Salut aux citoyens américains, nous allons être les victimes communes de nos multinationales à travers l'accord de libre échange européen. Pour nous les Ogm et le gaz de schiste, pour vous le pillage de vos nappes phréatiques, plus le reste.
Bon, mes chers cinq lecteurs, nous sommes contents de le savoir.
(source : Expres.be)
Et, les russes ont suivi le même chemin. Ce sont les citoyens russes qui doivent être contents.
Bon, mes chers cinq lecteurs, nous sommes contents de le savoir.
(source : Expres.be)
Si un graphique doit vous mettremal à l’aise,espérons que cela soit celui-ci |
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Le Crédit Suisse a réalisé un graphique qui illustre la répartition mondiale
de la richesse.
32 millions de personnes - une masse légèrement supérieure à celle du
Benelux, soit 0,7% de la population mondiale – possède entre leurs mains un total de 41% de toutes les richesses de la planète ou 98.700 milliards de dollars.
Basé sur le même graphique, nous apprenons que 3,2 milliards
de personnes – 68,7% de la population adulte dans le monde – possèdent 3% de la richesse mondiale ou 7.300 milliards de dollars. (Source : @FGoria)" |
Et, les russes ont suivi le même chemin. Ce sont les citoyens russes qui doivent être contents.
Heureux hommes et heureuses femmes, va !
(source : idem)
Les Russes ridiculementriches : '35% de la richessedu pays entre les mainsde… 110 personnes' |
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Après la chute de l’Union soviétique, la richesse du pays a été répartie entre un
certain nombre de de politiciens et de magnats des affaires, qui se sont assurés une position leur permettant de devenir simplement de plus en plus riche.
Suite à l'implosion du système communiste, les actifs les plus importants de la
Russie ont été vendus à un petit cercle d’hommes d’affaires connu sous le nom d’oligarques. Il s’agit de l’une des disproportions les plus absurdes dans le monde qui est en soit le plus haut niveau d’inégalité dans le monde, sauf pour quelques petites îles des Caraïbes.
Selon le rapport sur la richesse mondiale établi par le Crédit Suisse, 35% d
e la richesse de la Russie sont concentrés dans les mains de quelque 110 personnes.
La Russie compte un milliardaire pour chaque 11 milliards de dollars en circulation
alors que dans le reste du monde, il un milliardaire pour chaque 170 milliards de dollars en circulation. Cette disproportion se doit principalement au fait que l’oligarchie de Poutine soutient une partie de la corruption en échange de la loyauté politique.
La plupart des oligarques russes ont fait fortune dans le secteur des matières premières
ou dans le monde de la finance et s’enrichissent entre eux. Le Crédit Suisse précise que la disparition de l’Union soviétique aurait pu permettre à la Russie de se transformer en une économie avec une répartition équitable des richesses mais « ce qui s’est passé dans la pratique est une parodie ».
Les milliardaires russes détiennent 35% de la richesse nationale du pays, ce qui
équivaut à 420 milliards de dollars.
Dans la vidéo ci-dessous, Sergey Veremeenko, l’un des Russes faisant
partie du groupe des 0,00001%, explique comment il passe ses journées. Il résume clairement la situation à la minute 3 :07 : « Comme Poutine a déclaré : la corruption est notre mentalité ». |
Ah, là, là, mes chers lecteurs, il y a de quoi attraper le bourdon, se sentir mal dans sa petite tête. Vite, au secours, une petite pilule pour que je me sente mieux.
Mais, attention aux effets indésirables.
(source : anti-psychiatrie)
Mais, attention aux effets indésirables.
(source : anti-psychiatrie)
Bon, désolé pour la grandeur des caractères. Utilisez une loupe et si, cela vous fait mal aux yeux, n'oubliez pas la petite pilule du bonheur, vous les remettra d'aplomb.
Au fait, je n'arrive pas à recentrer les textes précédents. J'avoue, je suis une quiche en informatique.
