(blog à finir et à corriger)
Désolé, hier, mes cinq chers lecteurs, je n'ai pas réussi à recentrer les textes des articles proposés. Je suppose que si, l'un, vous a intéressé, vous vous êtes reporté au site.
Bon, ceci dit, parlons du vieil adage qui dit, "Dans ma maison, tu ne fais pas ta loi !"
Eh, bien au Québec, belle province du Canada, cela ne se passe pas comme cela.
(source : www.vigile.net)
Ariane Lacoursière - Les médecins du Québec en ont ras le bol de la discrimination sur leur lieu de travail. Selon eux, l’égalité entre les sexes est de plus en plus menacée dans le monde médical à cause des demandes d’accommodements raisonnables faites par certaines communautés, et il est temps que ça cesse.
« Les manifestations discriminatoires se rencontrent nommément en obstétrique et gynécologie. Elles prennent plusieurs formes et sont devenues fréquentes dans certains établissements hospitaliers de Montréal », a écrit la Fédération des médecins spécialistes du Québec (FMSQ) dans un mémoire déposé devant la Commission des affaires sociales en février dernier.
Les médecins spécialistes ne veulent plus que les hôpitaux se plient aux exigences de certaines patientes qui refusent par exemple d’être accouchées par des gynécologues masculins. Dans une entrevue accordée à la revue l’Actualité médicale, la présidente de l’Association des obstétriciens-gynécologues du Québec, la Dre Diane Francoeur, affirme que de tels événements discriminatoires ne sont pas anecdotiques. « Ils sont suffisamment fréquents pour que nos médecins aient décidé de réagir », a-t-elle dit.
Mauvais pour la patiente
La Dre Francoeur parle du climat de pratique qui est souvent difficile en gynécologie. « Imaginez l’ambiance quand il faut négocier, souvent par mari interposé, avec la femme qui accouche ! C’est la patiente qui finit par payer au bout du compte », dit-elle dans l’Actualité médicale.
Selon la FMSQ, « des pressions » sont présentement exercées sur les centres hospitaliers pour que des « listes parallèles de garde » assurant la présence en tout temps de médecins de sexe féminin soit créées.
La FMSQ s’oppose à de telles listes. « Le médecin ne peut faire de discrimination à l’égard d’un patient et il ne saurait être lui-même l’objet de discrimination de la part d’un patient ou d’un tiers », ajoute la FMSQ. La Dre Francoeur est du même avis : « Faudra-t-il prévoir ensuite des listes de garde selon des critères d’âge ou de religion ? Ça n’a aucun bon sens ! »
Au cours des derniers mois, l’hôpital St. Mary à Montréal a décidé d’agir pour régler les problèmes de discrimination envers les médecins. Situé dans le quartier Côte-des-Neiges, cet établissement soigne une clientèle multiculturelle.
« Chaque jour, on accouche des femmes dans une variété d’au moins 13 langues différentes. On a parfois recours à un traducteur », affirme la gestionnaire des programmes mère-enfant à St. Mary, Marie-France Brizzard.
Pour éviter de toujours s’empêtrer dans des débats d’accommodements raisonnables, l’hôpital a décidé de bien informer les futures mères de leur politique. « Chez nous, c’est : vous serez soignée par le médecin de garde à ce moment-là, que ce soit une femme ou un homme », affirme la directrice du service d’obstétrique-gynécologie de St. Mary, la Dre Isabelle Girard, dans le dernier numéro de l’Actualité médicale. Cette tactique porte fruits. Selon la Dre Girard, la discrimination selon le sexe « n’est plus qu’un rare problème » à St. Mary, car les dirigeants ont réglé les problèmes « grâce à de l’information claire et ouverte ».
La FMSQ a déposé son mémoire dans le cadre des auditions publiques portant sur le projet de loi no 63, qui veut modifier la Charte des droits et libertés de la personne. Dans son mémoire, la Fédération invite le gouvernement du Québec à adopter la loi 63 et à réaffirmer les principes d’égalité entre les hommes et les femmes.
