Le Cartel des banques à organisé toutes les crises economiques du monde Toutes
les bonnes choses prennent du temps... Aussi voici un document, énorme
dans tous les sens du terme, sur le cartel bancaire mondial et ses
ramifications jusqu'à des événements récents. Remerciez Chalouette pour
la piste donnée par un contributeur sur le blog Silence des loups…
Oligarchie
financière : les huit familles derrière le cartel banquier privé
international ... l'ennemi des peuples a un nom et des visages !
Nous
avons traduit ici un article de Dean Henderson qui décortique le panier
de crabes de la haute finance internationale pour nous. Il confirme ici
que les banques centrales n’ont de « centrale » que le nom, et qu’elles
sont des entités privées, dirigées pour le profit et mettre le contrôle
total de l’économie mondiale dans le moins de mains possible.
Les
banques sont un outil d’oppression sans précédent et des armes de
destruction massive qui doivent être éradiquées si nous désirons vivre
libre. Le néo-esclavagisme orchestré par le cartel des banques privées
est bel et bien en marche. Il suffit de lui dire NON pour que tout
s’arrête et que nous reprenions notre destinée en main.
Oui, c’est aussi con que cela : être capable de dire NON ! en masse et s’y tenir…
Le cartel de la réserve fédérale FED USA
Les huit famillesLes
quatre cavaliers du système bancaire américain (Bank of America, JP
Morgan Chase, Citigroup and Wells Fargo) possèdent les quatre cavaliers
du pétrole (Exxon Mobil, Royal Dutch/Shell, BP Amoco et Chevron Texaco)
en tandem avec Deutsche Bank, la BNP, Barclays et d’autres anciens
pontes européens de l’argent. Mais leur monopole sur l’économie globale
ne s’arrête pas aux limites des champs pétroliers.
D’après les
déclarations d’entreprise 10K enregistrées avec la SEC (NdT : la
commission des cotations boursières, le “sheriff” de Wall Street, ou ce
qui devrait l’être), les quatre cavaliers de la banque sont parmi les 10
actionnaires majeurs de pratiquement toutes les entreprises figurant
dans le gotha du Fortune 500 [1]
Alors qui sont donc les actionnaires
de ces banques centralisant l’argent ? Cette information est gardée de
manière plus ferme. Mes demandes aux agences régulatrices bancaires
concernant la question de savoir qui possède les actions des top 25
compagnies américaines tenant les actions des banques ont initialement
reçu un status couvert par le Freedom of Information Act (NDT : loi sur
la liberté de l’information, qui aux Etats-Unis prévoit d’empêcher le
secret de l’information), avant d’être finalement refusées sous couvert
de raisons de “sécurité nationale”. Ceci est très ironique, sachant que
bon nombre d’actionnaires résident en Europe.
Un des monuments de
la richesse de l’oligarchie globale qui possède ces compagnies de
holding bancaire est la US Trust Corporation, fondée en 1853 et
maintenant propriété de Bank of America. Un des récents directeurs de
l’US Trust Corporation et administrateur honoraire était Walter
Rothschild. D’autres directeurs furent Daniel Davison de JP Morgan
Chase, Richard Tucker d’Exxon Mobil, Daniel Roberts de Citigroup et
Marshall Schwartz de Morgan Stanley. [2] J.W. McCalister, un membre
éminent de l’industrie du pétrole avec des entrées dans la maison des
Saouds, écrivit dans le Grim Reaper, qu’il a obtenu des informations de
banquiers saoudiens, qui citaient le fait que 80 % de la banque fédérale
de New York, de loin la plus puissante branche de la réserve fédérale,
étaient détenus par juste huit familles, dont quatre résident aux
Etats-Unis. Ce sont les familles
Goldman Sachs,
Rockefellers, Lehmans et Kuh Loebs de New York, les Rothschild de Paris
et de Londres, les Warburg de Hambourd, les Lazards de Paris et les
Israel Moses Seifs de Rome.CPA Thomas D. Schauf confirme
les dires de McCallister, ajoutant que 10 banques contrôlent les douze
branches de la réserve fédérale. Il nomme N.M Rothschild de Londres,
Rotshschild Bank de Berlin, la banque Warburg de Hambourg, la banque
Warburg d’Amsterdam, Lehmans Brothers de New York, Lazard Brothers de
Paris, la banque Kuhn Loeb de New York, la banque Israel Moses Seif de
Rome, Goldman Sachs de New York et la banque JP Morgan Chase de New
York. Schauf également cite William Rockefeller, Paul Warburg, Jacob
Schiff et James Stillman comme étant les individus qui ont le plus
d’actions à tire individuel dans la réserve fédérale. [3] Les Schiffs
sont étroitement liés à Kuhn Loeb, les Stillmans de Citigroup, qui se
marièrent dans le clan Rockefeller au début du siècle.
