Salut à tous les cyclones du monde. Celui qui s'abat sur Fukushima va nous faire partager sa radioactivité. Youppee !
Bon, mes chers cinq lecteurs, ce monde reste merveilleux.
(source : News360c.fr)
Le Figaro rapporte que le FMI propose d’opérer un unique prélèvement de 10% sur les dépôts privés des citoyens des 15 pays de la zone euro pour les débarrasser définitivement de leur problème d’endettement trop fort. L’idée n’est pas nouvelle. Déjà en 2011, le Boston Consulting Group avait estimé qu’imposer une taxe de 30% sur tous les actifs serait la seule façon de sortir de la crise de l’euro.
Steen Jakobsen, l’économiste en chef de la Saxo Bank, a quant à lui estimé en avril de cette année que cette taxe sur les actifs pourrait atteindre de 10 à 15%.
Sur son site et dans sa revue « Fiscal Monitor », le FMI se réfère à une étude de l’économiste allemand Stefan Bach (page 27, partie 2 « Taxing Our Way out of—or into?—Trouble ») qui avait calculé en 2012 que si l’on opérait une taxation de 3,4% sur les comptes bancaires des Allemands disposant de dépôts supérieurs à 250.000 euros, il serait possible d’effacer 4% de la dette publique allemande, soit 100 milliards d’euros.
Pour le site Monfinancier.com, ce n’est plus qu’une question de temps, avant que les épargnants français ne subissent une ponction de ce type. Il rappelle que l’épargne des épargnants français représente 12.000 milliards d’euros, etspécule que la taxation pourrait être découpée en de multiples petits pourcentages annuels pour la rendre plus acceptable. Malheureusement, elle ne servira qu’à combler le déficit public, plutôt qu’à réduire la dette de l’Etat. « Et le FMI vient de donner sa bénédiction au gouvernement », écrit-il.
A part cela, un petit rappel sur le rôle de la banque Rothschil en France. Et, à mon avis, les américains devraient se poser des questions sur le rôle de la banque Rothschild chez eux. Qu'ils n'oublient pas que ce sont les Rothschil qui ont financé Rockfeller et que sa légende du self made man, c'était carrément du bidon. Du coup, le rêve américain de la réussite individuelle, ce n'était qu'un gros cinéma.
Le but des Rothschild de l'époque était d'imposer la compagnie pétrolière de Rockfeller comme une major du secteur et dans ce but, ils ont mis un max de fric.
Alors, l'histoire du père Rockfeller qui a conservé son premier dollar et qui l'a encadré, c'est une histoire pour les naïfs.
(source : Spread the light)
Par la loi Pompidou-Giscard d'Estaing du 3 janvier 1973, la Banque de France a abandonné son rôle de service public. Pompidou, ancien Directeur Général de la Banque Rotschild, a retiré à la France son pouvoir régalien de battre monnaie.
Article 25 : « Le Trésor public ne peut plus présenter de ses propres effets à l'escompte de la Banque de France. ».
Désormais, le Trésor Public ne peut plus emprunter directement à la Banque de France à un taux d’intérêt faible ou nul. Résultat: La mainmise des banques dans le financement des états.
NB: Le Federal Reserve Act voté aux Etats-Unis le 23 décembre 1913 est l’équivalent de la loi de 1973.
Explications de V. Giscard d’Estaing
VGE justifie l'adoption de cette loi en remarquant que cette démarche s'était imposée dans tous les grands pays au moment de sa promulgation ; est-ce pour autant que la mesure est judicieuse ? Les faits nous démontrent aujourd’hui que ce n'était pas le cas !!!
Il rappelle par ailleurs que le système de prêt d'une banque centrale à l'Etat est générateur d'inflation : ceci est vrai mais soulignons que l'inflation est un mécanisme qui, s'il pénalise les placements financiers, avantage néanmoins les emprunteurs... ainsi, l'augmentation des prix est compensée par une augmentation des salaires ; la part d'un emprunt à taux fixe pèse donc de moins en moins sur le budget du ménage à mesure que l'on approche du terme du remboursement.