Bon en attendant, les méchants ne restent peut-être pas toujours méchants.
(source : le Monde Economie)
En attendant, avant de récupérer leur démocratie, les américains continuent de manger de la "MERDE".
(source : Blingfold)
Au fait, je n'arrive pas à recentrer les textes précédents. J'avoue, je suis une quiche en informatique.
Bon en attendant, les méchants ne restent peut-être pas toujours méchants.
(source : le Monde Economie)
Gary Gensler, un ex-Goldman Sachs devenu procureur de la haute finance
LE MONDE | • Mis à jour le |Par Marc Roche
Londres, correspondant
Gary Gensler est partout. Le président sortant de la Commodity Futures Trading Commission (CFTC), le régulateur des marchés à terme américains, s'apprête àannoncer dans les jours qui viennent de nouvelles règles d'encadrement du trading à haute fréquence ainsi que des limitations aux transactions de grande ampleur sur les Bourses d'outre- Atlantique.
Par ailleurs, le superviseur a joué un rôle clé dans l'ouverture d'une enquête, annoncée le 12 août, sur de possibles manipulations du prix de l'aluminium par plusieurs grandes banques américaines, la Bourse des métaux de Londres et la société de négoce de matières premières Glencore Xstrata.
Si nul n'est indispensable, il est des gens qui sont difficiles à remplacer. Tel est le cas de Gary Gensler, à qui la Maison Blanche, malgré plusieurs tentatives, n'est toujours pas parvenue à trouver un successeur. Et pour cause, le natif de Baltimore a fait sien le bon vieux principe selon lequel les anciens braconniers font les meilleurs gardes chasse.
INFATIGABLE ET INCORRUPTIBLE
Il y a cinq ans, Wall Street avait applaudi la nomination de l'ancien banquier deGoldman Sachs à la tête du gendarme chargé de surveiller les opérations qui permettent aux industriels de se protéger contre les variations des cours. Loin d'être complaisant, l'ex-financier s'est révélé un procureur infatigable et incorruptible contre les spéculateurs de tout poil.
Gary Gensler peut s'enorgueillir d'avoir imposé au cours de son mandat les réformes financières les plus audacieuses depuis la Grande Dépression. Le petit génie des mathématiques, formé dans une prestigieuse école de commerce de la Côte est des Etats-Unis, peut être fier d'avoir accroché à son tableau de chasse quelques grands prédateurs des marchés.
A l'origine, Barack Obama s'était méfié de ce fils d'installateur de distributeurs automatiques, originaire du Maryland. Lequel avait, lors des primaires démocrates, soutenu la candidature d'Hillary Clinton. En outre, à 30 ans, Gary Gensler avait été le plus jeune associé de Goldman Sachs, une banque d'affaires mal en cour auprès du nouveau chef de l'exécutif élu en novembre 2008, dans la foulée de la crise des subprimes. Ce milliardaire était le symbole par excellence de toutes les dérives de la haute finance.
Sous-secrétaire au Trésor dans l'administration Clinton entre 1997 et 2001, le jeune ambitieux avait torpillé le projet de contrôle des produits dérivés de crédit, qui allaient jouer un rôle clé dans le déclenchement du krach bancaire. Agissant sur ordre du ministre des finances, Robert Rubin, Gary Gensler avait été à l'avant-garde du mouvement de dérégulation des marchés aux Etats-Unis. On lui a notamment reproché le démantèlement en 1999 du Glass-Steagall Act, qui séparait les banques de détail des banques d'affaires. De surcroît, il avait été le chouchou de Rubin lorsque ce dernier codirigeait Goldman Sachs.
En raison de ce passé qu'il jugeait trouble, Barack Obama ne lui a offert que la présidence de la CFTC, le moins prestigieux et le moins influent des organismes de régulation financière de Washington.