Eustace
Mullins arriva aux mêmes conclusions dans son livre “Les secrets de la
réserve fédérale”, dans lequel il montre des diagrammes connectant la
Fed et ses banques membres avec les familles Rothschild, Warburg,
Rockefeller et autres. [4] Le contrôle exercé par ces familles sur
l’économie globale ne peut pas être exagéré et est couvert
volontairement du sceau du secret. Leur bras médiatique est prompt à
discréditer toute information exposant ce cartel de banques privées
comme étant une “théorie du complot”. Pourtant, les faits demeurent.
La maison MorganLa
banque de la réserve fédérale est née en 1913, la même année que mourut
J. Pierpont Morgan et que la fondation Rockefeller fut créée. La maison
Morgan présidait sur la finance américaine depuis le coin de Wall
Street et Broad, agissant déjà en quasi banque centrale américaine
depuis 1838, quand Georges Peabody la fonda à Londres.
Peabody était
un partenaire d’affaires des Rothschilds. En 1952, l’enquêteur sur le
Fed Eustace Mulins émit la suposition que les Morgans n’étaient de fait
que les agents de Rothschild. Mullins écrivit que les Rothschilds “…
préféraient opérer de manière anonyme aux États-Unis derrière la façade
de la JP Morgan and co”. [5] L’écrivain Gabriel Kolko écrivit “Les
activités des Morgan en 1895-96 à vendre des bons du trésor or
américains en Europe étaient basées sur une alliance avec la maison
Rothschild.” [6]
La pieuvre financière Morgan enroula rapidement ses
tentacules autour du monde. Morgan Grenfell opérait depuis Londres.
Morgan et Ce depuis Paris. Les cousins des Rothschilds Lambert montèrent
Drexel et compagnie à Philadelphie.
La maison des Morgans était
impliquée avec les Astors, DuPonts, Guggenheims, Vanderbilts et les
Rockefellers. Elle finança le lancement de AT&T, de General Motors,
General Electric et DuPont. Tout comme les banques de Londres Rothschild
et Barings, Morgan devint partie prenante dans la structure de bon
nombre de pays.
Dès 1890, la maison Morgan prêtait à la banque
centrale d’Égypte, finançait les chemins de fer russes, renflouait les
obligations du gouvernememt provincial du Brésil et finançait des
travaux publics argentins. Une récession économique en 1893 renforça la
puissance financière de Morgan. Cette année-là, Morgan sauva les
États-Unis d’une panique bancaire, formant un groupement pour remonter
les réserves fédérales avec un envoi d’une valeur de 62 millions de
dollars d’or des Rothschilds. [7]
Morgan fut la force motrice
derrière l’expansion occidentale des États-Unis, finançant et contrôlant
les chemins de fer qui avançaient vers l’Ouest. En 1879 les chemins de
fer centraux de New York, financés par Cornelius Vanderbilt-Morgan
donnèrent des prix préférentiels à John D. Rockefeller pour son monopole
pétrolier de la Standard Oil, scellant ainsi la relation
Rockefeller/Morgan.