Notons que le poids de la dette publique consécutive à cette loi oblige à une politique d'austérité avec toutes les conséquences qui en découlent (chômage, précarité, dégradation de la qualité des services publics, vente du patrimoine national...). Si inflation il y a, elle n'est, aujourd'hui, plus compensée par l'augmentation des salaires ; ceux-ci tendent à stagner, voire, dans certains cas, à régresser ! L'inflation, soi-disant combattue par cette loi, était un moindre mal, comparée aux ravages qu'elle a, depuis, engendrés !
Enfin, la dernière partie de sa réponse consiste à soigneusement éviter la question cruciale des intérêts versés aux organismes financiers privés et de se borner à rappeler que le capital emprunté, qu'il soit celui de la Banque de France ou bien des banques privées se doit d'être remboursé.Evidemment emprunter aux banques privées a des taux supérieurs a la banque de france ce n"est pas une volontée d'endetter un pays ,le père de l'europe a bien travaillé a la chute de ,la france dans le piège mondialiste des initiés.....
La dette publique de la France / Loi Pompidou... par Bonzou
Etienne Chouard sur l'article 123 du Traité de... par Antipenseunique
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Bof, qu'en dites-vous, et pourtant en France plus personne ne parle de la famille Rothschild.
Mais, passons, car, je me demande, si, en France, nous sommes encore libre !
(source : Union Paysanne)
Les raisons pour lesquelles je ne veux pas adhérer à l’UPA sont simples. Étant un producteur biologique je ne veux pas faire partie d’une organisation syndicale dont je ne partage pas la vision. L’UPA prône une agriculture productiviste qui est à l’opposé de ma façon de travailler la terre. Adhérer à ce syndicat, serait pour moi un non-sens et irait dans la direction opposée à tout le travail que j’ai effectué depuis des années.
Le problème serait pourtant simple à régler. En théorie si l’UPA ne me convient pas je n’ai qu’à adhérer à un autre syndicat agricole plus près de mes valeurs. En théorie… Car concrètement c’est impossible. Au Québec il n’y a pas d’alternative au monopole de l’UPA. Bien des agriculteurs ont contesté ce monopole avant moi. L’UPA a serré la vis aux contestataires en obtenant du gouvernement du Québec, la loi 85 en 1995. En bref, cette loi force les agriculteurs à payer leur cotisation à l’UPA pour pouvoir recevoir leur remboursement de taxe foncière agricole...
Nous savons tous que la démocratie s’exprime par le pluralisme et la possibilité de choisir. Le système d’accréditation unique de l’UPA n’offre pas de choix. Les agriculteurs québécois sont les seuls au monde à être privés du droit de choisir leur syndicat. Il est temps de changer ce système dépassé et antidémocratique. Cela est souhaitable et possible. Et je tiens à souligner que ce n’est pas un rêveur déconnecté qui fait cette affirmation, mais un entrepreneur rationnel à la tête d’une PME en pleine croissance, qui créé des emplois dans sa région et contribue à l’économie québécoise. Le tout, dans le respect de la biodiversité et de l’environnement!
À l’heure où le Québec fait un grand ménage dans l’industrie de la construction et dans le monde municipal, pourquoi ne pas en profiter pour donner un autre coup de balai et mettre fin au monopole syndical de l’UPA?
Jean-François Lévêque et Guylaine St-Vincent, semencier artisanal.
Pièces-jointes :
Et, comme, aujourd'hui, je n'ai pas eu le temps d'écrire, je finirais par cet article concernant le typhon qui s'abat sur le japon et va aspirer tous les miasmes radioactifs de la centrale de Fukushima dans la stratosphère et les répartir équitablement sur l'ensemble de la planète.
(source : www.24heures.ch)
A bientôt.
René.
Bon, mes chers cinq lecteurs, ce monde reste merveilleux.
(source : News360c.fr)
Le FMI vient de donner son ‘feu vert’ pour une taxation de 10% de votre épargne
Le Figaro rapporte que le FMI propose d’opérer un unique prélèvement de 10% sur les dépôts privés des citoyens des 15 pays de la zone euro pour les débarrasser définitivement de leur problème d’endettement trop fort. L’idée n’est pas nouvelle. Déjà en 2011, le Boston Consulting Group avait estimé qu’imposer une taxe de 30% sur tous les actifs serait la seule façon de sortir de la crise de l’euro.