MANIGANCES DES EXPERTS EN PLACEMENTS
C'était mal connaître le fort en thème, qui a subi une totale transformation aprèsavoir quitté le gouvernement Clinton en 2001. Le premier acte d'indépendance de Gary Gensler a été d'écrire un livre dénonçant les manigances des experts enplacements au détriment des petits porteurs. Il a ensuite participé à la rédaction de la loi Sarbanes-Oxley, conçue à l'issue de la faillite frauduleuse d'Enron pour réformer la comptabilité des entreprises et mieux protéger les investisseurs.
Au cours de l'administration républicaine de George Bush entre 2000 et 2008, Gary Gensler est outré par les pratiques délictueuses de Wall Street, les manipulations des cours, les violations des règles prudentielles ou la vente frauduleuse de crédits hypothécaires. Face à ces excès, les gendarmes des marchés aboient mais ne mordent pas. "Tant qu'il y a de la musique, on continue de danser", lance même un patron de banque.
En 2009, la nomination de Gary Gensler à la tête d'une CFTC qui somnolait depuis des lustres fait l'effet d'un électrochoc. Fondée dans les années 1970 pour contrôler les marchés agricoles, l'agence fédérale est dotée d'un budget et d'un personnel faméliques. La CFTC est incapable de superviser l'explosion des produits financiers ultra-sophistiqués ou de résister au formidable rouleau compresseur du lobby bancaire.
Allergique aux palabres, aussi aimable qu'il peut se montrer cassant et colérique, Gary Gensler refuse d'accepter ce statut croupion. La pratique à haut niveau du marathon et de l'alpinisme lui vaut la réputation d'être une bourrique, qu'on ne mène au pré que quand elle a décidé d'y brouter. Servi par son autorité naturelle, sa connaissance sans faille des dossiers et la maîtrise des médias, l'intraitable régulateur fait rentrer dans le rang les traders sans scrupule.
Par rapport à ses prédécesseurs, l'ex-étoile montante des fusions-acquisitions de Goldman Sachs a un atout de poids : les mécanismes bancaires, le contrôle des risques et la spéculation n'ont pas de secrets pour lui. En tant que trésorier de Goldman Sachs, il a pu observer de près le fonctionnement des salles de marché.
LE VENT TOURNE
Fin connaisseur des arcanes du Congrès, Gary Gensler s'est aussi fait le chantre de la loi de régulation financière (Dodd-Frank) qui confie à la CFTC la supervision des produits dérivés. L'amende imposée à Barclays en juillet 2012 pour son rôle dans l'affaire de la manipulation du taux interbancaire Libor ou ses investigations sur les pertes colossales de la "Baleine de Londres" de JP Morgan constituent son heure de gloire. Le petit gars de Baltimore a mis au pas les hiérarques d'une City percluse de scandales.
Mais en novembre 2012, avec la réélection de Barack Obama, le vent tourne. Le combat moralement juste que mène Gary Gensler est désormais politiquement problématique pour le locataire de la Maison Blanche. Le départ de son principal protecteur, l'ancien président de la Réserve fédérale, Paul Volcker, le prive d'un allié de poids au sein de l'administration.
Surtout, le nouveau ministre des finances, Jacob Lew, entend se débarrasser du trublion. Avant de rejoindre Barack Obama comme directeur de cabinet, Jacob Lew avait été chargé des activités de Citicorp dans les paradis fiscaux les plus sulfureux. Il fera tout pour que le mandat de l'encombrant Gensler ne soit pas renouvelé.
Finie la baraka pour le chef de la CFTC. Le croisé de la suppression du Libor, dont le mode de calcul lui paraît totalement biaisé, est marginalisé. La preuve, le 9 juillet, la fixation du taux interbancaire passe sous la coupe de la Bourse de NewYork. Les plaintes des banquiers sur le coût exorbitant et la complexité des nouvelles règles voulues par Gary Gensler ont eu l'oreille du président.