(Photo Ivanoh Demers, La Presse)
Source
http://www.cyberpresse.ca/article/20080315/CPACTUALITES/803150898/1019/CPACT (...)
Et, nous allons continuer, non pas en chantant, mais, en continuons sur la santé avec une pensée particulière pour les habitants de Pékin et de Mexico.
(source : France 3 Alpes)
pollution
La pollution de l'air jugée cancérigène par
l'Organisation Mondiale de la Santé
Dans les Alpes, pays où l'on respire, la pollution fait
régulièrement des siennes dans les vallées. Des voiles noirs
"chapeautent" Grenoble, le Nord Isère ou la vallée de l'Arve.
Alors les conclusions de l'OMS sur la pollution de l'air jugée cancérigène ont
de quoi inquiéter.
©
AFP/Archives, Charly Triballeau
Les données les plus récentes dont dispose le CIRC montrent qu'en 2010, 223.000 personnes étaient décédées d'un cancer du poumon en lien avec la pollution de l'air.
"Classer la pollution de l'air atmosphérique comme cancérigène pour l'homme est une étape importante", a déclaré M. Wild. "Il y a des façons effectives de réduire la pollution atmosphérique et, étant donné l'ampleur de l'exposition (à la pollution) qui touche les personnes à travers le monde, ce rapport devrait envoyer un signal fort à la communauté internationale pour qu'elle agisse sans délai", a-t-il estimé.
Qu'en dit-on
à Grenoble?
En 2012, les gaz d'échappement des moteurs diesel avaient, eux aussi, été classés dans la catégorie cancérigène par le CIRC.
Mais, consolez-vous, habitants de Pékin et Mexico, nos savants fous ont trouvés encore pire que la pollution atmosphérique. Un jour, par inadvertance, ils provoqueront l'extinction de l'espèce humaine, "Oups, pardon, j'avais la tête dans le guidon !"
(source : Chaos Controlé)
La toxine botulique (aussi connue sous le nom de botox) est un poison bien connu des médecins et scientifiques. Cette toxine hautement dangereuse est produite par la Clostridium botulinum, la bactérie responsable du botulisme. C'est la substance chimique la plus mortelle pour l'homme, qui dépasse bien largement le cyanure puisqu'elle est à peu près 40 millions de fois plus toxique.
Et quand les scientifiques disent qu'elle est mortelle, ils ne plaisantent pas : elle a pour effet de bloquer les réactions chimiques qui activent les terminaisons nerveuses, causant le botulisme et une mort par paralysie. Il suffit d'une injection de deux milliardièmes de cette substance ou d'en inhaler ne serait-ce que 13 milliardièmes pour tuer un adulte.
Jusqu'à présent, les scientifiques avaient découvert 7 types différents de cette toxines et les avaient répertoriés. Mais depuis peu, les chercheurs ont fait une autre découverte : il existe un huitième type, appelé le type H et il est bien sûr tout aussi mortel que les sept types précédents. Et pour la sécurité de tous, les scientifiques à l'origine de cette découverte ont décidé de censurer le patrimoine génétique de la bactérie qui produit cette substance jusqu'à nouvel ordre.
Une censure qui tiendra tant que les chercheurs n'auront pas entièrement décodé la séquence génétique de la bactérie et n'en auront pas tiré une antitoxine. De plus, si le patrimoine génétique venait à être rendu public, il pourrait être synthétisé et utilisé pour des actes de terrorisme bactériologique.
Et, oui, ces savants fous qui nous sortent des médicaments qui doivent nous soigner, mais, nous empoisonnent.
(source : Radio-Canada.ca)
vvv
Désolé, hier, mes cinq chers lecteurs, je n'ai pas réussi à recentrer les textes des articles proposés. Je suppose que si, l'un, vous a intéressé, vous vous êtes reporté au site.
Bon, ceci dit, parlons du vieil adage qui dit, "Dans ma maison, tu ne fais pas ta loi !"