Steen Jakobsen, l’économiste en chef de la Saxo Bank, a quant à lui estimé en avril de cette année que cette taxe sur les actifs pourrait atteindre de 10 à 15%.
Sur son site et dans sa revue « Fiscal Monitor », le FMI se réfère à une étude de l’économiste allemand Stefan Bach (page 27, partie 2 « Taxing Our Way out of—or into?—Trouble ») qui avait calculé en 2012 que si l’on opérait une taxation de 3,4% sur les comptes bancaires des Allemands disposant de dépôts supérieurs à 250.000 euros, il serait possible d’effacer 4% de la dette publique allemande, soit 100 milliards d’euros.
« L’intérêt, c’est que si une telle taxation est mise en place avant que les gens ne prennent leurs dispositions pour l’éviter et qu’il y a une forte croyance qu’elle ne sera pas répétée, elle ne perturbera pas les comportements (et que certains pourront même considérer qu’elle est juste) (…) Les taux de taxation requis pour ramener la dette publique à ses niveaux d’avant-crise, cependant, sont quantifiables : réduire les ratios de dette pour leur faire retrouver leurs niveaux de fin 2007 (pour un échantillon des 15 pays de la zone euro nécessiterait un taux de taxation d’environ 10% sur les ménages disposant d’une fortune nette positive », concluent les économistes du FMI.Il ne s’agit que de «propositions purement théoriques», pour le moment, précise le Figaro, qui se demande s’il sera possible de résoudre le problème de la dette avec des solutions « douces » .
Pour le site Monfinancier.com, ce n’est plus qu’une question de temps, avant que les épargnants français ne subissent une ponction de ce type. Il rappelle que l’épargne des épargnants français représente 12.000 milliards d’euros, etspécule que la taxation pourrait être découpée en de multiples petits pourcentages annuels pour la rendre plus acceptable. Malheureusement, elle ne servira qu’à combler le déficit public, plutôt qu’à réduire la dette de l’Etat. « Et le FMI vient de donner sa bénédiction au gouvernement », écrit-il.
« Privilégier ceux qui ne travaillent pas par rapport à ceux qui travaillent, ceux qui n’entreprennent pas rapport à ceux qui prennent des risques et maintenant ceux qui ont dépensé sans compter par rapport à ceux qui ont mis de côté le fruit de leur labeur; quand tout cela va t’il s’arrêter? Un système qui incite à la paresse, à l’assistanat, au refus du risque et maintenant à la dépense est-il viable ? », se demande le site.
A part cela, un petit rappel sur le rôle de la banque Rothschil en France. Et, à mon avis, les américains devraient se poser des questions sur le rôle de la banque Rothschild chez eux. Qu'ils n'oublient pas que ce sont les Rothschil qui ont financé Rockfeller et que sa légende du self made man, c'était carrément du bidon. Du coup, le rêve américain de la réussite individuelle, ce n'était qu'un gros cinéma.
Le but des Rothschild de l'époque était d'imposer la compagnie pétrolière de Rockfeller comme une major du secteur et dans ce but, ils ont mis un max de fric.
Alors, l'histoire du père Rockfeller qui a conservé son premier dollar et qui l'a encadré, c'est une histoire pour les naïfs.
(source : Spread the light)
La loi Pompidou-Giscard d'Estaing du 3 janvier 1973 responsable de la dette public
Par la loi Pompidou-Giscard d'Estaing du 3 janvier 1973, la Banque de France a abandonné son rôle de service public. Pompidou, ancien Directeur Général de la Banque Rotschild, a retiré à la France son pouvoir régalien de battre monnaie.
Article 25 : « Le Trésor public ne peut plus présenter de ses propres effets à l'escompte de la Banque de France. ».
Désormais, le Trésor Public ne peut plus emprunter directement à la Banque de France à un taux d’intérêt faible ou nul. Résultat: La mainmise des banques dans le financement des états.
NB: Le Federal Reserve Act voté aux Etats-Unis le 23 décembre 1913 est l’équivalent de la loi de 1973.