Enfin, l'effondrement du courtier américain MF Global a mis en évidence de graves lacunes de supervision de la part de la CFTC, qui n'a rien vu venir dans cette affaire. Gary Gensler s'était tenu à l'écart de ce dossier, le patron de MF Global étant l'un de ses amis de l'époque Goldman Sachs.
"L'intérêt de Wall Street n'est pas toujours celui du public." Cette déclaration faite en 2010 par Gary Gensler résume un personnage hors norme, qui aura magistralement tissé sa toile réglementaire en poursuivant une idée fixe : rendre à la finance la place qui lui revient de droit, sur le plan éthique, dans la patrie du capitalisme.
- Marc Roche
Journaliste au Monde
En attendant, avant de récupérer leur démocratie, les américains continuent de manger de la "MERDE".
(source : Blingfold)
10 American Foods that are Banned in Other Countries
Americans are slowly waking up to the sad fact that much of the food sold in the US is far inferior to the same foods sold in other nations. In fact, many of the foods you eat are BANNED in other countries.
Here, We will review 10 American foods that are banned elsewhere, which were featured in a recent MSN article. 1
Seeing how the overall health of Americans is so much lower than other industrialized countries, you can’t help but wonder whether toxic foods such as these might play a role in our skyrocketing disease rates.
#1: Farm-Raised Salmon
If you want to maximize health benefits from fish, you want to steer clear of farmed fish, particularly farmed salmon fed dangerous chemicals. Wild salmon gets its bright pinkish-red color from natural carotenoids in their diet. Farmed salmon, on the other hand, are raised on a wholly unnatural diet of grains (including genetically engineered varieties), plus a concoction of antibiotics and other drugs and chemicals not shown to be safe for humans.
This diet leaves the fish with unappetizing grayish flesh so to compensate, they’re fed synthetic astaxanthin made from petrochemicals, which has not been approved for human consumption and has well known toxicities. According to the featured article, some studies suggest it can potentially damage your eyesight. More details are available in yesterday’s article.
Where it’s banned: Australia and New Zealand
Where it’s banned: Australia and New Zealand
How can you tell whether a salmon is wild or farm-raised? The flesh of wild sockeye salmon is bright red, courtesy of its natural astaxanthin content. It’s also very lean, so the fat marks, those white stripes you see in the meat, are very thin. If the fish is pale pink with wide fat marks, the salmon is farmed.
Avoid Atlantic salmon, as typically salmon labeled “Atlantic Salmon” currently comes from fish farms. The two designations you want to look for are: “Alaskan salmon,” and “sockeye salmon,” as Alaskan sockeye is not allowed to be farmed. Please realize that the vast majority of all salmon sold in restaurants is farm raised.
Avoid Atlantic salmon, as typically salmon labeled “Atlantic Salmon” currently comes from fish farms. The two designations you want to look for are: “Alaskan salmon,” and “sockeye salmon,” as Alaskan sockeye is not allowed to be farmed. Please realize that the vast majority of all salmon sold in restaurants is farm raised.
So canned salmon labeled “Alaskan Salmon” is a good bet, and if you find sockeye salmon, it’s bound to be wild. Again, you can tell sockeye salmon from other salmon by its color; its flesh is bright red opposed to pink, courtesy of its superior astaxanthin content. Sockeye salmon actually has one of the highest concentrations of astaxanthin of any food.
#2: Genetically Engineered Papaya
Most Hawaiian papaya is now genetically engineered to be resistant to ringspot virus. Mounting research now shows that animals fed genetically engineered foods, such as corn and soy, suffer a wide range of maladies, including intestinal damage, multiple-organ damage, massive tumors, birth defects, premature death, and near complete sterility by the third generation of offspring. Unfortunately, the gigantic human lab experiment is only about 10 years old, so we are likely decades away from tabulating the human casualties.