La maison Morgan alors tombe sous le contrôle
familial Rothschild et Rockefeller. Un titre du New York Herald clame
“Les géants du chemin de fer forment un trust gigantesque”. J. Pierpont
Morgan qui déclara un jour “la compétition est un péché” se réjouissait
maintenant, “pensez un peu que tout le trafic ferroviaire en compétition
à l’Ouest de Saint-Louis est placé sous le contrôle d’une trentaine
d’hommes.” [8] Morgan et le banquier de d’Edward Harriman Kuhn Loeb
obtenaient un monopole sur les chemins de fer, tandis que les dynasties
banquières Lehman, Goldman Sachs et Lazard rejoignaient les Rockefellers
à contrôler la base industrielle étatsunienne. [9]
En 1903, les huit
familles établirent le Banker’s Trust. Benjamin Strong du même
organisme fut le premier gouverneur de la banque de la réserve fédérale
de New York. La création de la réserve fédérale en 1913 fusionna la
puissance des huit familles à la puissance militaire et diplomatique du
gouvernement américain. Si leurs prêts internationaux n’étaient pas
repayés, les oligarques pouvaient maintenant déployer les fusiliers
marins américains (NdT : traduction la plus proche pour “US Marines »)
pour collecter les dettes. Morgan, Chase et Citibank formèrent une
alliance internationale syndiquée de prêteurs sur gage.
La maison
Morgan était dans les petits papiers de la maison Windsor britannique
et de la maison italienne de Savoie. Les Kuh Loebs, Warburgs, Lehmans,
Lazards, Israel Moses Seifs et Goldman Sachs étaient également très
proches des maisons royales européennes. Dès 1895, Morgan contrôlait le
flot d’or qui entrait et sortait des États-Unis. La première vague des
fusions américaines étaient dans sa prime enfance et était promue par
les banquiers. En 1897, il y eut 69 fusions d’entreprises industrielles.
En 1899, il y en eut 1200. En 1904, John Moody, le fondateur de Moody’s
Investor Services, dit qu’il était alors impossible de séparer les
intérêts des Rockefellers et des Morgans. [10]
La méfiance du
public envers l’alliance se propagea. Beaucoup les considéraient comme
des traîtres à travailler avec le vieux système financier européen. La
Standard Oil de Rockefeller, les aciers américains de Andrew Carnegie et
les chemins de fer de Edward Harriman étaient tous financés par le
banquier Jacob Schiff de Kuhn Loeab, qui lui travaillait en relations
étroites avec les Rothschilds d’Europe.
Plusieurs états de
l’ouest des États-Unis bannirent les banquiers. Le populiste William
Jennings Bryan fut trois fois le candidat présidentiel démocrate de 1896
à 1908. Le thème central de sa campagne anti-impérialiste fut de dire
aux citoyens que les États-Unis étaient en train de tomber dans le piège
de “l’esclavage financier au capital britannique”. Teddy Roosevelt
batît Bryan en 1908, mais fut forcé à la suite de ce feu de brousse
anti-impérialiste de faire passer le décret antitrust. Il s’attaqua
ensuite au trust de la Standard Oil.
En 1912 eurent lieu les
auditions Pujo, qui s’occupèrent des concentrations de pouvoir à Wall
Street. La même année, Mme Harriman vendît ses parts substantielles de
la banque du New York Guaranty Trust à J.P Morgan, créant ainsi Morgan
Guaranty Trust. Le juge Louis Brandeis convainquît le présidfent Woodrow
Wilson de terminer les situations d’inter-relations de comités
directeurs. La loi antitrust Clayton fut passée en 1914.
Jack
Morgan le fils et successeur de J. Piermont, répliqua en demandant aux
clients de Morgan Remington et Winchester d’augmenter la production
d’armement. Il décida que les États-Unis devaient entrer dans la
Première Guerre mondiale. Pressé par la fondation Carnegie et d’autres
instances de l’oligarchie, Wilson céda. Comme Charles Tansill écrivit
dans “L’Amérique s’en va en guerre” : “Même bien avant que la poudre ne
parle, la firme française des frères Rothschild câbla à Morgan and co à
New York suggérant le flottement d’un prêt de 100 millions de dollars,
dont une partie substantielle serait laissée aux États-Unis pour payer
les dépenses françaises pour des achats de produits américains.”