Eh, bien au Québec, belle province du Canada, cela ne se passe pas comme cela.
(source : www.vigile.net)
Accommodements : des médecins excédés par les demandes
La Presse
samedi 15 mars 2008
samedi 15 mars 2008
« Les manifestations discriminatoires se rencontrent nommément en obstétrique et gynécologie. Elles prennent plusieurs formes et sont devenues fréquentes dans certains établissements hospitaliers de Montréal », a écrit la Fédération des médecins spécialistes du Québec (FMSQ) dans un mémoire déposé devant la Commission des affaires sociales en février dernier.
Les médecins spécialistes ne veulent plus que les hôpitaux se plient aux exigences de certaines patientes qui refusent par exemple d’être accouchées par des gynécologues masculins. Dans une entrevue accordée à la revue l’Actualité médicale, la présidente de l’Association des obstétriciens-gynécologues du Québec, la Dre Diane Francoeur, affirme que de tels événements discriminatoires ne sont pas anecdotiques. « Ils sont suffisamment fréquents pour que nos médecins aient décidé de réagir », a-t-elle dit.
Mauvais pour la patiente
La Dre Francoeur parle du climat de pratique qui est souvent difficile en gynécologie. « Imaginez l’ambiance quand il faut négocier, souvent par mari interposé, avec la femme qui accouche ! C’est la patiente qui finit par payer au bout du compte », dit-elle dans l’Actualité médicale.
Selon la FMSQ, « des pressions » sont présentement exercées sur les centres hospitaliers pour que des « listes parallèles de garde » assurant la présence en tout temps de médecins de sexe féminin soit créées.
La FMSQ s’oppose à de telles listes. « Le médecin ne peut faire de discrimination à l’égard d’un patient et il ne saurait être lui-même l’objet de discrimination de la part d’un patient ou d’un tiers », ajoute la FMSQ. La Dre Francoeur est du même avis : « Faudra-t-il prévoir ensuite des listes de garde selon des critères d’âge ou de religion ? Ça n’a aucun bon sens ! »
Au cours des derniers mois, l’hôpital St. Mary à Montréal a décidé d’agir pour régler les problèmes de discrimination envers les médecins. Situé dans le quartier Côte-des-Neiges, cet établissement soigne une clientèle multiculturelle.
« Chaque jour, on accouche des femmes dans une variété d’au moins 13 langues différentes. On a parfois recours à un traducteur », affirme la gestionnaire des programmes mère-enfant à St. Mary, Marie-France Brizzard.
Pour éviter de toujours s’empêtrer dans des débats d’accommodements raisonnables, l’hôpital a décidé de bien informer les futures mères de leur politique. « Chez nous, c’est : vous serez soignée par le médecin de garde à ce moment-là, que ce soit une femme ou un homme », affirme la directrice du service d’obstétrique-gynécologie de St. Mary, la Dre Isabelle Girard, dans le dernier numéro de l’Actualité médicale. Cette tactique porte fruits. Selon la Dre Girard, la discrimination selon le sexe « n’est plus qu’un rare problème » à St. Mary, car les dirigeants ont réglé les problèmes « grâce à de l’information claire et ouverte ».
La FMSQ a déposé son mémoire dans le cadre des auditions publiques portant sur le projet de loi no 63, qui veut modifier la Charte des droits et libertés de la personne. Dans son mémoire, la Fédération invite le gouvernement du Québec à adopter la loi 63 et à réaffirmer les principes d’égalité entre les hommes et les femmes.
(Photo Ivanoh Demers, La Presse)
Source
http://www.cyberpresse.ca/article/20080315/CPACTUALITES/803150898/1019/CPACT (...)
Et, nous allons continuer, non pas en chantant, mais, en continuons sur la santé avec une pensée particulière pour les habitants de Pékin et de Mexico.