Explications de V. Giscard d’Estaing
VGE justifie l'adoption de cette loi en remarquant que cette démarche s'était imposée dans tous les grands pays au moment de sa promulgation ; est-ce pour autant que la mesure est judicieuse ? Les faits nous démontrent aujourd’hui que ce n'était pas le cas !!!
Il rappelle par ailleurs que le système de prêt d'une banque centrale à l'Etat est générateur d'inflation : ceci est vrai mais soulignons que l'inflation est un mécanisme qui, s'il pénalise les placements financiers, avantage néanmoins les emprunteurs... ainsi, l'augmentation des prix est compensée par une augmentation des salaires ; la part d'un emprunt à taux fixe pèse donc de moins en moins sur le budget du ménage à mesure que l'on approche du terme du remboursement.
Notons que le poids de la dette publique consécutive à cette loi oblige à une politique d'austérité avec toutes les conséquences qui en découlent (chômage, précarité, dégradation de la qualité des services publics, vente du patrimoine national...). Si inflation il y a, elle n'est, aujourd'hui, plus compensée par l'augmentation des salaires ; ceux-ci tendent à stagner, voire, dans certains cas, à régresser ! L'inflation, soi-disant combattue par cette loi, était un moindre mal, comparée aux ravages qu'elle a, depuis, engendrés !
Enfin, la dernière partie de sa réponse consiste à soigneusement éviter la question cruciale des intérêts versés aux organismes financiers privés et de se borner à rappeler que le capital emprunté, qu'il soit celui de la Banque de France ou bien des banques privées se doit d'être remboursé.Evidemment emprunter aux banques privées a des taux supérieurs a la banque de france ce n"est pas une volontée d'endetter un pays ,le père de l'europe a bien travaillé a la chute de ,la france dans le piège mondialiste des initiés.....
La dette publique de la France / Loi Pompidou... par Bonzou
Etienne Chouard sur l'article 123 du Traité de... par Antipenseunique
Internationalnews
Tags : canalblog, crise, dettes empilées sur d'autres dettes., france 2, giscard pompidou, loi1973
Bof, qu'en dites-vous, et pourtant en France plus personne ne parle de la famille Rothschild.
Mais, passons, car, je me demande, si, en France, nous sommes encore libre !
(source : Union Paysanne)
Actualités
L’UPA traîne un producteur biologique en justice pour qu’il adhère de force à son organisation
Le premier novembre 2013 prochain, plutôt que d’exercer mon métier de semencier et de travailler à la réussite de mon entreprise, je devrai me présenter devant les tribunaux afin d’expliquer pourquoi je ne veux pas être membre de l’Union des producteurs agricoles (UPA), qui me force à adhérer à son syndicat et me réclame la somme de 2265.26 $ en «cotisations».Les raisons pour lesquelles je ne veux pas adhérer à l’UPA sont simples. Étant un producteur biologique je ne veux pas faire partie d’une organisation syndicale dont je ne partage pas la vision. L’UPA prône une agriculture productiviste qui est à l’opposé de ma façon de travailler la terre. Adhérer à ce syndicat, serait pour moi un non-sens et irait dans la direction opposée à tout le travail que j’ai effectué depuis des années.
Le problème serait pourtant simple à régler. En théorie si l’UPA ne me convient pas je n’ai qu’à adhérer à un autre syndicat agricole plus près de mes valeurs. En théorie… Car concrètement c’est impossible. Au Québec il n’y a pas d’alternative au monopole de l’UPA. Bien des agriculteurs ont contesté ce monopole avant moi. L’UPA a serré la vis aux contestataires en obtenant du gouvernement du Québec, la loi 85 en 1995. En bref, cette loi force les agriculteurs à payer leur cotisation à l’UPA pour pouvoir recevoir leur remboursement de taxe foncière agricole...
Nous savons tous que la démocratie s’exprime par le pluralisme et la possibilité de choisir. Le système d’accréditation unique de l’UPA n’offre pas de choix. Les agriculteurs québécois sont les seuls au monde à être privés du droit de choisir leur syndicat. Il est temps de changer ce système dépassé et antidémocratique. Cela est souhaitable et possible. Et je tiens à souligner que ce n’est pas un rêveur déconnecté qui fait cette affirmation, mais un entrepreneur rationnel à la tête d’une PME en pleine croissance, qui créé des emplois dans sa région et contribue à l’économie québécoise. Le tout, dans le respect de la biodiversité et de l’environnement!