La
maison Morgan finança la moitié de l’effort de guerre américain, tout en
recevant des commissions pour avoir introduit des sous-traitants comme
General Electric, DuPont, les aciers américains, Kennecott et ASARCO.
Tous étaient des clients de Morgan. Morgan finança également la guerre
des Boers britannique en Afrique du Sud et la guerre franco-prussienne.
La conférence de la paix de Paris en 1919 fut présidée par Morgan, qui
mena les efforts de reconstruction à la fois de l’Allemagne et des
alliés. [11]
Dans les années 1930, le populisme refît surface après
que Goldman Sachs, Lehman et autres banques eurent profité du crash de
1929. [12] Le président du comité bancaire du parlement américain Luois
McFadden (démocrate-New York) dit de la grande dépression : “ce ne fut
pas un accident. Ce fut planifié… Les banquiers internationaux pensèrent
à créer une situation de désespoir afin de pouvoir en émerger comme nos
dirigeants absolus.”
Le sénateur Gerald Nye (démocrate-Dakota du
nord) présida une enquête sur les munitions en 1936. Nye conclua que la
maison Morgan précipita les États-unis dans la Première Guerre mondiale
pour protéger des emprunts et pour créer un essor de l’industrie de
l’armement. Nye produisit plus tard un document dont le titre était “La
prochaine guerre”, qui référait cyniquement au “truc de le vielle déesse
démocratie”, par lequel le Japon pourrait être dupé dans une Seconde
Guerre mondiale. En 1937, le secrétaire à l’intérieur Harold Ickes, mit
en garde de “l’influence des 60 familles américaines”. L’historien
Ferdinand Lundberg plus tard écrivit un livre ayant le même titre. Le
juge de la cour suprême de justice William O. Douglas décria
“l’influence de Morgan… la plus pernicieuse dans la finance et
l’industrie aujourd’hui.”
Jack Morgan répondit en rapprochant les
États-Unis de la Seconde Guerre mondiale. Morgan avait des relations
très étroites avec les familles Iwasaki et Dan, les clans les plus
riches du Japon, qui possédaient Mitsubishi et Mitsui respectivement,
depuis que ces deux compagnies émergèrent des shogunats du XVIIe siècle.
Quand le Japon envahit la Mandchourie et massacra les paysans de
Nankin, Morgan minimisa l’incident. Morgan avait aussi d’étroites
relations avec le fasciste italien Benito Mussolini, tandis que le nazi
allemand Dr. Hjalmer Schacht était la liaison entre la banque Morgan et
l’Allemagne durant la Seconde Guerre mondiale. Après la guerre, les
représentants de Morgan rentrèrent Schacht à la Bank for International
Settlements (BIS) à Bâle en Suisse. [13]
D. Rockefeller, << conspirateur >> pour construire << un seul monde >> et fier !
La maison RockefellerLa
BIS est la banque la plus puissante du monde, une banque centrale
globale pour les huit familles qui contrôlent les banques centrales de
presque toutes la nations occidentales et des pays en voie de
développement. Le premier président de la BIS fut le banquier de
Rockefeller Gates McGarrah, un officiel de la Chase Manhattan Bank et de
la réserve fédérale. McGarrah était le grand-père de l’ex-directeur de
la CIA Richard Helms. Les Rockefellers, tout comme les Morgans, avaient
des relations très étroites avec Londres. David Icke écrit dans “Les
enfants de la matrix”, que les Rockefellers et les Morgans n’étaient que
des “prête-noms” pour les Rothschilds. [14]
La BIS est une propriété
de la réserve fédérale, de la banque d’Angleterre, de la banque
d’Italie, banque du Canada, banque de Suisse, banque de Hollande, banque
fédérale allemande et la banque de France.