(source : France 3 Alpes)
pollution
La pollution de l'air jugée cancérigène par
l'Organisation Mondiale de la Santé
© AFP/Archives, Charly Triballeau
·
· Publié le 18/10/2013 |
17:18, mis à jour le 19/10/2013 | 00:01
·
La
pollution de l'air qui nous entoure est cancérigène: telle est la conclusion de
l'agence spécialisée sur le cancer de l'Organisation mondiale de la santé (le CIRC) qui pointe du doigt de nombreux
secteurs économiques comme responsables.
"Nous savons maintenant que la pollution de l'air extérieur n'est pas seulement un risque majeur pour la santé en général, mais aussi une cause environnementale de premier plan des décès par cancer", déplore le docteur Kurt Straif du Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC). "L'air que nous respirons a été contaminé par un mélange de substances qui provoque le cancer", a-t-il déclaré.
Concrètement, le CIRC classe désormais la pollution atmosphérique parmi les cancérogènes certains pour les êtres humains, a annoncé son directeur, Christopher Wild. Les matières dites "particulaires", comme par exemple les particules fines, qui font partie de la pollution de l'air, ont aussi été classées par le CIRC dans la catégorie "cancérigène certain".
"Nous savons maintenant que la pollution de l'air extérieur n'est pas seulement un risque majeur pour la santé en général, mais aussi une cause environnementale de premier plan des décès par cancer", déplore le docteur Kurt Straif du Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC). "L'air que nous respirons a été contaminé par un mélange de substances qui provoque le cancer", a-t-il déclaré.
Concrètement, le CIRC classe désormais la pollution atmosphérique parmi les cancérogènes certains pour les êtres humains, a annoncé son directeur, Christopher Wild. Les matières dites "particulaires", comme par exemple les particules fines, qui font partie de la pollution de l'air, ont aussi été classées par le CIRC dans la catégorie "cancérigène certain".
Le cancer du poumon augmente chez les
personnes exposées à la pollution atmosphérique"
Les données les plus récentes dont dispose le CIRC montrent qu'en 2010, 223.000 personnes étaient décédées d'un cancer du poumon en lien avec la pollution de l'air.
"Classer la pollution de l'air atmosphérique comme cancérigène pour l'homme est une étape importante", a déclaré M. Wild. "Il y a des façons effectives de réduire la pollution atmosphérique et, étant donné l'ampleur de l'exposition (à la pollution) qui touche les personnes à travers le monde, ce rapport devrait envoyer un signal fort à la communauté internationale pour qu'elle agisse sans délai", a-t-il estimé.
Qu'en dit-on
à Grenoble?
Grenoble est dans le
malheureux Top 10 des villes les plus polluées en France. Ici, on mesure déjà
les effets de la pollution. Christophe Pison, chef du service pneumologie du
CHU en est conscient: "cela épaissit la surface interne des artères donc
c'est vraiment un mécanisme général qui peut entraîner des cancers bronchiques".
Face au fléau, l'agglomération de Grenoble a été l'une des premières à s'engager dans un Plan Air Climat mais cela ne suffit pas. Les élus le répètent, ils attendent un soutien de l'Etat pour, notamment, mieux réglementer la présence des véhicules polluants dans la cité. Les politiques seront d'ailleurs réunis à Paris les 23 et 24 octobre pour lesAssises de la qualité de l'air.
Face au fléau, l'agglomération de Grenoble a été l'une des premières à s'engager dans un Plan Air Climat mais cela ne suffit pas. Les élus le répètent, ils attendent un soutien de l'Etat pour, notamment, mieux réglementer la présence des véhicules polluants dans la cité. Les politiques seront d'ailleurs réunis à Paris les 23 et 24 octobre pour lesAssises de la qualité de l'air.
En 2012, les gaz d'échappement des moteurs diesel avaient, eux aussi, été classés dans la catégorie cancérigène par le CIRC.
(source : Chaos Controlé)
dimanche 20 octobre 2013
Les scientifiques ont découvert la substance la plus mortelle jamais rencontrée par l'Homme
Oubliez l'anthrax et le gaz sarin. Des scientifiques ont découvert un nouveau type de toxine qui serait la substance la plus mortelle sur Terre jamais rencontrée. Dans un souci de santé public, tous les secrets de cette substance ne seront pas révélés...