Where it’s banned: The European Union
Unfortunately, it’s clear that the US government is not in a position to make reasonable and responsible decisions related to genetically engineered foods at this point, when you consider the fact that the Obama administration has placed former Monsanto attorney and Vice President, Michael Taylor, in charge of US food safety, and serious conflicts of interest even reign supreme within the US Supreme Court! That’s right. Supreme Court Justice Clarence Thomas is also a former Monsanto attorney, but refuses to acknowledge any conflict of interest.
#3: Ractopamine-Tainted Meat
The beta agonist drug ractopamine (a repartitioning agent that increases protein synthesis) was recruited for livestock use when researchers found that the drug, used in asthma, made mice more muscular. This reduces the overall fat content of the meat. Ractopamine is currently used in about 45 percent of US pigs, 30 percent of ration-fed cattle, and an unknown percentage of turkeys are pumped full of this drug in the days leading up to slaughter. Up to 20 percent of ractopamine remains in the meat you buy from the supermarket, according to veterinarian Michael W. Fox.
Since 1998, more than 1,700 people have been “poisoned” from eating pigs fed the drug, and ractopamine is banned from use in food animals in no less than 160 different countries due to its harmful health effects! Effective February 11, 2013, Russia issued a ban on US meat imports, slated to last until the US agrees to certify that the meat is ractopamine-free. At present, the US does not even test for the presence of this drug in meats sold. In animals, ractopamine is linked to reductions in reproductive function, increase of mastitis in dairy herds, and increased death and disability. It’s also known to affect the human cardiovascular system, and is thought to be responsible for hyperactivity, and may cause chromosomal abnormalities and behavioral changes.
Where it’s banned: 160 countries across Europe, Russia, mainland China and Republic of China (Taiwan)
#4: Flame Retardant Drinks
If you live in the US and drink Mountain Dew and some other citrus-flavored sodas and sports drinks, then you are also getting a dose of a synthetic chemical called brominated vegetable oil(BVO), which was originally patented by chemical companies as a flame retardant.
BVO has been shown to bioaccumulate in human tissue and breast milk, and animal studies have found it causes reproductive and behavioral problems in large doses. Bromine is a central nervous system depressant, and a common endocrine disruptor. It’s part of the halide family, a group of elements that includes fluorine, chlorine and iodine. When ingested, bromine competes for the same receptors that are used to capture iodine. This can lead to iodine deficiency, which can have a very detrimental impact on your health. Bromine toxicity can manifest as skin rashes, acne, loss of appetite, fatigue, and cardiac arrhythmias. According to the featured article:
“The FDA has flip-flopped on BVO’s safety originally classifying it as ‘generally recognized as safe’ but reversing that call now defining it as an ‘interim food additive’ a category reserved for possibly questionable substances used in food.”
Where it’s banned: Europe and Japan
#5: Processed Foods Containing Artificial Food Colors and Dyes
More than 3,000 food additives — preservatives, flavorings, colors and other ingredients — are added to US foods, including infant foods and foods targeted to young children. Meanwhile, many of these are banned in other countries, based on research showing toxicity and hazardous health effects, especially with respect to adverse effects on children’s behavior. For example, as reported in the featured article:
“Boxed Mac & Cheese, cheddar flavored crackers, Jell-O and many kids’ cereals contain red 40, yellow 5, yellow 6 and/or blue 2, the most popularly-used dyes in the United States. Research has shown this rainbow of additives can cause behavioral problems as well as cancer, birth defects and other health problems in laboratory animals. Red 40 and yellow 6 are also suspected of causing an allergy-like hypersensitivity reaction in children. The Center for Science in the Public Interest reports that some dyes are also “contaminated with known carcinogens.”
In countries where these food colors and dyes are banned, food companies like Kraft employ natural colorants instead, such as paprika extract, beetroot, and annatto. The food blogger and activist Vani Hari, better known as “Food Babe,” recently launched a Change.org petition2 asking Kraft to remove artificial dyes from American Mac & Cheese to protect American children from the well-known dangers of these dyes.