L’historien Carroll
Quigley écrivit dans son épique livre “Tragédie et Espoir” que la BIS
faisait partie d’un plan, celui de “créer un système mondial de contrôle
financier dans des mains privées et capable de dominer le système
politique de chaque pays et l’économie du monde dans son entièreté… un
contrôle s’exerçant de manière féodale par les banques centrales du
monde agissant de concert à travers des accords secrets.” Le
gouvernement américain avait une méfiance historique à l’égard de la
BIS, et fit pression sans succès pour qu’elle soit abandonnée en 1945 à
la conférence de Bretton-Woods. Au contraire de cela, la puissance des
huit familles fut exacerbée avec la création par la conférence de
Bretton-Woods du FMI et de la Banque mondiale. La banque fédérale
américaine ne prit des parts à la BIS qu’en Septembre 1994. [15]
La
BIS détient au moins 10 % des fonds de réserve d’au moins 80 banques
centrales au monde, du FMI et autres institutions multilatérales. Elle
sert d’agent financier pour les accords internationaux, collecte les
informations sur l’économie globale et sert de prêteur ou de dernier
rempart pour éviter un effondrement financier global général. La BIS
fait la promotion d’un agenda de fascisme monopolistique capitaliste.
Elle donna un prêt de soudure à la Hongrie dans les années 1990 pour
assurer la privatisation de l’économie de ce pays. Elle servit de canal
de financement d’Adolf Hitler pour les huit familles, emmené par Henry
Schroeder des Warburgs et la banque Mendelsohn d’Amsterdam. Un certain
nombre de chercheurs assument que la BIS est en fait le centre du
blanchiment d’argent du trafic de drogue global. [16]
Ce n’est
pas une coïncidence si la BIS a son QG en Suisse, la cache financière
préférée pour la richesse de l’aristocratie globale et quartier général
de la loge franc-maçonne P2 italienne Alpina et Nazi International.
D’autres institutions que contrôlent les huit familles inclues le Forum
Economique Mondial (Davos NdT), la Conférence Monétaire Internationale
et l’Organisation Mondiale du Commerce (OMC).
Bretton Woods fut
une aubaine pour les huit familles. Le FMI et la Banque mondiale étaient
centrales à ce “Nouvel Ordre Mondial”. En 1944, les premiers bons de la
Banque mondiale furent amenés par Morgan Stanley et la First Boston. La
famille française Lazard devint plus impliquée dans les intérêts de la
maison Morgan. Lazard Frères, la banque d’investissement la plus
importante de France, est la propriété de Lazard et des familles
David-Weill, vieille tradition bancaire de Gênes représentée par
Michelle Davive. Un directeur récent et PDG de Citigroup fut Sanford
Weill.
En 1968, Morgan Guaranty lança Euro-Clear, une banque basée à
Bruxelles spécialisée dans le système de négoce des sécurités
Eurodollar. Ce fut la première aventure automatique. Certains appelèrent
Euro-Clear “la bête”. Bruxelles sert de QG pour la nouvelle Banque
centrale européenne (BCE) et pour l’OTAN. En 1973, les officiels de
Morgan se rencontrèrent secrètement aux Bermudes pour opérer la
résurrection illégale de la vieille maison Morgan, 20 ans avant que la
loi Glass Steagal fut abandonnée. Morgan et les Rockefeller donnèrent
l’apport financier de départ pour Merrill Lynch, la propulsant dans le
top 5 des banques d’investissement américaines. Merrill Lynch est
maintenant une partie de Bank of America.