La toxine botulique (aussi connue sous le nom de botox) est un poison bien connu des médecins et scientifiques. Cette toxine hautement dangereuse est produite par la Clostridium botulinum, la bactérie responsable du botulisme. C'est la substance chimique la plus mortelle pour l'homme, qui dépasse bien largement le cyanure puisqu'elle est à peu près 40 millions de fois plus toxique.
Et quand les scientifiques disent qu'elle est mortelle, ils ne plaisantent pas : elle a pour effet de bloquer les réactions chimiques qui activent les terminaisons nerveuses, causant le botulisme et une mort par paralysie. Il suffit d'une injection de deux milliardièmes de cette substance ou d'en inhaler ne serait-ce que 13 milliardièmes pour tuer un adulte.
Jusqu'à présent, les scientifiques avaient découvert 7 types différents de cette toxines et les avaient répertoriés. Mais depuis peu, les chercheurs ont fait une autre découverte : il existe un huitième type, appelé le type H et il est bien sûr tout aussi mortel que les sept types précédents. Et pour la sécurité de tous, les scientifiques à l'origine de cette découverte ont décidé de censurer le patrimoine génétique de la bactérie qui produit cette substance jusqu'à nouvel ordre.
Une censure qui tiendra tant que les chercheurs n'auront pas entièrement décodé la séquence génétique de la bactérie et n'en auront pas tiré une antitoxine. De plus, si le patrimoine génétique venait à être rendu public, il pourrait être synthétisé et utilisé pour des actes de terrorisme bactériologique.
On est à la fois fascinés et effrayés par cette découverte : les scientifiques découvrent toujours de nouvelles choses au fil du temps et c'est vraiment passionnant. Mais à côté de ça, ça nous rappelle que ces découvertes peuvent ensuite être transformées en armes bactériologiques et utilisées pour faire du mal... Pensez-vous que les scientifiques ont eu raison de garder secret l'ADN de la bactérie produisant cette toxine botulique ?
Source : dailygeekshow
(source : Radio-Canada.ca)
Des chercheurs réclament le retrait d'un médicament antidouleur
Mise à jour le mercredi 13 février 2013 à 4 h 12 HNE
Des chercheurs réclament le retrait d'un médicament antidouleur couramment utilisé partout sur la planète, en raison d'un risque élevé de crise cardiaque et d'autres problèmes cardiovasculaires.
Le diclofenac, un médicament anti-inflammatoire non stéroïdien (ou AINS), est souvent prescrit pour soulager la douleur et réduire l'inflammation provoquées par l'arthrite.
Selon des scientifiques, toutefois, le diclofenac, qui est vendu sous un grand nombre de marques, notamment Voltaren et Pennsaid au Canada, comporte des risques d'importants effets secondaires cardiovasculaires quasiment identiques à ceux du Vioxx.
Ce dernier médicament avait été retiré du marché par son fabricant, Merck, après qu'une étude clinique eut démontré qu'il était lié à une augmentation des risques de crises cardiaques et d'accidents vasculaires-cérébraux.
40 % plus de risques de crise cardiaque
Dans une étude publiée cette semaine dans la revue scientifique PLoS Medicine, le Dr David Henry, président de l'Institute for Clinical Evaluative Sciences à Toronto, et la coauteure Patricia McGettigan détaillent les risques cardiovasculaires de médicaments anti-inflammatoires, en s'appuyant sur l'analyse de plusieurs études.
Ils ont découvert que les gens prenant du diclofenac avaient 40 % de plus de risques d'être victimes d'une crise cardiaque que ceux qui prenaient du naproxen, qui est considéré comme le médicament type le plus sécuritaire pour minimiser les risques cardiovasculaires.
Les chercheurs s'inquiètent particulièrement des impacts dans les pays où les revenus sont moyens et faibles, principalement en Asie et en Asie du Sud, où les parts de marché du diclofenac sont considérables.
vvv
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