Where it’s banned: Norway and Austria. In 2009, the British government advised companies to stop using food dyes by the end of that year. The European Union also requires a warning notice on most foods containing dyes.
Where it’s banned: Norway and Austria. In 2009, the British government advised companies to stop using food dyes by the end of that year. The European Union also requires a warning notice on most foods containing dyes.
#6: Arsenic-Laced Chicken
Arsenic-based drugs are approved for use in animal feed in the US because they make animals grow quicker and make the meat appear pinker (i.e. “fresher”). The US Food and Drug Administration (FDA) has stated these products are safe because they contain organic arsenic, which is less toxic than the other inorganic form, which is a known carcinogen.
The problem is, scientific reports surfaced stating that the organic arsenic could transform into inorganic arsenic, which has been found in elevated levels in supermarket chickens. The inorganic arsenic also contaminates manure where it can eventually migrate into drinking water and may also be causing heightened arsenic levels in US rice.
In 2011, Pfizer announced it would voluntarily stop marketing its arsenic-based feed additive Roxarsone, but there are still several others on the market. Several environmental groups have filed a lawsuit against the FDA calling for their removal from the market. In the European Union, meanwhile, arsenic-based compounds have never been approved as safe for animal feed.
Where it’s banned: The European Union
Where it’s banned: The European Union
#7: Bread with Potassium Bromate
You might not be aware of this, but nearly every time you eat bread in a restaurant or consume a hamburger or hotdog bun you are consuming bromide, as it is commonly used in flours. The use of potassium bromate as an additive to commercial breads and baked goods has been a huge contributor to bromide overload in Western cultures.
Bromated flour is “enriched” with potassium bromate. Commercial baking companies claim it makes the dough more elastic and better able to stand up to bread hooks. However, Pepperidge Farm and other successful companies manage to use only unbromated flour without any of these so-called “structural problems.” Studies have linked potassium bromate to kidney and nervous system damage, thyroid problems, gastrointestinal discomfort, and cancer. The International Agency for Research on Cancer classifies potassium bromate as a possible carcinogen.
Where it’s banned: Canada, China and the EU
#8: Olestra/Olean
Olestra, aka Olean, created by Procter & Gamble, is a calorie- and cholesterol-free fat substitute used in fat-free snacks like chips and French fries. Three years ago, Time Magazine3 named it one of the worst 50 inventions ever, but that hasn’t stopped food companies from using it to satisfy people’s mistaken belief that a fat-free snack is a healthier snack. According to the featured article:
“Not only did a 2011 study from Purdue University conclude rats fed potato chips made with Olean gained weight, there have been several reports of adverse intestinal reactions to the fake fat including diarrhea, cramps and leaky bowels. And because it interferes with the absorption of fat soluble vitamins such as A, D, E and K, the FDA requires these vitamins be added to any product made with Olean or olestra.”
Where it’s banned: The UK and Canada
#9: Preservatives BHA and BHT
BHA (butylated hydroxyanisole) and BHT (butylated hydroxytoluene) are commonly used preservatives that can be found in breakfast cereal, nut mixes, chewing gum, butter spread, meat, dehydrated potatoes, and beer, just to name a few. BHA is known to cause cancer in rats, and may be a cancer-causing agent in humans as well. In fact, according to the US Department of Health and Human Services, National Toxicology Program’s 2011 Report on Carcinogens, BHA “is reasonably anticipated to be a human carcinogen.” It may also trigger allergic reactions and hyperactivity, while BHT can cause organ system toxicity.
Where it’s banned: The UK doesn’t allow BHA in infant foods. BHA and BHT are also banned in parts of the European Union and Japan.
#10: Milk and Dairy Products Laced with rBGH
Recombinant bovine growth hormone (rBGH) is the largest selling dairy animal drug in America. RBGH is a synthetic version of n
atural bovine somatotropin (BST), a hormone produced in cows’ pituitary glands. Monsanto developed the recombinant version from genetically engineered E. coli bacteria and markets it under the brand name “Posilac.”