John D. Rockefeller utilisa
sa richesse du pétrole pour acquérir Equitable Trust, qui avait absorbé
plusieurs grandes banques et entreprises dans les années 1920. La
grande dépression de 1929 aida Rockefeller à consolider sa puissance. Sa
banque Chase, mergea avec la banque de Manhattan de Kuhn Loeb pour
former la banque Chase Manhattan, ainsi cimentant une relation familiale
de longue durée. Les Kuhn-Loeb avaient financé, avec les Rothschilds,
la quête de Rockefeller pour devenir le roi du pétrole. La banque
National City Bank de Cleveland donna les fonds à John D. Rockefeller
dont il avait besoin pour s’embarquer dans le monopole de l’industrie
pétrolière américaine. La banque fut identifiée dans une enquête du
Congrès comme étant une des trois banques des Rothschilds aux Etats-Unis
dans les années 1870 ; quand John D. créa pour la première fois la
Standard Oil dans l’état de l’Ohio. [17]
Un des associés de
Rockefeller dans la Standard Oil était Edward Harkness dont la famille
fut amenée à contrôler Chemical Bank. Un autre fut James Stillman, dont
la famille contrôlait Manufacturers Hanover Trust, Les deux banques ont
émergé sous l’ombrelle de JP Morgan Chase. Deux des filles Stillman
marièrent deux des fils de William Rockefeller. Les deux familles
contrôlent une grosse part de Citigroup également. [18]
Dans les
affaires des assurances, les Rockefellers contrôlent Metropolitan Life,
Equitable Life, Prudential and New York Life. Les banques de Rockefeller
contrôlent 25 % de tous les biens des 50 plus grandes banques
commerciales des États-Unis et 30 % de tous les biens des 50 plus
grosses compagnies d’assurance aux États-Unis. [19] Les compagnies
d’assurance, la première aux États-Unis fut créée par les franc-maçons,
jouent un rôle important dans la donne de l’argent de la drogue aux
Bermudes.
Les entreprises sous contrôle des Rockefeller incluent
Exxon Mobil, Chevron Texaco, BP Amoco, Marathon Oil, Freeport McMoran,
Quaker Oats, ASARCO, United, Delta, Northwest, ITT, International
Harvester, Xerox, Boeing, Westinghouse, Hewlett-Packard, Honeywell,
International Paper, Pfizer, Mororola, Monsanto, Union Carbide et
General Foods.
La fondation Rockefeller a des liens très étroits avec
les fondations Carnegie et Ford. D’autres aventures philanthropiques de
la famille incluent le fonds des frères Rockefeller, Rockefeller
Institute for Medical Research, General Foundation Board, Rockefeller
University et l’Université de Chicago, qui vomit régulièrement un flot
continue d’économistes d’extrême droite, apologistes du capital
international, incluant Milton Friedman.
La famille possède 30
Rockefeller Plaza, où l’arbre de Noël national est allumé chaque année
et le Centre Rockefeller. David Rockefeller fut instrumental dans la
construction des tours du WTC. La maison de famille des Rockefeller est
un complexe dans la partie bourgeoise de New York appelée Pocantico
Hills. Ils possèdent également un duplex de 32 pièces sur la 5e Avenue à
Manhattan, un manoir à Washington DC, le ranch Monte Sacro au
Venezuela, des plantations de café en Équateur, plusieurs fermes au
Brésil, une grande propriété à Seal Harbor, dans le Maine et des
stations balnéaires dans les Caraïbes, Hawaïï et à Porto Rico. [20]
Les
familles Dulles et Rockefeller sont cousines. Allen Dulles créa la CIA,
assista les nazis, couvrit l’assassinat de Kennedy de la commission
Warren et fit une alliance avec la confrérie des Frères Musulmans pour
créer des assassins conditionnés. [21]
Son frère John Foster
Dulles, fut président des trusts bidons de la Goldman Sachs avant
l’effondrement de la bourse en 1929 et aida son frère à renverser des
gouvernements au Guatemala et en Iran. Tous deux étaient membres de la
société secrète Skull & Bones, du Conseil en Relation Etrangère
(CFR) et francs-maçons au 33e degré. [22]
Les Rockefellers furent
instrumentaux pour former le club de Rome et son agenda de dépopulation,
dans leur propriété familale de Bellagio en Italie. Leur propriété de
Pocantico Hills donna naissance à la Commission Trilatérale. La famille
est une pourvoyeuse de fonds importante pour le mouvement eugéniste, qui
accoucha d’Hitler, du clonage humain et de la forme courante
d’obsession génétique sur l’ADN qui court dans les cercles scientifiques
américains.
