité des marchés financiers (AMF), le gendarme de la Bourse. Il vient de démissionner de la Commission des marchés de cet organisme qu’il quittera définitivement en décembre. Objectif : retrouver sa liberté de parole pour dénoncer haut et fort ce qu’il appelle "la centrale nucléaire financière" et une "dictature des marchés, que les gouvernements font semblants de combattre, mais qu’en réalité, ils acceptent".
Les mesures des gouvernements sont insuffisantes
Pour lui, le constat est clair : depuis la faillite de la Banque Lehman, il y a cinq ans, les mesures qui ont été prises par les gouvernements pour encadrer la finance sont tellement insuffisantes (voir l'interview vidéo ci-dessous) que la machine est toujours aussi incontrôlable. Résultat, une crise financière encore plus violente peut terrasser les Etats, qui cette fois n’auront plus les moyens de se relever. Ils ont englouti toutes leurs marges de manœuvres à sortir les banques de la précédente crise et à tenter de relancer l’activité.
Deux bombes plus menaçantes encore
La "centrale nucléaire de la finance" est aujourd’hui d’autant plus dangereuse, explique le banquier repenti, qu’elle fonctionne à proximité de deux bombes bien plus menaçantes encore que ce qu’étaient les crédits subprimes aux Etats-Unis il y a cinq ans.
La première, c’est l’énorme bulle financière que représente la dette américaine : cette dette n’a jamais été aussi importante, aussi risquée, et pourtant les taux d’intérêt sont bas. La politique accommodante de la banque centrale américaine au lieu de doper l’économie réelle file dans les "souterrains de la spéculation". Une situation dangereuse et difficile à gérer sur le plan politique comme le montre le "shutdown", la fermeture des services de l’Etat fédéral, qui vient de s’imposer au gouvernement de Barack Obama, faute d’argent.
La deuxième bombe, c’est l’euro. Même si le plus gros de la crise est derrière nous, les problèmes ne sont pas résolus. Et à la moindre crise politique, la défiance vis-à-vis de la monnaie unique peut revenir. La crise politique italienne ne fait-elle pas resurgir les craintes de panique ? Qui peut assurer qu’une étincelle ne pourrait pas remettre le feu aux poudres ?
Les gouvernements ont capitulé devant les lobbys bancaires
Il est donc indispensable, dit et répète Jean-Michel Naulot, de prendre les mesures nécessaires pour enfin encadrer et limiter les capacités de la finance à spéculer et à transformer l’étincelle en catastrophe. "On peut, en deux ans, avec des mesures très simples, réduire la spéculation", assure l’ancien banquier, qui ne cache ni son amertume ni son inquiétude face à la lâcheté des gouvernements, qui ont capitulé dans leur volonté de réforme face aux lobbys bancaires. Lui qui est proche du commissaire européen Michel Barnier les a vu à l’œuvre et a mesuré toute leur influence auprès de leurs gouvernements nationaux, qui se font ensuite leur porte-parole à Bruxelles.
Il n’est d’ailleurs pas le seul ancien banquier à tirer la sonnette d’alarme. Son discours rejoint celui entonné par plusieurs "repentis de la finance". Ils sont d’autant plus virulents dans leur plaidoyer pour de vraies réformes qu’ils ont connu le système de l’intérieur et ne peuvent pas être trompés sur la réalité de son fonctionnement et de ses dangers.
> Lire le cri d'alarme des autres "repentis de la finance" dans le "Nouvel Observateur" qui paraît ce jeudi 3 octobre.
vvv
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