À l’heure où le Québec fait un grand ménage dans l’industrie de la construction et dans le monde municipal, pourquoi ne pas en profiter pour donner un autre coup de balai et mettre fin au monopole syndical de l’UPA?
« [...] dans une société démocratique, on peut difficilement justifier le maintien d’un régime qui oblige un groupe de personnes à adhérer à une structure unique d’association, régime qui, au demeurant, ne prévoit aucun dispositif pour vérifier la volonté des personnes d’y adhérer ou d’y maintenir leur participation. Cette situation est malsaine et nuit même à la crédibilité de l’UPA. »
- Extrait du rapport Pronovost (CAAAQ) p.235
Jean-François Lévêque et Guylaine St-Vincent, semencier artisanal.
Pièces-jointes :
Et, comme, aujourd'hui, je n'ai pas eu le temps d'écrire, je finirais par cet article concernant le typhon qui s'abat sur le japon et va aspirer tous les miasmes radioactifs de la centrale de Fukushima dans la stratosphère et les répartir équitablement sur l'ensemble de la planète.
(source : www.24heures.ch)
Un énorme typhon s'apprête à frapper le Japon
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L’est du Japon doit être touché mercredi par le typhon Wipha, décrit comme le plus puissant de la décennie sur la mégapole tokyoïte, avant de se diriger vers le nord-est où se trouve la centrale accidentée de Fukushima.
Selon l’Agence de météorologie nippone, Wipha doit toucher le sud-est de l’île de Honshu, la plus grande de l’archipel japonais, mercredi en fin de nuit ou tout début de matinée et traverser tout l’est dans la journée, dont Tokyo aux heures de pointe matinales.
Gros calibre
Ce 26e typhon de la saison en Asie, qui se trouvait mardi après-midi au sud de l’archipel, est un gros calibre qui se déplace à la vitesse de 35 kilomètres/heure en direction du nord-nord-est. Il promène avec lui des vents atteignant des pointes de près de 200 km/h.
«C’est le plus violent typhon en dix ans à toucher la région du Kanto (où se trouve la capitale Tokyo)», a déclaré lors d’un point de presse un responsable de l’Agence de météo, Hiroyuki Uchida. «Il risque d’avoir un fort impact sur les transports en commun», a-t-il averti. De nombreuses liaisons ferroviaires et aériennes seront très probablement annulées tout au long de la journée de mercredi.
Grosses quantités d'eau
Les météorologues ont prévenu que Wipha allait déverser de très importantes quantités d’eau sur une très vaste région et appellent les citoyens à éviter autant que possible de se trouver à l’extérieur aux pires moments.
Des mises en garde ont été lancées pour plusieurs préfectures et les télévisions ont commencé de diffuser des sessions spéciales d’information, tandis que la pluie tombait déjà sur Tokyo depuis la mi-journée de mardi. Des citoyens prévoyants ont réservé des chambres d’hôtel pour éviter les transports mardi soir et mercredi matin, ont rapporté des médias.
Fukushima insuffisamment préparée
Par ailleurs, un travailleur de la centrale accidentée de Fukushima a déjà fait part sur internet d’inquiétudes sur l’insuffisance de préparation sur le site, après un week-end prolongé où les ouvriers y étaient, selon lui, peu nombreux.
Lors du passage de précédents typhons et après de fortes précipitations, la compagnie gérante, Tokyo Electric Power (Tepco), a dû faire face à des débordements de pluie, le complexe atomique regorgeant déjà d’eau radioactive. Tepco indique cependant renforcer les fixations d’équipements, mettre en sûreté des grues et augmenter la surveillance des zones qui pourraient être inondées.
Le Japon est traversé chaque année entre le printemps et l’automne par plusieurs typhons dont certains très violents et parfois meurtriers.(afp/Newsnet)
Créé: 15.10.2013, 11h06
A bientôt.
René.
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