John Rockefeller Junior fut à la tête du conseil de
la population jusqu’à sa mort. [23] Son fils du même nom est un sénateur
élu pour la Virginie de l’Ouest. Son frère Winthrop Rockefeller fut
lieutenant gouverneur d’Arkansas et demeure l’homme le plus puissant de
cet état. Dans une interview avec le magazine Playboy en Octobre 1975,
le Vice-président Nelson Rockefeller, qui était aussi gouverneur de
l’état de New York, articula les vues globalistes et arrogantes de sa
famille de cette façon : “Je crois absolument dans une planification
mondiale totale de l’économie, des affaires sociales, de la politique,
de l’armée…”
Mais de tous les frères Rockefeller, c’est le
fondateur de la commission trilatérale et président de la banque Chase
Manhattan David qui propulsa l’agenda fasciste de la famille sur la
scène globale. Il défendît le Shah d’Iran, le régime d’apartheid
d’Afrique du Sud, et la junte militaire de Pinochet au Chili. Il fut le
plus grand financier du CFR, de la commission trilatérale et (pendant la
guerre du Viêt-nam), du comité pour une paix effective et durable en
Asie, une aventure affairiste pour ceux qui faisaient leur argent et
vivaient du conflit.
Nixon lui proposa d’être son secrétaire au
trésor (ministre des finances, NdT), mais Rockefeller déclina l’offre,
sachant que sa puissance était bien supérieure en étant à la tête de la
banque Chase Manhattan. L’écrivain Gary Allen écrivit dans son livre “Le
dossier Rockefeller” en 1973 : “David Rockefeller a rencontré 27 chefs
d’état, incluant les dirigeants de la Chine et de l’URSS.”
Famille FED
En
1975, après Le coup de la Nugan Hand Bank et de la CIA contre le
premier ministre australien Gough Whitlam, son successeur nommé par la
couronne britannique se dépêcha d’aller aux États-Unis où il rencontra
Gerald Ford après avoir rencontré David Rockefeller. [24]
Baron Rothschild, banking
La maison RothschildContrôlent
les banques centrales du modèle occidental (via l’impérialisme US)
savent bien tout le bénéfice qu’ils en retirent puisque c’est leur
ancêtre qui a inventé le principe. En mettant la corde au cou des
gouvernements ils sont assurés de garder le contrôle dessus. Et quand
cela dure depuis des siècles alors le pouvoir est solide. Ne croyez pas
qu’il existe des banques centrales d’état, en vérité elles sont toutes
privées et contrôlées par un cartel bancaire dominé par Rothschild
l’initiateur du projet. Car c’est lui le premier à avoir privatisé la
banque centrale anglaise et avoir importé le concept avec l’aide de
Rockefeller aux USA. Cela s’est concrétisé par l’indépendance de la Fed
Reserv US en 1913 qui n’est ni fédérale, ni de réserve, ni même
américaine ! En France notre banque centrale est privée depuis 1973 «
grâce » à la loi Giscard-Pompidou ( ex-directeur général de la banque
Rothschild). Or vous constaterez que la dette de la France commence
exactement à cette époque pour augmenter exponentiellement car c’est là
tout le système. Il est basé sur l’octroi de crédits à intérêts qui
finissent par s’accumuler et devenir inremboursables. Un système
impossible à gérer à moins de le détruire et c’est ce que demande les
illuminés, comme moi, qui combattent cet ordre mondial financier sous la
coupe des Rothschild ! Vous imaginez le déséquilibre des forces…
La
BCE européenne étant elle aussi européenne et sous contrôle des
Rothschild exactement comme les banques centrales des pays arabes et
musulmans dont on a financé le modèle économique et social par
l’intermédiaire de dictateurs pendant trente ans. Nous avons donc «
occidentalisé » les pratiques financières en confiant le prêt à
l’autorité de la banque centrale contrôlée par un cartel bancaire privé
contrôlé lui-même par Rothschild et ses alliés. Or ce système bancaire a
une menace clairement identifié : la finance islamique. Pourquoi ?