It’s injected into cows to increase milk production, but it is banned in at least 30 other nations because of its dangers to human health, which include an increased risk for colorectal, prostate, and breast cancer by promoting conversion of normal tissue cells into cancerous ones. Non-organic dairy farms frequently have rBGH-injected cows that suffer at least 16 different adverse health conditions, including very high rates of mastitis that contaminate milk with pus and antibiotics.
“According to the American Cancer Society, the increased use of antibiotics to treat this type of rBGH-induced inflammation ‘does promote the development of antibiotic-resistant bacteria, but the extent to which these are transmitted to humans is unclear,’” the featured article states.
Many have tried to inform the public of the risks of using this hormone in dairy cows, but their attempts have been met with overwhelming opposition by the powerful dairy and pharmaceutical industries, and their government liaisons. In 1997, two Fox-affiliate investigative journalists, Jane Akre and Steve Wilson, attempted to air a program exposing the truth about the dangers of rBGH. Lawyers for Monsanto, a major advertiser with the Florida network, sent letters promising “dire consequences” if the story aired.
Many have tried to inform the public of the risks of using this hormone in dairy cows, but their attempts have been met with overwhelming opposition by the powerful dairy and pharmaceutical industries, and their government liaisons. In 1997, two Fox-affiliate investigative journalists, Jane Akre and Steve Wilson, attempted to air a program exposing the truth about the dangers of rBGH. Lawyers for Monsanto, a major advertiser with the Florida network, sent letters promising “dire consequences” if the story aired.
Despite decades of evidence about the dangers of rBGH, the FDA still maintains it’s safe for human consumption and ignores scientific evidence to the contrary. In 1999, the United Nations Safety Agency ruled unanimously not to endorse or set safety standards for rBGH milk, which has effectively resulted in an international ban on US milk.4 The Cancer Prevention Coalition, trying for years to get the use of rBGH by the dairy industry banned, resubmitted a petition to FDA Commissioner Margaret Hamburg, MD, in January 2010.5 Although the FDA stubbornly sticks to its position that milk from rBGH-treated cows is no different than milk from untreated cows, this is just plain false and is not supported by science. The only way to avoid rBGH is to look for products labeled as “rBGH-free” or “No rBGH.”
Where it’s banned: Australia, New Zealand, Israel, EU and Canada
Source: Mercola via Real Farmacy
Et, que se passe-t-il sur le front des OGM ?
MEXIQUE – LA JUSTICE ORDONNE LA SUSPENSION DES AUTORISATIONS DE CULTURES D’OGM
, octobre 2013
Le jeudi 10 octobre 2013, la Cour de Justice fédérale (douzième district) a émis une injonction ordonnant la suspension des autorisations de cultures expérimentales et commerciales de plantes génétiquement modifiées (PGM) obtenues par les entreprises Monsanto, Pioneer, etc. Cette mesure fait suite à une « action collective » déposée le 5 juillet 2013 par 53 scientifiques, intellectuels, agriculteurs, artistes, et 22 organisations écologistes, paysannes ou de défense des droits humains. Pour l’un des avocats de cette coalition, Romulado Hernandez Naranjo, le point le plus important de cette résolution est que le pouvoir judiciaire a accepté finalement d’entrer dans le débat de fond sur les avantages ou préjudices liés à la culture du maïs transgénique au Mexique, berceau génétique de cette céréale. En effet, « auparavant, nous avions essayé différents moyens juridiques mais jamais nous n’avions réussi à ouvrir un débat de fond", a-t-il précisé [1]. Les autorisations ne sont pas annulées, mais seulement suspendues. L’annulation définitive pourrait venir, ultérieurement, mais un débat de fond doit s’ouvrir désormais entre les ministères concernés, les entreprises et les plaignants.
Et, pour finir, où en est la législation américaine sur la régulation des banques.
A bientôt.
René.
René.
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