Parce qu’elle ne pratique pas l’usure (pas de taux d’intérêt) et exige
un investissement conforme à la charria c’est-à-dire respectant une
éthique sociale et religieuse. Pas d’investissement dans le porno par
exemple. C’est comme ça. Mais vous avez bien compris l’arme absolue de
ne pas pratiquer l’usure qui permet de séduire nombre d’investisseurs et
de nouveaux pratiquants.
Or la finance islamique est en plein
développement dans le monde arabe et était très avancée … en Tunisie !
Par l’intermédiaire de la famille Ben Ali qui avait lancé un vaste
complexe financier islamique qui devait servir de tête de pont entre le
Maghreb et l’Europe. Le projet était en place et allait monter en
puissance quand… La banque s’appelle banque Zitouna et a été placée sous
le contrôle de la banque centrale tunisienne (contrôlée par Rothschild)
après le départ des Ben Ali. CQFD. Exit Zitouna…
G. Soros, financier milliardaire américain
On
a la preuve du financement par l’intermédiaire de la NED et de Soros,
de militants formatés à la révolution, d’avocats sensibilisés aux droits
démocratiques, des enseignants, etc., et tout cela en soutenant ces
dictateurs arabes qui avaient passé un deal de non-agression à Israël et
de libre accès de leurs ressources naturelles aux grosses
multinationales occidentales. Et cela s’intensifiait depuis quelques
années en Tunisie. On apprenait aux militants révolutionnaires à se
servir des réseaux sociaux pour propager la révolution. A l’instar des
révolutions colorées d’Europe de l’Est dont on sait que Soros, homme de
paille des Rothschild, était un acteur majeur.
L’enjeu est énorme
et est mondial. La finance islamique est la seule finance capable
actuellement de venir concurrencer le marché des banques occidentales
contrôlées par Rothschild, d’où la réaction radicale de renverser ces
régimes pour les remplacer par des dirigeants tout à fait disposés à
continuer d’utiliser le même système financier qu’en occident. El
Baradei en Egypte est l’homme de Rothschild et il assurera que le pays
conserve sa banque centrale et donc le pouvoir occidental consolidé, et
donc Rothschild rassuré.
La finance islamique souffre d’une
faiblesse, comme elle ne crée pas de l’argent à partir de rien (les
intérêts) comme en occident, elle doit avoir des réserves correspondant
réellement à l’argent qu’elle a prêtée. Son développement s’il est
vertueux puisque que garanti par l’investissement réellement productif
pour la société (exit la spéculation), peut se transformer en graves
problèmes en cas de crise majeure et face à un retrait massif d’argent.
C’est là où l’importance d’un réseau serré de banques islamiques peut
aider à résoudre le problème. Un réseau qu’il vaut mieux contraindre
avant de le voir mis en avant par sa réussite sociale et éthique. Il est
amusant de noter que 7 des 10 plus grandes banques islamiques sont
iraniennes. On comprend mieux pourquoi ce pays concentre sur lui un
faisceau de haine de la part de l’occident et des médias financés par…
Rothschild et ses amis bien sûr!
Nous sommes donc là au cœur de
la bataille mondiale pour le contrôle global. L’islam reste encore le
dernier rempart religieux vu l’affaiblissement de la religion
chrétienne, et le dernier rempart financier face à la gabegie
spéculative occidentale qui va nous précipiter dans la famine, la misère
et le chaos. On y arrivera en Europe bientôt c’est prévu. Voilà ce qui
se cache derrière le rideau de fumée de révoltes populaires pourtant
bien compréhensibles mais qui sont manipulées encore et toujours par des
forces supérieures et toutes ont trait à Rothschild.
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